Secrétaire Très Particulière (06)

Informations sur Récit
L'acceptation, l'incroyable révélation.
8.3k mots
4.6
8.2k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 6 pièces

Actualisé 07/07/2023
Créé 04/25/2023
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En ce lundi matin, je suis très songeuse.

Dimanche soir, je suis rentrée dans une maison vide, mon mari était absent, quant il est rentré, j'avais mis le couvert et préparé le repas.

Nous avons soupé, mais il ne m'a posé aucune question concernant mon colloque .

Après une bonne douche chaude, je m'habille, enfin: juste une jupe et un tee-shirt a même la peau.

Arrivée au bureau, j'ai une liste de travaux à effectuer, et je dois préparer également la réunion du personnel du vendredi.

Paul sera absent jusqu'au mercredi matin.

Le début de semaine se passe bien, plusieurs fois ma collègue Brigitte est venue pour divers problèmes, je suis toujours en admiration devant son décolleté , tout comme moi elle ne porte aucun soutien gorge.

Mercredi matin, Je me dirige vers mon bureau, c'est bizarre, Brigitte n'est pas arrivée, ce qui est très rare.

J'ouvre la porte de mon bureau a l'aide de mon badge, la porte étant maintenant à ouverture électrique.

Paul est déjà derrière son bureau. Il me fait venir devant lui , il caresse ma poitrine d'une main, et glisse l'autre sous ma jupe et remonte jusqu'à la fourche de mes cuisses. J'ai un frisson qui me parcour le dos.

_Tu sais que pour le déjeuner, mon ami Marx nous rejoint à l'auberge, tu retiens une table pour trois, tu stipules que c'est pour le spectacle.

Je redoute le pire, Marx me fait un peu peur.

La matinée se passe normalement, j'ai beaucoup de travail, ce qui occupe mon esprit. Vers onze heures, Paul s'absente un moment, puis quand il revient, il porte un sac. Il me demande d'enlever mes vêtements. Il me donne une robe, qui croisée devant ne ferme que par une ceinture, évidemment je ne porte aucun sous-vêtements. Il me donne également une paire d'escarpins , Il me fait tourner sur moi même, et paraît content du résultat.

La robe est assez sage, elle descend à 10cm au dessus des genoux, par contre je ne suis pas alaise avec les escarpins, je suis sur la pointe des pieds, le talon mesure 12 cm, C'est énorme pour moi.

Il me dit d'aller l'attendre dans la voiture.

Je m'installe sur le siège arrière, dévoilant ma chatte au chauffeur, qui me salut poliment, mais ne se cache plus me regarder. J'avoue que j'y trouve même du plaisir.

Paul monte à côté du chauffeur, ce qui me laisse perplexe.La voiture démarre, Paul se retourne,

_Tu vas avoir une surprise, mais tu ne seras pas la reine du bal, pourtant, j'espère qu'un jour prochain, tu franchira le pas, et que tu me le demandera.

Je suis perdue dans mes pensées, quand la voiture s'arrête devant un bel immeuble. Robert, le chauffeur donne un petit coup de clackson. Après une courte attente, Max apparaît et se dirige directement vers la portière arrière, monte à côté de moi, salut les deux hommes, et me passe son bras autour du cou, m'embrasse en me prenant les lèvres, sa main se glissant entre les pans de ma robe et me caressant les seins .

_Tu es a moi pour le reste de la journée, Paul vat etre occupé.

Je ne sais que penser.

On arrive à l'auberge. Un homme nous amène dans un couloir, on descend une vingtaine de marche et l'on débouche dans une alcôve, assez sombre. Après un moment, je distingue une table avec trois couverts, dans un coin, ce trouve une banquette.

L'homme allume une lumière très sobre, juste une ambiance. La pièce est ouverte comme un balcon de théâtre, et donne sur une estrade, en regardant mieux, il y a en tout 10 alcôves, 5 de part et d'autre de l'estrade, et un petit escalier de trois marches permet d'accéder à l'estrade de chaque alcôve. Petit a petit, chaque alcôve s'éclaire. L'estrade est fermée par un epais rideau pourpre.

Le repas commence, je suis assise entre Les deux hommes, face à la scène. Je me pose beaucoup de questions. Que vat il se passer. Comme je suis songeuse, je sens une main tirer sur la ceinture qui retient les pans de ma robe, c'est la main de Max. Il attrape le col de la robe et la fait descendre dans mon dos. Je me retrouve nue comme souvent, et curieusement je n'en éprouve aucune gêne.

