Secrétaire Très Particulière (05)

Informations sur Récit
La prise en main, la d'échéance.
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Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 6 pièces

Actualisé 07/07/2023
Créé 04/25/2023
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Olympe87
Olympe87
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En me rendant au bureau, ce matin, je suis très perplexe.

Je ne vais pas pouvoir accepter d'être traitée de la sorte, pourquoi Paul m'a t'il fait subir cela hier soir? Comment peut 'il m'offrir sexuellement a un autre homme?

Même si tout au fond de moi, je reconnais que mon corps a réagit d'une drôle de manière et que jamais je n'avais eu de tels orgasmes.

Ce matin, j'ai mis un soutien gorge et une culotte, bien décidée, à démissionner, c'est la seule option que j'ai trouvée.

Je rentre dans mon bureau, Paul est déjà arrivée.

_Bonjour, Annie,

Viens la, comment vas tu?

_Mal, écoute Paul, je ne suis pas une pute, je peux pas.....

_La ferme!!!!, Viens ici, approche

_Non, c'est fini je démissionne.

Paul se lève, m'attrape par le cou, et m'embrasse à pleine bouche.

_Qu'est ce que c'est que ça,? Tu as un soutien gorge?

Il soulève ma jupe, je reçois une gifle et et à même temp, il arrache ma culotte.

La joue me brûle, les larmes me viennent aux yeux.

Paul est rouge de colère, il ouvre mon chemisier, faisant sauter plusieurs boutons, puis il arrache mon soutien gorge.

_Tu oublies le contrat, mets toi a poil, tu mérites une punition , ou ton mari reçoit la copie du contrat, plus un bonus.

Il passe derrière son bureau .

L'écran du moniteur TV s'allume et ,je vois horrifiée ,une femme, moi, prise comme une chienne une bite dans chaque orifice et criant son plaisir.

Je suis anéantie.

_Alors, que veux-tu? A poil, et vite, on a une réunion pour cette après midi à préparer.

Je suis en larmes, en tremblant, je fais glisser ma jupe au sol

_Vas te mettre a quatres pattes sur le canapé et arrêter de gémir .

Je suis en position, il passe derrière moi, je ne vois pas ce qu'il fait et je redoute la suite.

Il me caresse les fesses d'une main, puis il se met à me claquer les fesses l'une après l'autre.

Je crie a chaque claque, j'ai les fesses en feu. il me donne une bonne dizaine de claques, puis brutalement, il appuie sa queue contre mon cul et le force .

La douleur est inouïe, je hurle et tombe sur le ventre, mais il est toujours planté dans mon intestin.

Il passe une main sous mon ventre, me tire par les cheveux avec l'autre main, et me remet a genoux.

Faisant fit de mes cris et de mes pleurs, il me baisse sauvagement.

Heureusement, je ne sais si s'est la situation, ou le fait de me faire souffrir, il éjacule très vite, me remplissant le fondement d'une grande quantité de sperme.

Il se retira, vat se nettoyer et en revenant, il me jette une serviette.

_Tu n'a pas le temps de faire la toilette, mets ta jupe et ton chemisier, le reste a la poubelle et au travail.

Je ne dis rien, j'obéis?

Assise a mon bureau, je n'arrive pas à me concentrer sur mon travail, j'ai mal aux fesses et surtout à l'anus, je crains qu'il m'ai déchirée.

Vers 10h, il téléphone au service d'entretien, et demande que l'on installe sur la porte d'entrée du bureau, une serrure électrique.Puis, il me dit de prévenir Alain, que je ne passerai pas le week-end à la maison, ce soir, vendredi, jusqu'à dimanche soir nous avons un colloque.

Je lui fais remarquer que je n'ai plus de chemisier, n'ayant pas de boutons sur le mien . Je l'ai juste noué devant.Et puis, il me faut du change et mes affaires de toilette.

Sa réponse me glace

Ne t'inquiètes pas, tu seras plus à poil que vêtue.

A midi, je ne vais pas déjeuner, je me suis fait porter un sandwich par Brigitte.

Vers 16h30, Paul sort du bureau, il revient trois quarts d'heure plus et me jette un paquet sur mon bureau.

Tiens enfile ça, tu seras mieux, et vas faire un brin de toilette et mets toi un peu de maquillage.

