Self Domination Ch. 05

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Une nouvelle vie commence.
3k mots
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1
Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/19/2023
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Tout l'appartement est dans un état impossible. Telle la Reine qu'elle est Louise n'a rien fait pendant mon absence et c'est avec une énorme joie que je m'attèle à tout ranger, nettoyer, laver, lorsque la sonnette de Maîtresse retentit. Je me précipite et me jette à genoux aux pieds du lit dans lequel elle est encore allongée, comme elle est belle! Elle me fait un signe de ne pas faire de bruit et met son téléphone sur hautparleur.

- Bonjour

- Bonjour vous êtes Louise?

- Oui

- J'appelle de la part de Charlotte

- Elle m'a prévenue en effet

- Je m'appelle Françoise Duteil, peut-être cela vous dit quelque chose?

- Vraiment! (Louise ouvre de grands yeux en me regardant) J'ignorais qu'il s'agissait de vous!

- Je dois être très discrète étant particulièrement exposée, vous comprenez? Déjà que j'ai des pratiques lesbiennes feraient jaser et blesserait sans doute mon mari et mes filles, mais qu'en plus je sois une sadique de la pire espèce, je ne pourrais plus sortir de chez moi!

- Je comprends!

- Charlotte m'a dit que je pouvais vous faire confiance.

- Confiance comment?

- Que vous n'alliez pas divulguer cela, ni demander de l'argent.

- Bien sûr que non (Louise est choquée), vous vivez dans un drôle d'univers.

- Si vous saviez! Un univers ou personne ne laisserait une enveloppe avec 20 000 euros qu'on lui donne!

- C'est une somme en effet (Louise rit), mais ni ma chienne ni moi n'avons d'intérêt pour l'argent, sinon comme facilitateur de vie.

- Oui j'ai trouvé cela remarquable. Elle 'n'est pas trop marquée? Je ne suis jamais allée si loin avec une jeune fille.

- Oh elle est très marquée, oui, trop non, ce n'est jamais trop pour elle!

- Un peu quand même j'ai réussi à lui faire dire le safeword! (Françoise semble fière)

- C'est vrai (Louise ne veut pas la détromper)

- Vous savez ce que j'ai vécu avec votre salope hier, dépasse de loin tout ce que je n'ai jamais pu imaginer vivre. Je suis allée plus loin que j'en rêvais et découvert qu'il y avait encore beaucoup de nouvelles choses qui me tentaient. Au lieu de me rassasier votre catin m'a donné envie de plus, elle est faite pour cela, je n'ai jamais vu une personne s'offrir aux coups comme elle.

- C'est vrai, elle est unique, et je crois que vous l'avez traitée comme elle le mérite.

- Que faites vous demain et les jours suivants?

- Euh... j'ai des entretiens, je cherche du travail

- Ah oui? Quel travail cherchez-vous?

- Je viens de finir science po et je cherche un job dans la communication politique et publique, j'adore cela.

- Intéressant en effet. Connaissez-vous l'agence BTC?

- Oui bien entendu, c'est la meilleure sur le marché

- Je ne sais pas s'ils sont si bons, c'est l'agence qui me représente. Vous avez un entretien avec eux?

- Non, inutile ils ne recrutent que des grandes écoles de commerce, c'est mort pour moi.

- Vous voyez qu'ils ne sont pas si intelligents que cela, comme si seules les grandes écoles produisaient des gens talentueux! Ne quittez pas un instant, je vous reprends dans deux minutes.

La conversation est muette, Louise me fait grimper sur le lit. Elle m'explique que ma tortionnaire est une des femmes les plus riches au monde, ce qui explique le délire d'hier. C'est bête mais je me sens flattée qu'elle ait apprécié de me torturer et me punir. Ces fortunes me donne le vertige, à Louise aussi, même si l'argent nous indiffère pas mal, il en faut pour vivre notre amour! Elle me prend sur ses seins, que je tête, au fait de mon bonheur.

- Vous êtes là?

- Oui Madame

- François s'il vous plaît, et si cela ne vous dérange pas nous pourrions nous tutoyer, j'aimerais qu'il n'y ai pas de distance entre nous.

- Avec plaisir Françoise

- Bien alors cet après-midi tu as rendez vous avec John Denver, c'est le président de l'agence. Il n'a pas beaucoup de temps, mais va te voir. Il cherche justement une personne comme toi, jeune, dynamique, avec de la poigne. Je suis certaine que tu vas le convaincre. C'est à leur agence de Neuilly, près du pont. Quinze heures précises.

- Je... Vraiment? Merci beaucoup.

