Un Couple Pas Comme Les Autres 02

Informations sur Récit
Les aventures de Lulu et Al ainsi que de leurs amis.
2.1k mots
4.17
7.5k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 12/04/2019
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Claire

Je suis complètement affolée, je suis nue avec une autre femme tout aussi nue à mettre la table dans mon jardin, il n'y a aucun moyen de trouver quoi que ce soit à me mettre sur le dos. Claire déboule sur la terrasse et reste figée nous regardant d'un air médusé. C'est ma fille aînée. Evidemment, elle connait Margot, mais elle doit se demander ce que nous faisons à poil sur la terrasse.

Je vais vers elle pour l'embrasser.

--Surprise hein?

--On peut le dire, que faites-vous à poil dans le jardin?

--Ma chérie, il fait encore plus de trente degrés à dix-neuf heures, tu sais très bien que je ne supporte pas la chaleur et que je me balade toujours nue à la maison quand il fait un peu chaud et que je suis seule.

--Oui, mais là, tu n'es pas seule.

--Ok, et comme Margot est comme moi, elle s'est mise en tenue « chaleur ».

Claire se dirige vers Margot pour l'embrasser.

--Bonjour Margot, ça fait un bail qu'on ne t'a pas vu.

--J'étais à Kourou, au centre spatial, j'y suis resté cinq ans, et je peux te dire qu'avec le climat du coin, ce n'est pas une partie de plaisir.

--En plus, tu ne supportes pas la chaleur à ce que j'ai compris.

Tout le monde éclate de rire.

--Tu te joins à nous, petite plancha de légumes et de calamars.

--Si tu me prends par les sentiments.

Claire donne un coup de main à Margot pour préparer la plancha pendant que je vais prendre des couverts pour elle. Quand je reviens, elles discutent toutes les deux en rigolant. Je vois qu'elle transpire, son tee-shirt lui colle à la peau, détrempé, moulant ses superbes seins que l'on voit comme si elle était torse nu. On voit même son nombril se dessiner sous le tissu.

--Tu n'as pas trop chaud?

--Oui, mais que faire.

--Te mettre comme nous.

--Maman, tu plaisantes.

--Tu sais, tel que tu es en ce moment, c'est comme si tu n'avais rien sur toi.

Elle se regarde et constate que son tee-shirt blanc est devenu totalement transparent.

--Ok, j'enlève le haut.

Elle fait passer son tee-shirt par-dessus sa tête, nous dévoilant deux magnifiques seins, ronds, hauts, fermes et bien bronzés.

--Tu bronze seins nus?

--A poil dans un centre naturiste pas loin de Liège.

--Et tu hésites à te déshabiller devant nous.

--Justement, devant des inconnus, ça ne me dérange pas, mais devant ma mère, je dois dire que ça me gêne.

--C'est la première fois que tu me vois nue n'est-ce pas?

--Oui.

--Et depuis que tu es ado, je ne t'ai jamais vu nue?

--Non, depuis que mes poils ont commencé à pousser, j'y ai fait très attention, ni toi, ni papa, ni Gabriel, ni Virginie, mais elle, elle a sept ans de moins que moi.

--Tu es gênée de me voir nue ainsi que Margot que tu considérais comme ta tante.

--Sur le coup, ça m'a fait un choc, pour une surprise, c'était une surprise, mais maintenant, je retrouve un peu l'ambiance de mon centre.

--Il s'appelle comment ton centre?

--Soynature à Soy, à côté de Liège.

--Moi, je ne comprends pas comment tu peux supporter un jean avec cette chaleur écrasante.

--Je résiste.

Nous continuons à mettre en place le dîner, je regarde ma fille torse nu moulée dans un jean seconde peau. Elle est magnifique. Je remarque quand même que Claire n'est pas très à l'aise, je ne sais d'où ça vient, mais je ne la sens pas naturelle.

--Chérie, que ce passe-t-il, tu n'es pas comme d'habitude, je te sens tendue, nerveuse.

Elle se fige et devient rouge écarlate.

--Excuse-moi chérie, je ne veux pas te gêner, ne répond pas.

--Je vais te répondre maman, en fait, je ne suis pas gênée, je suis simplement sur des charbons ardents.

--Comment ça sur des charbons ardents?

--Maman, je dois te dire quelque chose que très peu de gens savent, je te l'ai caché jusqu'à ce soir, mais, vu les circonstances, je ne peux plus garder ça pour moi.

--Oui, d'accord, et c'est quoi ce terrible secret.

--Je n'aime que les femmes, je déteste les hommes, jamais un seul homme ne n'a touché, rien n'a jamais pénétré mon sanctuaire d'amour, je suis toujours vierge.