Le repas est frugal et rapide, dans toutes les loges que je peux voir, j'aperçois une ou plusieurs femmes comme moi nues, certaines sont prises par leurs compagnons, d'autres sont a genoux occupées entre les cuisses des hommes.

Paul se lève, sort de la pièce , me laissant seule avec Max . Aussitôt, celui-ci me prend par la main, et me fait assoir sur ses genoux.

_Alors, ma belle, je t'ai pour moi toute la soirée!

_Paul, va revenir?

_Non, fait moi confiance, il va etre occupé, et je vais pouvoir enfin te faire ce que je veux.

Je suis anéantie, je ne suis pas rassurée.

Tout en parlant, il me caresse la poitrine, plus exactement, il joue avec mes tétons, il promène lentement ses doigts autour des aréoles. Elles deviennent coniques, bombées au maximum, Je suis envahie par le plaisir. J' aimer que l'on s'occupe de mes seins. Ils sont devenus très sensibles et mes mamelons sont énormes.

Max a vite fait de voir dans l'état qu'il m'a mise. Je sens son sexe tendre le pantalon et se frotter contre mes fesses .

C'est à ce moment précis que les projecteurs de la scène s'allume. Après une ou deux minutes les rideaux s'écartent laissant apparaître une petite estrade circulaire,sur laquelle se trouve un portique. Attachée par les poignets a la barre du haut, Les bras écartés, une fille magnifique , la tête sous une cagoule est offerte nue a la vue de tout le monde. Elle a les pieds écartés , attachés au poteaux du portique.

Un homme monte sur la scène avec un micro.

_Qui est l'heureux maître qui nous présente cette créature?

Est elle prête pour son intronisation?

Après un bref silence, une voix familière s'élève.

_C'est moi, et cette femme est mon nouveau jouet, elle est prête et consentante.

Mon sang ne fait qu'un tour, mon cerveau bout, c'est la voix de Paul. Il rejoint l'homme sur la scène.

D'un bon, je me suis levée, je reste debout abasourdie. Max dans mon dos en profite pour enlever son pantalon, il m'attrape par les hanches et me fait asseoir sur sa queue dressée. J'ai le souffle coupé, autant par le monstre qui envahit ma chatte, que par la présence de Paul sur scène avec une fille au courbes splendide, je sens une pointe de jalousie m'envahir. Max lui est aux anges, et me fait rebondir sur ses genoux, tout en me comprimant les seins. D'un seul coup, j'ai des fourmis dans la moelle épinière, un orgasme intense me foudroie. Je crie mon plaisir, faisant tourner les têtes vers nous.

Sur la scène, Paul s'approche de la fille, il lui caresse les cuisses, qui sont très belles, musclées et bronzées, comme tout le corps, aucune marque, un ventre plat et des seins en forme de poires, arrogants, les mamelons recourbés légèrement vers le haut. Elle frémit sous les doigts de Paul. Ce dernier fait un signe, et la plateforme circulaire commence à tourner doucement, la fille est donc exposée des 2 côtés alternativement. Il attrape le fouet que lui tend l'autre homme, il le fait claquer dans l'air, la fille sursaute, je frémi. Quand la fille passe de dos , le fouet s'abat sur les fesses rebondies , apparaît alors une saignée rouge, arrachant un cris strident de la pauvre fille. Par dix fois le fouet va frapper, faisant crier à chaque coup la fille. Ses fesses sont zébrées, je m'imagine la douleur . Le plateau s'arrête face a nous, Paul approche de la supplicié , lui enlève la cagoule. Mon cœur se met a cogner dans ma poitrine, c'est Brigitte, ma collègue de travail qui est là. Je suis révoltée, Paul, notre patron est a même temps l'amant de Brigitte notre amant et maître.

Malgré tout, je ne peux m'empêcher d'admirer sa plastique, j'avais déjà lorgné sur ses seins, mais je suis subjuguée par son corps.

Max me relève, me fait pencher sur la table, prend de l'huile de table et m'enduit le cul:

_Tu a appréciée le spectacle, mais ce n'est pas fini, et pour que tu sois plus réceptive pour la suite, tu vas assoir ton cul sur ma bite, j'ai promis à Paul de t'enculer pendant la suite.

