Un Homme Presque Parfait

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Maude pense avoir rencontré l’homme de ses rêves.
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Maude regardait tout autour d'elle, étonnée et mal à l'aise de se trouver dans un tel lieu. Comment avait-il pu l'emmener dans cet endroit dès le premier rendez-vous, elle, qui venait de la campagne et qui n'était pas habituée à de tels établissements. Elle essayait de paraître naturel pour ne pas le décevoir mais elle aurait bien aimé être à mille lieues de là.

Le club où il l'avait emmené la déroutait complètement car jamais elle ne se serait imaginé qu'un tel endroit puisse exister. Sur une scène surélevée, une stripteaseuse dansait lascivement tenant une barre de pole dance alors que des serveuses, juste vêtues d'une minijupe, circulaient seins nus entre les tables pour prendre les commandes. Le plus étonnant, c'est qu'elles ne disaient rien lorsque des mains baladeuses venaient effleurer leur peau.

Arnaud, un sourire aux lèvres, ne la quittait pas des yeux, amusé par la gêne visible de la jeune fille.

Lorsqu'elle était venue à l'entretien d'embauche, dix jours plus tôt, il avait été charmé par la beauté de la jeune femme et l'avait recrutée sans même tenir compte de son CV.

Il faut dire qu'Arnaud Bessières aimait les jolies femmes et ne laissait pas indifférent non plus. Il se dégageait de cet homme de 49 ans un charisme incroyable. Grand et athlétique, toujours habillé à la mode, il était celui que l'on remarquait dans un groupe.

Seules ses tempes grisonnantes pouvaient trahir son âge même si cela ne le dérangeait pas.

Il adorait tellement les femmes qu'il ne s'était jamais marié, préférant cumuler les conquêtes plutôt que de rester fidèle à une seule.

Lorsque cette petite campagnarde avec son BTS de comptabilité était venue pour le poste à pourvoir, il avait pris sa décision immédiatement. Elle lui avait plu au premier regard malgré son manque flagrant de goût au niveau vestimentaire.

Dès qu'il l'avait vu, Il avait décidé de tout faire pour l'avoir et rarement il échouait.

Il ne lui avait imposé qu'une chose si elle voulait travailler pour lui, c'était de ne plus porter de pantalons mais uniquement des jupes ou des robes, qu'il trouvait plus adaptées au poste.

Maude avait accepté immédiatement, sous le charme de cet homme plus âgé que son père. À 20 ans, elle venait juste de finir ses études et malgré la réticence de ses parents, elle était montée à Paris pour trouver plus facilement du travail. Sa tante lui avait prêté son petit studio qu'elle n'utilisait que pendant les vacances, le temps que Maude trouve un endroit bien à elle.

La jeune femme avait vraiment été heureuse de trouver du travail dès son premier entretien. De plus, sans vraiment savoir pourquoi, cet homme la fascinait énormément. Était-ce à cause de ce regard perçant que ses yeux bleu clair intensifiés ou à cause de cette voix au timbre grave qu'elle aimait écouter lorsqu'il lui parlait.

En fait elle ne savait pas trop la raison de son attirance pour cet homme de presque trente ans son aîné. Du coup, lorsque au bout d'une semaine, il l'avait invité à sortir le vendredi soir, elle n'avait pu s'empêcher d'acquiescer, trop heureuse qu'il lui porte un certain intérêt.

Il l'avait attendu dans sa voiture, en bas de son immeuble et pour cet événement, elle avait mis sa plus jolie robe d'été. Étant plutôt pudique, sa tenue mettait son corps en valeur tout en ne montrant que le strict minimum. Lui, était habillé élégamment sans toutefois en faire des tonnes et il n'avait pas hésité à la complimenter lorsqu'elle l'avait rejoint.

Il lui avait juste dit en rigolant qu'elle aurait pu choisir une tenue un peu moins sage.

La soirée avait magnifiquement commencé lorsqu'ils étaient entrés dans ce restaurant gastronomique. Tout était beau et bon et pour Maude, ce fut comme dans un conte de fées.

Lorsqu'ils quittèrent l'établissement, ils décidèrent de marcher un peu avant de reprendre la voiture. Elle ne chercha pas à se dérober lorsqu'il lui prit la main, trouvant cela très romantique.

