Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 02-03

BÊTA PUBLIQUE

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- Oh putain, ma belle-doche, tu m'fais bander comme ça. Super tes pompes. Complètement anachroniques avec la serviette et avec l'heure. T'as pas de culotte en dessous de ta serviette? Je ne t'y ai pas autorisée.

- Non Théo, mais s'il te plaît, ne fais pas ça à ton père, il va être choqué. Tu l'aimes ton père, n'est-ce pas?

- Justement, j'veux qu'il se rende compte que t'es qu'une pute qui a pris la place de ma mère, une pute qui veut prendre son pognon. Et puis ta gueule, fais ce que l'on te dit sinon gare aux bites des clodos!

Il buvait son café lorsque nous entendîmes les pas de son père dans l'escalier. Il faut penser que, lui comme moi, attendions sa venue, lui avec plaisir, moi avec angoisse. Comme je lui tournai le dos, je ne vis pas Théo se lever, s'approcher de moi et en un geste retirer la serviette de bain puis se sauver aux toilettes en l'emportant. Dans la cuisine, je me retrouvai seule, complètement nue, en escarpins noirs de 12cm, prise au dépourvu, incapable de réagir.

Philippe faillit avoir un malaise, s'arrêta net devant le tableau, gueula :

- Mais qu'est-ce que tu fous encore à poil! Mardi, tu te présentes dans une tenue dégradante et ce jeudi matin, tu es nue! Avec des souliers! Mais tu es malade, ma pauvre.

Théo choisit ce moment précis pour arriver derrière son père. Mes seins relativement lourds et ma chatte chaudement garnie de poils noirs se présentaient à lui.

- Quelle pute, dit le garçon!

Son pantalon était déformé, je le vis en baissant la tête. Je ne sus rien dire d'autre que « pardon » et je me sauvai en larmes dans ma chambre.

Je n'osai plus descendre affronter le regard de Philippe. J'étais en rage contre son fils mais il était impossible d'expliquer la situation au père. Jamais il ne m'aurait crue. Je ne sais pas ce qu'ils se dirent ce matin-là. C'est seulement lorsque j'entendis la voiture partir que j'osai revenir en cuisine. Je ne déjeunai pas. Pas faim. Je pensais au repas du soir, qu'allait-il encore se passer?

Le second choc de la journée m'éclata au visage devant le miroir de la salle de bain où une feuille était scotchée.

COMPLETEMENT A POIL TOUTE LA MATINEE

SEULS VETEMENTS OBLIGATOIRES : ESCARPINS

PORTE GRANDE OUVERTE SI QUELQU'UN SONNE

RIDEAUX SUR RUE ET JARDIN OUVERTS

VITRES A FAIRE COTE RUE

PENSE A CE SOIR - PENSE A DEMAIN 18H - PENSE AUX CLODOS

L'écrit était dactylographié. Impossible de le conserver comme preuve de la perversité de Théo. Il avait prit soin d'ajouter les risques en cas de refus d'obtempérer. Je devais passer cette maudite matinée complètement nue.

Je commençai par ma toilette matinale en soignant mon maquillage comme s'il constituait une protection. Je me chaussai des 12cm. Je rangeai tous mes vêtements dans la chambre pour ne pas être tentée de m'en couvrir. Enfin, au rez-de-chaussée, j'ouvris tous les volets et tous les rideaux. J'évitai d'allumer, même si le séjour était encore dans l'obscurité.

Je n'avais pas de temps à perdre, je devais laver toutes les vitres, intérieur et extérieur. Je commençai par les fenêtres sur rue, opposées aux baies vitrées qui donnaient sur le jardin ; je les ouvris en grand pour laver les deux côtés. Bien qu'il fût encore tôt, quelques passants du quartier survinrent sur le trottoir à cinq mètres devant moi. Cinq fois de suite, je réussis à me cacher. Mais pas la sixième!