Je prends le paquet, vais au cabinet de toilette, après m'être nettoyée, je sors du paquet une robe blanche, elle est très légère et me paraît très courte.

Je là mets, il connaît exactement mes mensurations, seulement, la longueur est vraiment mini.

, C'est une petite robe, tenant par deux bretelles qui cache à peine ma poitrine, deux bandes de tissus de 5 à 6 cm de large, nouées derrière le cou.

Le dos nu. De la taille au bas de la

jupe. il doit y avoir tout juste 40 cm, se qui fait qu'elle s'arrête juste à la hauteur de ma chatte. J'ai conscience qu'elle ne cache pas grand chose, et que si je m'assois, je serai exposée aux regards.

Mais je pense que c'est le but recherché, et je suis bien obligée de l'accepter.

Tout le personnel est parti, comme tout les vendredis soir.

Paul me prend par les épaules, nous sortons du bâtiment.

La DS 21 est à sa place de parking, Robert le chauffeur ouvre la portière arrière.

_Bonsoir, Mme Annie, Bonsoir Mr!!!!

Je lui réponds en essayant de ne pas montrer mon trouble.

Robert très professionnelle ne cligne même pas des yeux, pourtant il a bien remarqué ma tenue, qui ne cache pas grand chose.

Cela fait plus d'une heure que nous roulons, je demande à Paul où l'on va, il me répond que c'est une surprise, qu'il a dû un peu improviser vu ma scène de se matin.

Robert me jette un regard dans le rétroviseur, je rougis, je suis sur que lui est au courant de ce qui m'attend.

Nous arrivons enfin, devant une grande propriété .

Un portail monumental, un grand mur qui fait bien 2 à 3 mètres.

Robert descend, sonne, parle, le portail s'ouvre.

On suit une allée, puis on s'arrête devant une tres belle demeure.

Quelles marches montent jusqu'au perron,devant une porte également monumentale,

Plusieurs hommes attendent, visiblement du personnel , et devant la porte un couple.

L'homme fait un signe, et aussitôt deux serviteurs viennent pour prendre les bagages.

Robert ouvre le coffre et ils prennent une seule valise, celle de Paul.

On monte les marches, Paul me prend par la main.

Arrivée sur le perron , Paul dit bonsoir a l'homme et fait la bise à la femme.

Visiblement ils se connaissent bien.

Je suis gênée, je sens les regards des 6 serviteurs.

La femme me dévisage, puis fait un signe de la tête, un des serviteurs approche une petite boite entre les mains.

La femme lève le couvercle et sort un collier en cuir noir, et me le passe autour du cou, j'ai un mouvement de recul aussitôt stoppé par une paire de gifle.

La main de cette femme a fait un aller retour sur mes joues avec une force et une rapidité insoupçonnée.

Je porte une main a ma joue, par réflexe, je n'ai pas le temps de finir le mouvement que je reçois une autre gifle.

__Tu ne bouge pas, tu subis et tu la ferme! Tu n'es rien ici COMPRIS???

En me disant cela, elle a mis une petite laisse a un anneau du collier.

les larmes coulent sur les joues,Paul me lache la main .

La femme tend la laisse a un serviteur :

_conduisez la dans ces appartements et preparez la pour la soirée.

Je suis cet homme, consciente de m'a d'échéance, le cul et la chatte a la vue de tous, et le cou entravé comme un chien.

lOn arrive dans une pièce, ou trone au milieu un petit lit d'une place, devant la fenêtre une table avec une chaise, et a l'opposé, une grande douche a l'italienne entourée de verre, avec a côté une cuvette de WC, et un grand miroir collé au mur.

Sans un mot, l'homme enleve le collier, détache les bretelles de ma robe et me fait signe d'aller me laver.

Je comprends que je dois obéir.

Je suis sous la douche, quand un autre homme entre avec un plateau.

Il le dépose sur la table et vient vers moi.

_Allez, je vais te nettoyer, viens, mets tes mains sur la chaise et montre moi ton cul, écarte bien les jambes.

Docile, je me plie à son ordre, mais quand je vois sur le plateau les ustensiles je panique.

Il prend une énorme poire en caoutchouc, munie d'une longue canule, et me l'introduit entre les fesses.

Un liquide chaud se reprend dans mes intestins.

_Tu garde tout pendant 2 mn et tu vas te vider.

