Secrétaire Très Particulière (05)

BÊTA PUBLIQUE

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_Ils t'ont fait mal hier soir, tu a mal aux seins?

Tout en lui disant cela, j'ai tendu ma main et posée mes doigts sur téton, que je caresse doucement.

Elle me regarde en souriant.

_Tu aime les femmes?

_Non!!!!, Je.......!!! Je .... Je n'ai jamais essayée....

_Moi, j'aime bien, avec Joël, mon frère, nous faisons souvent l'amour avec sa copine.

Je ne sais quoi répondre, je la croyais perdue, comme moi, et elle a l'air de se plaire et d'accepter tous ce qui se passe.

Je lache a regret ce petit sein tendu comme une poire, bien droit et si doux.

Et comme elle me le demande, je lui raconte mon histoire.

Nous passons toute l'après midi a discuter, on va dans le parc, s'asseoir sur un banc au soleil . Elle en profite pour me toucher plusieurs fois, mais comme je reste de glace, malgré cet indéfinissable trouble elle sourit et n'insiste pas.

Un serviteur vient nous chercher pour aller se préparer.

Il nous dit d'aller manger, qu'il est déjà 18h, et de regagner nos chambres.

Elle me reprend la main, et nous nous dirigeons vers la bâtisse.

Arrivée devant la porte, avant d'entrer, elle se plaque contre moi, me met les mains derrière mon cou, et m'embrasse sur la bouche.

Sa petite langue m'ouvre les lèvres, et vient chercher la mienne.

Je lui rends son baiser.

Je suis troublée par cette fraîcheur, son ventre contre le mien et surtout ses petits seins fermes contre ma poitrine.

Je ne voudrais pas que cela cesse.

Mais elle se retire, me regarde droit dans les yeux.

_Ce soir, profite au maximum, laisse toi aller, quoiqu'il arrive, tu verras que la frontière entre la douleur, la honte et la jouissance et infime.

En arrivant dans ma chambre, j'ai la désagréable surprise d'être attendue par le serviteur et ses canules et poires.

Je me plie aux lavements , ayant terminée les ablutions et etre douchée, il ouvre un coffret et en sort un corset, comme portaient les femmes début 1900.

_Un de vos admirateurs a demandé a vous soumettre de la sorte, ce soir vous serez présentée à lui.

Je me laisse donc harnacher .

Le corset noir se noue dans le dos, par un savant laçage.

Le serviteur met beaucoup fe zel a me boudiner, le vêtement ayant visiblement une ou deux tailles de moins que ma morphologie.

Une fois le laçage terminé, il me fait assoir, ce qui me coupe le souffle.

Le Corset est tellement serré, qu'il me fait ressortir le ventre et le cul, car curieusement, il s'arrête au niveau du nombril et de la naissance des fesses, et se qui est du haut, il remonte très haut sous la poitrine, se sui me fait remonter les seins et les met très en valeurs.

Il se met à genoux devant moi, et m'enfile une paire de bas a résilles également noir.

Il a une vue imprenable sur ma chatte, j'ecarte légèrement les cuisses, sans vraiment réfléchir et je vois le trouble dans son regard.

Je lui aide a attacher les bas aux jartelles qui pendent du corset.

Je me lève, et me regarde dans le miroir.

_Vous êtes très belle madame!

_Tu veux dire que je fais très pute?

_Allons y s'il vous plaît.

Docile je le suis.

Quand on arrive dans la cave qui sert de pièce de spectacle, je remarque qu'il n'y a plus d'esrade, et que règne déjà une grande animation.

Il y a beaucoup plus de femmes que hier soir, certaines ont encore leurs capes, et le masque, mais d'autres sont a visage découvert.

Je suis conduite à une table, très grande mais basse autour de laquelle se trouvent une dizaine de personnes. Il y a 6 hommes, avec masques, et quatres femmes, 2 sont vêtus de capes et masquées, les autres étant nues et visages apparents.

Les deux filles nues sont a genoux et sucent 2 des hommes.

A mon arrivée, l'un des hommes se lève et me tends la main et m'invite à m'assoire à côté de lui.

_C'est magnifique que tu sois là!

Tu ressembles a ma mère, surtout habillée comme ça!

La voix me paraît très jeune.

_Mon mari vous a remarquée et il veut vivre son fantasme.

Étant jeune, il a surpris ses parents, sa mère juste vêtue comme vous, et son père la sodomisait.

Il me sodomise souvent, mais avec mes 22 ans je suis trop jeune, aussi ce soir il va pouvoir enfin vivre son rêve, enculer sa mère. Le problème est que il est très bien monté, Alors a vous ma chère.

Le jeune homme prend la paro

_Gégé, prepare la bien,et toi Maria , mets moi en forme.

Maria, ouvre sa cape, c'est une belle jeune femme au corps un peu enveloppé , sans être grosse.

Le dénommé Gégé, me fait signe de venir à lui.

Je me lève, il me tire à lui,et me met a plat ventre sur ses genoux, comme pour la fessée.

D'une main, il me palpe les fesses, je suis vraiment dans une position dégradante.

