The Last Waltz Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Elle est là depuis 4 heures et je me sens complètement vidés et anéanti. Elle sait, comme moi, que dans moins d'une demie heure j'aurais récupéré et que ce n'était qu'un très dur moment à passer, aussi Elle ne me laisse aucun répit. Une fois détaché et écroulé au sol, Elle me cingle avec la canne pour me faire monter sur le lit en quatrième vitesse. Les coups pleuvent de façon aléatoire et je me dépêche. Elle s'assied sur mon visage après avoir relevé sa robe, Elle est sans culotte, les cuisses luisantes de sa mouille et de sa sueur. Mais pas que, Elle m'apprend qu'Elle est heureuse de m'offrir la fin de Sa menstrue. Je La lèche avidement, écœuré par le goût, mais sans y penser. Je sens Son plaisir monter, sa jouissance éclater. Je la lèche plus doucement, Elle se redresse, me colle son cul sur la bouche, je la lèche autant que je peux, je m'étouffe, je panique. Elle relève à peine son poids et je navigue à court d'oxygène, me forçant à ne pas la repousser. Je sens tout Son poids qui m'écrase comme le vermiceau que je suis. Ses ongles griffent mon sexe, mon pubis déjà blessé. Je hurle dans son cul, ce qui la fait mouiller, je le sens. Elle continue de plus belle, écrasant mes couilles, j'ai la tête qui part totalement, je suis certain de m'être évanoui plusieurs fois, sans que cela ne La fasse bouger du tout.

Je suis en pleurs et en sang quand enfin Elle se relève. La badine encore et toujours, je ne réagis plus, mon corps s'offre. Elle me dit qu'Elle va aller voir son cadeau. Mais que je dois être préparé pour cela. Evidemment. La première chose que je vois et qui me terrifie c'est un bâillon qu'Elle a apporté. C'est une sorte de tuyau rigide maintenu par deux lanières et qui s'enfonce dans la bouche. La dimension du tuyau, c'est ce qui m'angoisse. Même la bouche grande ouverte, il ne rentre pas, Elle doit un peu jouer et faire levier pour qu'il pénètre dans ma cavité buccale complètement dilatée. La douleur est instantanée. Le bâillon est serré très fort derrière ma tête, je gémis sans aucun effet bien entendu.

Je suis étendu sur le lit en position fœtal, mon cul est à Sa disposition. Elle prend un gant, l'enduit de silicone et me pénètre avec une brutalité inouïe, me traitant de tous les noms, que je suis juste une salope, une chienne bonne à se faire enculer. Elle me promet que Ses chiens abuseront de moi tous les jours et qu'Elle trouvera un âne pour me défoncer. Sa main bien graissée est rentrée sans préliminaire, sans précaution, mon cul est ouvert d'un coup. Bien entendu je suis entraîné mais c'est toujours ultra douloureux la première fois. Mais cela ne lui suffit pas, le poignet est bien rentré, je la sens en moi tourner, et presser, jusqu'à ce que je sente quelque chose céder dans mon ventre. Elle trouve un chemin et halluciné je sens sont bras s'enfoncer jusqu'au coude, toujours sous ses mots humiliants.

Ses mouvements d'avant en arrière sont d'abord à peine perceptibles, mais s'intensifient rapidement. J'ai l'impression d'être vidé puis rerempli à grande vitesse. La sensation dans mon sexe est insupportable, tout comme la souffrance dans le ventre et le cul. Evidemment Déesse apprécie, et veut que je souffre le plus possible. La main sort puis s'enfonce ravageant tout, me faisant hurler dans mon bâillon bien trop gros. Son poing se ferme pour m'élargir encore, Elle essaie une deuxième main, l'enfonce jusqu'au poignet me déchirant. Je sanglote, je n'en peux plus, je n'en veux plus. Mais je ne fais pas un geste pour m'enfuir. La seconde main s'en va et la première main reprend son travail de sape. Déesse a une énergie folle, jamais je n'ai vécu une telle folie sur moi.

Quand enfin Elle ne revient pas dans mon cul, je suis vidé de l'intérieur. Je m'endors sans m'en rendre compte, mais cela ne fait que déclencher un nouveau déluge de coups, avec interdiction de dormir. Déesse sort un plug métallique de Sa valise. J'apprends qu'il fait 10 centimètres de diamètre au maximum, et 8 centimètres à a sa base. Mais surtout qu'il pèse 3 kgs. Elle m'assure que mon anus sera définitivement détruit en quelques heures. Je n'arrive pas à réagir. Je sens le monstre pousser mes chairs et ses 25 centimètres de long m'envahir avant que le resserrement ne le maintienne en place. La sensation est dingue. Très excitante. Je suis bêtement fier de l'avoir avalé. Il est incroyable et Déesse m'apprends qu'Elle n'a jamais vu personne l'avaler. Mais aussi qu'Elle n'a jamais vu un tel déchet que moi.

Je dois la suivre dans la salle de sport. Marcher debout serait impossible, mais même à 4 pattes je sens le monstre en moi et peser sur mon cul. La pression devient déjà folle. Elle me fait monter sur le tapis, les bras sont ligotés à un crochet au-dessus de la machine et je dois me tenir debout malgré la douleur dans tous mes organes. Un parachute vient prendre sa place sur mes couilles. Déesse hésite longuement puis s'arrête sur des poids de 10 Kgs à faire pendre. Je ne pourrais jamais supporter, 6 kg c'est mon maximum. Mais je n'ose réagir de peur qu'Elle n'en rajoute encore plus. Les haltères s'additionnent, je hurle dans mon bâillon, la douleur est stridente dans mon ventre. Je n'arrive pas à respirer. J'aimerais la supplier mais je suis trop terrorisé et bien trop mal.

Pour finir, Elle noue une fine cordelette à mon prépuce, très serrées, bloquant le sang. L'autre extrémité est attachée à la machine tendant bien mon sexe à l'horizontal. Il ne ressemble à rien avec tout ce qu'il a subi. Je suis sidéré quand Elle met le tapis en marche. Ce n'est pas possible. Chaque mouvement est pour moi une torture. Et chaque ralentissement de ma part c'est mon prépuce qui prend. Les poids s'entrechoquent, le plug rentre en rythme en moi. Je suis terrifié de tomber. Elle règle la machine sur 3 kilomètres par heure, vérifie que tout va bien. Avant de s'en aller, elle m'installe un bandeau en latex, gonflant. Avec la poire il vient mettre une pression très forte sur mes yeux compressés, je suis dans le noir complet. Et dans une souffrance indicible. C'est tellement plus confortable de n'avoir rien à faire, là il faut que je marche et ne perde pas mon équilibre malgré le bandeau. Si je pouvais j'arrêterais tout. 72 heures c'est vraiment très long. Et ce n'est pas cela qu'il me faut, je me suis trompé!

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3 Commentaires
smdream327smdream327il y a environ 1 an

Du lourd, très lourd. A couper le souffle.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

On comprend que son souhait est de mourir sous les supplices que va lui faire subir la Domina pour aller rejoindre sa femme et Maîtresse et ses enfants.

Pas sûr que cela se passe comme il l'aimerait...

OlivX

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très très impressionnant.

Bravo.

Rudy

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