J'ai vraiment du mal à me retenir, mais quand il me dit ( vas y ), je me précipite sur la cuvette.

Je suis morte de honte de me soulager devant ces deux hommes. Il me semble que tout mon ventre part dans la cuvette.

Je me lève et tire la chasse d'eau

_Qui t'as dit de faire ça?, il faut que je vérifie, remets-toi en position, et vite.

Je ne veux pas me faire punir pour toi.

Il recommence le lavement, puis vérifie la cuvette.

Par 3 fois il recommence jusqu'à ce que l'eau soit claire.

Puis il me dit d'aller me laver.

Les deux hommes sont partis emportant ma robe, mais la laisse et le collier sont en évidence sur le lit.

Machinalement je me passe le collier au cou, et je m'allonge sur le lit.

Je ne sais combien de temps c'est passé , quant la femme entre dans ma chambre.

_Je vois que tu as compris, tu acceptes ta condition de chienne, suis moi, tu vas manger un peu, mais je te préviens, je ne veux pas un mot, pendant tout ton séjour, tu n'a pas droit à la parole.

Elle m'amène dans une salle, autours de la table se trouvent 3 jeunes femmes, très belles et nues avec la même laisse, c'est bizarre, mais leurs présences me rassure

On nous amène des assiettes, avec de la salade et du blanc de poulet et de l'eau.

On entend,dans la pièce a côté, des rires et une ambiance de fête.

Ils ont l'air de bien s'amuser, et je frissonne, car je comprends que bientôt ce sera nous les distractions.

Notre repas terminé, on nous amène dans des couloirs, on descend plusieurs marches, et on arrive dans une grande salle, visiblement une grande cave aménagée.

Une estrade au milieu, avec un lit, autour de l'estrade tout un assortiment de chevalets, d'engins de tortures dignes du moyen Âge.

Tout autour de la pièce, des fauteuils, des canapés.

Les lumières sont diffuses, a part la scène qui est éclairée par des projecteurs venant du plafond.

Un homme nous fait monter sur l'estrade,.

Il nous sépare en deux groupes de deux, puis comme je suis un peu petite, il m'échange avec une autre de manière à ce que nos tailles correspondent a peut près.

Il nous met deux de chaque côté du lit, trois autres hommes montent, et un derrière chaque filles, Ils nous mettent face aux fauteuils et canapés, nous font lever les bras, et nous entravent par des bracelets de cuir, curieusement recouvert de peaux, a une barre qui pend du plafond.

Puis, nos chevilles subissent le même sort, mais nos pieds sont extrêmement écartées, ouvrant notre intimité aux regards.

Un homme tire sur une corde, et nos bras sont tendues au maximum.

Ils descendent de l'estrade et quittent la pièce.En sortant ils éteignent la lumière nous laissant dans une totale obscurité.

Les larmes me coulent sur les joues, et j'entends une fille qui sanglote.

On reste un certain temps dans le noir, puis les lumières périphériques tamisées, s'allument, et dans un brouhaha des gens rentrent et prennent place autour de la scène.

Ils ont tous une cape et un masque, un loup sur les yeux. Néanmoins Ils y a des femmes, cela se voit par les chevelures.

La femme qui nous a reçu arrive et monte vers nous.

Elle porte la même cape, mais pas de masque.

La cape n'étant fermé qu'à la hauteur du col, s'ouvre quand elle bouge.

Dessous, elle a une combinaison en cuir noir, ouverte à l'entre jambe, laissant voir son bas ventre et sa chatte brune, deux découpes laissent passer des seins lourds aux larges aréoles brunes et de gros tétons tout aussi foncés.

Elle prend la parole :

_Chers amis, ce soir nous avons la chance d'avoir à dresser 4 esclaves, ces 4 soumises nous ont été amenées par leurs maîtres.

Nous ne devons pas les marquées, pas de traces sur le corps, mais a part ça, tout est permis.

Bien sûr, comme nous aimons le spectacle, l'une d'elle va être désignée par votre vote pour être la Star de la soirée et restera sur la scène pour le plaisir de vos yeux et je l'espère de vos oreilles.

Vous pouvez voter comme l'accoutumée un ruban de couleur va être posé sur la barre au-dessus de chaques filles , et des cartons vous sont distribués.