Quand, sous un gros chêne juste éclairé par un lampadaire, il l'embrassa, elle eut la tête qui se mit à tourner tant ce baiser fut intense. La jeune femme apprécia ce moment, laissant les mains de l'homme lui caresser le dos. La soirée ne faisait que commencer et lorsque Arnaud lui proposa de finir dans un club tenu par un de ses amis, elle accepta sans vraiment réfléchir.

Elle était comme dans un rêve et ne voulait surtout pas l'interrompre.

- Tu vas voir, tu vas adorer

Et c'est ainsi qu'elle se retrouva enfoncée dans son canapé moelleux, ne sachant pas trop comment se comporter.

Arnaud, étrangement, ne s'était pas assis sur le même divan, préférant s'installer dans un fauteuil de l'autre côté de la table basse. Elle fut un peu déçue d'être ainsi délaissée alors qu'il l'avait embrassée en sortant du resto.

En y réfléchissant, elle pensa qu'il ne voulait pas brûler les étapes et y aller lentement avec elle. Elle trouva finalement cette façon de faire très attendrissante.

Elle allait trinquer avec son patron lorsqu'un homme d'une quarantaine d'années arriva.

- Salut Arnaud, bonjour mademoiselle

- Maude, je te présente Marc Merlan, le patron de ce club

La jeune femme fut surprise en se rendant compte que les deux hommes se faisaient la bise, preuve qu'ils se connaissaient vraiment bien. Le nouvel arrivant s'assit à coté d'elle après l'avoir elle aussi embrassée sur la joue.

- Qui est cette charmante personne, demanda le directeur du club

- C'est Maude, ma petite amie.

Cette dernière fut surprise qu'il la présente ainsi. Elle en fut flattée et surtout très heureuse même si leur relation était vraiment récente.

- Ta petite amie! tu sais choisir tes copines. Mademoiselle vous êtes charmante.

- Et elle travaille également pour moi, rajouta-t-il.

Maude ne savait plus trop où se mettre, elle qui n'était pas habituée à de telles flatteries. L'homme se mit alors à la tutoyer, comme s'il la connaissait depuis des années.

- Et que penses-tu de mon club, Maude

- Heu! c'est déroutant, répondit-elle en regardant tout autour d'elle.

Elle n'avait pas trop fait attention mais en s'installant dans le canapé, sa petite robe s'était légèrement retroussée sur ses cuisses. Elle faillit faire un bon lorsque l'homme lui posa la main sur le genou en lui disant.

- Tu sais Maude, si un jour tu en as marre de travailler avec cet énergumène, viens dans mon club. Je suis sûr qu'avec ton corps, tu ferais un malheur.

La jeune femme ne savait plus comment se comporter. En temps normal elle aurait sûrement giflé la personne la touchant ainsi, mais là, elle était à Paris, dans un club de striptease et en face de l'homme dont elle était amoureuse. En voyant qu'Arnaud ne réagissait pas, elle préféra en faire de même. Après tout, il ne lui touchait que le genou et même si sa main faisait des mouvements circulaires sur sa peau, il n'y avait rien de sexuel.

- Pas trop vite, répondit Arnaud en riant. Elle vient juste de commencer chez moi, ne la fais pas fuir.

- Elle est trop mignonne pour rester avec un mec comme toi. Je la verrais mieux avec juste une petite jupe et les seins à l'air à moins qu'elle ne sache danser pour monter sur la scène.

Maude était devenue toute blanche, ne sachant plus quelle attitude adopter. Elle fut soulagée lorsque Marc se leva, la laissant seule sur le canapé.

- Prenez ce que vous voulez, c'est la maison qui rince.

- C'est gentil merci

Lorsque le patron du club se fut éloigné, il rassura Maude

- Je le fréquente depuis 15 ans, tu verras, quand tu le connaîtras mieux, c'est un gars super.

La jeune femme ne répondit pas, ne voulant pas dévoiler le fond de sa pensée. En fait, elle l'avait trouvé arrogant, vulgaire et limite harceleur mais c'était le copain d'Arnaud et elle ne voulait pas lui faire de la peine.

Lorsqu'ils quittèrent le club une heure plus tard, la jeune femme fut soulagée. Elle n'aimait vraiment pas ce lieu et respira mieux une fois dehors.

