Un Alibi Crapuleux

BÊTA PUBLIQUE

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Je restais sans bouger, le visage impassible à grincer des dents. Je vis Sandrine mettre en route une vidéo. Des "Hiiin!" et des "Ôoo!" en sortaient. Je ne pus résister et lui pris le portable des mains. Tout ce qu'il avait dit était exact, il était sur son lit, à baiser ma femme en levrette, comme une chienne. Elle avait l'air d'aimer ça... À chaque coup rein elle gémissait comme si elle était en extase. Mais le pire arriva au bout de deux minutes, deux minutes pendant lesquelles je sentis mes cheveux blanchir. J'entendis soudain ma fille dire : « Maman, tu en as assez profité, on échange? » Là-dessus, je vis ma femme se lever et prendre le téléphone, puis ma fille entrer dans le cadre et commencer à sucer la bite de l'enfoiré. Ma fille, nue. Puis elle monta sur le lit et écarta les jambes pour que le vieux pervers s'enfonce dans sa chatte. Il la besognait comme si c'était naturel, alors qu'il avait quarante ans de plus. Il lui pelotait les nichons, lui criait des insultes au visage, la traitait de pute... Ma fille criait aussi, de plaisir, et je pouvais deviner que mon épouse se masturbait en filmant la scène. Finalement, je vis une expression de pure jouissance sur le visage du vieux, il jouissait. Sa bite restait enfoncée dans le con de ma fille, déchargeant son jus en elle. Je n'arrivais pas à le croire. Comment pouvait-elle lui accepter une chose pareille? Ma femme posa alors le téléphone sur la chaise et alla les rejoindre au lit... je coupai la vidéo.

Je restai là, assis, anéanti. Sandrine n'osait rien dire. Je regardai le vieux en face de moi... Il souriait. Puis il déclara :

« Je vous avais dit que j'étais innocent, non? Heureusement d'ailleurs, sinon qui irait tringler vos femelles quand vous êtes au travail, il faut bien que je me dévoue... C'est que ça demande de l'énergie et... »

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase, je fis tomber sa chaise à terre et commençai à lui casser la gueule...

****

Deux jours plus tard

« Nous sommes désolés que vous ayez été blessé. Et nous vous remercions de ne pas porter plainte contre le commissariat. »

Sandrine était debout devant le bureau de feu Monsieur Morfort, actuellement occupée par Patrick Medville.

« Ce n'est rien, répondit Patrick, un simple coup de poing. Quand on baise la femme et la fille d'un type, c'est le genre de chose auquel on doit s'attendre. Et comment se porte ce brave officier, d'ailleurs?

— Justement... Je venais vous annoncer la nouvelle. Il a été arrêté pour le meurtre de Monsieur Morfort.

— Quoi!? C'était lui l'assassin!

— Oui, nous avons trouvé ses empreintes sur le revolver. Et nous sommes sûrs que l'arme a été mise sous scellé avant que quiconque, en dehors de l'assassin, ait pu y toucher.

— Mais... pourquoi? il ne connaissait pas mon patron, il n'avait aucune raison de le tuer.

— C'est vrai... Mais il avait sans doute appris que vous aviez une liaison avec sa femme. C'est en tout cas ce qu'elle pense. Et s'il vous tuait, les soupçons se seraient immédiatement portés sur lui quand on aurait découvert que vous couchiez avec sa femme. En tuant votre patron, qu'il savait que vous détestiez. Il était sûr que vous seriez condamné pour meurtre s'il utilisait l'arme qui vous appartenait ; vous envoyer en prison devait lui sembler être une vengeance suffisante. Quant à votre arme, il a dû vous la voler il y a deux semaines, c'est pour ça que vous avez remarqué sa disparition.

— C'est fou... j'aurais passé vingt ans en prison, et ce pauvre Monsieur Montfort qui est mort... tout ça pour une simple histoire d'adultère. Je crois que je lui enverrais des vidéos de moi en train d'enfiler sa femme et sa fille pendant qu'il sera en prison... histoire qu'il garde un bon souvenir de moi et du mauvais tour qu'il a voulu me jouer...

— Il n'a pas encore avoué. Mais il n'a lui aucun alibi, sa femme et sa fille étant avec vous cette nuit-là... comme vous le savez. Il prétend qu'il était seul chez lui. Ce que personne ne peut confirmer... En tout cas, sachez que nous vous présentons nos excuses pour les coups que vous avez reçus, et pour vous avoir faussement mis en accusation.