Je la regarde scotchée, celle-là, je ne l'ai pas vu venir. Il est vrai que je trouvais qu'elle n'avait pas beaucoup de copains et beaucoup de copines, mais je ne me doutais de rien. Mon cerveau tourne à dix-mille tours, je regarde cette magnifique fille que je découvre et qui, soudain, n'est plus la même.

Décidément, cette journée est la journée des révélations, après Margot, Claire.

--Tous les garçons que tu as pris pour mes petits copains n'étaient en fait que des amis et rien d'autre, ce sont les copines que j'amenais qui étaient mes amantes. Et je suis sur des charbons ardents parce que j'ai tout simplement envie de vous sauter dessus.

--Et bien moi aussi j'ai un secret à te révéler.

Claire me regarde, le regard interrogateur.

--Nous venons de faire l'amour toutes les deux pour la première fois de notre vie aujourd'hui, bien que nous nous connaissions depuis pratiquement cinquante ans.

--Ce n'est pas vrai, mais c'est carrément un inceste, vous vous considérez comme sœur.

--Et nous sauter dessus, sur ta mère et celle que tu appelais tata quand tu étais petite, ce n'est pas un inceste?

--Oui, mais je saurais assumer.

Claire se retourne vers Margot, elle tend sa main vers ses seins. Je vois la main de ma fille se poser sur le sein gauche de mon amie. Margot la laisse faire, en faisant bien voir qu'elle apprécie. Elle tend une main vers les seins de Claire et lui caresse le sein droit.

--C'est quand même autre chose des seins de vingt-six ans, tu devrais t'occuper du sein gauche.

Je regarde Claire qui me sourit, je les rejoins et viens poser timidement ma main sur son sein. Claire renverse sa tête en arrière elle pose une main sur mes fesses et les caresse. Je me penche sur elle pour venir gober son mamelon. Ma langue titille son téton dur comme du bois. Sa main se glisse entre mes fesses, descend pour arriver sur le périnée. Un doigt s'avance pour s'enfoncer dans ma vulve ruisselante. Il en ressort, remonte entre mes fesses et vient titiller ma rondelle.

Soudain Claire se redresse.

Elle se dégage doucement et fait glisser son jean à terre. Une énorme auréole orne son string. Elle lui fait suivre le même chemin que son jean et se retrouve nue devant nous. Je vois devant moi une magnifique femme, mince, lisse, bronzée, un corps de rêve. Je suis hypnotisée par son pubis lisse comme celui de Margot. Elle se retourne pour poser son pantalon et son string sur une chaise, je peux admirer ses fesses hautes et rondes, et ses jambes bien galbées.

--Je crois qu'on serait mieux sur les transats.

Margot prend Claire par la main et l'emmène vers les transats. Elle l'allonge sur le dos, lui écarte légèrement les jambes. Claire se laisse aller avec un plaisir évident.

--Tu nous laisse faire?

--Je suis toute à vous.

Margot se tourne vers moi.

--Tu préfère le haut où le bas?

--Le haut pour commencer, on verra plus tard pour le bas.

Margot se glisse entre les jambes de Claire, sa bouche se pose sur tous les centimètres carrés qu'elle rencontre entre ses chevilles et ses cuisses en passant d'une jambe à l'autre. Elle remonte en lui écartant progressivement les jambes. Claire ondule doucement du bassin, elle me regarde.

--Viens maman, j'ai envie que tu t'occupes de moi.

Je me penche sur ses seins et les embrasse. Ma bouche passe de l'un à l'autre, titillant ses tétons, les mordillant, les léchant, les suçant. Mais une main de Claire vient se poser sur ma tête et la faire remonter vers son visage. Ce que je redoutais le plus arrive, ma bouche termine sur la sienne. Sa langue force l'entrée pour rencontrer la mienne pour la première fois.

Elles se testent timidement, mais au bout de quelques secondes commencent une sarabande endiablée. Elles se plaisent. Je sens sous mes lèvres le corps de ma fille vibrer de plus en plus intensément. Je lève la tête, pour voir la bouche de Margot se poser sur son sexe. Elle ouvre ses jambes en grand.

--Oh oui, oui, continu, je viens, je vais jouir, maman, embrasse-moi.

Je repose mes lèvres sur les siennes pour un baiser passionné, jusqu'à ce qu'elle se raidisse en se cambrant, secouée par de violents spasmes. Je libère sa bouche.

--AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii

Tout le quartier doit être au courant, mais je n'en ai cure, je ne vois que ma fille resplendissante de bonheur qui jouit sans retenue. Claire se détend peu à peu, quand elle est de nouveau allongée sur le transat, Margot libère son sexe.

--J'adore ton élixir d'amour.

