The Last Waltz Ch. 01

Informations sur Récit
Je prends contact avec une Maîtresse de l'extrême.
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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/10/2022
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« Bonjour Madame,

Je ne sais si vous utilisez encore cet email, je me permets de vous écrire pour prendre de vos nouvelles après quelques années de distance.

J'espère que vous vous épanouissez dans votre vie familiale et que tout va bien après les nombreuses épreuves que vous avez traversées.

Très respectueusement »

Il m'avait fallu quelques semaines pour me décider. Mais il n'y avait pas d'autres issues. La souffrance en moi ne s'apaisait pas vraiment, mais devenait une compagne à laquelle je n'avais aucun moyen d'échapper. J'avais perdu il y a 6 mois ma femme. Non seulement ma famille, mais aussi ma raison d'être. Depuis 6 ans j'étais l'esclave de celle à qui je m'étais donné. Et je me trouvais tellement abandonné. Et jour après jour, nuit après nuit, le visage de Céline s'était imposé à moi. La seule véritable rencontre ratée de ma vie.

Car même si j'étais épanoui et heureux dans ma vie aux pieds de ma femme, ce n'était pas précisément ce que je ressentais en moi. Ces désirs toujours intacts depuis mon adolescence, que rien n'avait fait disparaître. Au contraire, les épreuves récentes ne faisaient que les attiser.

- Je vais très bien lola, et toi-même?

Elle m'a répondu après deux jours et par whatsapp, ayant donc gardé mon numéro ainsi que le souvenir du surnom qu'elle m'avait donné.

- Bien Madame, je suis heureux que tout se passe bien ainsi pour Vous. Très respectueusement.

- Tu m'écris juste pour me dire cela?

- Je ne veux pas Vous importuner, Vous m'avez si souvent reproché à juste raison ne penser qu'à moi tout le temps.

- Et pourquoi penses tu donc à moi?

- Une sorte de bilan de vie, me disant que Vous êtes sans doute l'occasion ratée de ma vie.

- Je ne sais pas si je dois être flattée!

- Je ne suis qu'un esclave, à vrai dire, mes flatteries n'ont pas beaucoup de poids.

- Je te croyais marié, avec des enfants et tout épanoui dans un esclavage intense.

- Oui, c'était avant un accident qui m'a tout pris. Et laissé tout seul.

- Ah! Et du coup tu penses à moi.

- Oh non, j'ai toujours pensé à Vous. Même si l'esclavage que je vivais était intense, il n'a jamais répondu à mes besoins les plus profonds. Mais surtout je suis certain que cela ne Vous intéresse plus. Mais peut être Vous connaitriez une personne pour cela?

- Tu m'as intéressé mais tu t'es toujours défilé.

- Oui Madame, peut être fallait il une certaine maturité.

- Et tu veux cette personne pour quoi faire?

- J'aimerais commencer par une séance de 3 jours de tortures et humiliations vraiment extrêmes, sans aucune limite ni tabou, et sans aucun contrôle de ma part. Une séance que je ne puisse arrêter et pendant laquelle toutes les folies, envies, désirs, fantasmes de la Femme soit possible. Bien entendu rémunérée, je comprends bien qu'aucune Femme ne voudrait faire cela sinon. Mais il faudrait qu'elle y prenne du plaisir.

- Tu es prêt à payer combien pour ces trois jours lola?

- Je pensais peut être 5 000 euros?

- Et après ces trois jours?

- Peut être passer à des durées plus longues, genre une semaine, un mois, une année, évidemment avec rémunération à la clé.

- Pour une année tu aurais les moyens?

- Oui j'ai de l'argent, et il ne sert à rien. Je pourrais payer peut être 200 000 euros.

- Tu vas attirer des folles et des escrocs tu sais?

- Oui je le sais, c'est aussi pour cela que je voudrais y aller progressivement, mais aussi que je vous contactée.

- Pourquoi?

- Parce que je sais avoir toute confiance en Vous Madame.

- Et vraiment sans limite?

- Oui c'est cela qui est possible aujourd'hui.

- Je pourrais te raser la tête, te tatouer esclave sur le front, te sceller un anneau dans le nez, t'exploser le cul avec des godes démentiels? Te faire bouffer ma merde? Te battre au sang? Poster des vidéos de toi à visage découvert?

- Oui Madame

- Oui vraiment?

- Oui Madame

- Et si tu changes d'avis en cours de route?

- Il faudra ne pas en tenir compte, en aucune façon

- Et si elle décide de te laisser pourrir trois jours dans un placard?