Il me reprend par les seins, m'attire contre lui et me force a m'installer sur sa queue. Elle est énorme, et je serre les dents pour ne pas crier, mais je ne peux m'empêcher de gémir, ce qui a l'air de plaire à mon enculeur.

Sur scène, je ne comprend pas ce qui se passe. Brigitte a les joues couvertes de larmes. Paul se tient à côté d'elle, et l'autre homme a poussé une table sur roulettes avec des ustensiles que je ne distingue pas. Il enfile des gants chirurgicaux, puis passe une gaze sur le téton, il prend une pince, et attrape le mamelon le mettant bien en évidence, de son autre main, il attrape une grosse aiguille et d'un geste rapide mais précis transperce le téton.

Brigitte n'a pas poussé un cris, juste elle a eu un sursaut.

Moi, le réflexe m'a fait m'empaler un peu plus profond sur le sexe qui m'emplit l'intestin. Je suis élargie au maximum, et je commence à aimer cette sensation, je m'appuie sur mes jambes pour monter et descendre sur ce mat qui me Labour. Je pense que je deviens une belle salope, qui prend plaisir à se faire enculer. J'aime ce mot << enculée>>.

Sur scène, l'homme désinfecte le mamelon, et pose un percing, un bijou en U, tenu par une petite barre a travers le téton et vissée a chaque extrémité .

Puis il fait subir le même sort a l'autre téton. Brigitte se retrouve avec deux U qui forment comme des anneaux, les tétons se trouvent entre les deux barres du U qui pendent sur le sein.

Je ne sais si c'est le spectacle qui m'a existé, mais j'ai un autre orgasme dévastateur, ce qui déclenche la jouissance de Max qui décharge de longues giclées de sperme au fond de mes entrailles. Je ferme les yeux savourant l'instant, je pense que de plus en plus j'apprécie la sodomie.

Je suis toujours dans l'extase quand j'entends la voix de Paul. J'ouvre les yeux et je le vois, il tient par les épaules Brigitte. Elle est toujours nue et toujours aussi magnifique. Elle me sourit, je regarde ses seins, et sur le gauche une petite perle de sang est apparue a la hauteur de la barre qui tient le U.

Je ne sais l'irrésistible force qui me pousse, je me lève, libérant le sexe de Max, ce qui ne laisse aucun doute sur ce qu'il était entrain de me faire subir. Je m'approche, penche la tête et pose mes lèvres sur son sein, je nettoie le mamelon avec ma langue faisant frémir Brigitte , elle attrape ma tête et me repousse gentiment :

_Doucement, c'est très sensible, je suis surprise, mais c'est agréable.

Paul est ravi.

_Je suis heureux de voir que vous vous entendez bien! Je suis sûr que nous allons passer de bons moments. Pour l'instant il nous faut retourner au bureau, j'ai un rendez vous.

Max me tend ma robe, et je vois Paul qui donne la même a Brigitte. Il a vraiment tout prevu.

Arrivés au bureau, nous entrons par le sous sol . Paul après avoir laissé Max partir, nous fait monter par le monte charge, je ne connais pas ces lieux, et je suis surprise d'arriver juste dans la salle de réunion, et de là, on passe directement dans mon ancien bureau.

Cela nous a permis de rentrer discrètement sans que personne ne nous voit. Dés que nous sommes entrés dans notre bureau, Paul va dans le cabinet de toilette, revient avec une petite malette qu'il me tend:

_Tu trouvera là tous ce qu'il faut pour soigner Brigitte, occupe toi bien d'elle , je ne rentrerai que demain, quant vous serez nettoyées toutes les deux, vous trouverez des vêtements dans le vestiaire a côté, et vous pourrez vous mettre au boulot.

Il prend son attaché -caisse, nous embrasse toutes les deux sur la bouche et disparaît.

Je suis sans voix, mille questions m'envahissent. Brigitte est la première à parler, tout en enlevant sa robe, elle m'explique qu'elle est la soumise du patron, depuis le début de son arrivé, bien avant que son père parte à la retraite. Elle a assistée à ma prise en main, et comment il lui racontait toutes mes réticences, et toutes les avancées qu'il avait avec moi. Mais comme je suis marié, je suis moins disponible qu'elle, mais qu'il adorait que je sois marié, cela lui permettrait de me faire chanter, et d'accepter tous ce qu'elle faisait par plaisir, car me dit elle , elle aime être humiliée, elle aime être attachée, battue et surtout être traitée comme une pute, subir plusieurs hommes a la fois, faire l'amour avec des femmes pour le plaisir du maître.