— Vous savez, si vous voulez vraiment que je pardonne, venez ce soir au night-club "Hysteria" et mettez quelque chose de plus sexy que votre costume... Quoi que... Je n'ai encore jamais baisé de fliquette en uniforme, emportez-le aussi...

— Pardon... Mais... Je ne...

— J'ai encaissé des putains de marrons! Dans votre commissariat, alors que vous étiez à côté. Avec vous viendrez ce soir, et on s'amusera! Vous voulez peut-être que j'informe la presse de cette histoire?

— Euh non... mais....

— Vous avez voulu me faire porter le chapeau... Vous avez voulu me baiser, alors c'est moi qui vais vous baiser! Alors si vous voulez vous excuser, ce sera à genoux, cette nuit. Et vous n'aurez mon pardon que quand j'aurai vidé ma queue pleine de foutre votre bouche... compris? »

— O-o-oui... »

Sandrine se retira du bureau, honteuse, presque en pleurant... Patrick, lui, resta assis. Son visage se contracta, puis il recula son fauteuil roulant. Sous le bureau il y avait la veuve Morfort, occupée à avaler une puissante giclée de sperme. Une fois que le foutre fut descendu dans son estomac, elle se releva. Elle était habillée tout en noir, portant le deuil de son époux. Elle aurait eu l'air on ne peut plus respectable, si ce n'est les quelques gouttes de spermes qui lui restaient sur ses lèvres. Elle n'y portait pas attention, car elle était en colère :

« Tu vas la baiser?! Et moi alors!

— Toi? Je te baise aussi, non? Pourquoi tu râles?

— Mais... Je suis pas ta pute! Tu crois que tu peux aller voir ailleurs comme ça? Tu te prends pour qui?

— Moi? Je suis un baiseur, et toi une baisée. Tu sais pourquoi? Parce que tu es une meurtrière, une tueuse. Pour l'instant la police ne te soupçonne pas, mais il ne faudrait pas grand-chose... Alors je te baise quand j'ai envie. Et quand j'ai envie de baiser une autre pouffe, tu la fermes.

—... Salaud.

— Oh, pas de leçon de morale de ta part. C'est toi qui es venue me voir pour trouver un moyen de tuer ton mari.

— Mais, je ne comprends pas... Comment tu as fait? Pourquoi il y avait les empreintes du flic sur l'arme?

— C'est simple, j'ai demandé à son épouse d'échanger son arme avec la mienne. Comme c'est le même modèle, il ne s'est rendu contre de rien en prenant le revolver il a laissé ses empreintes dessus. Et toi, tu as utilisé des gants pour flinguer ton époux, comme je te l'ai demandé, donc tu n'as pas laissé les tiennes.

— Et sa femme... Comment l'as-tu convaincue?

— En fait, je cherchais juste une femme de flic prête à tromper son mari. Ce n'est pas bien dur, ils ont des horaires de merde, ils ne gagnent pas grand-chose, et tout le monde leur crache à la gueule. Alors forcément j'ai cherché la meuf la mieux gaulée de la station, une femme bien foutue n'a aucune raison de rester avec un flic... Au départ, elles croient que vivre avec un poulet ça va être excitant, mais bien vite elles se rendent compte que c'est juste chiant. Il ne m'a pas fallu longtemps pour la convaincre qu'elle pouvait trouver mieux ailleurs, et encore moins pour la séduire. Il m'a ensuite fallu quinze jours pour lui faire comprendre que son mari lui gâchait la vie, et qu'elle devait le faire payer, par exemple en l'envoyant en prison. Quant à sa fille, ça, c'était une bonne surprise... ça m'est tombé tout cuit dessus. C'est une gauchiste pure et dure, et ce qu'elle déteste par-dessous tout, ce sont les flics, dont son père. Alors quand je lui ai dit que j'avais un plan pour qu'il fasse un séjour en taule, elle a presque joui sur place... La jeunesse d'aujourd'hui n'a plus aucun respect pour ses aînés...

— Et maintenant... Qu'est-ce qui va se passer?

— Maintenant, pétasse, tu vas mettre ton cul sur le bureau et plus vite que ça... Je sais pas si ton mari te pétait le fion, mais j'ai juré que je te ferais gueuler, et je compte bien tenir ma promesse...

Fin.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

J'aurais jamais cru vous trouvez là cher Victor !!

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 2 ans

J'adore quand la fin est immorale.

trouchardtrouchardil y a plus de 2 ans

Superbe récit. Tu as une imagination débordante. Merci.

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