Trop de Piment Brûle la Langue Ch. 02

Résumé de la première partie.

Alexis et Julie sont mariés depuis longtemps. A la suite d'un fantasme, Alexis se retrouve avec une cage de chasteté et attaché au lit conjugal, pendant que Julie, qui pensait coucher sous ses yeux avec un jeune homme trouvé sur internet se retrouve obligée de satisfaire cet homme et deux de ses copains. La scène étant filmée dans son intégralité en vu d'un futur chantage.

La semaine qui suivie me parue très longue. Etre enfermé dans ma cage de chasteté était devenu insoutenable. Les premières nuits, je fût réveillé plusieurs fois par des érections nocturnes douloureuses. Je ne l'avais jamais gardé aussi longtemps. Je remarquais aussi que mon comportement envers ma femme changeait énormément. Je lui avait déjà pardonné son comportement de samedi soir, je savais que tout était arrivé à cause de moi et de mes foutus fantasmes. En plus l'alcool n'avait pas arrangé les choses.

J'était au petit soin toute la semaine avec elle. Pourtant nous n'avons eu aucune relation sexuelle. En même temps, j'étais enfermé dans ma cage, mais elle ne m'a même pas demandé une seule fois de la satisfaire. Elle compatissait avec moi. Pourtant un soir, mercredi je crois, pensant sans doute que j'était endormi, je l'ai surpris en train de se toucher. Je n'ai pas osé dire quoi que ce soit. Je l'ai simplement laissé finir. Peut-être revivait elle cette fameuse soirée dans sa tête...

Vendredi soir, son portable sonna. C'était notre maître chanteur. Il voulait repasser à la maison avec ses potes samedi soir. Mais ma femme trouva une excuse, elle avait tant espéré que toute cette histoire n'était qu'un mauvais souvenir :

-Je suis sincèrement désolée Maître, nous ne voulons et ne pouvons pas vous recevoir, nous n'avons personne pour garder les enfants.

-Si nous ne pouvons pas venir, ça sera à toi de nous rejoindre à l'hôtel, et tu paiera la chambre, sinon je balance la vidéo sur internet, imagine si quelqu'un de ta famille tombait dessus...

-D'accord, je vous en supplie ne faites pas ça, je vais voir comment on peut s'arranger, je vous redis rapidement.

Aie. Si elle les rejoint a l'hôtel, ça sous-entend que je vais devoir rester une semaine de plus en cage. En plus, ma femme ne voulait pas se retrouver seule, livrée en pâture à ces trois individus. Alors on appela parents, frères et sœurs, prétextant une sortie en amoureux afin que quelqu'un puisse garder les gosses. Malheureusement tout le monde avait déjà quelque chose de prévu. Julie rappela donc à contrecœur notre maître pour lui dire que c'est elle qui viendrait, il lui donna quelques directives pour la soirée à venir, puis raccrocha.

Samedi soir, sur ses ordres, Julie c'était faite toute belle. Plutôt qu'un simple coup de rasoir, elle avait dû épiler son maillot intégralement. Tenue sexy, maquillage. Elle était magnifique. Puis elle s'en alla en voiture vers une chambre d'hôtel à 30 minutes de route. Les enfants couchés, 22h, je suis seul dans mon lit. Je regarde mon portable, toujours pas de nouvelles, même pas de SMS. Je commence à imaginer ce qui peut bien se passer là-bas. Je bande, et ça fait mal. Il faut que je pense à autre chose. Dix minutes de télé sur une chaine d'info suffisent à me ramollir. J'ai alors une idée, si j'essayais de m'échapper de cette cage. Je prends la vaseline que j'utilisais autrefois pour baiser ma femme, et j'enduit entre mon sexe et la cage. Puis je descends la cage et tire mon sexe vers le haut. La cage est très étroite, j'aurais du en acheter une plus large. Mais à force de persévérance, il sort, seul les couilles restent coincées entre l'anneau et la cage. Merde, au fait, comment vais je la remettre à sa place une fois que j'aurais pris mon pied. Tampi, je m'occuperai du problème plus tard. Place à la branlette. Vingt secondes de bonheur, en pensant à ma femme biensur. Seulement, je viens de me rendre compte que pendant que j'éjaculais, mes petites couilles ont du se ramollir car la cage est tombée sur le matelas. Me voilà complètement libre. Catastrophe, comment maître va t'il le prendre. Il risque de s'énerver...

Soudain mon téléphone sonne.

-Allo, chéri, je t'appelle pour te tenir informé. Je suis seule avec notre maître. Il m'éduque. J'ai déjà récolté sa semence deux fois. Il fait une petite pause pendant que je lui masse les pieds.

Récolté sa semence deux fois, éduquer. Ça veux rien dire ça. J'aurais aimé plus de détails. Mais je n'ai pas le temps pour ça. Je doit lui parler de mon petit problème.

-J'ai eu un soucis avec la cage, elle est tombée et je...

-Tombée? Comment ça? Dit une voix grave

Merde. Elle était en haut-parleurs. Il a tout entendu. Vite réfléchi, dit quelque chose.

-La cage devait être trop grande et elle est tombée pendant que je prenais ma douche, à cause du gel douche je pense.

-Tu ose mentir à ton maître en plus. Je vais m'occuper de ton cas. Lundi tu n'ira pas travailler, prétexte ce que tu veux à ton patron, je m'en balance. Tiens toi prêt à 9h, je viendrais te chercher. Et n'oublie pas ta carte de crédit.

Il raccrocha me laissant seul dans ma chambre, perdu dans mes pensées. Je commence à m'endormir vers 1h du matin après m'être astiqué le manche une seconde fois, foutu pour foutu.