- Je pourrirai trois jours ans un placard, mais sans doute je ne renouvèlerais pas!

- Je te connais, je sais comme tu es extrême, cela demande beaucoup d'énergie.

- Oui Madame, c'est aussi pour cela que je suis prêt à payer très cher.

- Et comment envisages-tu une année, de disparaître une année?

- Je n'ai personne, donc ce n'est qu'une question de gestion administrative facile à mettre en place.

- Et après une année?

- J'espère n'être en rien capable de gérer mon destin et que la personne qui me possède décide pour moi.

- En te privant de tout?

- Je n'ai rien dont j'ai besoin.

- Quelles sont les autres conditions que tu mets?

- Une personne très expérimentée en SM, pouvant être accompagnée par qui elle veut, comme elle veut, où elle veut?

- Cela pourrait être chez toi?

- Oui Madame.

- Tu as toujours su me surprendre. Je t'ai laissé filé plus d'une fois. Là je pense que ce ne sera pas le cas. Je suis intéressée, surtout par le côté financier. T'exploiter et piquer ton fric me fait frissonner de plaisir. Te détruire aussi. Tu hantes mes nuits depuis tant d'années. J'ai même écris des textes pour lister tout ce que j'avais envie de te faire subir!

- Oh vraiment? Vous pourriez ...

- Oui. Il faut juste que je gère, j'ai une petite fille de 5 ans en garde alternée mais c'est facile à gérer. Et aller faire cela chez toi, au moins pour commencer, est assez plaisant. Prendre possession de ton intimité.

- Oh oui, j'en tremble de fébrilité.

- De crainte aussi j'espère. J'ai tellement grandit depuis la dernière fois où nous nous sommes vus, tu ne me manipuleras plus comme tu essayais de le faire. Et je te ferais regretter chaque seconde ta démarche.

- Merci infiniment. Que souhaitez Vous Madame?

- Que tu sois tout à moi à partir de maintenant. Cela te paraît possible?

- C'est ce dont j'ai besoin Madame.

- Bien je dois réfléchir, je t'envoie un mail avec mes instructions. Si tu te défiles je ne te laisserai pas partir mais tu le regretteras amèrement.

- Bien Madame, mais non il n'en est pas question.

Je suis dans un état de nervosité paroxystique. Bien entendu j'espérais un peu cette issue mais je la savais improbable. Ce que j'aimais chez Elle c'est ce mélange d'intérêt financier et de désir sadique extrême, ayant longtemps été dominée et contrainte à contre cœur. Elle en connait un rayon! Je sais que Céline est lente aussi je me prépare à une longue attente. Cela dit, je n'ai rien d'autre à faire. Je me suis délesté de tout, vendant mes biens immobiliers, liquidant mes portefeuilles boursiers ou investissement, fermant mon entreprise. Cette sensation de libération de ne plus rien posséder, sinon ma résidence principale. Même dedans j'ai tellement vidé. Aussi pour nettoyer l'empreinte, le souvenir. C'est tellement douloureux, l'indicible de Jankélévitch. J'ai fait repeindre, changer les meubles, rendu cela plus spartiate.

Je me suis trompé, je reçois un mail très court le lendemain de notre échange. Je tremble mais en même temps je suis serein. Je me délecte de ce que je vais découvrir. Ma nouvelle vie. Enfin fuir cette souffrance continue, cette vie dans le passé. Et vivre ce que j'ai toujours désiré et dont j'ai besoin. Enfin je le crois.

Le mail est très court, m'indiquant que la première chose à faire est de faire parvenir les 5 000 euros pour les trois jours en bitcoin sur son adresse. Venant d'Elle, je frémis du ton et de la façon d'aborder les choses. Je sais très bien qu'Elle est fiable, et ne veut rien faire tant que je ne suis pas engagé. J'ai une grosse somme sur ma clé sécurisée, il ne me faut que quelques minutes pour les lui transférer. J'avais prévu que cela pourrait être un moyen de paiement pratique.

A peine la confirmation du transfert reçue, je reçois un second mail, bien plus long celui-ci. Je me mets nu et à genoux pour le lire.

« Esclave Lola,

Tu vas être mon esclave pendant 3 jours comme tu le souhaites. Je vais faire de toi ce que je veux, sans limite, ni tabou m'as-tu bien précisé. J'attendais ton virement pour être certain de ta motivation cette fois. Tu m'as si souvent déçue si tu savais. Tu vas le savoir d'ailleurs car tu n'as pas idée de ce que j'ai envie de te faire subir. Tant d'images et d'envies sont remontées en moi depuis ton mail de contact.

