Safari De Dépravation - Ch. 03

Les deux époux devaient aussi laver leurs maîtres avec leurs langues. Il était difficile de savoir qui avait le pire rôle. Dylan devant lécher les deux frères qui suaient beaucoup et se salissait à la chasse durant la journée. Des pieds sales et couverts de sueur, il montait à leurs trous du culs merdeux, prenait chacune de leurs boules dans sa bouche pour les laver de leur sueur avec sa langue (cette langue qui autrefois apportait tant de plaisir à sa femme apprenait maintenant de nouvelles compétences), pour finir par leurs aisselles rances et leurs oreilles cireuses.

De son côté, Hannah devait nettoyer non seulement le chef, mais aussi ses deux autres épouses. Elles lui donnaient bien plus de surface à lécher et laver, et en particulier la plus grosse femme. Elle devait soulever et lécher chaque pli de graisse, y compris l'espace plein de sueur sous chacun de ses gigantesques seins et le caverneux et humide trou du cul qui pouvait avaler la tête entière d'Hannah.

De plus, tandis que les deux frères pissaient régulièrement dans la gorge de Dylan dans des proportions qui rendraient un cheval fier, et le nourrissaient de chacun de leurs étrons, Hannah devait elle servir de toilettes non seulement pour le chef, mais aussi pour ses deux autres femmes.

La plus vieille était très grosse et s'asseyait de tout son poids sur la tête d'Hannah, la faisant suffoquer, ne lui laissant de l'air que lorsqu'elle sentait qu'elle se débattait moins fort, ce qui était signe qu'elle était proche de tomber dans les pommes. Parfois le seul air que Hannah recevait pendant une minute ou deux était les pets volumineux et puants de la grosse femme noire, qui pétait dans sa bouche avec une grande force. Hannah se demandait comment Dylan pouvait le supporter lorsqu'elle-même pétait dans sa bouche! Et elle mangea une TONNE de merde, en volumes massifs à chaque fois. Un simple « repas » de la grosse femme noire pouvait distendre le ventre habituellement plat comme une planche de Hannah et la laisser se sentir remplie pour plusieurs heures.

L'autre femme, la plus jeune, était grande et musclée, une femme cruelle qui prenait un plaisir sadique à nourrir Hannah de sa merde. Elle ressentait le fait qu'elle dusse partager le chef avec cette putain blanche comme une insulte et faisait savoir à ladite putain blanche se qu'elle pensait d'elle en des termes inéquivoques. Elle obligeait Hannah à supplier de manger sa merde, puis la giflait pour la mettre à terre, puis la maintenait au sol par la force et l'y attachait. Elle utilisait des sangles de cuir et un appareil spécial en bois pour maintenir la bouche d'Hannah ouverte, puis elle s'asseyait au dessus de la bouche de sa victime, en lui pinçant et lui tordant les têtons pendant qu'elle chiait de longues et fermes crottes directement dans la gorge d'Hannah, ne lui permettant même pas de mâcher! Elle forçait la merde bien ferme à avancer directement dans son œsophage. Après qu'elle ait mis presque 3 décimètres d'étrons bien durs dans sa gorge, elle se relevait et utilisait son pied pour forcer les derniers centimètres de merde au fond de la gorge de la salope blanche. D'autres fois, elle faisait exprès de manger des plats qui lui remuaient les entrailles et lui donnaient de terribles diarrhées qui explosaient dans la bouche d'Hannah avec une force immense. Si Hannah ne pouvait avaler assez vite, si elle renversait une simple goutte, sa tortionnaire passait l'heure suivant avec Hannah à genoux. Elle posait pied sur sa tête et la maintenait dans une grosse pile de crottes de zèbre, la forçant à manger tandis qu'elle, femme noire supérieure, lui donnait une fessée sévère et sauvage. Hannah jouissait à chaque fois qu'un tel traitement lui était infligé.

Par ailleurs, le couple blanc n'était pas exclusivement réservé à leurs propriétaires. A chaque changement de saison, la tribu tenait un festival. Durant ces célébrations d'une semaine, les deux étaient attachés à des arbres comme lors de leur première nuit, et utilisés à la chaîne par tous ceux qui le souhaitaient. Ils étaient violés en gangbang et servaient de toilettes à tous.

Un festival saisonnier était différent, spécial : le festival du printemps. C'était le festival de la fertilité, plus important que tous les autres. Les dieux demandaient un traitement particulier pour assurer la fertilité des sols, les bonnes récoltes et la virilité de leurs animaux reproducteurs. Pour assurer la fertilité des sols, les deux blancs étaient nourris de la merde de chaque homme, femme et animal de la tribu pendant 3 jours consécutifs. Pour assurer les bonnes récoltes, ils étaient abreuvés de la pisse de chaque homme, femme et animal de la tribu pour 2 autres jours supplémentaires, et devaient boire tout jusqu'à la dernière goutte. Pour assurer la virilité des animaux reproducteurs, la tribu les attachait sur les genoux, face contre terre et leurs culs levés, exposés à l'air. Pendant un jour et une nuit, chaque animal mâle, y compris les chiens, les porcs et les buffles, était amené pour baisé le couple aussi fréquemment qu'ils le pouvaient. Le nœud des bites canines remplissait la chatte d'Hannah et la chatte-cul de Dylan. Humiliation particulière, les femmes de la tribu cherchaient une femelle hyène, avec son large clitoris plus gros que le sexe des hyènes males avec leurs bons 25 centimètres, et enculaient Dylan avec. Elles riaient toujours en constatant que Dylan était la pute d'un animal femelle dont le clitoris faisait 4 fois la taille de son ridicule membre « viril ».

Ils commençaient le festival à l'aube et le terminaient à minuit, sous la pleine lune, en plaçant une grande quantité de merde de zèbre avec des herbes aux œstrogènes entre les deux visages du couple blanc. Puis ils enterraient leurs têtes sous le mélange tandis que les deux plus grands étalons zèbres les violaient en les enculant et que la tribu dansait autour d'eux en jouant du tambour. Les zèbres jouissaient à répétition et n'étaient pas autorisés à démonter leurs « femelles » tant que Hannah et Dylan n'avaient pas terminé le large bol de crottin de zèbre. La tribu était très contente des performances de Hannah et Dylan, car leurs troupeaux se multipliaient grandement chaque année.

***

Hannah et Dylan se revoyaient de temps en temps. Ils parlaient maintenant le langage de leur tribu. Hannah regardait Dylan comme une autre femme de la tribu, et réciproquement. Ils ne se reconnurent plus jamais comme le coupe heureux qui était parti dans une lune de miel si téméraire au Congo, et oublièrent vite qu'ils avaient même eu une autre vie avant la tribu. Ils passèrent le reste de leurs vies au cœur des ténèbres, dans les profondeurs sauvages du continent noir.

Fin.