- Oh je n'ai rien fait c'est toi qui vas le convaincre

- Je vais faire en sorte, oui.

- Du coup, tu vas pouvoir annuler tes rendez-vous de la semaine, j'aimerais beaucoup que vous m'accompagniez toutes les deux, je pars trois jours dans mon île aux Seychelles, vous pourriez rester une semaine. Je suis certaine que ta salope a besoin d'un peu de repos.

- Oui c'est vrai, elle est dans un drôle d'état.

- Malheureusement pas de jeux hard, je serais avec mes filles, des amis passeront, il faudra rester sage. Juste dans votre pavillon vous pourrez faire ce que vous voulez.

- Notre pavillon?

- Oui tu verras c'est une très jolie île avec des pavillons disséminés, tu es au calme et tranquille. J'envoie une voiture vous cherchez demain à 10h. Nous décollons du Bourget. Vous avez vos passeports?

- Euh... oui pas de souci.

- Il fait très chaud, prenez des tenues légères, et sexy pour me faire plaisir, d'accord? Nous aurons ainsi l'occasion de mieux nous connaître. Charlotte m'a beaucoup parlé de vous deux, et j'avoue que je suis très curieuse.

- Bien Françoise.

- Demain 10h, en bas de chez toi!

Nous sommes toutes les deux un peu hébétées. Et en fait pas très à l'aise. Cet univers n'est pas le nôtre, mais ce n'est pas comme si nous avions le choix. Puis le souvenir du rendez vous de cet après-midi revient à Louise qui est ultra excitée et stressée. Elle prend une canne et me fouette les fesses, jusqu'à épuisement, se nourrissant de mes gémissements et de mes pleurs. C'est désordonné, violent, et tellement délicieux venant de sa main. Lorsqu'elle reprend son souffle, je prends l'initiative de lui offrir mon ventre et mon sexe, et la stimulation lui redonne de l'énergie pour accroître les marques de la veille. J'ai le visage ravagé, je ne pense plus à rien, tandis qu'elle file sous la douche, m'ordonnant de tout ranger et de préparer une tenue pour son entretien.

***

Quand nous arrivons dans le salon privé du Bourget, je suis mise de côté par une agente de sécurité. Il est clair que j'ai sonné de partout bien que vêtue d'une robe légère, quoique aux manches longues car mes bras comme mes jambes sont couverts de bleus. Dans un bureau je me mets nue, et la jeune femme me regarde éberluée. Sans dire un mot, elle passe sa main sur ma rangée d'anneaux de la vulve, soupèse ceux de mes tétons, et évalue la tension de mon corset. Elle me demande d'écarter les cuisses, veut inspecter l'intérieur de mon sexe! Je ne dis rien, tétanisée. Elle essaie de rentrer un doigt, sans succès. Elle prend une fine tige, avec une caméra au bout, l'introduit par l'étroite ouverture restante, et explore ainsi lonuement ma chatte. C'est humiliant, d'autant que je vois sur le moniteur, la mouille couler abondamment.

Sans doute pas par zèle, elle me fait ensuite pencher en avant pour regarder mon anus, vide pour une fois tant il a souffert. Elle prend un gant en latex, du lubrifiant et m'introduit un doigt dans l'anus, profondément, ne sentant rien. Heureusement que Louise m'a fait faire un lavement profond ce matin. Comme je ne dis rien, qu'elle sent sans doute mon cul très souple, c'est deux puis trois doigts qu'elle enfonce. Je me mords les lèvres car la déchirure me pique, mais ses doigts me font du bien. Elle tourne, enfonce plus, met son quatrième doigt toujours sans difficulté. Je me fais défoncer en plein contrôle de sécurité. Curieuse, elle entre son pouce, et sent sa main aspirer dans mon cul béant. Le soulagement est bienvenu quand mon anus se resserre sur son poignet, quelle sensation! Je regrette que Louise ne soit pas friande de ce plaisir.

Sans un mot elle se retire et me fait signe de me rhabiller, tandis qu'elle enlève son gant et le jette, elle aura sans doute à dire à ses collègues! Moi j'ai les jambes qui flagellent. Ma Déesse va trouver cela follement amusant comme expérience.

Personne ne me calcule quand j'arrive, juste Louise qui me fait signe de venir derrière elle. Même Françoise avec qui elle est en grande conversation ne me jette pas un regard. Je réalise qu'un animal de compagnie aurait sans doute eu plus d'égards, et cela convient bien à mon masochisme, je me fais petite et passe muraille. Françoise présente Louise à deux jeunes femmes dans la trentaine, ses filles, qui ne semblent pas passionnées par nous, mais il est vrai ayant à charge des petits enfants qui les entourent.