Elle me demande de lui mettre de la pommade sur les blessures de son dos, que cela ne lui fait presque plus mal, et que dans 3 où 4 jours, ce ne sera plus visible, et que c'est également elle qui a demandée à avoir les tétons percés, et que si je veux faire plaisir a Paul, il me faudra lui demander.

Je lui passe la pommade délicatement sur les zébrures peu profondes laissées par le fouet, elle est debout, comme j'ai terminée, elle se retourne, je ne peux enlever mes yeux de ses seins, malgré le traitement qu'ils ont subi, ils sont toujours aussi arrogants , j'avance ma main en hésitant. Elle attrape ma main, la plaque sur son sein et en même temps défait la ceinture de ma robe qui s'ouvre immédiatement. Elle se plaque contre moi, et me donne un baiser que je lui rends instantanément.

Je suis étonnée par la douceur et la chaleur de son corps. Elle caresse mes seins voluptueusement, mes mamelons réagissent rapidement et deviennent dur comme du béton. Ma chatte commence à d'humidifier.

Je lui caresse doucement les seins, mais avec le traitement qu'ils ont subis, c'est douloureux et elle me repousse gentiment, mais elle se met à genoux, me pousse sur le canapé et je sens son souffle chaud sur mon minou. Elle dépose un baiser tout aussi chaud et doux, puis elle insert sa langue entre mes lèvres, puis la tourne et fouille mon intimité, je mouille de plus en plus. Elle trouve mon clitoris et le titille de sa langue dure, elle l'enroule et l'aspire. C'est inouï, une vague de plaisir me secoue le ventre, elle le ressent, aspire plus fort et m'agripe les tétons et les vrille avec force. Entre le plaisir de mon sexe et la douleur de mes seins un violent orgasme me broye les reins, je lache un cri aigue , et retombe en sueur jambes et bras écartés, impudique et offerte.

Je reprends mes esprits peu a peu. Je me relève lentement et la prends par les épaules et l'embrasse, nos langues se cherchent, s'enroulent, nos salive se mélangent et je savoure le goût de mon jus sur sa langue. Après un moment assez long, elle me repousse, je voudrais goûter sa chatte mais elle me dit que ce sera pour une prochaine fois, elle a eu assez d'émotions pour aujourd'hui.

Depuis que les travaux sont terminés, le cabinet de toilette possède une grande douche à l'italienne . Nous avons donc pris une douche ensemble, continuant à s'embrasser et se caresser.

Pendant toute la semaine, sur les ordres de Paul, le matin je demande à Brigitte de venir dans notre bureau. Elle se met torse nu, et je lui désinfecte les tétons. J'adore lui nettoyer les plaies autour des bijoux, Il n'y a pas vraiment de sang, il faut juste empêcher que cela s'infecte, mais ça me permet de caresser ses seins. Je suis en admiration devant ses gros mamelons , et des 2 anneaux qui balancent aux bouts.

Nous sommes devenus très proche, Souvent le soir, Paul prend l'une ou l'autre, parfois Max se joint à nous, il aime bien me sodomiser et j'y prends beaucoup de plaisir. Ils aiment particulièrement nous voir ensembles. J'ai appris a savourer son jus si particulier, épicé et légèrement odorant. Je lui procure des orgasmes et elle de même.

Hier soir, après avoir été baissées a tour de rôle, Max nous a demandé de nous gouiner, ce sont ses paroles. Nous étions en position de 69. Brigitte avait sa langue sur mon clito, et je lui rendait la pareille, quand Max a dit à Paul:

_ Aide moi, on les tourne sur le flanc,et on les encule ensemble.

Je me suis accrochée aux fesses de Brigitte qui a fait de même, ils nous ont mis sur le côté, et comme j'aspirais le clitoris de ma partenaire, la bite de Paul me remplissait le cul . La sensation était irréelle, ma chatte était sucée, aspirée, et mon intestin envahi par un mandrin de chaire qui palpitait au plus profond de moi. Juste au moment ou ma chatte a giclée, j'ai sentie le foutre de Paul se déverser dans mon cul, en longues giclées chaudes. J'ai serrée les cuisses et les fesses et j'ai perdu le sens de la réalité. L'orgasme à été fulgurant. Quand j'ai repris mes esprits, Brigitte hurlait, comme une bête blessée. Elle était magnifique, des larmes lui coulant sur le visage. Les yeux revulsés, Max agrippé à ses seins, lui tordant affreusement les mamelons et lui défonçant le cul de son énorme pieu.