Il insert un doigt dans mon fondement, masse les parois anal.

Son autre main s'amuse avec mes tétons qu'il agace et pince.

Il sort son doigt de mon cul, puis je sens un liquide froid qui coule entre mes fesses.

Quand il remet plusieurs doigts dans mon cul, je comprends que c est un lubrifiant.

Il écarte mes chaires, et je sens tous ses doigts qui entrent jusqu'à son pousse.

Je commence à gémir, a tortillier mon fessier, la jouissance s'annonçant.

Gégé s'arrête brusquement de me toucher.

_Elle est prête Marc, je lui explique ou tu le fais.

_Va y , explique lui.

_Voila, quant il a surpris ses parents, son père était sur le dos, sa mère était de dos assise sur lui, et c'est elle qui s'enfonçait sa bite dans son cul.

En me relevant de ses genoux, j'ai eu un choc.

Le jeune Marc est entendu sur le dos, son sexe a une longueur incroyable. Il est bien bandé , Parallèle à son ventre, mais il dépasse son nombril et la circonférence est plus grande que la main de Maria, qui le caresse.

J'ai un mouvement de recul, mais Gégé m'empoigne par le bras, et m'ordonne fe monter sur le canapé.

Je ne peux rien faire d'autre que d'obtempérer

Je monte sur le canapé, j'enjambe l'homme, lui tourne le dos et m'accroupis.

Je cherche le membre derrière moi, et je tremble en le touchant, mon pousse et mon indexe ne peuvent se rejoindre, et mes feux mains dans mon dos, ne tiennent pas la longueur entièrement, j'ai une main contre ses couilles et l'autre ne sens pas le gland.

Je dirige le gland vers mon anus. Mais même bien lubrifié et dilaté, je n'arrive pas à l'introduire.

Je souffle, je fais la grimace, et les personnes autour m'encourage

_Va y, enfile le, ton cul en a vu d'autres!

_Allez salope tu peux le prendre!

_Tu va aimer!

Je ferme les yeux, et descends lentement.

J'ai déjà une belle longueur en moi, mais la douleur est trop forte, et je me relève doucement.

Mais aussitôt, je reçois une claque sur la fesse.

_Tu dois aller à fond, me dit Marc j'ai payé pour la totale, tu est à moi pour ta nuit.

Je respire profondément,et je pense aux paroles que m'a dit Josie tout à l'heure au sujet de la douleur et du plaisir.

Je me réasseoir doucement en tenant le pieux droit dans mon cul, il s'enfonce plus facilement, mais j'ai très mal, les larmes coulent sur mes joues.

Je vais le faire ressortir plusieurs fois et rentrer toujours un peu plus profond.

Toujours sous les quolibets et les injures.

Enfin au bout d'un énième effort je suis assise sur ses cuisses.

Je l'entend dire

_C'est incroyable!!!Tu es incroyable. je suis dans le cul de ma mère.!

Va y fait moi jouir!!!!!

Je reprends un peu de souffle, je suis remplie il me semble jusqu'à l'estomac.

J'ai ce pilon de chair qui palpite en moi.

Alors doucement, je remonte, m'aidant de mes bras en appui sur ses cuisses, puis a mi chemin, je me laisse redescendre lentement .

La sensation est indescriptible, inouïe.

Je vais de plus en plus vite, je remonte fe plus en plus haut.

Je gémi, je souffle très fort, puis dans un crie je tombe sur don ventre dévastée par un fulgurant orgasme.

Marc m'attrape les seins, me relève et me couche le dos contre sa poitrine.

J'ai son sexe en entier en moi.

Il caresse mes seins, je suis bien, je reprends mes esprits, alors je me relève.

J'ai envie de faire jouir cet homme.

Je recommence à monter et descendre sur sa queue, maintenant, sa bite sort complètement de mon cul, et se re enfiler dans mon intestin mes fesses viennent claquer sur ses cuisses.

La sueur dégouline entre mes seins, sur mon ventre et mon dos. ,Je suis déchaînée, plus rien ne me retiens, ni pudeur, ni préjugés.

Plus personne ne parle autour de nous.

Mes râles et gémissements viennent en écho aux siens.

D'un seul coup, il agrippe mes flancs, monte son bassin et m'attire sur sa queue.

Il pousse un cri rauque et son sperme vient emplir mes boyeaux semblables à un lavement.

Je m'écroule a plat ventre sur ses jambes vaincu par un autre orgasme.

On reste un moment comme cela, c'est sa femme qui vient l'embrasser.

Sa bite ramolli peux à peux, et sort de mon cul lentement. Entraînant un flot de liquide visqueux.

Un homme vient mettre une serviette eponge et nous essuie.

Je me lève et je vais m'installer sur un fauteuil, je regarde son sexe, au repos il lui arrive a plus de mi cuisse.

C'est bizarre, mais j'ai envie de sexe dans ma chatte. Alors je me penche vers le fauteuil qui est pres du mien, l'homme qui est là,

n'est ni très jeune ni très beau, mais c'est sa bite que je prends en bouche.

Elle est douce et chaude, elle prend rapidement du volume. L'homme me caresse la joue.

