SAP&cie 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Euh ..!? quoi? quand? je sais plus, dit-elle paniquée.

- Du calme Jess, du calme, ce n'est pas un piège, réfléchis, tu vas trouver.

Elle fut émue par la confiance qu'il lui accorda, essaya de se détendre et trouva de suite la réponse puisqu'elle l'avait déjà trouvée seule lorsqu'il avait mis de la graisse sur ses parties intimes pour les protéger du froid.

- Oui, pardon. Vous avez dit que je devais laisser mon corps s'exciter sous vos mains pour le rendre plus réceptif à vos exercices physiques, dit-elle le visage rayonnant d'avoir la réponse.

- Ouii c'est parfaitement ça Jessie chérie. Tu vois quand tu veux, dit-il en levant le pouce en souriant.

Elle se sentit fière et fut d'autant plus réceptive et prête à accepter ce que son merveilleux coach avait prévu pour "s'occuper " de son corps.

- Pour ça, il faudra que tu te concentres uniquement sur mon touché. Je vais donc contrôler tes autres sens. Ses oreillettes vont diffuser de la musique classique avec différent thème suivi d'un bruit blanc qui t'isolera des sons extérieurs, ça contrôlera ton ouï, dit-il en lui tendant un casque audio sans fil d'une grande marque. Prends cette pastille à la menthe, dit-il en lui tendant un bonbon blanc, ça te donnera de l'air et contrôlera le sens du goût, je te frotterai de temps en temps les lèvres, ce sera le signal pour que tu ouvres la bouche afin de te donner mon cock-tails spécial recup, fait maison, dit-il en secouant une sorte de shaker avec "MYPROTEIN" inscrit dessus. Car ce masque de nuit, ici présent, va te plonger dans le noir total, continua-t-il. Tu ne verras rien et tu ne sauras pas quand ouvrir la bouche. Faudra t'appliquer à bien téter et bien suçoter le bout du shaker comme une tétine de biberon car peut y avoir des grumeaux. Et pour finir, je vais utiliser des huiles essentielles pour l'odorat. Le plus important c'est que tu te détendes pour commencer d'accord?

- D'accord, dit-elle complètement docile, n'ayant de toute façon plus la force de contester quoique ce soit.

- Ensuite, quand je vais stimuler tes zones érogènes tu devras te concentrer sur les zones que je te touche. Tu as bien compris?

- Oui coach.

- On commence?

- Oh oui coach.

Pour montrer son acceptation, elle laissa glisser son peignoir et s'allongea sur le ventre. De nouveau, si Jessica avait tourné la tête, elle aurait vu le visage de son coach affichant un expression de prédateur sur le point d'achever sa proie. C'était inimaginable de voir cette sublime créature, aussi jolie que coincée, se foutre à poil comme ça et s'allonger nue sur une table acceptant qu'un presque inconnu lui prodigue un massage et des attouchements pour le moins intime. Ces deux personnes, aussi bien Jessica que Dylan n'auraient imaginé possible, il y a encore une heure, une telle situation. Mais cette situation arriva belle et bien. La jeune femme avait été préparé pour se libérer. Bruno et Dylan avait les clefs de son subconscient et savait quoi faire pour la convaincre petit à petit à faire ce qu'ils voulaient.

La jeune femme, couchée sur le ventre, positionna elle même le casque, puis le masque. En effet, elle était coupée du monde, totalement dans le noir, n'entendant qu'un petit air de grande musique. Elle sentit le coach lui saisir les mains pour les lui tendre au dessus de sa tête tel superman.

Puis, commencèrent les massages de son corps nue avec les huiles essentiels. D'abord sa nuque, le haut de ses épaules. Doucement. Ses omoplates, ses flancs. Lentement. Sa colonne vertébrale, ses reins, ses lombaires. Délicatement. Ses hanches et enfin, ce qu'elle attendait, son fessier. Mais avant, il l'a tira par les pieds et la fit glisser au bord de la table afin que ses jambes soient à la vertical, ses pieds au contactes du sol et surtout son cul en accès libre aux intentions de Dylan. Il va me malaxer les fesses, mon cul, mon cul nu, ma raie, il va titiller ma sale petite rondelle.

Elle s'était dit entre-temps que la visualisation des actes de son coach allié à l'utilisation de termes crus l'aideraient à déclencher son excitation. Et ce fut bien le cas. La jeune femme, allongée sur la table de massage, découvrait réellement, pour la première fois, le plaisir d'être touchée. Elle se laissa aller et plongea dans un état second, alors que Dylan s'amusait avec son joufflu.