Françoise félicite Louise pour son embauche et lui apprend que John l'a appelée pour la remercier, tellement il a trouvé ma Maîtresse géniale et intéressante. L'entretien d'un quart d'heure s'est transformé en deux heures, car elle a vu d'autres collaborateurs ensuite, puis a directement signé son contrat de travail! Elle est revenue tellement excitée, nous avons fêté cela avec des cocktails qui nous ont laissé complètement ivres.

A ce propos, un verre de champagne nous est proposé, Louise fait signe que non pour moi au serveur, peut-être qu'on ne doit pas s'afficher, mais alors que vont penser les autres de mon silence et ma discrétion? Le vol en jet privé est bien moins confortable que je ne le subodorais. Cela bouge beaucoup, les fauteuils sont certes confortables, mais rien d'extraordinaire. Et puis l'argent ne peut acheter le temps, et nous mettons de longues heures pour atterrir sur l'île de Françoise. Ca c'est la grande grande classe, un aérodrome privé! Incroyable. Comme la maison qui nous est allouée, digne d'un hôtel cinq étoiles, avec un service en maison si on préfère au restaurant qui est disponible presque toute la journée! Le lit est dingue, près de 4 mètres de large, et nous sautons dessus comme des gamines. Je range nos valises ayant décliné l'offre de notre responsable attitrée, qui n'aurait pas su quoi faire de tout ce que j'ai emmené comme accessoires sous l'ordre de ma Propriétaire!

Maîtresse décide que je vais rester cloitrée, elle ne veut pas s'encombrer de moi en dehors de la maison. Et m'explique avoir décidé d'un nouveau rythme de vie. Puisqu'elle va travailler, sans doute beaucoup, elle ne me veut pas oisive pendant trop longtemps. Et elle veut au contraire que ma dévotion soit de plus en plus palpable et que je ne respire que pour elle. Moi je n'aspire à rien d'autre! Aussi je passerai toutes les nuits attachée et suppliciée de sorte que je ne puisse dormir, mais que je m'imprègne d'elle pendant son sommeil. Juste à la regarder et à souffrir pour elle. Et pendant la journée, j'aurais bien entendu toutes les tâches d'une esclave à exécuter, mais je pourrais m'assoupir et récupérer de mes nuits blanches. Louise me veut toujours épuisée, toujours prête à m'endormir à ses pieds à tous moments, incapable de penser ou de faire quoi que ce soit par moi-même. Je suis bien entendu enchantée, je trouve que c'est un cadeau incroyable qu'elle m'offre d'être déchargée de toute autonomie et responsabilité.

Une autre idée de ma géniale propriétaire, c'est de ne pas attendre que mon cul se cicatrise, au contraire. Elle se dit que la cicatrisation va le rétrécir, alors que s'il est déchiré et cicatrise ainsi déchirées, il sera plus large. Et la sensation du gode en moi bien plus pénible pendant toute cette période, ce qui lui plaît aussi. Je n'avais pas qu'à aller chercher une punition ailleurs!

Elle rayonne pendant le séjour, me racontant parfois des anecdotes, de ce monde des ultra riches qui nous semble en fait complètement à côté de la plaque. Le soir elle me ramène un doggy bag, que je mange à même le carrelage, affamée comme jamais. C'est toujours délicieux malgré tout! Contre toute attente elle a sympathisé avec les filles de Françoises, qui s'avèrent assez fines pour comprendre que leur monde est tordu, mais c'est le leur. Louise est sidérée que même pour elles, notre président est une réelle catastrophe, sur tous les plans ou presque. Ce qui nous fait nous interroger sur qui peuvent être les rares personnes à le soutenir, en dehors de ses Playmobil à l'assemblée! Louise adore la politique, et s'enthousiasme de pouvoir travailler dans l'agence la plus prestigieuse.

Le soir du troisième jour, je suis attachée au centre de la pièce, assise sur mes genoux, largement écartés. Je suis couverte de lanières, qui solidarisent mes tibias et mes cuisses en deux endroits de chaque côté, qui lient mes bras en arrière en trois endroits, qui maintiennent un bâillon fait de deux culottes de ma Maîtresse, et deux, enfin, qui serrent très fort mes beaux seins, qui pointent fièrement, mais ayant pris une teinte violet noir, déformant mes auréoles.

