Un Couple Pas Comme Les Autres 03

Phil

Fin juin, la chaleur s'est installée depuis une semaine en Belgique. Je suis rentrée vers treize heures du travail et je m'occupe de la maison nue, comme d'habitude quand il fait chaud. Al rentre à la maison, je vois à son air que quelque chose ne va pas.

--Tout va bien chéri?

--Non, j'ai très mal au dos, j'ai téléphoné à Phil, il nous attend dans une heure, prépare-toi comme on a dit, c'est peut-être pour aujourd'hui.

--Ok, je me prépare.

--D'autant que j'ai la vague impression que ton corps ne le laisse pas indifférent, loin de là.

--Tu as remarqué quelque chose?

--Oui, sa manière de te regarder, de te toucher, on sent une grande tendresse, il est plus hard avec moi.

--Oui, mais c'est par ce que je suis une femme, c'est plus fragile.

--Tu parles!!!

Je vais dans notre salle de bain pour prendre une douche et me faire un lavement, je veux être vraiment nickel. J'enfile un slip, le soutif spécial Phil, je n'en mets jamais, excepté quand je vais chez lui, et une robe.

Al s'est préparé dans l'autre salle de bain. Cinq minutes plus tard, nous sommes dans la voiture direction le cabinet de Phil, notre ostéo. Nous allons régulièrement chez Phil, je dois dire que ses mains sur mon corps ne me laissent pas indifférente, mais je fais tout pour le cacher. C'est un garçon très sympa d'une trentaine d'années, grand, athlétique et surtout très beau. Al et moi avons toujours voulu aller un peu plus loin avec lui, mais nous n'avons toujours pas osé.

--Tu crois que c'est pour aujourd'hui?

--J'espère, en tout cas, je ferais tout pour que ça arrive.

Al pose sa main sur ma cuisse gauche, elle remonte jusqu'à mon slip, mais je l'arrête.

--Je ne vais pas arriver chez Phil avec une énorme auréole entre les cuisses.

--Ça serait marrant.

--En tout cas, pas aujourd'hui.

--Ok.

A l'heure dite, nous sommes au cabinet. Il nous a pris en plus de ses clients, nous sommes de vieux clients, presque des amis. Phil sort de la salle de soins en blouse blanche, mais je ne vois pas de pantalon dépasser, il doit être en short dessous, il accompagne la dernière cliente jusqu'à la porte, la ferme et se retourne vers nous.

--A nous.

Nous le suivons dans la cabine de soins. Al se met en slip, je m'assois sur une chaise.

--Que t'arrive-t-il?

--Violentes douleurs au bas du dos.

--Ok, allonge-toi sur le côté gauche sur la table.

Al s'allonge, Phil commence à le manipuler, je vois Al faire une grimace de temps en temps, mais sans plus. Au bout d'une demi-heure de « torture » Phil le libère.

--Ça va mieux?

--Pour l'instant je ne peux rien dire, on verra dans une demi-heure.

--Lulu, tu as besoin de mes services?

--Oui, toujours la même chose, j'ai les jambes lourdes, et très mal aux muscles derrière et aux quadriceps.

--Tu veux un massage?

--Oui, surtout sur les jambes et le bas du dos.

--Ok, en tenue.

J'enlève ma robe et mes chaussures. Je suis en sous-vêtements. Al prend ma place sur la chaise, toujours en slip. Phil me fait allonger à plat ventre sur la table de soins, il commence par le bas du dos. Ses mains glissent sur ma peau, elles sont assez douces, je m'attendais à des mains plus rugueuses. Il appuie avec ses pouces le long de ma colonne vertébrale, or, je suis très sensible, c'est chez moi une zone assez érogène.

Mon corps commence à réagir.

Ses mains descendent sur mes jambes. Elles les massent lentement en remontant jusqu'à mes fesses pour s'arrêter juste au pli entre les fesses et les jambes. Je me laisse aller sans retenue, mon bas ventre bouge imperceptiblement, je sens une petite boule se former dans mon ventre et mon slip s'humidifier. Ses pouces touchent de temps en temps mon périnée, comme par mégarde, mais j'ai l'impression que Phil me teste. Au bout de dix minutes, il s'arrête.

--Tu peux te mettre sur le dos?

--Bien sûr.

Je me retourne, mon pubis n'étant plus plaqué contre le matelas, je sens une certaine fraîcheur au niveau de mon sexe. Je suis sûre que mon slip est orné d'une magnifique tâche. Phil pose ses mains sur mes genoux et les fait remonter.