Pendant que les chapeaux tournent pour récupérer les cartons, je suis envahie par l'angoisse. Être exposée, au milieu de la scène me fait horriblement peur, je me mets à trembler.

La maîtresse des lieux renverse les chapeaux par terre et 2 serviteurs commencent le décompte.

Le verdict est rendu, c'est ma voisine qui est désignée, elle est détachée.

Elle est magnifique, une belle jeune fille de 20 ou 21 ans, brune cheveux courts, une poitrine bien tendue, 2 obus coniques aux aréoles roses foncées avec de tout petits tétons, un ventre bien plat, un petit triangle bien taillé de poils brun sous lequel sont apparentent les grandes lèvres des cuisses musclées , et quant elle se retourne, j'ai la vision d'un fessier qui paraît tres ferme et serré.

La marâtre la fait coucher sur le lit.

A peine est elle couchée, que deux hommes nus montent sur l'estrade. Le premier lui caresse la poitrine, elle est terrorisée, avec ces mains elle essai de se protéger, mais l'autre homme la tire par les pieds, l'amène au pied du lit, et sans autre forme, il lui plante sa queue dans la chatte, elle pousse un cri de douleur.

Certains dans la salle applaudissent.

Elle crie et pleure, le premier s'acharne sur ses seins, il en mordille un et tire sur l'autre en le vrillant.

Elle appelle ( Yves...) En lui demandant pardon, elle lui jure qu'elle ne désobéira plus. Mais personne ne vient a son secours.

Un homme d'une trentaine d'années monte sur l'estrade, parle a la marâtre.

Celle ci se tourne vers moi

_Tu a gagné ma poulette, cet ami vient de t'acheter pour la soirée!

Je suis libérée, je suis l'homme.

_C'est mon père à qui tu as plu, vient a notre table.

Je n'avais pas remarquée, mais beaucoup étaient déjà nus, hommes et femmes, en vérité ils étaient nus sous leurs capes.

J'arrive devant un groupe de personnes, tous de type maghrébin,un vieux monsieur, la cape ouverte sur un gros ventre et surtout un tout petit sexe, sur deux gosses balles, mais assez fort en diamètre.

L'homme qui est venu me chercher me dit :

_Voila mon père, il aime tes seins, mets toi à sa disposition.

Je m'avance, je sais que toutes résistante est inutile et que même je risque une punition. Je tombe à genoux devant le viel homme.

Il me regarde droit dans les yeux, il a un regard persan, presque cruel.

Je suis glacée, je tremble, prenant sur moi, je tends la main, attrape sa petite bitte, et avance la tête et le prends en bouche.

Étonnamment, il me caresse les cheveux. mais sa bite reste molle dans ma bouche

_Desole, mais avec moi tu ne crains plus grand chose. Mais mes fils vont s'occuper de toi.

Approchez la table et montez les pieds et installez la.

Celui qui est venu me chercher se lève suivi de celui qui doit être son frère, ils se ressemblent beaucoup. Ils attrapent la petite table basse, la soulèvent, et sortent des pieds télescopiques. Ils mettent un petit coussin qui etait sur le canapé.

Ils me prennent dessous les bras et me dépose sur la table, mais comme la table n'est pas très longue, j'ai la tête dans le vide et les jambes qui pendent.

Ils m'atachent les poignets sur les pieds de la table, puis remontent mes pieds contre mes fesses et les lient sur deux anneaux sur les côtés de la table.

Je ne peux plus bouger, je suis exposée, la chatte ouverte, mais je n'ai pas le temp de m'apitoyer sur mon sort.

Je comprends vite pourquoi ma tête est dans le vide, étant sur le dos, ma bouche est vite investie par un sexe.Je remarque qu'il est circoncis, le gland me paraît très gros par rapport au reste.

Son frère me plante sa queue dans ma chatte.

Ils ne me font pas l'amour, ils me baisent avec violence.

Le vieux ne reste pas inactif, il a approché son fauteuil et joue avec mes tétons. Il les excite, les pince, mais juste à la limite du supportable, puis c'est juste une caresse sur l'extrémité.

C'est insoutenable, et mon premier orgasme, malgré ma condition, me vient par les seins.

Je me cambre, ce qui fait rire le vieux.