Elle l'avait senti soulever ses hanches pour glisser dessous un petit coussin, rehaussant ainsi son bassin par rapport à son buste. Il lui avait écarté légèrement ses jambes tout en plaquant son ventre à la table de tel sorte que la cambrure de ses reins permettait de présenter un orifice anal totalement offert aux jeux de Dylan.

Jess ne put réellement évaluer le temps que prit son cher coach pour éveiller chez elle le plaisir d'offrir son cul au bon vouloir d'un homme. Ce qui était certain, c'est qu'elle ne refoula à aucun moment cette sensation nouvelle, acceptant les stimulations de son oeillet, prémisses d'un touché rectal qui pourtant n'arriva pas et regrettant même que cela s'arrête avant qu'il ne lui ai inséré un doigt.

Car elle sentit les mains du coach la tourner sur le dos. Une fois dans la position voulues, à plat dos, ses bras furent de nouveau levés puis ses mains furent emmenés sous sa tête. Toujours dans le noir absolu, elle essaya de visualiser la scène du point de vue de son coach, elle lui offrait littéralement son corps entier avec ses bras dans cette position de soumission. Elle était pourtant prête pour la suite.

Si l'excitation de Jess avait un peu diminué lors du changement de position, elle remonta en flèche lorsqu'elle s'imagina la suite.

Oh bon sang, il va jouer avec mes seins, mes tétons et ... et ... oh putain ... ma chatte.

Et c'est ce qu'il se produisit, pourtant ce massage était similaire au badigeonnage d'huile de début de séance. Mais le corps qui avait pourtant subi ce traitement auparavant n'était plus du tout le même. Il était maintenant le récepteur consentant des attouchements de Dylan Pierce. Le changement d'état de ce corps, divin dans un futur proche, était dû au changement d'état d'esprit de sa propriétaire et d'un désir jusque là refoulé au plus profond d'elle par ses craintes qui n'avaient pas lieux d'être dans le contexte présent.

En effet, Jessica était terriblement complexée. Elle n'avait même jamais laissé Bruno la voir totalement nue jusque là, ils n'avaient même pas encore fait l'amour, après trois mois de relation, alors qu'elle vivait depuis un mois chez lui. Elle en avait honte. Honte d'avoir honte. D'autant plus que Bruno était un modèle de patience, augmentant encore son malaise. Mais cela s'expliquait par cette peur, toujours la même peur, celle où l'homme de sa vie se détournait d'elle en pointant du doigt des défauts physiques dont elle n'aurait pas conscience et irait voir Lucie ou pire Jena. Cela l'empêchait de s'ouvrir, cela l'empêchait d'éprouver du plaisir avec quelqu'un car les visages de ses soeurs la harcelaient aux moments cruciaux.

Mais là, ce jour là, trois mois après son inscription à la salle et trois mois avant cette matinée dans le tram, tout était différent. Non seulement son coach connaissait déjà son corps, avait stocké sa silhouettes dans sa mémoire, comme il l'avait lui-même dit, et donc qu'elle n'avait plus rien à cacher, plus rien dont elle pourrait avoir peur qu'il découvre, mais en plus, il fallait qu'elle éprouve du plaisir, elle le devait pour obéir à son formidable coach et à Bruno. Son coach, qui savait comment la transformer. Qui savait et allait faire en sorte qu'elle n'ait plus peur de son corps. Qu'elle n'ait plus peur de le montrer et le donner à Bruno. Qu'elle s'épanouisse enfin grâce à lui. En n'étant plus source de peur mais source d'envie pour son homme, de plaisir pour elle et de jalousie pour Jena.

C'est toutes ses pensées et perspectives sous jacentes, conscientes et inconscientes qui laissèrent le plaisir de la jeune femme nue de vingt ans monter d'un cran lorsque son coach lui titilla les tétons, ses tétons devenus hypersensibles par l'excitation et tendus par la position. Elle sentit des contacts tantôt froids, tantôt chauds, tantôt doux, tantôt rapeux, souvent humides.

Jess essayait tant bien que mal de rester immobile alors que son coach jouait avec ses beaux nichons bien développés. Mais le plaisir l'emporta. Dans le noir, n'entendant plus rien, ce plaisir fut presque insurmontable. Elle ne savait pas si des sons sortaient de sa bouche. Mais si ça n'était pas encore le cas ce le fut quelques minutes plus tard.

