Un Homme Presque Parfait

BÊTA PUBLIQUE

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- Prévois trois couverts, Marc mange avec nous.

Maude se tétanisa en entendant cela. Elle pensait être seule avec son chéri et allait se retrouver avec le patron du club qu'elle n'appréciait pas. Ne voulant pas faire de la peine à l'homme qu'elle aimait, elle mit la table pour trois convives puis, une fois que ce fut fini, elle se dirigea vers la chambre.

- Tu vas où, lui demanda Arnaud

- Je vais m'habiller

- Tu m'avais promis de rester nue

La jeune femme ouvrit grand les yeux.

- Mais! je ne savais pas que ton copain venait

- Et alors!

- Mais, je ne peux pas rester nue, je ne le connais pas.

L'homme ne voulant pas brusquer Maude, s'arrêta de cuisiner pour se déplacer vers elle. La prenant dans ses bras, il l'embrassa tendrement, laissant longtemps ses lèvres sur les siennes pour bien l'amadouer.

Lorsqu'il interrompit le baiser, ce fut pour la regarder droit dans les yeux, lui disant de sa voix la plus suave.

- Tu sais, je ne ferais jamais rien qui pourrait te nuire et je te considère comme le plus précieux de mes trésors. Seulement, je n'ai peut-être pas la même vision des choses. Pour moi, une femme aussi belle que toi est un peu comme une œuvre d'art et elle ne doit pas être cachée. Je veux que le monde entier découvre mon bonheur, que le monde entier sache quelle chance j'ai d'avoir une compagne aussi jolie que toi.

- Mais! je ne peux pas recevoir ton ami complètement nue.

- Pourquoi? il voit des femmes nues toute la journée et tu es bien plus belle que toutes ces filles. C'est ma façon de vivre et je comprendrais que tu ne veuilles pas la partager.

- Mais!

- Je sais que je serais malheureux si je devais ne plus te voir mais je préfère que l'on arrête notre relation maintenant.

Maude était perdue et elle ne savait plus quoi faire. Elle aimait cet homme et ne voulait pas le perdre, mais être nue devant son copain n'était pas une chose facile.

- Et si je me mettais en sous-vêtements

- je vais te ramener chez toi. J'ai encore le temps avant que Marc arrive.

- Non! je ne veux pas, je t'aime.

- Alors que décides-tu?

- Je vais rester toute nue, réussit-elle à dire avec une petite voix.

Pour la remercier, il la prit dans ses bras, l'embrassant de nouveau.

L'heure qui suivit fut horrible pour la jeune femme. Elle attendait apeurée l'arrivée de Marc, assise sur le canapé. Chaque minute qui s'écoulait la rapprochait du moment où elle se dévoilerait nue à cet homme, essayant de se dire que c'était par amour qu'elle le faisait. Arnaud, toujours dans la cuisine, finissait la préparation du repas, jetant de temps en temps des coups d'œil à la jeune femme. Il jubilait depuis qu'elle avait accepté, pensant qu'il aurait eu plus de mal à la convaincre.

Quand la sonnette de la porte retentit, Maude crut défaillir. Elle avait l'impression d'aller à l'abattoir et pourtant, elle ne voulait pas montrer sa gêne pour faire plaisir à son homme.

Se levant, elle resta immobile devant le canapé alors que le maître de maison, toujours en caleçon, se dirigeait vers la porte pour aller ouvrir à son ami.

Lorsque Marc fit irruption dans la pièce à vivre après avoir dit bonjour au chef d'entreprise, Maude crut défaillir. Elle ne sut trop comment ses jambes réussirent à la porter tant elle tremblait de peur.

- Mais que vois-je, s'exclama le patron du club. C'est notre Jolie Maude. Je ne t'imaginais pas aussi parfaite.

Et tout en disant ça, il vint lui faire la bise comme si de rien était, surprenant la jeune femme. Il faut dire que ce n'était pas la première fois qu'il voyait des femmes nues chez son ami mais celle-là était de loin la plus belle.

Arnaud se régalait en observant comment réagissait la jeune femme. Elle était pleine de bonne volonté pour lui faire plaisir mais agissait contre nature.

- Et si on passait à table et que l'on buvait l'apéro, lança-t'il pour décontracter la jeune femme qui ne savait pas comment se comporter.