J'écarte instinctivement mes cuisses de quelques degrés pour lui faciliter la tâche. Immanquablement, je découvre encore plus la tâche entre mes cuisses. Ses mains font trois ou quatre passages, je n'en peux plus, je sens mon sexe se liquéfier, mon slip doit dégouliner de cyprine et Phil qui ne réagit toujours pas. Je regarde Al, il me fait oui de la tête.

J'ouvre mes jambes en grand en le regardant droit dans les yeux. Il ne peut plus avoir de doute sur mes intentions, il me regarde, regarde Al qui lui fait oui de la tête.

--Depuis le temps que je fantasme sur ton corps, tu permets?

--Oui.

Ses mains agrippent mon slip et le font glisser le long de mes jambes. Je soulève les fesses pour faciliter le passage, il le porte à ses narines.

--MMMMMMMM j'aime.

Al se lève, vient vers moi, passe ses mains dans mon dos et dégrafe mon soutif. Il me l'enlève, récupère mon slip auprès de Phil et les pose sur la chaise. Il fait glisser son slip qui rejoint le mien, libérant sa bite raide comme un bout de bois. Il fait pivoter Phil, défait les boutons de sa blouse pour lui enlever. Phil est en slip devant lui.

Je vois une énorme bosse le tendre. Al le tire vers le bas, dégageant une superbe bite, par gigantesque, mais assez grosse et surtout longue avec un énorme gland. Il s'accroupi devant lui et va pour lui gober la bite.

Phil à un mouvement de recul, mais Al le prend par les fesses et l'attire à lui. Il se laisse faire, je vois cette magnifique bite disparaitre dans la bouche de mon Al chéri.

Après deux ou trois aller-retour, Al le libère. Je me suis assise sur le bord de la table de soins. J'ai devant moi deux hommes nus la bite raide, tout ça pour moi, je veux en profiter. Mon sexe ruisselle de cyprine. Je descends de la table, m'accroupie devant Phil pour lui gober la bite. J'adore pomper les belles bites, mais je ne veux surtout pas le faire jouir, je le veux dans mon sexe, je veux qu'il se vide en moi.

Je peux le faire car je sais que tout le monde est clean, nous en avons souvent discuté ensemble. Je me redresse, Phil me regarde, je le fais s'allonger sur la table. Je caresse son corps, les rôles sont inversés. Al lui gobe de nouveau la bite pour un aller-retour, juste pour l'entretenir bien raide.

--Elle est assez solide?

--Non, je n'ai pas confiance, on devrait mettre le matelas par terre.

--Ok.

Phil descend de la table, nous installons le matelas entre la porte et la table. Phil s'allonge sur le dos, la bite toujours aussi raide. Je m'assois à califourchon sur ses cuisses. Je pose mes mains sur son torse, soulève mes fesses et avance un peu pour me positionner au-dessus de sa bite.

--Al s'il te plait.

Al s'en saisit et la maintient bien droite. Je me laisse lentement descendre dessus, je sens son gland se frayer un passage entre mes lèvres pour venir buter contre mon utérus. Je monte et descend dessus, mais très vite je fatigue et m'arrête. Phil me saisit par les hanches, me dégage de sa bite pour m'assoir sur ses cuisses.

--Je pense qu'il va falloir changer de position.

Il se lève, m'aide à m'allonger sur le matelas et vient au-dessus de moi en se tenant bras tendus. J'écarte les cuisses pour recevoir son gland qui, de nouveau, trouve le chemin du paradis. Il me pistonne posément, lentement, avec ampleur. Sa bite sort à chaque aller-retour pour m'ouvrir de nouveau et s'enfoncer jusqu'au fond de mon vagin. Al me caresse les seins, il pince mes tétons, la pression monte, je sens que je ne vais pas tarder. Je pose mes mains sur les fesses de Phil.

--Viens, viens avec moi, je vais jouir, je veux te sentir te vider en moi, je veux sentir ton sperme m'inonder.

Phil regarde Al l'air inquiet. Al lui sourit.

--Ce que femme veut.

Je sens Phil se détendre, ses mouvements accélèrent, sa bite me défonce la chatte, je suis au bord de l'orgasme. Je résiste le plus possible, je l'attends, ce n'est que quand je sens Phil se raidir un peu que je me laisse aller. Un violent jet de sperme m'inonde la chatte. J'explose.

--Oui, oui, ton sperme, ton sperme, oui, oui, ouiiiiiiiiiii, AAAAAAAHHHHHHH.