Car ensuite, il était passé à son ventre et son bas ventre mais sans jamais passer les lignes formant un V imaginaire tracée entre les deux points que représentaient l'épine de chaque hanche et le haut de son clitoris. La perspective qu'il le fasse très prochainement rendait la superbe jeune beauté totalement folle. Folle d'un désir jamais ressenti auparavant.

Mais avant que cette ligne soit franchie, elle sentit quelque chose lui toucher les lèvres. Elle mit quelques secondes avant de réaliser et de réagir.

Ah j'dois ouvrir la bouche, c'est le moment du cocktail spécial récup. Elle ouvrit docilement la bouche, sortit légèrement la langue comme dans un état second. Elle sentit quelque chose se présenter dessus et entrer dans sa bouche alors que la main du coach était plaquée sur son front l'empêchant de bouger la tête. Je vais bien m'appliquer à téter. Comme "la tétine d'un biberon" a-t-il dit. Ah je sens la petite ouverture du shaker, je vais le suçoter avec ma langue.

Très rapidement, elle sentit un liquide tiède, un peu épais, dont elle ne pouvait vraiment déterminer le goût à cause du goût de la pastille, lui remplir par saccade presque entièrement la bouche puis elle avala sa gorgé de mixture comme une bonne petite fille obéissante.

Une fois cette étape franchie, la bonne Jessica toujours dans cette position de soumission, les mains sous sa nuque, subit la deuxième partie du massage.

Elle sentit son coach lui saisir le pied droit, pour un soin de réflexologie plantaire digne d'une professionnelle nipponne. Ce moment fut un instant de détente incroyable pour Jess mais la rendait encore plus réceptive, la préparant aussi bien physiquement que psychologiquement pour la suite.

Elle fut reconnaissante qu'il reparte d'en bas car elle put ainsi faire descendre son excitation. Mais ce répit fut de très courte durée. Et ne fit que repousser l'inévitable. Jessica, la bonne et naïve jeune femme de vingt ans, son corps nu et offert aux mains d'un homme qu'elle ne connaissait qu'à peine, était en route pour éprouver le premier et intense orgasme de sa vie. À présent, il s'occupait de ses mollets, mais ne tarda pas à monter aux cuisses. Il lui massa les quadriceps puis passa aux ischio-jambiers pour finir évidemment par les adducteurs qui couraient à l'intérieur des cuisses et dont le massage menait les mains de l'homme vers l'entre-jambes de Jess.

La jeune femme était cuite à point. Elle avait le souffle court, le dos qui se cambrait involontairement, ses mains voulaient se satisfaire seule mais n'en avait pas l'autorisation. Soudain, elle sentit ses jambes être levées à la verticale, ses genoux se plier et ses talons s'appuyer sur quelque chose (sans doute le dos ou les épaules de Dylan) puis un contact humide sur son mont de vénus inérvé au maximum. Ses lèvres, son clitoris reçurent le même long et consciencieux traitement que ses tétons. Des attouchements tantôt chaud tantôt froid, doux, rapeux. Elle ne put mettre le mot de cunnilingus sur cette acte car sa conscience fut complètement balayée par le plaisir qui la traversa tel une décharge électrique. Ce fut un véritable tsunami. Elle en perdit connaissance quelques instants.

Oh mon dieu! Que c'était intense. De retour dans le tram, Jessica était toute rouge. Non seulement par l'excitation engendrée par ce souvenir mais aussi parce qu'elle avait émis un petit gémissement involontaire pour le moins gênant. Les voyageurs du tram regardèrent la jeune femme avec surprise. Si il y a encore quelque mois elle aurait été morte de honte, aujourd'hui elle fut surprise de se voir, de manière instinctive, profiter de l'attention qu'elle avait obtenue malgré elle pour se donner en spectacle. Elle adopta une posture de danseuse de pole-dance avec la barre de maintien du tramway. Instinctivement, elle empoigna la barre d'une main, se redressa puis cambra légèrement son dos en écartant tout aussi légèrement les jambes, suffisamment pour qu'elle offre son cul parfaitement moulé dans son short à tous les passagers qui ne se gênaient pas pour la mater.

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Dans la troisième partie :

- La petite allumeuse Jena apprend à conduire en mini-jupe mais des complications s'amoncellent!

- Jena provoquera un accident qui aura des conséquences dans la vie d'une jeune conductrice.

- Jamila connaîtra la raison du désarroi de Lucie.

- Nous ferons plus ample connaissance avec le machiavélique et sans scrupule sous-directeur Kahlouf.

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