Je lui presse les bourses et les griffes délicatement du bout de mes ongles, mes lèvres entourant bien son membre et ma langue tournant autour, il ne faut pas longtemps pour qu'il explose.

J'avale son jus avec délice, il a un goût un peu fort, mais pas désagréable.

Je sens des doigts qui oscillent fans ma chatte, j'écarte les cuisses pour faciliter l'incursion.

Je me sens bien, je suis avec un groupe visiblement calme.

Je cherche des yeux Josiane, Elle est entrain de subir les assauts de trois hommes, ses trois orifices sont occupés, mais elle a l'air d'y prendre beaucoup de plaisir. Elle pousse de petits gémissements.

Je vais tout de même etre baisée, plusieurs fois, devant et derrière, faire un grand nombre de fellations, les gens se déplaçant souvent.

Je vais avoir de nombreux orgasmes, mais je vais pouvoir aller toute seule dans ma chambre, prendre une bonne douche réparatrice et sombrer dans un sommeil profond.

Se dimanche matin, je suis réveillée par une odeur de café.

Je regarde l'heure a l'horloge murale , il est 11h

Je saute du lit, et comme je suis sous la douche, je n'entends pas la porte de la chambre s'ouvrir.

Un des serviteurs est la avec un plateau, avec café, lait et viennoiseries.

_Madame désire que vous alliez la voir, dès votre petit déjeuner terminé.

Et il disparaît comme il est venu, sans bruit.

Je ne fais même plus attention au fait que je sois nue, même devant un homme inconnu.

Le déjeuner terminé, je me dirige vers le bureau de Madame. Je frappe a la porte, c'est une voix d'homme qui m'autorise à entrer.

Quand j'ouvre la porte, mon cœur bat la chamade, en plus de la marâtre et de son homme, assit dans un profond fauteuil, se trouve Paul.

La marâtre, me dit d'avancer, se lève, et me prend par la main.

Elle me fait tourner doucement sur moi même.

_Comme tu peux le voir, il n'y a aucune trace sur son corps, mais je n'en dirais pas autant de ses organes sexuels, Tous ses orifices ont été comblés, comme tu nous l'as demandé, elle a été très sollicitée et je dois dire qu'elle nous a agréablement surpris, elle a été docile .

Nous serions ravis, si tu nous l'amenait pour une soirée spéciale au Donjon.

_Hum!!! Ma fois, c'est tentant! Mais j'ai déjà des projets pour elle.

Aux paroles de Paul, je frémi , je repense a la conversation qu'il a eu avec Max concernant mercredi a l'auberge.

Paul se lève, vient a moi, et m'embrasse, un long baiser, sa langue cherche la mienne, il passe une main entre nos deux corps, me caresse la poitrine, et je réalise que je suis toujours nue.

Son baiser n'en finit pas, je suis heureuse, il m'aime, c'est sûr.

La marâtre se racle la gorge, et demande à son homme de lui porter mes effets

Il disparaît dans une pièce attenante au bureau et revient avec ma mini robe.

Il me la tend, je l'enfile.

Paul les remercie.

On se dirige vers la voiture ou Robert nous attend la portière ouverte.

Quant je m'installe, je sais qi'il a une vue sur ma chatte, mais je ne serre même pas les cuisses, le laissant se délecter du spectacle.

Cela fait 10 mn que l'on roule, Paul a un bras autour de mon coup.

Il me tire a lui, et prend ma bouche de nouveau. Encore un baiser passionné.

Il passe ses doigts sur ma chatte je sursaute.

_ Tu est sensible, tu a besoin de repos, elle est toute boussouflée .

J'espère que ton mari ne voudra pas te baiser ce soir?

_Tu sais, Alain n'est pas comme toi, le sexe ne m'intéresse pas beaucoup.

Mais je ne voudrais pas qu'il découvre ce qui c'est passé ce weekend.

_A ce propos, enlève cette robe et prends celle ci, si tu ne veux pas qu'il se pose trop de questions.

Sans plus de pudeur,vis à vis du chauffeur, je me mets nue dans la voiture.

Robert à les yeux rivés sur le rétroviseur central.

j'enfile la robe, elle me va très bien, elle est légère et ma poitrine est moulée dans le tissu.

Je me cale contre l'épaule de Paul.

Je sombre dans un demi sommeille.

Mon esprit s'évade, je ne sais plus très bien ou j'en suis ni qui je suis......!

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6 Commentaires
MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 11 mois

Toujours un vrai plaisir vivement la suite

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Très beau récit, j'adore.

Merci

Rudy

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Orthographe déplorable, de plus il manque des mots et certaines phrases ne sont même pas françaises

Une catastrophe.

Relisez vous et utilisez la fonction grammaire d'un éditeur de texte comme word.

Olympe87Olympe87il y a 11 moisAuteur

Désolée pour l'orthographe , mais entre le brouillon, et le texte définitif, il y a un problème, je ne sais si c'est le traducteur ?

allan87allan87il y a 11 mois

Belle continuité, bien amené dans la progression, comment cela va t il se terminer si ça se termine

On dirait une histoire vécue, beaucoup de détails

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