Les règles du jeu vont être un peu différentes de ce que tu as pu imaginer. Je vais venir chez toi trois jours, abuser de toi de toutes les façons qui te plairont et que tu regretteras, j'en suis certaine. En tous cas je ferais en sorte de te faire regretter ta démarche. A l'issue de ces trois jours soit nous en resterons là, soit alors tu t'engages pour une année entière reconductible (par moi seule évidemment!). Si cela ne te convient pas, il est temps de le dire, et nous en restons là. Ces 3 jours c'est juste pour que tu touches du doigt la merde que tu es et la Déesse que je suis. Je ne veux plus que tu ne m'appelles que par Déesse.

Je viens Lundi matin pour ces trois jours. Tu m'indiqueras ton adresse, les codes d'accès et ta porte sera ouverte à partir de 10h du matin, toi m'attendant dans ta chambre, nu, à genoux, les yeux baissés. Les 3 jours commenceront quand je passe cette porte. Je pourrais les interrompre si quelque chose me contrarie, toi évidemment pas. Tu sors tous tes accessoires que je vois ce que tu as. Tu te souviens, avec mon blog de testeuse, j'ai des trucs inimaginables comme torture, et des godes de taille démente. Je ne les ai jamais utilisés, c'est la bonne occasion!

Pendant ces cinq jours d'ici lundi, je veux :

- Que ton appartement soit impeccablement propre, rangé et vidé de tout ce qui est personnel. Pas dans les placards, je veux que tu jettes tout ce qui est inutile, du passé, pour que ce soit un lieu sans aucune histoire. Si cela te fait mal pour de nombreuses choses, pense que j'en jouirai sadiquement de le savoir. Je te veux totalement dépouillé. Et aussi investi dans ce que tu fais.

- Tu ne sors plus à réception de ce mail. Tes rideaux et volets sont fermés, aucune lumière n'est allumée jamais, la télévision non plus. Seul ton smartphone t'est permis.

- Tu es en permanence nu, quelles que soient les circonstances!!!

- Tu ne bois de l'eau du robinet que chaude. Tu n'as le droit de manger qu'une boite par jour de ce que tu veux. Une seule. Et rien d'autre.

- Tu te fais un lavement de trois litres tous les jours, et lundi matin, tu en fais trois de trois litres avant mon arrivée.

- Tu peux te branler autant que tu veux, cela m'amuse car je sais qu'alors tu paniques après de ce que tu as décidé de faire. Ton envie retombe, mais tu es dans mes griffes. Et je vais te détruire avec ou sans ton consentement, c'est ce que tu m'as payée pour faire.

- Quand j'arrive, je veux trouver un cadeau qui soit à la hauteur de ce que je représente pour toi. Tu me connais assez pour trouver, sache que si le cadeau me déçoit, je repartirai sans hésiter, convaincue que tu continues à me mener en bateau.

Voilà tu as un peu à t'occuper. Tu peux m'écrire autant que tu veux, je ne te répondrai pas sois en certain. J'ai autre chose à faire. Mais cela me fera rire de te lire, voire de te voir si tu m'envoies des photos.

A Lundi esclave »

J'ai l'habitude de recevoir des ordres et des listes de commandes, aussi je suis plutôt rassuré, et excité. Mais évidemment un pincement au cœur, voire une vraie souffrance en pensant à ma famille. Mais si je vais dans cette direction c'est bien pour me perdre, et à terme les rejoindre!

Je me demande juste comment faire le vide, en restant nu. Seule solution, aller à la benne à ordure en pleine nuit. Il me faudra aussi commander mes repas, et trouver ce cadeau pour ma Déesse. Je cogite dans tous les sens. Bien entendu je vais chercher quelque chose d'exceptionnel, mais je serais vraiment surpris que Déesse fasse demi tour, c'est quand même une proposition intéressante que je lui fais. Il me faut un cadeau que je puisse commander. Le recevoir nu, ne sera pas trop compliqué, il y a un rideau dans l'entrée. Un bijou? Un vêtement? Evidemment rien qui ne me ferait plaisir à moi. Je ne sais pas ses mensurations ce qui complique un peu la tâche : une paire de Louboutin aurait été très bien. Il y a l'option plusieurs cadeaux que j'aurais naturellement prise, mais je sens que c'est une mauvaise idée, comme si je n'avais pas d'idée.