- Excellente idée, je meurs de soif surtout depuis que j'ai bavé en voyant ta petite amie.

La blague ne fit rire qu'Arnaud alors que la jeune femme fut presque choquée de l'humour nul de l'homme. Pourtant, pour ne pas décevoir son chéri, elle se força à sourire, espérant que l'homme cesserait de plaisanter sur sa nudité.

Lorsqu'elle avait mis les couverts, elle avait disposé deux assiettes d'un coté de la table et une seule en face, pensant ainsi se mettre à côté de son amour. Mais Marc, s'asseyant en premier, vint se placer sur le côté ou se trouvait les deux assiettes, dérangeant ses plans de table.

Elle allait, du coup, s'asseoir en face lorsque Arnaud l'interrompit.

- Mets-toi à côté de Marc, je préfère me mettre là car je risque de me lever souvent.

Elle frémit en entendant qu'elle serait collée à l'invité mais ne dit rien, voulant faire bonne figure.

Lorsqu'ils attaquèrent l'apéro, Maude se détendit car l'ambiance était plutôt décontractée même si elle voyait les deux hommes lorgnaient souvent sur sa poitrine. Elle fit comme si de rien été, réussissant même à plaisanter un peu.

Arnaud, dut se lever à un moment donné pour aller voir si ce qu'il avait prévu pour le dîner n'était pas entrain de brûler. Même si la cuisine n'était pas très loin de la table, la jeune femme ne fut pas rassurée en se retrouvant seule avec Marc.

Elle sursauta malgré elle lorsque l'homme lui posa la main sur la jambe tout en lui disant à voix basse.

- Tu sais, j'étais sérieux cette nuit lorsque je t'ai proposé de venir travailler dans mon club. Je le suis encore plus depuis que j'ai pu admirer ton corps.

Tout en disant ça, il se mit à lui caresser la cuisse, appréciant la douceur de sa peau.

- S'il vous plaît, arrêtez, Arnaud pourrait vous voir me caresser.

- Tu ne m'as pas répondu concernant le club.

- Non merci, ça ne m'intéresse pas.

- Dommage

Malgré son refus, l'homme laissa sa main sur la jeune femme, continuant ses attouchements. La jeune femme allait s'énerver lorsque le maître de maison revint à table. Étrangement, elle se sentit coupable même si elle n'y était pour rien. Elle se figea telle une statue de chair alors que Marc continuait à faire courir ses doigts sur sa peau.

- je vois que vous amusez bien lorsque je m'absente.

Maude se sentit vraiment mal en entendant son amour, ignorant comment il avait pu voir sous la table. Elle se mit à balbutier, essayant de se disculper.

- Heu! non! ce n'est pas ce que tu crois, c'est....

- C'est mon copain et tu es ma petite amie, dit-il en rigolant

Le patron du club ne paraissait pas perturbé d'être pris sur le fait et continuait à caresser la cuisse de la jeune femme comme si de rien était.

- Tu es un sacré veinard, lui dit-il alors, elle a la peau super douce.

- Je sais, tout est génial chez elle, sans parler de sa chatte qui est incroyable

Le sang de la jeune femme se glaça dans ses veines Elle était complètement perdue et ne comprenait plus rien. Comment l'homme de sa vie pouvait-il parler d'elle de cette façon et comment pouvait-il accepter que son ami la caresse.

Une petite voix lui disait de se lever et de quitter cet appartement mais son cœur lui disait de rester. Elle ne pouvait pas renoncer à son amour même si elle ne le comprenait pas. Si elle partait, elle risquait de le regretter toute sa vie mais pouvait-elle pour autant tout accepter.

Arnaud, en se rendant compte du dilemme qui tenaillait la jeune femme, décida d'apaiser la situation.

- Et si on mangeait, je vais chercher le sauté de dinde, il est cuit.

Marc retira alors la main de la cuisse de la fille qui réussit à se calmer.

****

Le repas se déroula finalement sans autre problème. Arnaud avait ouvert une bonne bouteille de vin et ils discutèrent sur un peu tous les sujets, plaisantant parfois sans jamais être graveleux.

Maude finit par en oublier sa nudité et rit même à quelques blagues pas forcément très drôles. C'est vers quinze heures qu'ils clôturèrent le dîner avec un bon café et la jeune femme espéra que le copain de son chéri les laisse enfin tranquille.