--J'adore ta bouche.

Margot se relève, prend une main de Claire et la fait se lever.

--Je crois qu'on sera mieux à l'intérieur, tu ne penses pas Lulu?

--Parfaitement.

Nous allons toutes les trois dans ma chambre, la seule avec un grand lit rond, un de mes caprices. Claire est semi comateuse, elle émerge à peine de son orgasme. Nous l'allongeons sur le lit, je lui glisse des oreillers sous les fesses pour faire monter son pubis. Je lui écarte les jambes, pose mes lèvres sur son clitoris érigé.

--Moi aussi j'ai envie de boire ton élixir d'amour.

--Ok, mais à condition que je boive le tien.

--Bien sûr ma chérie.

Du coup, j'enlève les coussins sous ses fesses pour qu'elle soit plate et m'allonge à côté d'elle.

--Ne bouge pas.

Ma main parcoure son corps, au bout de quelques minutes de caresse, son corps commence à bouger. Je me mets à genou à côté d'elle et embrasse ses seins. Ma bouche descend jusqu'à son pubis. Elle ondule de plus en plus. Quand j'arrive au niveau de son sexe, je pivote pour me mettre tête bêche avec ma fille, mes cuisses encadrant sa tête. Elle pose ses mains sur mes fesses et m'attire à elle.

Quand je sens ses lèvres sur ma vulve, je suis parcourue d'un violent frisson, je ne sais plus où je suis. Mais l'effluve qui émane de son sexe me ramène à la réalité, je pose mes lèvres sur son pubis lisse. J'embrasse sa peau douce et descend vers son sexe. Je tombe sur une fontaine d'amour, sa cyprine est un délice pour moi, je me délecte de cette source de vie pendant que deux lèvres m'aspirent et qu'une langue me titille le clitoris.

Mon cerveau commence à déconnecter, il n'agit qu'en fonction du ressenti de mon sexe, je sens que je ne vais pas tarder à jouir sous l'effet de la bouche de ma fille. Ma langue se déchaîne sur son clitoris, je veux que nous jouissions ensemble pour la première fois que nous nous donnons mutuellement du plaisir. Quand je sens son ventre se crisper, je me libère et arrose son visage de ma cyprine.

--AAAAAAAAAHHHHHHHHH, oui ma chérie, oui, oui, ouiiiiiiiii

Claire fait échos.

--OOOOOOOOOOHHHHHHHHHH je jouis grâce à toi, je jouis, je jouis, AAAAAAAHHHHHHH.

Nous ne sommes plus que deux corps durs tendus vers le plaisir. J'essaye de lui donner un maximum de plaisir, elle fait de même. Je glisse mes mains sous ses fesses pour la plaquer encore plus contre ma bouche. Petit à petit, je sens Claire se détendre doucement. Je ne peux quitter ce sexe que ma bouche emprisonne.

Ma langue le lèche avec tendresse, mes lèvres aspirent son clitoris et ses lèvres. Elle se laisse aller doucement, sa langue toujours active sur mon sexe. Notre rythme se calme, nous finissons par libérer le sexe tant convoité, je bascule sur le côté pour pivoter et me blottir contre elle. Elle me rabat sur elle, nos bouches se soudent dans un baiser passionné. Je reconnais l'odeur et le goût de ma cyprine, il doit en être de même pour elle. Une main parcoure mon dos et mes fesses, je regrette de ne pouvoir faire la même chose avec elle, elle est sur le dos. Quand nous revenons à la réalité, je me retourne et me lève. Je vois Margot avec son téléphone, je réalise soudain qu'elle a tout filmé.

--Tu nous as filmées?

--Oui, et c'était merveilleux à voir, je te donnerais le film, à moins que tu ne veuilles l'effacer.

--Pas question, et tu pourras en garder une copie si tu le désire.

--Bien sûr que je le désire.

Nous allons toutes prendre une douche, encore une fois, les mains ont joué aux explorateurs, les bouche ont bu aux sources de vire présentes et des cris de joie ont retenti dans la maison. Juste après manger, Claire a dû nous quitter, elle devait aller chercher une amie à Bruxelles. Margot a partagé ma chambre, nous avons fait plus ample connaissance.

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3 Commentaires
EuphrasiaEuphrasiail y a environ 4 ansAuteur
Merci

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Merci.

EuphrasiaEuphrasiail y a plus de 4 ansAuteur
Suite peu probable

Bonsoir a toutes et tous, suite aux peu d'enthousiasme de beaucoup, une suite ne sera plus publiée. Nous verrons dans un futur.

Merci

EuphrasiaEuphrasiail y a plus de 4 ansAuteur

Peu d'intéressement ou juste les congés?

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