Et puis je suis d'un coup convaincu d'avoir trouvé. Une idée complètement dingue. Et toute aussi dingue à mettre en œuvre. Je saute sur mon téléphone, il va me falloir de la persuasion. Je suis stressé tellement tout doit être millimétré.

Les journées passent lentement. Comme Déesse l'avait imaginé, je passe mon temps à me caresser mais aussi me torturer, lui écrire des messages enflammés. Je me sens enfin libéré pour lui exprimer toute la passion qu'Elle m'a toujours inspiré. Les messages n'ont jamais de réponse, ce qui ne fait que m'enflammer encore plus dans cette humiliation abyssale. Comme Déesse l'a suggéré, je lui envoie également des photos de moi, de mes tortures. Mon plus gros gode ne quitte plus mes fesses, mais je suis certain que cela ne lui suffira pas. Je fouille la maison et tout ce qui peut être transgressif se retrouve au fond de moi. Toujours sans réponse à mes vidéos ou photos. Je n'ose aller plus loin aussi dans l'avilissement, mes mots sont d'adoration, de désir, d'offrande. Je lui envoie même mes codes pour contrôler les caméras de la maison, Elle peut me voir quand Elle veut, mais je constate qu'Elle ne le fait pas, cela l'ennuie sans doute.

Je dors mal, stressé par la rencontre, mais aussi mon cadeau. A 10h tout est en place, je suis à genoux sur le parquet de ma chambre à l'étage, la porte en bas est ouverte, je ne crains rien l'accès à ma maison est protégé. Je ne sais si son train est du matin ou si Elle veut me faire attendre toute une journée. Je suis juste tourné vers Elle, sans plus de pensée de ce qui m'attend.

La porte d'entrée de la maison est poussée. J'entends ses talons sur le parquet. Un temps d'arrêt sans doute pour regarder le petit paquet qui l'attend pour son cadeau. Les pas reprennent, Elle va aux toilettes, je l'entends ouvrir les placards, faire le tour du rez de chaussée, avant d'emprunter l'escalier. Je tremble à genoux, la tête baissée, les mains sur les cuisses. Elle passe juste une tête dans ma chambre, et reprend son exploration de la maison. Une chambre, une autre encore, la salle de bain, la buanderie. Puis revient vers moi. Je tremble comme une feuille mais Elle se comporte comme si je n'étais pas là. Elle monte sur la mezzanine, puis le dressing et la salle de sport, la salle de bain parentale. Elle a prit son temps et a tout vu.

- Eh bien Lola? Quelle surprise cette grande et belle maison pour toi toute seule! Elle est magnifique.

- Merci Déesse

Sans que j'ai le temps de réaliser je me prends une gifle magistrale sur la figure, suivi d'un coup de pied d'une violence inouïe dans mes couilles, qui me laisse agonisant à Ses pieds.

- Quel esclave de pacotille tu es! Interdiction de parler sans que je ne te pose une question, et interdiction de lever le regard sur moi! Tu crois que je ne t'ai pas vu?

C'est vrai que je n'ai pas résisté à la regarder. Plus de 6 ans que je ne l'ai pas vue, Elle est toujours aussi magnifique, brune cheveux mi-longs, les yeux noirs, une paire de seins incroyable et une allure si fine. C'est la pire des tortures que de ne pas me remplir d'Elle. Mais Elle me rassure j'aurais tout le temps cette nuit.

Elle est montée avec la boîte, intriguée.

- Tu es confiant que cela va me plaire?

- Oui Déesse

- J'attendais plutôt une jolie paire de chaussures. Mais bon voyons cela.

Je ne peux la regarder, mais je la sens s'arrêter de respirer. Me regarder sans doute incrédule

- Tu es complètement dingue! Pourquoi un cadeau pareil?

- Je sais comme je Vous ai souvent déçue Déesse, il me fallait trouver quelque chose qui Vous montre à quel point je suis sérieux! Et Vous montrer que je souhaite m'investir totalement dans cette relation, au-delà de ces trois jours Déesse.

- Je ne suis pas certaine que je dirai que c'est sérieux d'offrir une Tesla neuve à une Maîtresse qui vient te dresser. Peut-être même que trois jours si cela se trouve. Du coup tu m'as désobéie et tu es sortie Lola?

- Oh non Déesse, jamais je n'aurais fait cela. J'ai eu beaucoup de mal c'est vrai, mais pour les riches excentriques tout est possible. Même de signer le contrat nu chez moi avec le concessionnaire, qu'il gare la Tesla Y dans mon garage qui dispose d'une recharge électrique, et qu'il attende votre carte d'identité pour l'immatriculer à Votre nom. Cette voiture est déjà pleinement à Vous Déesse.