- Tu viens boire un verre chez moi, lui demanda-t-il

- Oui, si tu veux...

Malgré son manque d'expérience avec les hommes, Maude savait très bien ce que cela voulait dire mais l'homme lui plaisait tellement qu'elle n'avait pas réfléchi en lui répondant. Après tout, il l'avait présentée comme étant sa petite amie et en tant que telle, elle pouvait bien se rendre chez lui au milieu de la nuit.

Vu l'heure, cela roulait beaucoup mieux qu'en plein jour et à peine 30 minutes plus tard il garait sa voiture devant un immeuble grand standing.

Lorsqu'elle découvrit l'intérieur de l'appartement, elle ouvrit grand les yeux tant il était magnifique. Moderne et refait à neuf, la pièce à vivre était fabuleuse. La jeune femme se serait crue dans un magazine spécialisé dans la décoration et son admiration pour l'homme monta encore d'un cran.

- Qu'est-ce que je te sers à boire?

- Quelque chose sans alcool

- J'ai ce qu'il te faut, quelque chose de fort et de non alcoolisé.

Et sans rajouter un mot, il la prit par la main et l'emmena dans sa chambre. Elle ne résista pas, n'attendant que ça tant l'homme lui plaisait. Même ces paroles pleines de sous-entendus ne la choquèrent pas elle qui n'aimait pas que l'on parle de façon graveleuse.

Lorsqu'il s'assit sur le lit, la regardant avec un grand sourire, il lui demanda d'une voix suave.

- J'adorerais que tu me fasses un striptease, que je puisse découvrir ton corps lentement.

- Hein!

- S'il te plaît, un peu comme si tu étais sur la scène du club.

Maude, étonnée par la demande mais également excitée de se montrer nue devant celui qu'elle aimait, finit par accepter.

Lentement, elle se mit à onduler du corps, au rythme d'une musique imaginaire. Elle commença par dégrafer les deux boutons qui maintenaient le vêtement fermé au niveau de sa poitrine. Tout en dansant de façon sensuelle, elle fit glisser sur ses épaules les bretelles de sa robe devant Arnaud qui n'en ratait pas une miette.

Lorsque le vêtement tomba à même le sol, dévoilant le jeune corps en sous-vêtement, l'homme ouvrit grand les yeux. Il trouvait la jeune femme sublime alors qu'elle n'avait pas encore tout dévoilé.

Elle hésita quelques secondes avant de libérer sa poitrine. Sans vraiment que ce soit prémédité, elle avait mis un modèle de soutien gorge s'ouvrant par le devant, facilitant le striptease.

L'homme adora les seins pas très gros mais bien fermes qu'elle dévoila à son regard, les trouvant magnifiques. Lorsque enfin, elle fit glisser le long des ses jambes sa petite culotte blanche, découvrant un sexe complètement épilé, l'homme n'en put plus.

Il se leva et vint plaquer le jeune corps contre le sien, cherchant sa bouche pour l'embrasser goulûment.

Cette petite campagnarde était sûrement la plus belle femme avec qui il était sorti et tout en lui roulant un patin, il caressa longuement son corps nu, trouvant le contact de sa peau incroyable.

Lorsqu'il la lâcha enfin, se fut pour se déshabiller en vitesse, trop pressé de goûter à ce jeune corps.

- Allonge-toi bébé, j'ai trop envie de toi

Maude était elle aussi excitée, surtout en découvrant le corps musclé de son compagnon et son sexe déjà en érection. Se positionnant sur le dos, elle écarta les cuisses pour offrir sa vulve lisse et déjà tout humide à son patron et amant.

Lorsque l'homme s'allongea sur elle, Maude frissonna de désir, n'ayant qu'une hâte, s'était de sentir le membre glisser en elle. Elle poussa un long feulement lorsqu'il la pénétra, sentant déjà le plaisir envahir tout son corps.

Pour l'homme, ce fut une vraie extase que de s'enfoncer dans ce corps exceptionnel. La chatte de la jeune femme était d'une texture rarement rencontrée. Il avait déjà eu de nombreuses conquêtes mais jamais encore il n'avait ressenti un tel plaisir. C'était de la pure jouissance et il se demanda comment son pote allait réagir lorsque lui aussi pénétrerait cette petite bombe.