Mon voisin avait pris le chemin inverse des autres : il rentrait chez lui au lieu d'en partir! Comme je surveillai plus particulièrement les arrivées à ma droite, je le vis trop tard à ma gauche et en plus, j'étais montée sur un petit tabouret pour laver le haut des vitres. Il eut tout loisir de mater mes gros seins et ma touffe noire. On ne côtoyait pas ce voisin, trop vulgaire pour les prétentions de mon mari. C'est à peine si on lui disait bonjour, l'ignorant de notre superbe bourgeoisie.

Du bout de l'allée, il cria :

- Eh, ma voisine... on peut aussi voir ton cul?

Il avait déjà utilisé le tutoiement alors qu'habituellement on se vouvoyait. Je descendis immédiatement de mon perchoir pour me cacher contre le mur mais il poursuivit ses demandes à voix bien trop haute dans la rue calme :

- Eh... je répète... voisine... fais voir ton cul... tout de suite!

De peur qu'il n'attirât trop l'attention, je me décidai à obéir. Remontant sur mon tabouret, je lui présentai mon arrière-train. Je ne le vis donc pas traverser le parterre en vitesse. C'est sa main entre mes fesses qui me fit sursauter et pousser un cri.

- T'as un sacré cul ma voisine... putain... doit pas se faire chier ton mec... t'encule souvent?

Il se mit à pétrir mes fesses sans ménagement, il les écarta, il enfonça brusquement un doigt dans mon anus, probablement son majeur. Il se mit à l'activer ce qui fut douloureux car l'endroit n'y était pas préparé. Son autre main vint par devant tripoter ma touffe et un doigt pénétra mon vagin. Deux mains s'activèrent de concert. Je le priai de cesser, de rentrer et fermer la porte, mais il s'en moquait bien. Il poursuivit un moment et brusquement se retira.

- Je n'ai pas trop de temps maintenant, mais tu ne perds rien pour attendre. Vais bientôt te défoncer le trou du cul. A bientôt grosse pute.

Je ne pus d'acquiescer, pauvre de moi. Je terminai la matinée dans la tenue requise mais cachée au mieux des passants de la rue.

JOUR 11 -- LUNDI - Le jardinier

A 13h30 on sonna à la porte. Je n'attendais personne et c'est, déjà inquiète, que j'allai ouvrir. Devant moi apparut le grand Ralf, le timide que j'avais dû servir honteusement vêtue de mon tablier rose. Il souriait bêtement découvrant son appareil dentaire.

- 'jour... viens voir Théo...il est là?

- Non, il est parti au sport, au foot.

- Pas grave, dit-il, je dois récupérer des cours. Je vais les chercher dans sa chambre.

Il n'attendit pas mon accord pour entrer, traversa le séjour pour atteindre l'escalier qui conduisait aux chambres. Je n'osai pas le suivre, inutile de provoquer sa libido. Je n'avais pas oublié les privilèges exorbitants accordés à Ralf par mon maudit beau-fils Théo, privilèges ainsi énoncés : « Désormais ton nom est LaBoniche. Si quelqu'un t'appelle LaBoniche, tu lui obéis immédiatement »

Une demi-heure plus tard, alors qu'il était toujours à l'étage, que mon angoisse ne cessait de croître, on sonna une nouvelle fois. Le jardinier, monsieur MERCIER, arrivait à 14h comme chaque lundi.

- Bonjour Madame Françoise, vous allez bien? J'ai une grosse demi-journée de boulot parce que dois faire la terrasse, la désherber.

- Oui, je sais, mon mari m'a prévenue. Allez vous assoir, je prépare le café.

L'usage voulait que nous prenions toujours un café avant qu'il ne commençât son travail, il s'asseyait à la table de salle à manger. La présence de Ralf m'intriguait, m'inquiétait. MERCIER s'aperçut de mon trouble, je tremblais un peu quand je ramenai le café :

- Ca ne va pas Madame Françoise? Vous avez des soucis?

J'avais grande envie de lui parler de l'horrible chantage que je subissais, lui demander de l'aide, crier au secours. Mais je devais m'abstenir au risque de bien pire de la part de mes tourmenteurs.