- Eh ben. Tu as passé l'obstacle, voyons la suite. J'ai besoin de défouler un peu l'adrénaline que je viens de me prendre dans la figure.

Evidemment je suis le défouloir. Déesse commence par me gifler méthodiquement, à toute force, je perds vite toute notion, je prends sur moi, je m'offre, ne cherchant pas à fuir les gifles. Je La vois qui apprécie, qui ressent ce don et me gifle d'autant plus fort et longtemps. J'ai les joues en feu, les sens en ébullition. Les coups pleuvent maintenant sur mon ventre offert, coups de poings, coup de pieds, je perds l'équilibre, le souffle, je ne suis plus qu'en mode survie. Déesse est coach sportive, Elle tient la cadence très longtemps ainsi avant de passer aux choses sérieuses. Je dois me relever sur mes cuisses, offrir mes couilles et mon sexe à ses coups de pieds diablement précis.

Là aussi je me conditionne, je m'offre, j'essaie de ne pas bouger, de ne pas hurler à chaque coup, de me déconnecter de la souffrance. Ce qui ne fait qu'accentuer la force des coups et la vitesse de répétition. Je suis déjà en loque, brisé de partout, mais nous savons tous les deux que ce n'est qu'un échauffement. Je ressens tout de même sa satisfaction, ce qui me comble. Elle me voit bander, prend une fine baguette et cingle mon membre une dizaine de fois à toute volée. Chaque marque se met à saigner immédiatement, mon hurlement est bloqué dans la gorge, le dernier coup sur le prépuce me fait presque perdre le contrôle. Je dois tenir mon sexe devenu flasque et l'offrir à une nouvelle salve de coups, qui marquent aussi bien mes mains que mon sexe. Je hurle en continu, soulagé que la maison soit bien isolée du bruit, et des voisins absents.

La canne est alors utilisée sur mes cuisses, striées de toutes parts, y compris à l'intérieur là où je suis plus fragile. Mon pubis tatoué au nom de mon ancienne Maîtresse est véritablement massacré, il es vite gonflé, sanguinolant, méconnaissable. Mais Déesse n'en a pas fini même si elle reprend un peu son souffle. Elle met de la musique sur le Sonos de la chambre et reprend de plus belle sur mon ventre si fragile. Elle ne tape pas moins fort, loin de là, jouissant de pouvoir se lâcher comme jamais Elle n'a pu le faire, sans ralentir ses coups ou les adoucir pour que le supplicié puisse supporter. Là je dois supporter. Et oui, je commence à regretter. Car cela fait déjà deux heures que je me dis que cela va bientôt s'arrêter, et ce n'est pas le cas. Je pleure, je supplie, ce qui ne fait qu'attiser sa rage et ses moqueries. Toute mon énergie est tournée pour m'offrir plus, ce qui la ravit et la convainc qu'elle peut aller bien plus loin! Cercle vicieux.

Une pause rafraichissement pour Elle, je suis assoiffé, mais Elle m'annonce que je ne boirai rien aujourd'hui. Si je suis gentil, demain j'aurais droit à Son urine, mais aujourd'hui, je vais m'affaiblir ainsi. Je suis déjà faible du manque de nourriture, et là de la souffrance de tout mon corps.

Me voici debout maintenant, les bras le long du corps. Avant d'attaquer le gros morceau, Elle me cingle les bras. C'est nouveau pour moi. Les coups sont nettement plus forts, comment est-ce possible? Comment peut elle avoir autant d'énergie? Et comment je fais pour continuer à m'offrir ainsi sans jamais même imaginer bouger ou me rebeller. Je suis à ma place, Déesse à la sienne. Les coups pleuvent sur l'arrière des cuisses, les mollets, avant d'attaquer les fesses. C'est violent mais nettement plus supportable! J'en jouis presque. Déesse décide alors de changer, passe à la badine et son sifflement terrifiant. Si sur le dos c'est terrible à supporter, je sens des rigoles de sang couler, sur les fesses je supporte plutôt bien son déchaînement. Elle passe alors au bâton, qu'Elle assène avec une puissance incroyable. Cette fois ci je suis cassé, brisé. La souffrance est profonde, elle dure longtemps, je sens mes chairs malmenées. Elle termine à la cravache sur les fesses et le reste du corps. Quelle rage!

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