Il se mit à accélérer la cadence, de plus en plus excité, adorant les gémissements qu'elle poussait alors qu'il la baisait de plus en plus fort. Elle ne lui avait même pas demandé de mettre un préservatif et il adorait ça.

Jamais encore Maude n'avait pris autant de plaisir. Elle n'avait connu que Romain et ce n'était pas un champion du monde au lit. Rarement cela ne durait plus de quelques minutes et elle ignorait jusqu'à aujourd'hui que le sexe pouvait être aussi merveilleux.

L'homme la prit longuement, lui donnant des coups de reins de plus en plus violents. Elle finit par perdre le contact avec la réalité et tout son corps s'embrasa lorsque le premier orgasme s'empara d'elle. Elle se retrouva dans un océan de jouissance alors que l'homme se déversait en elle, inondant son vagin d'une semence épaisse et chaude.

Elle redécouvrait ce que l'amour voulait dire et sa passion pour cet homme grandit encore. Pour elle, elle avait trouvé le prince charmant.

Il resta quelques minutes en elle avant de se retirer, heureux d'avoir baiser cette petite paysanne. S'allongeant à coté d'elle il ne put s'empêcher de lui dire.

- Je suppose, bébé, que tous les garçons qui t'ont fait l'amour ont dû te complimenter pour ta chatte

La jeune femme, qui n'avait pas encore repris complètement ses esprits mit un certain temps avant de répondre. Elle aimait bien le petit surnom qu'il employait avec elle mais ne comprenait pas du tout la question.

- Pourquoi! qu'est-ce qu'elle a ma chatte?

- Elle est exceptionnelle et c'est la première fois que je prends autant mon pied.

Maude avait du mal à le suivre pourtant elle lui répondit.

- Je ne sais pas, je n'ai eu qu'un copain que j'ai rencontré à 16 ans au lycée et avec qui j'ai rompu il y a trois mois. Pour lui aussi j'ai été la première.

- Maintenant qu'il a dû tremper sa queue ailleurs, il doit te regretter, répondit en riant Arnaud

L'homme n'en revenait pas. Comment une jeune femme aussi belle pouvait avoir aussi peu d'expérience. Se levant, il alla jusqu'à sa commode et se saisit de son téléphone.

Lorsque Maude, allongée sur le dos, se rendit compte qu'il la photographiait, elle poussa un petit cri et se mit en boule pour cacher ses parties intimes.

- Non, pas ça, je ne veux pas que tu me prennes nue

- Pourquoi? tu es super belle et je veux pouvoir admirer ton corps même lorsque tu es loin de moi. S'il te plaît, fais-moi plaisir, laisse-moi te photographier.

S'il y avait bien une chose que la jeune femme ne voulait pas, c'était de décevoir l'homme qu'elle considérait maintenant comme son petit ami même s'il était bien plus âgé qu'elle. Malgré sa réticence, elle accepta de lui faire plaisir et se repositionna sur le dos, le laissant prendre quelques clichés.

Étrangement, la jeune fille se sentit bizarre alors qu'il la photographiait. En pensant que l'image de son corps serait figé sur le téléphone de l'homme, elle en fut excitée.

Arnaud jubilait en se rendant compte que la petite dinde était obéissante. Contrairement à ce qu'il avait prévu, il la garderait un peu plus longtemps pour s'amuser avec.

D'habitude, il se lassait assez vite des femmes avec qui il baisait et les donnait souvent en pâture à Marc mais là, il allait prendre son temps.

- Je suppose que ton ex petit copain ne t'a pas fait découvrir tout ce qui touche au sexe

- heu! si.

- Dans ce cas c'est parfait...

Toujours debout, il reposa son téléphone et voulut de nouveau la tester.

- Tu sais ce dont je rêverais, bébé, c'est que tes adorables lèvres viennent me sucer la queue

Pour un premier rendez-vous, il y allait fort. Elle n'avait fait une fellation à Romain seulement qu'au bout d'un an, trouvant ça plutôt sale. Le problème, c'est qu'elle était devenue folle amoureuse de cet homme et qu'elle ne voulait surtout pas le perdre comme elle avait perdu son ex petit ami.

Se levant du lit, elle vint s'agenouiller sans un mot devant Arnaud qui restait immobile. Il n'en revenait toujours pas de sa docilité, se disant que de l'avoir embauchée était sûrement la meilleure chose qu'il ait faite depuis longtemps.