- Et si on allait dans la chambre pour digérer, demanda alors Marc.

Maude sursauta en entendant la proposition. Elle crut avoir mal compris jusqu'à ce que Arnaud rajoute.

- J'y pensais, un peu de sport nous ferait du bien après ce repas copieux. N'est-ce pas bébé?

Cette fois il n'y avait plus de doute et la jeune femme se leva d'un bond, comprenant que les deux en voulaient à son corps.

- Je vais rentrer chez moi. Je n'aurais jamais dû venir.

Arnaud, en se rendant compte qu'ils auraient dû y aller plus en douceur, fit le tour de la table pour enlacer la jeune femme.

- Pourquoi tu réagis comme ça! tu sais que je t'aime et que je veux finir mes jours à tes côtés.

Tout en disant ça il se rendait compte qu'il y allait un peu fort et qu'elle risquait de ne pas croire ses mensonges. Il continua tout de même dans l'espoir qu'elle soit suffisamment crédule pour ne pas mettre en doute ses propos.

- J'ai envie de partager tout ce qui m'est cher avec la femme de ma vie et j'adorerais voir un autre homme te caresser. C'est juste un fantasme qui n'est pas très méchant.

- Mais! pour moi lorsqu'un couple s'aime il se doit d'être fidèle

L'homme sourit pour la rassurer et prenant sa voix la plus douce, il lui répondit

- Je suis d'accord avec toi. Être infidèle c'est tromper l'autre, lui mentir ou le trahir. Mais si tu le fais avec l'accord de celui que tu aimes, ce n'est plus de l'infidélité.

Maude était perdue et elle commençait à ne plus savoir quoi faire. Lorsqu'il lui prit la main pour la guider vers la chambre, elle ne résista pas.

En silence, Marc les suivit en laissant son ami mener la discussion. Il avait toujours été épaté par la facilité avec laquelle il arrivait à convaincre les autres et il préférait ne pas intervenir pour ne rien gâcher.

- Allonge-toi sur le lit et laisses nous faire, tu vas adorer.

Étrangement, Maude sentait une certaine excitation l'envahir. Elle savait qu'en obéissant elle faisait plaisir à son amour et elle commençait à ressentir un sentiment étrange. Elle se positionna sur le dos, un peu stressée, ne sachant pas ce qui allait lui arriver.

Arnaud n'eut qu'à enlever son caleçon pour se retrouver nu alors que son copain, lui, se dépêcha de se dénuder.

Le lit était suffisamment grand pour que les deux hommes se mettent de chaque côté du corps très crispé de la jeune femme.

- fermes les yeux et détends-toi, lui souffla le propriétaire des lieux.

Maude obéit à son amant et lorsqu'elle fut plongée dans le noir, étrangement elle se sentit mieux. Les hommes attendirent quelques secondes, la laissant se calmer pour ne pas brusquer les choses.

Lorsqu'elle sentit une main se poser sur un de ses seins, elle fit un léger bon causé par la surprise. Elle ne savait pas lequel des deux hommes avait saisi son globe de chair et cela l'excita. Elle sentait monter en elle un plaisir presque malsain, elle qui aurait condamné la veille l'amour à plusieurs.

Une autre main vint caresser son ventre alors qu'une autre glissait entre ses cuisses pour venir effleurer les lèvres de sa chatte.

Elle frissonna de tout son être et écarta machinalement les cuisses pour mieux se faire doigter.

Mais qu'est-ce qu'il lui arrivait, pourquoi réagissait-elle ainsi. Elle avait jusqu'à présent pensé être normal et là, elle se comportait comme la pire des cochonnes. Le pire, c'est qu'elle se rendit compte qu'elle aimait ça.

Les deux hommes ne parlaient pas, captivés par ce corps parfait qu'elle leur offrait. Surtout ne pas aller trop vite pour l'emmener lentement vers le plaisir. Arnaud avait détecté dans sa petite comptable beaucoup de potentiel, surtout depuis qu'il s'était enfoncé dans sa vulve la nuit passée.

La jeune femme se mordit la lèvre inférieure lorsqu'une bouche vint emprisonner son téton, le mordillant légèrement. Elle ne put s'empêcher de gémir pour le plus grand plaisir de ses deux partenaires. Elle poussa même un gémissement lorsque les doigts qui caressaient son sexe s'introduisirent entre ses lèvres et s'enfoncèrent légèrement.