Petit à petit, son souffle redevient normal, et un sourire apparaît sur son visage . Elle se relève et vient m'embrasser. Les deux hommes se servent un verre d'alcool qui se trouve dans le mini bar. Je baigne dans une étrange torpeur. Je réponds au baisser de Brigitte tout en lui passant mes mains sur son dos. Je frissonne en sentant les petites boursouflures qu'ont laissées le fouet. Je me demande quel plaisir on peut avoir à se faire fouetter. J'ai dû mal à comprendre, pourtant je ne peux m'empêcher de sentir ma chatte d'humidifier.

Voilà trois semaines de passés, ou nous avons été, toutes les deux baissées, offertes soit à certains clients ou des amis de Paul. Les mamelons de Brigitte sont déjà bien cicatrisés et je suis fascinée par les anneaux qui les ornes, certains jours, Paul les relie par une petite chaîne au milieu de laquelle se trouve un autre anneau ou il passe le mousqueton d'une laisse et il la promène nue devant ses amis lui déformant les seins et lui arrachant de petits cris de douleur ou de plaisir, je ne sais plus.

Aujourd'hui, je suis seule au restaurant avec Paul et deux clients. Ce sont deux frères associés dans une start-up. Ils viennent des Pyrénées, et l'on dirait deux bûcherons . Ils en ont l'apparence, le langage et surtout la rudesse de leurs manières et du langage.Je ne peux m'empêcher de redouter le moment ou a la fin du repas, nous allons monter en chambre, heureusement qu'il y a Paul, je me sens plus en sécurité. Pourtant je rie de leurs blagues grivoises comme me l'a ordonné mon maître, et la main de Jacques, le plus âgé est déjà a l'assaut de ma chatte sous la nappe de la table. Il sait que je ne porte pas de sous vêtements, pour le soutien gorge c'est facile, mais maintenant il sait que je n'ai pas de culotte, et il le dit à son frère en riant fort . Je vois bien que Paul est un peu gêné quand il entend Jacques dire:

_Fréro, elle est a poil sous sa robe la pute, après le café cognac, on va se la farcir comme une dinde.

Et ils éclatent d'un rire gras. Je tremble un peu, j'aimerai que Paul mette fin a tout cela . mais les doigts qui me fouillent me prouvent que ce n'est que le début. Le repas se termine assez rapidement. Le frère, Jean, s'approche de moi et m'attrape par le cou, me tape sur les fesses et m'entraîne vers l'escalier qui monte aux chambres. C'est à ce moment que mon cœur se met à battre la chamade. j'entends mon patron et maitre dire:

_ Je reviens te récupérer à 17h , soit gentille avec mes amis.

Il est 14h, et je vais rester 3 longues heures avec ces deux rustres. Je respire profondément et monte suivie des deux hommes qui échangent des propos salaces sur mon cul et mes seins et le fait que je me promène à poil sous ma robe.

A peine la porte de la chambre franchie, Jean m'ordonne de me mettre à nue, je déboutonne ma petite robe, et la fait passer au dessus de ma tête. Je me retourne, son frère a posé une malette sur le lit, l'a ouverte et sortie une ceinture en cuir, et avant que je ne puisse bouger, il me la passe autour de la taille, l'autre m'attrape les bras, me les tiens le long du corps et ils m'attache les poignets a la taille avec des bracelets en cuir aux deux anneaux qui pendaient de chaque côtés. Il m'ai impossible de bouger les mains. Je vais pour leurs demander pourquoi, j'ai juste le temps d'ouvrir la bouche que Jean qui était derrière moi me met une boule dedans et ferme la sangle derrière mon cou. Je suis a la merci des deux frères, j'ai vraiment peur, mes jambes tremble , mon cœur bat a tout rompre. Je remarque que dans la malette se trouve un tas de gadgets et cela comfirme que j'ai affaire à deux tordus. Comment Paul a- t - il pu me laisser seule?.