- Non, non, tout va bien, merci... je suis...

- LABONICHE!!!

L'injonction hurlée arriva brutalement depuis le haut des escaliers. Je poussai un cri de surprise, restai clouée à ma chaise, mon regard planté dans celui du jardinier.

- LABONICHE, AUX PIEDS!

L'ordre réitéré me sortit de ma léthargie.

- Excusez-moi, monsieur MERCIER, je... je dois... Allez donc commencer le jardin, s'il vous plaît. Tout de suite.

Il n'osa ni s'opposer ni interroger. Je n'attendis pas qu'il quitte la pièce pour monter voir Ralf de crainte que le garçon renouvelle son injonction éhontée.

- Que... que veux-tu Ralf ... Tu ne dois pas quand quelqu'un est là, tu ne dois pas me parler comme ça!

- D'où t'as vu ça, LaBoniche? Obéir qu'il a dit Théo! Tu sais ce que ça veut dire? Tu veux que je lui en parle, que je lui demande?

- Non, non, s'il te plaît, ne lui en parle pas... c'est d'accord, tu as raison... je vais t'obéir. Excuse-moi.

- Ouais, c'est bon pour cette fois. A partir de maintenant, je suis « maître Ralf». Tout le temps, partout. Et vouvoiement de rigueur. Compris?

- Oui... oui Maître Ralf, répondis-je difficilement.

- Descendons, ordonna-t-il.

A mon grand soulagement, il dédaigna la salle à manger pour aller dans le bureau contigu. Il prit la place présidentielle au grand secrétaire en merisier assorti de nombreux tiroirs. Il ordonna que je lui serve un café mais comme je lui avais répondu d'un simple « oui », il me reprit méchamment pour exiger un « oui maître Ralf».

Je revins avec la cafetière et, alors que je remplissais sa tasse, il profita de ma position à son côté pour dénouer la ceinture de mon pantalon. Ce matin-là, je portai un pantalon de toile beige, léger, fermé par une ample et jolie boucle en cordelette jaune que mon petit pull ne couvrait pas. Il lui suffit de tirer dessus pour qu'elle se dénouât. Par chance, le pantalon resta sur mes hanches bien que sa fermeture-éclair se fût à moitié ouverte toute seule. Ensuite, comme l'avait fait mon beau-fils Théo, avec son majeur pointé, il me fit signe de rester devant lui à deux mètres, au garde-à-vous, pendant qu'il sirotait son café.

Nous entendîmes frapper à la porte-double du séjour. Nos regards se croisèrent.

- Va voir, ordonna-t-il mais ne touche pas à ton froc!

Dans le séjour, je trouvai MERCIER entré avec ses chaussures crottées et enherbées. Je vis son regard descendre jusqu'à la ceinture de mon pantalon dont l'ouverture laissait voir le haut de ma culotte rouge. Je lui donnai rapidement l'insecticide dont il avait besoin, sans tenter de resserrer la ceinture. Il fit un signe de menton vers la porte du bureau :

- Merci pour le produit, dit-il, mais... Madame Françoise, qui est ce garçon?

Je me tournai et vis Ralf adossé au chambranle de la porte, bras croisés, souriant.

- C'est-à-dire... c'est un copain de Théo... Ralf ... Un nouveau copain.

Je ne pus le désigner comme « maître », impossible de sortir ce mot au jardinier. Il repartit à son travail, circonspect.

Immédiatement, Le petit maître se fit autoritaire :

- AUX PIEDS LABONICHE... T'as oublié de m'appeler « maître », il me semble bien.

- Oh pardon Ralf ... je veux dire maître Ralf ... excusez-moi... je ne le ferai plus.

- Comme c'est la seconde fois que tu te fous de ma gueule, tu es punie. Enlève ton pull et ton froc tout de suite. Après tu me sers un autre café au bureau.

Je restai immobile, subjuguée pendant quelques instants. Mais quand je vis son regard tellement malveillant, je n'osai pas m'opposer. J'ôtai mes vêtements. Heureusement les rideaux étaient tirés. Je ne sais pas si MERCIER pouvait me voir car il nettoyait la terrasse.