La jeune femme commença par lécher le gland, le nettoyant du sperme mélangé à sa mouille.

En la voyant faire, il se dit que c'était une vraie petite chienne et il se mit à bander de nouveau. L'attitude de la jeune femme lui plaisait et jamais encore il n'avait réussi à prendre le contrôle d'une de ses maîtresses aussi rapidement.

Lorsqu'elle ouvrit la bouche pour emprisonner le membre en érection, Arnaud ne put s'empêcher de gémir. C'est la première fois qu'une fellation l'excitait autant et il adora ça.

D'une main, elle se mit à lui caresser les testicules alors que lentement, elle commença les va-et-vient entre sa langue et son palais. C'était merveilleux même s'il se rendait compte qu'elle manquait d'expérience. Elle voulait tellement bien faire que ça en devenait un régal.

Après quelques minutes, il estima qu'elle n'allait pas assez vite en sentant le plaisir monter en lui. La prenant par les cheveux comme une vulgaire pute, il lui bloqua la tête et se mit à donner des coups de reins pour lui baiser la bouche.

Maude n'avait jamais rien subi de tel et elle faillit s'étouffer lorsque le gland vint frapper contre le fond de sa gorge.

Heureusement, cela ne dura pas longtemps et son gosier fut rapidement inondé par le sperme qui se déversa en de longs jets puissants. Elle n'avait jamais aimé son goût, le trouvant trop amer et salé mais là, pour faire plaisir à l'homme de sa vie, elle déglutit plusieurs fois pour tout avaler.

Lorsqu'il retira son sexe de la bouche de la jeune femme, il ne put s'empêcher de lui caresser la tête, comme pour la remercier. Maude ne fut pas outrée d'être traitée comme un animal, trouvant même cela très flatteur.

- Il se fait tard, que dirais-tu d'aller dormir

Elle acquiesça immédiatement. Elle allait partager le lit avec lui et elle n'en demandait pas tant.

Lorsqu'ils éteignirent la lumière, elle se plaqua contre le corps nu de son chéri, appréciant ce contact dont elle était devenue accro.

Elle fit cette nuit-là des rêves très romantiques, imaginant cet homme l'emmener à l'autel. Il était beau, riche et doué sexuellement et elle se voyait bien vivre dans cet appartement.

La seule chose qui la travailla un peu, c'était la réaction de ses parents lorsqu'elle leur présenterait, vu qu'il était plus âgé que son père.

****

Il n'était pas loin de onze heures lorsqu'elle ouvrit les yeux, se rendant compte qu'Arnaud n'était plus dans le lit. Se levant pour aller soulager sa vessie dans la salle de bain attenante, elle quitta ensuite la chambre pour rechercher pas son bien-aimé.

N'ayant pas d'autres vêtements que la petite robe qu'elle avait portée la veille, elle préféra rester nue, aimant la façon dont il la regardait.

Elle le trouva dans la cuisine ouverte, juste habillé d'un caleçon à fleurs. Il était en train de préparer le repas et elle trouva cela très romantique.

- Bonjour bébé, tu veux un café ou tu préfères attendre le dîner, on mange dans une heure.

- Bonjour mon chéri, je peux attendre une heure, surtout que ça sent très bon.

L'homme ne répondit pas mais apprécia qu'elle l'appelle son chéri. C'était la preuve qu'il avait de l'emprise sur elle et cela l'encouragea à aller plus loin. En repensant à ce qu'il lui avait préparé, il se demanda s'il n'y allait pas un peu fort.

- J'adore ton corps, Tu es vraiment belle nue, tu devrais rester comme ça.

- Si je te plais ainsi, pas de problème dit-elle en riant

Lorsqu'elle fréquentait Romain, elle n'aimait pas être nue devant lui, se sentant gênée. Mais là, elle ne savait pas pourquoi, elle adorait montrer son corps.

Quand elle voyait comment était meublé et décoré l'appartement, il était évident qu'il aimait les belles choses et même si elle n'était pas un objet, elle se sentait vraiment appréciée.

- Tu veux de l'aide?

- Tu n'as qu'à mettre la table. La vaisselle et les couverts sont dans ce vaisselier.

La jeune femme commençait à prendre deux assiettes et deux verres lorsque Arnaud lui précisa.

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