Françoise et Maîtresse rentrent ensemble du dîner, et je réalise avec peine que je ne pourrais pas manger avec mon bâillon. Il faudra que j'attende. Françoise me regarde enfin, je perçois son extrême excitation. Je n'ai pas droit à un mot, tandis qu'elle se penche pour saisir mes seins à plein main, enfonçant ses ongles aussi fort que possible.

Je couine dans mes culottes, tandis qu'elle tire vers le haut, provoquant une douleur très profonde. Elle me fait me pencher en avant, pour regarder le gode que Louise m'a mis tout à l'heure. Quand elle me l'a enfoncé j'ai cru ne pas pouvoir le garder plus de quelques minutes. C'est le plus gros de notre collection, huit centimètres de diamètre. Et puis personne ne m'a demandé si cela allait, aussi je l'ai toujours et il me fait particulièrement mal. Mon cul n'est pas cicatrisé, et différentes douleurs viennent s'y ajouter. Françoise le fait bouger vicieusement, j'ai le souffle coupé.

Elle me redresse, saisi un sein à plene main et vient le mordre à pleine dent! Comme c'est douloureux un morsure. J'ai l'impression qu'elle veut vraiment arracher ma chair, je hurle sous mon bâillon. Une autre main saisit l'anneau de mon clitoris, lule tordant et le tirant follement. La violence, ou plutôt la brutalité est extrême. Elle me murmure qu'un jour elle me le coupera. L'onde de choc me fait tressaillir, et je ne peux me retenir de jouir. Françoise me regarde sidérée, avant de plonger sur l'autre sein et y planter ses dents.

Je réalise que j'ai raté un épisode. Je suis certaine que ma Déesse a fait exprès de ne rien me révéler. Je vois Françoise se relever et les deux femmes s'embrasser passionnément. Quel baiser. La décharge d'adrénaline en moi est presque douloureuse, je me sens humiliée alors qu'elles me laissent dans le salon, incapable de bouger, le cul toujours vrillé. J'entends leurs soupirs, leurs râles. En me retournant je les vois dans le lit, Françoise somptueuse dans sa nudité, et Louise jouant avec ses seins, comme j'en ai envie, comme j'aimerais que Françoise me câline. Emotions étrange de ma part, alors que je suis certaine qu'elle ne me donnera jamais ce plaisir, n'exprimant qu'un mépris justifié pour ma personne. Elle semble très éprise de ma Propriétaire, et je la comprends, leur câlin n'en fini pas. Pourtant Françoise doit bientôt partir. Louise vient me chercher pour assister à la fin des débats. Au lieu de me détacher, elle me saisit à pleine main par les seins et me fait glisser sur le carrelage, j'ai envie d'être battue.

Mais ce ne sera pas par Françoise qui doit partir pour l'Asie ce soir. C'est pourquoi elle ne nous accompagne pas toute la semaine.

- Tu es une jeune femme magnifique Louise, je comprends que John ait craqué. Quoique, rassure-toi, il est complètement gay!

- Cela ne m'avait pas échappé (Louise rit)

- J'aimerais qu'on se voie de temps en temps à Paris. Je n'ai pas toujours beaucoup de temps, mais je crois que tu pourrais devenir une de mes priorités avec ta salope qui me tente tant. Tu la traites vraiment durement, et cela lui convient bien.

- Je lui ai fait la promesse de la traiter chaque jour plus durement

- Que de belles perspectives, qu'en dis-tu?

- Oui avec plaisir, bien entendu, nous sommes bien moins occupées que toi

- Oui sauf que je ne peux te recevoir à mon manoir, ni venir à votre appartement bien trop exposé.

- Oui je comprends

- Je te propose d'emménager dans un lieu plus discret, dans lequel vous serez très bien

- Mais je n'en ai pas les moyens, tu sais

- Il ne s'agit pas que tu paies, voyons.

- Ah si, absolument

- Mais pourquoi?

- Déjà je te dois mon job. Le jour où tu seras lassée, je fais comment en perdant mon job et mon appartement?

- Pour le job, je crois que c'est à toi de faire tes preuves et que cela ne sera pas un problème. Pour le logement, je te propose alors un contrat de location classique, tu ne peux pas être virée tant que tu ne veux pas partir. Et disons un loyer de quoi? 1 000 € tu peux?

- Euh, oui je devrais pouvoir, mais c'est vraiment nécessaire?

- Tu sais je te fais beaucoup confiance, tu veux me faire confiance?

- Oui d'accord, tu as raison, allons-y!

- Et en plus pas très loin de ton job, tu pourras y aller à pied.