C'est en sous-vêtements rouges que j'apportai le café à Ralf dans le bureau. J'étais quelque peu soulagée de le voir là plutôt que dans le séjour.

- T'as des gros nichons la-Boniche. Un peu petit ton sous-tif non? Et ta touffe! Bordel quelle touffe! Elle dépasse de ta culotte.

Je restai à trois pas en arrière dans la position de garde-à-vous devenue réglementaire. Mon cœur battait de plus en plus vite car je savais que le jardinier allait rentrer à nouveau.

- S'il vous plaît maître Ralf, s'il vous plaît, laissez-moi me vêtir. Monsieur Mercier va revenir. Je ne peux pas rester comme ça. En plus, il pourrait en causer à mon mari, vous comprenez. Ce n'est pas envisageable.

- Rien à secouer. Démerde-toi pour les explications.

Les choses tournaient à grande vitesse dans ma tête. Quelles explications donner au jardinier qui bien évidemment ne me connaissait que sous l'angle BCBG.

Quand il frappa à nouveau à la porte, Ralf prit une mine des plus réjouies :

- Va lui montrer ton gros cul La-Boniche, va donc. Putain que c'est bon.

Quand j'ouvris, MERCIER resta cloué sur place, bouche et yeux grand ouverts. Il faut savoir que mon soutien-gorge était effectivement un peu trop petit et donc il gonflait la poitrine outre naturel, par ailleurs ma culotte assortie était aussi un peu trop petite pour ma crinière de poils noirs.

- Excusez-moi, monsieur MERCIER mais j'ai quelques problèmes de peau, une allergie désagréable. Je dois limiter... je dois porter le moins de vêtements possible. Vous comprenez. Tenez, asseyez-vous, je vous apporte votre bière.

Encore une coutume d'amabilité bien gênante. Il était d'usage que monsieur MERCIER bût café, bière et même apéritif. Il prit place à la table du séjour et eut tout loisir d'admirer mes fesses quand je partis chercher la boisson et d'admirer ma poitrine quand je revins la lui apporter. Je prenais place en face de lui.

- S'il vous plaît, monsieur MERCIER, n'en parlez pas à mon mari. C'est-à-dire... je n'ai rien dit parce que mes problèmes d'allergie, c'est peu séduisant, vous....

- LA-BONICHE viens ici!

Encore une fois l'infâme Ralf m'appelait de cette vulgaire façon. Je ne donnai aucune explication et filai au bureau, presque en courant, trop inquiète qu'il recommence.

- Bien LA-BONICHE, très bien, tu deviens plus réactive. Tu sais comment tu dois te tenir quand tu sers quelqu'un, tu le sais n'est-ce-pas? Dis-moi.

- Je... je dois rester debout devant... maître Ralf.

- Alors retournes-y en courant et garde ta position de service.

J'allai implorer mais il me fit signe de partir. Chemin faisant j'entendis mes talons claquer rapidement et bruyamment sur le carrelage. Et je me vis postée debout devant MERCIER toujours plus étonné. Il attendit un long instant avant de parler :

- Je ne comprends pas madame Françoise, c'est qui ce garçon qui vous appelle LaBoniche?

- C'est-à-dire... c'est un jeu... oui c'est ça, un jeu... eh un jeu de rôle. C'est maître Ralf. Je dois le nommer comme ça. Vous savez les jeunes aujourd'hui, ils inventent de ces trucs!

- Je sais, répondit-il mais quand même! Votre tenue... devant ce gamin! Pourquoi vous restez debout? La chaise vous donne aussi des allergies? Bizarre tout ça. Je ne comprends rien.

Il devenait quelque peu agressif, non qu'il prît du pouvoir sexuel mais du pouvoir moral. Tout en maugréant, il repartit terminer son travail.