Phil se déchaine, il se vide entièrement en moi, je suis arque boutée, je reçois sa bite comme une offrande, je me laisse aller à ce plaisir qui envahi mon corps tout entier. Quand il sent que je me détends, Phil se retire et se lève. Il m'aide à ma redresser, me prend dans ses bras et se dirige vers une porte de son cabinet.

--Tu peux m'ouvrir la porte Al.

--Bien sûr.

Al ouvre la porte, nous entrons dans une pièce équipée comme un studio avec petite cuisine américaine et un grand lit dans un coin recouvert que d'un drap.

--C'est ma salle de repos et ma salle à manger quand je reste à midi.

Il me dépose sur le lit délicatement.

--Je vais remettre la salle de soin en ordre, je n'ai pas fini le massage.

Il retourne dans la salle, Al se penche sur moi.

--Et bien, tu vois, on y est arrivé.

--Surtout qu'il ne demandait que ça, j'avais bien intuité.

--Oui mon chéri, mais maintenant, je vous veux tous les deux en même temps, toi devant et lui derrière.

--Comme tu veux ma chérie.

Al pose ses lèvres sur les miennes juste au moment où Phil revient de la salle de soin. Je vois que sa bite n'est plus complètement molle, elle ne pendouille pas entre ses jambes, mais fait un angle avec elles.

--Tout va bien les amoureux.

--Oui, mais dis-moi, tu ne recommencerais pas à bander par hasard? Je vois que ta bite reprend des couleurs.

--C'est qu'elle ne doit pas être encore rassasiée.

--Et bien on n'a qu'à la rassasier.

Je me lève et fais allonger Al sur le dos.

--Tu me donner de l'huile de massage?

--Pourquoi?

--Pour me badigeonner l'anus d'huile pour faire glisser, je veux que tu me sodomise pendant qu'Al me baise, d'accord?

--J'ai mieux, de la graisse anale, tu verras, c'est encore meilleur avec.

--Comment se fait-il que tu ais de la graisse anale?

--C'est pour mon usage personnel, sans être homosexuel, j'aime bien me faire défoncer le cul de temps en temps.

--Ok pour la graisse.

Phil va chercher la graisse, je me retourne pour qu'il me badigeonne l'anus. Sa main glisse entre mes fesses, un doigt me graisse la rondelle, il entre un peu, ressort, entre de nouveau, cela plusieurs fois, ajoute un doigt, et recommence jusqu'à ce que mon sphincter se soit détendu.

--Je crois que tu es prête maintenant.

Je suis d'autant prête que son petit manège m'a ouvert ma fontaine à cyprine. Je me couche sur Al, Phil se saisi de sa bite et l'oriente vers ma vulve. Je me laisse descendre dessus jusqu'à sentir son pubis contre le mien. Je sens Phil se coucher sur moi. Il se tient sur ses bras tendus, oriente sa bite entre mes fesses par de petits mouvements du bassin. Son gland se fraye un passage entre elles, il les écarte, arrive sur ma rondelle, force un peu et l'ouvre sans difficulté.

Mon sphincter le laisse entrer de bonne grâce pour se refermer sur sa verge. Sa tête chercheuse s'enfonce dans mon antre jusqu'à ce que son pubis touche mes fesses. Je sens ces deux bites en moi, l'une contre l'autre simplement séparées par une fine bande de chair. Phil commence ses aller-retour, Al ne bouge pas, c'est moi qui fais des mouvements avec mon bassin pour faire bouger sa bite et mieux m'offrir à celle de Phil.

--Vas-y Phil, défonce-moi, j'ai envie de sentir ta bite me défoncer le cul, je veux jouir du cul avec ta bite.

Je ne me reconnais pas, je ne suis plus moi-même, je suis dans un autre monde ou seul le plaisir a droit de cité. Phil se déchaîne, il me pistonne violemment, je sens de temps en temps son gland sortir de mon anus pour venir le l'exploser immédiatement après. Je me laisse aller, je ne veux pas résister, je veux sentir mon corps m'échapper pour arriver au nirvana.

Cela ne prend que deux petites minutes, mon corps est envahi de millier de feux d'artifice qui explose partout. Phil le sent et se vide en moi en même temps qu'Al qui me serre très fort dans ses bras. Quand nous sommes tous redescendus sur terre, Phil se dégage, je me laisse aller sur le côté libérant la bite d'Al devenue molle.

Quelques minutes plus tard, nous sommes sous la douche à nous caresser tout en nous lavant. Vers vingt heures, nous quittons Phil, bien décidés à remettre ça le plus vite possible.