Arnaud fut surpris en constatant que la jeune femme mouillait déjà, comprenant qu'ils employaient la bonne méthode. Il en eut la confirmation lorsqu'il se mit à caresser ses chairs internes et que la jeune femme se mit à haleter.

Elle adorait ce qu'ils étaient en train de lui faire mais ne voulait surtout pas ouvrir les yeux de peur de faire disparaître la magie du moment. Dans sa tête elle s'imaginait que seul Arnaud s'occupait d'elle mais elle savait au plus profond d'elle-même qu'elle adorait qu'ils soient à deux.

Lorsque son clitoris fut à son tour palpé, elle sentit le plaisir monter encore d'un cran. Une main puissante était venue saisir le sein qui se faisait téter et le presser comme pour en faire sortir du lait.

Sans vraiment savoir si c'était vraiment elle qui avait dit ces mots, des paroles sortirent de sa bouche et elle en fut la première étonnée.

- Prenez-moi, baisez-moi...

Elle ignora quel était l'homme qui s'allongea sur elle, espérant juste que ce soit son bien-aimé. Elle poussa un long feulement lorsque le membre glissa en elle, lui procurant presque un premier orgasme tant elle était excitée par la situation.

Le plus impressionnant était le silence dans la chambre, uniquement perturbé par les râles de la fille. Lorsqu'une bouche se posa sur la sienne, Maude répondit au baiser de façon fougueuse, adorant sentir la langue caresser la sienne au fond de son palais. Durant tout le temps que dura le French kiss, la queue resta figée au plus profond de sa vulve, attendant le bon moment pour œuvrer.

Lorsque pour respirer les deux bouches se séparèrent, le membre commença de très lents va-et-vient

- Putain, tu avais raison, sa chatte a une texture incroyable, c'est le pied.

- Tu ne me croyais pas lorsque je te l'avais dit.

Maude comprit alors que ce n'était pas son chéri qui lui faisait l'amour et bizarrement, elle n'en fut pas offusquée, trouvant cela encore plus excitant. Elle ouvrit alors les yeux pour découvrir le visage du copain crispé par le plaisir.

Elle se laissa alors aller et savoura ce moment, oubliant complètement qu'elle était offerte par l'homme dont elle était amoureuse.

En voyant qu'elle le regardait droit dans les yeux, le patron du club fut plus troublé qu'il n'osa se l'avouer et un frisson le parcourut. Il se mit à accélérer la cadence, amplifiant ses coups de reins pour le plus grand plaisir de la jeune femme qui se mit à gémir à chaque fois que le pieu de chair s'enfonçait dans sa vulve.

- C'est bien mon bébé, donne-toi sans compter, tu es la meilleure,

Maude ne fit même pas attention aux paroles d'Arnaud, tant la jouissance montait en elle. Elle n'entendait plus rien et gémissait de plus en plus fort.

Le patron du club prenait lui aussi un pied incroyable, découvrant une vulve vraiment incroyable. Lorsqu'il jouît enfin, il se cambra pour se déverser en elle, râlant de plaisir alors que la jeune femme criait elle aussi, secouait par un orgasme violent.

Arnaud se régalait en regardant le couple prendre autant de plaisir et il n'avait qu'une hâte, c'était de remplacer son copain entre les cuisses de sa maîtresse.

Lorsque Marc retira son membre du sexe de la jeune femme, s'allongeant à côté pour laisser sa place à son ami, ce dernier ne perdit pas une seconde pour le remplacer. Sa queue en érection plongea presque aussitôt dans la chatte déjà remplie de sperme mais cela ne le gênait pas.

Il avait tellement était chauffé en les regardant faire qu'il ne fit aucun préliminaire. Dès que son membre fut en elle, il se mit immédiatement à la prendre avec force, ce qui ne déplut pas à la jeune femme. Cette dernière gémissait en continu et l'homme se demanda si elle avait réalisé qu'elle avait changé de partenaire.

Finalement sa petite amie était une vraie salope et cela ne lui déplaisait pas. Lui qui pensait la virer une fois le week-end fini se demandait s'il n'allait pas la garder plus longtemps.