Avant de partir, Louise me demande de m'offrir. J'écarte bien les cuisses, pour recevoir le pied de Madame sur mon sexe exposé. Je me contrôle pour ne pas m'effondrer, mais elle frappe de plus en plus fort, et je hurle dans mon bâillon, elle est ravie. Louise répand le contenu du dîner par terre, les deux urinent dessus, et Louise m'ordonne de tout nettoyer sans me détacher! J'en ai pour au moins une heure, mais je suis tellement heureuse, le sexe atrocement douloureux.

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9 Commentaires
trouchardtrouchardil y a 12 mois

Les notes de 1/5 sont le fait de personnes qui expriment leur mécontentement face à ton texte ou face à ta personne. C'est une façon anonyme et lâche de s'exprimer, c'est le pouvoir des anonymes. Malheureusement tu trouveras souvent ce genre de personnage qui pourrissent le travail des autres.

Pour ma part, le 5 est mérité pour tout contenu bien écrit que j'aime. Et les autres notes sont méritées pour tout récit qui ne respecte pas, plus ou moins, les simples règles d'écriture (orthographe, ponctuation, conjugaison, grammaire...)

Je m'abstiens de noter les textes dont le fond ne m'intéresse pas, je trouve intolérant de mal noter un récit simplement parce qu'il ne correspond à nos fantasmes.

A mon avis, les notes ne devraient pas être anonymes et les auteurs devraient savoir qui les a notés.

meo75meo75il y a 12 moisAuteur

Merci pour vos mots, vos reticenes vos encouragements.

Pourquoi certains s'abonnent, lisent mes recits, leurs mette 1/5 ? Je n'écris pas pour les notes. Ces récits sont souvent rédigés en qqs heures comme n besoin, une image fugace à partager.

liviolheureliviolheureil y a 12 mois

Tiens le père la morale Assas78 qui vient commenter pour dire du mal, cela fait longtemps. jaloux d'un auteur qui a du talent peut-être ? Assas, dis-toi déjà que le vrai BDSM est très rare, n'est pas le Marquis de Sade qui veut... La plupart des pignoufs qui se prennent pour des maitres font juste mumuse avec une pseudo soumise, qui en dehors du lit porte la culotte. Surement ton cas pour être aussi critique et haineux, tout le temps.

Après facile de juger en mal derrière un écran, mais je prends les paris, que dans la vie réel, tu es le genre de gars à tourné la tête quand il faut être un homme.

De plus un auteur qui ne fait que critiquer d'autres auteurs... cela prouve la valeur de l'homme... aucun interêt à le connaître... Puis ton intérêt comment te dire... lis les commentaires reçu par Meo, tu verras la différence entre le talent et la jalousie qui est tienne.

Je serais comme toi, je republierais tes commentaires, sur tes histoires inintéressante et mal écrite, que tu publies sur le site qui t'es cher, mais bon, j'ai une déontologie et des principes. Surtout je ne veux pas être comme toi, donc je ne le ferais pas, à mon grand regret d'ailleurs.

Sinon, comme Touchard et anonyme, je ne suis absolument pas fan de domination féminine, mes écrits le montre assez bien, je pense. C'est même le genre d'écrit que généralement je ne finis pas, mais que je ne me permet pas de juger, vu que je n'aime pas, et ça je le sais déjà avant d'entamer ma lecture. Mais cela c'était avant Meo75. Je prends plaisir à le lire, et ça, quand cela t'arrive en n'aimant pas le sujet, c'est la preuve du talent de l'auteur. C'est bien écrit, fluide à lire, et au final plaisant.

Je n'aime pas beaucoup plus le genre depuis, mais je lis chaque chapitre de Meo, car je sais que je vais y prendre un certain plaisir. Donc bravo à toi, Meo, comme le dis Touchard, j'espère que tu va continuer longtemps à écrire. Merci pour tes textes.

Assas78Assas78il y a 12 mois

Vous confondez BDSM et violence. Votre récit ne correspond pas à la soumission.

Cela n'a rien à voir.

Le BDSM c'est l'emprise totale de la Maîtresse ou du Maître sur sa soumise ou son soumis.

C'est surtout l'emprise psychologique avant de celle du physique.

Ce que vous décrivez c'est du sadisme. C'est tout. En général, ça finit toujours très mal avec la mort du S dans la souffrance.`

Aucun intérêt pour moi.

AnonymousAnonymeil y a 12 mois

Je suis un peu comme le sieur Trouchard. Vous avez incontestablement un univers fertile mais qui n’est pas le mien. Le BDSM why not, mais la torture violente et sans limite, je n’accroche pas ! Ceci dit, bravo à vous de travailler votre sillon si fidèlement !

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