Ma femme me réveille à 2h. Elle ne ressemble plus à la femme ravissante qu'elle était en partant de la maison. Son maquillage a coulé, ses cheveux sont tout ébouriffés, plein de sperme. Son haut est en parti déchiré. Après s'être déshabillée, je constate également qu'elle a les fesses bien rouges, et justement elle les approche de moi.

-Maître a dit que tu devais nettoyer mes orifices quand je rentrais, c'est ta punition. Je dois filmer et lui envoyer la vidéo avant 2h15. Dépêches toi.

Je m'exécute difficilement, c'est tout de suite moins existant et même carrément dégoûtant quand on a déjà pris son pied avant. Deux fois qui plus est. Une fois le travail fini, je m'endors en imaginant ce qui pourrait bien m'arriver lundi.

Lundi 9h. Quelle ponctualité. Je vais monter dans la voiture de mon maitre quand celui-ci me cède la place de conducteur et monte à l'arrière.

-Roule soumis, je te dirais où aller.

-oui maître.

Premier arrêt devant un salon de tatouage. Je transpire. Nous entrons.

-Bonjour, mon soumis ici présent souhaiterais un prince Albert. Si vous vendez des petit cadenas en piercing, vous pouvez directement lui en poser un. Et me donner la clé s'il vous plaît.

-Biensur monsieur, nous vendons de vrais cadenas en acier chirurgicale. Inviolable, diamètre 3mm ça devrait convenir.

La vue de l'aiguille me fit transpirer. Un deux et trois. Aie. Putain ça fait mal. Maintenant il enfonce le cadenas, je ressens une douleur encore plus vive, il nettoie le sang, et le referme. Maitre prend les clefs qu'on lui tend et me demande de payer. Puis une idée lui vient en regardant ma petite nouille épilée au bout de laquelle pendouille un cadenas.

-Attends soumis, avant de partir je veux un tatouage « COCU » juste au dessus de ton vermisseau.

-Mais maitre, un tatouage c'est définitif et je pense que...

-Qui te demande de penser. N'oublie pas qui je suis. Et installe toi sur le siège.

C'était mon premier tatouage, je ressent chaque lettre comme d'atroces brûlures, je veux plusieurs fois arrêter cet engrenage de plus en plus tordu, mais je pensais à ce qui ce passerais si la fameuse vidéo tournai sur internet, et si quelqu'un qu'on connaît tombait dessus. Un collègue de boulot mal attentionné par exemple. Et il y en a pas qu'un. Il pourrait à son tour nous faire subir un chantage abjecte, et abuser de ma femme. C'est pourquoi je prends sur moi, et je sert les dents.

Retour en voiture, tatoué et percé. Second arrêt. Il s'agit cette fois d'un sexshop. Maître demande un model de cage de chasteté inviolable compatible avec un cadenas en guise de prince Albert. Il choisit un modèle XS et me demande de le suivre dans la cabine.

J'enfile la cage devant lui, il la referme, et referme le cadenas qui relis la cage à ma chaire. Me voilà totalement bloqué. Je réalise que ma vie sexuelle est maintenant entre les mains de l'amant de ma femme.

Le samedi suivant, nous avions heureusement pour moi réussi à faire garder les enfants. Notre maître est venu avec son copain italien baiser ma femme toute la nuit. J'ai dû regarder toute la scène pendant des heures assis par terre pendant que Julie criait sa jouissance à mes oreilles. Il m'a ensuite enlevé la cage, quelle délivrance. J'ai enfin pu me masturber, devant eux deux après avoir nettoyé leurs cochonneries dégoulinantes de tout ses trous avec ma langue, le tout sous couvert de leurs commentaires désobligeants.

Avant les prochaines séances de baise hebdomadaire, ils ont donné ordre à ma femme de prendre des rendez-vous rapidement pour transformer son corps. Elle devra donc se laisser pousser les cheveux pour qu'ils arrivent au bas du dos, relever et augmenter la taille de ses seins avec des prothèses mammaires, se faire percer les tétons et le clitoris, et aussi prendre des séances de laser pour la rendre totalement imberbe au niveau du maillot et de l'inter-fessier. Biensur ça sera à moi de payer la note. Elle devra aussi porter en permanence un plug anal et des boules de ghesha. Il l'appellera en visio à n'importe quel moment pour vérifier.

La semaine suivante, je m'occupais de ma femme en lui prodiguant de merveilleux cunnilingus environ tout les deux jours, par contre pour samedi nous n'avions encore personne pour garder les gosses. Mes couilles étaient déjà énormes, je ne tiendrai pas une semaine de plus. Je demande donc honteusement à ma femme de me traire... par derrière. Au début réticente, elle accepta finalement à condition d'utiliser un gant en latex. Quand je me déshabille, elle constate les changements sur mon sexe. Il est vraiment ridicule, tout petit, enfermé dans une cage à barreaux, terminée par un cadenas qui la relie directement à mon gland percé et le tout surplombé d'un « cocu » en grosses lettres noires. Elle ne peut se retenir de rigoler. Je me mets à quatre pattes, elle enfile ses gants avant de m'enfiler moi. Au bout de vingt bonnes minutes, après avoir longtemps chercher ma prostate, une coulée de sperme sorti de mon gland enfermé derrière ses barreaux. A voir son large sourire, elle avait l'air satisfaite d'elle-même d'avoir réussi ce genre de prouesse.Le soir même, je commandais sur internet un gode ceinture, qui servirait je l'espère autant pour moi que pour elle. Ma nouvelle vie venait de commencer.