Celui qui est dans ma bouche, s'enfonce si profond que je ne peux plus respirer, Je suffoque, mais il se maintient, et decharge son sperme directement dans l'œsophage, je suis donc obligée de tout avaler .

Son frère qui est plus endurant, sort de ma chatte et me plante sa bite dans l'anus, je ne peux pas crier, son frère à laissé sa place à un autre homme qui me tient la tête et me baise la bouche.

La queue qui me ramone le cul, m'envoie dans un autre orgasme .

Les hommes vont se succéder, à un rythme inouï. Les orgasmes également, je ne comprends pas que mon corps me trahisse comme ça.

J'avale des quantités de foutre, ma chatte et mon cul ruisselle, je perds la notion du temps.

Je ne comprends pas comment tous ses hommes ont du plaisir à venir mettre leurs bites dans nos orifices pleins de sperme.

A un moment j'ai dû m'évanouir, car maintenant je suis sur le canapé avec le vieux qui ne lache pas ma poitrine.

J'ai des renvois, l'estomac ne supporte plus la quantité de sperme que j'ai ingurgitée.

Je regarde autour de moi, je ne vois que des corps nus hommes femmes, certains on toujours leurs capes, mais tous ont leurs masques.

Un grand gaillard s'approche de nous, je vois le vieux qui fait oui de la tête,il attrape mes chevilles, les soulève, se qui me fait décoller les fesses du canapé et sans une parole, il me plante sa bite dans ma chatte.

Il me ramone en tenant mes chevilles contre ses flancs.

Le vieux joue toujours avec mes mamelons. La bite vient très profond et cogne mon utérus.

Je perds tous mes repaires, une énième jouissance m'envahit, je m'entends crier.

Je plane littéralement.

Je me réveille dans mon lit, dans la chambre qui m'a été donnée à mon arrivée.

Curieusement je suis propre, je sens sur ma peau une légère odeur de jasmin, de mes cheveux sont soyeux.

Je ne me souviens plus comment je suis arrivée la.

En cherchant au fond de ma mémoire, je me vois portée par un homme, puis assise sur un tabouret en plastique, l'homme nu, qui me douche, puis plus rien.

Je me lève pour aller au toilette, mais j'ai beaucoup de mal a marcher, mon cul, mes reins, tout me fait souffrir.

J'arrive à me trainer jusqu'aux toilettes, puis je me glisse sous la douche.

Je n'ai pas rêvée, il y a le tabouret, je m'assois pour me doucher.

Je grimace, mon anus est douloureux, et quand je regarde ma chatte, elle est rouge , toute boursouflée, mes seins sont également très sensibles.

A peine j'ai fini de me laver, qu'un serviteur entre,et me dit de le suivre.

Voyant que j'ai du mal à me déplacer, il passe mon bras gauche derrière son coup et m'aide à marcher.

Arrivée dans la petite salle à manger, mes 3 compagnes d'infortune sont la, et elle sont dans le même état que moi.

La marâtre entre, nous dit que vu l'heure, nous allons pouvoir diner, et que l'après midi, on est libre . Elle ajoute que nous pouvons parler, et profiter des installations comme la piscine, le jacuzzi Ou les saunas et hammams.

Elle ajoute que nous devons rester nues et ne pas chercher a contacter les invités, nous recommande de nous reposer, car ce soir, samedi ,nous allons être à nouveau les reines du bal.

Apres un repas frugal, ou nous avons fait un peu connaissance, je décide d'aller me reposer dans ma chambre

Josiane, la plus jeune, qui a été exposée la veille, et avec qui j'ai le plus parlée, me rattrape et m'attrape par le bras

_Annie, ne me laisse pas seule, je t'en prie, viens avec moi, allons au jacuzzi, cela nous détendra.

Elle me prend la main, et nous nous dirigeons vers les jacuzzi , qui se situent au rez de chaussé.

C'est vrai que l'eau chaude me fait du bien, la tête en arrière, les yeux a demi fermés, je regarde Josie,

Elle est magnifique, et je ne peux retirer mes yeux de sa poitrine.

Elle se masse délicatement les seins, tout en parlant, elle me raconte que c'est son frère qui a 2 ans de plus qui l'a amenée ici, elle a toujours été amoureuse de lui, il l'a déflorée le jour de ses 18 ans, elle en a tout juste 20 , et aime etre dominée par lui, je l'écoute a peine

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