Il s'arrêta de penser lorsque le plaisir fut trop fort, continuant à la limer jusqu'à ce que qu'il jouisse lui aussi. Il vida longuement ses couilles dans le vagin déjà bien plein de la fille, espérant juste qu'elle ait pris la pilule.

Maude mit un certain temps pour retrouver des idées claires. Elle réalisa alors ce qu'elle venait de faire, allant à l'encontre de toute l'éducation qu'elle avait eue depuis sa naissance mais elle n'arrivait pourtant pas à avoir honte. Pire, elle avait adoré se donner à ces deux hommes et avait envie que ça continue.

Alors que ses deux amants restaient sur le dos pour récupérer un peu, la jeune femme se redressa s'asseyant entre eux, regardant les deux sexes légèrement ramollis.

Sans rien dire, elle déposa ses mains sur les deux membres et commença à les masser lentement. C'était tellement surprenant de sa part que, sans s'être mis d'accord, ils sursautèrent en même temps lorsqu'elle posa la main sur eux, ne s'y attendant vraiment pas.

Elle se mit alors à les caresser avec douceur, provoquant chez les deux hommes une nouvelle érection.

- Tu as encore envie de nous, demanda Arnaud

- Un peu, dit timidement la jeune femme

- Un peu comment

- Un peu, beaucoup.

Lorsque son amant estima avoir recouvré toute sa vigueur il lui demanda de venir sur lui en l'enfourchant.

Maude, excitée, cessa ses caresses et vint se positionner à califourchon sur lui, lui faisant face. Par provocation, elle le fixa dans les yeux et, saisissant le membre déjà bien dur, elle empala sa chatte puis se laissa descendre pour l'emprisonner entièrement.

Marc qui avait regardé la scène, ne voulait pas être là juste pour tenir la chandelle. Il se déplaça pour se retrouver derrière la jeune femme et d'une voix rauque, causée par l'émotion, il ne put s'empêcher de dire.

- Putain, elle a un cul d'enfer. J'ai trop envie de la sodomiser.

Alors que la fille était déjà prise par Arnaud, il vint placer son gland contre le petit œillet et se mit à forcer pour la pénétrer.

Maude en entendant l'homme eut un peu peur. Avec Romain, elle n'avait eu que de très rares occasions de se faire prendre par le cul et n'avait jamais vraiment aimé ça. Pourtant, lorsqu'elle sentit le membre venir se positionner contre son petit trou, elle ne dit rien malgré l'angoisse qui s'était emparée d'elle. Elle allait subir une double pénétration et ne faisait rien pour l'en empêcher.

Elle poussa tout de même un petit cri de douleur lorsque le sexe de Marc réussit à rentrer en elle, la forçant pour s'enfoncer au maximum. Arnaud ne bougeait pas, attendant que son copain finisse de la pénétrer.

Excité de sentir ce deuxième sexe rendre plus étroit l'écrin de chair dans lequel il s'était confortablement installé, il saisit les seins de la jeune femme, les serrant assez fort.

Maude n'était plus qu'une marionnette maintenue par la poitrine et elle ferma de nouveau les yeux lorsque le patron du club commença à lui limer le cul. Arnaud, en sentant son copain bouger, se mit à onduler du bassin pour mouvoir le sexe bien ancré dans la chatte. Ce fut pour la jeune femme un déferlement de plaisir malgré la douleur qui irradiait son cul.

Arnaud ne pouvait pas la prendre comme il le voulait mais il sentait le membre de son copain labourer les entrailles de la fille et cela lui procurait à lui aussi un plaisir inconnu.

La jeune femme, la bouche grande ouverte, fut vite envahie par une onde de jouissance, se sentant transporter dans du pur bonheur.

Ce fut Marc qui éjacula le premier mais Arnaud ne tarda pas à le suivre tant le plaisir était grand.

Lorsqu'elle fut libérée des deux membres plantés en elle, elle réalisa alors qu'elle venait de vivre une expérience incroyable. Elle avait été prise par deux hommes en même temps et elle avait adoré ça.

Le reste de l'après-midi se déroula essentiellement dans la chambre et c'est vers 19h00, lorsque Marc, épuisé, dû retourner au club pour préparer l'ouverture, que Maude réalisa qu'elle aurait du mal à vivre comme avant.