Ralf me rappela aussitôt à ses pieds, à ce point que physiquement, je dus les lui lécher. Cet acte qui n'est pas naturel l'est encore moins devant un gamin de 18 ans, la honte s'en trouve décuplée. Puis je dus le sucer alors qu'il était affalé dans le grand fauteuil du bureau de mon mari. Il résista un bon moment puis me bloqua la tête et éjacula. Impossible de retirer ma bouche, j'avalai tout. Enfin, il se laissa lécher, queue et bourses. Pour finir cette horrible séance, il se releva, posa ses coudes sur le bureau, ordonna que je lui nettoie le trou du cul avec ma langue! Ce fut absolument infect, dégoutant. Je faillis vomir.

C'est le jardinier qui mit fin à mon calvaire après avoir terminé son travail. Il était 11h30, l'heure du traditionnel apéritif. J'eus l'autorisation d'aller le servir.

C'est donc toujours avec mes sous-vêtements rouges trop petits et mes souliers noirs trop hauts que je servis un whisky. J'attendis devant lui dans l'humiliant garde-à-vous.

- J'ai bien réfléchi madame Françoise, ce jeune homme vous embête n'est-ce-pas?

- Mais pas du tout monsieur MERCIER, répondis-je affolée car il ne fallait pas qu'il en parle à quiconque, pas du tout. C'est un jeu, je vous l'ai dit. Je...

- LABONICHE! Aux pieds!

Il fixa ma mine déconfite et j'allai aux pieds du maître presque en courant.

- Bonne pute, dit Ralf. Tu m'fais bander encore. Approche.

Inquiète, je vins devant lui qui était encore assis dans le grand fauteuil, je dus lui tourner le dos. Il en profita pour tirer ma culotte vers le bas jusqu'à la descendre sous mes fesses. Il se leva et en passant ses mains sous mes bras, il baissa les balconnets du soutien-gorge de sorte à laisser les seins au dessus. J'ai pensé qu'il voulait encore me prendre, là dans le bureau, juste à côté du jardinier.

- Maître... maître Ralf, s'il vous plaît. Pas maintenant. Tout à l'heure. Monsieur MERCIER m'attend pour être payé.

- Ouais, ouais, répondit-il. Tu peux aller le payer... tout de suite!

- Mais, je ne peux pas! Pas comme ça! Pitié, maître Ralf! Pas ça!

Un claque retentissante me poussa vers le séjour.

Cette fois, MERCIER se leva de sa chaise tellement surpris. Comme je courrai jusqu'à la table, mes seins plus libres balancèrent outrageusement. Je vins me poster devant l'homme.

- Merde alors, s'exclama-t-il! Madame Françoise vous êtes... vous êtes magnifique. Dites-moi, c'est quoi l'histoire avec le gamin? Et arrêtez de me prendre pour un con avec vos soi-disant jeux de rôle. Je veux la vérité sinon je dis tout à votre mari.

- Je suis obligée, monsieur MERCIER, dis-je en pleurs. Je suis obligée. C'est... c'est maître Ralf qui ordonne. Je dois obéir. C'est lui le maître et Théo aussi. Je dois obéir à Théo sinon il dit à son père que je ne suis qu'une putain. Je n'ai pas le choix. Pardon.

- Ca alors, s'exclama MERCIER! Depuis le temps que vous me la jouez BCBG avec vos allures de grande dame alors que vous obéissez à deux gamins de 18 ans tout juste. Ben merde, je ne m'attendais pas à ça. Il faut que je réfléchisse... incroyable... Je crois bien que vous n'êtes qu'une salope qui aime se foutre à poil! Ben merde!

J'avais espéré un instant qu'il me vienne en aide, prenne pitié de mes maux mais rien de tout ça.

Il partit aussitôt et ce jour-là, je repris une seconde dose du sperme de Ralf remis en forme grâce à ma honte devant le jardinier.

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2 Commentaires
charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a environ 1 an

Perso, j'aurai fait raser sa touffe par le jardinier

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
Très bien !

Bonjour !

Belle histoire bien écrite. La pauvre Françoise n'a – t – elle pas gagné le droit de porter un collier ? Et perdre celui de dormir dans la chambre conjugale ?

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