Road-X-Trip (FR) Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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-- Oui, Olga, plus vite tu t'y mets plus vite ce sera fini.

Et Billette de rétorquer du tac au tac.

-- Allons donc, vous connaissez pas l'animal. Avec moi, votre blonde elle en a pour un moment! 'Sti, pour un peu vous allez pouvoir dormir dans votre RV avant qu'elle vous rejoigne!

Je pose ma main sur la cuisse de Richard. À mon grand soulagement, il la serre dans la sienne et me lance un sourire. Je peux voir qu'il se force. Mais cela me rassure. Je fais le tour du bureau. L'homme me regarde. Ses yeux sont voraces. Il pivote sur sa chaise à roulette, écarte les jambes, m'invite à m'agenouiller devant lui. Je m'exécute, jetant un coup d'œil à Richard.

-- Allons donc, faites vot' job. Pis' j'va faire le mien en même temps.

Il se retourne vers Richard.

-- Récapitulons, voulez-vous donc?

Le concessionnaire s'emploie à résumer l'intégralité du contrat. J'ouvre la braguette de son pantalon, en sort sa queue déjà vibrante. Son gland est hideux, bouffi, fripé. Son manche est parcouru de veines protubérantes. Je crache dans ma main. J'attrape son sexe et me mets à l'astiquer. Du haut vers le bas. Du bas vers le haut. J'entends les mots « camping-car », « immatriculation », « 15 000 dollars... » Richard prononce mon nom. À moins que ce soit Billette. Ou bien n'ont-ils pas parlé de moi du tout. Tout se mélange dans ma tête. Je ne suis plus dans le même monde. Je suis en dessous. Aux pieds des hommes. De cet homme. Je n'ose pas lever la tête au-dessus du bureau. J'ai peur de faire du mal à Richard. Je parviens à l'apercevoir. À son tour, il signe le contrat, tête baissée, concentré sur sa tâche. Il tente de faire abstraction du reste. L'autre lui indique les cases à remplir.

-- Oui c'est ça là. Oui, oui. C'est là. C'est là... lâche le vendeur.

Qu'est-ce qu'il raconte? Il me faut quelques secondes avant de comprendre que ces interjections me sont destinées.

-- Dis... Elle a du talent pour les handjob vot' blonde. Vous devez pas être le seul sur qui elle s'exerce, souffle-t-il, tentant de tourmenter Richard un peu plus.

Mais là, il dépasse les bornes. Entre rage et espièglerie, j'empoigne son manche d'une main, ses bourses de l'autre, aussi fort que je le peux. Il étouffe une plainte aigue. Je presse très lentement, de haut en bas. Je broie la base de son pénis. J'écrase ses boules l'une contre l'autre. De bas en haut maintenant. Je tire contre la couronne de son gland. Ses jambes tressaillissent. Je l'entends gémir, entre douleur et plaisir coupable. Richard s'en rend compte. Il lève les yeux, étonné. Billette fait mine de rien mais ses traits crispés trahissent son malaise. Je saisis l'opportunité pour redresser la tête. Mon regard croise celui de Richard. Il comprend au sourire perfide affiché sur mon visage la cause des maux du vendeur. Richard glousse pour lui-même et continue de remplir le contrat comme si de rien était. Je libère légèrement mon étau tout en gardant une ferme prise sur les bourses du pauvre homme. Son manche aurait bien besoin d'être lubrifié mais je laisse filer quelques instants avant de cracher à nouveau dessus.

De l'autre côté du bureau, Richard pose le stylo et se lève. Il ne peut s'empêcher de me regarder tandis qu'il tend le document au vendeur. Billette attrape le papier.

-- Veux-tu bien... hugh... patienter une seconde ma jolie, je reviens de suite, souffle-t-il à demi-mot.

Plié en deux, il pivote sur sa chaise et place le document sur le scanner d'une imprimante presque entièrement dissimulée sous les dossiers et autres babioles. Il sort un double de chaque feuille et redonne l'original à Richard. Enfin, il lui tend la clé du camping-car.

-- Vous savez où trouver le RV... pas besoin que j'aille avec vous, là.

Il remballe d'un geste malhabile son sexe enflé puis raccompagne mon petit-ami à la porte en titubant. Je m'appuie contre la table. Richard se retourne et nous échangeons un dernier coup d'œil complice. Une fois close derrière lui, l'homme ferme les stores de la porte et ceux de la fenêtre. Il retourne s'asseoir, me prie de reprendre là où j'ai été interrompue. Maintenant, mon objectif est de faire juter ce misérable type et d'en finir avec lui. Je m'avance plus proche de son entrejambe, pressant mon corps contre ses jambes. J'approche mon visage de sa queue. Je sais à quel point cette simple vue les excite. J'appuie mes coudes contre ses cuisses et je presse son sexe de mes deux paumes. Je pense à Richard. Je me dis qu'il s'est sûrement esclaffé, une fois sur le parking, après avoir vu le pauvre bonhomme marcher en canard devant lui. Je me focalise à nouveau sur ma tâche, crache sur mes mains et branle énergiquement le gars. Plusieurs minutes s'écoulent. J'alterne les rythmes. J'essaie de ne pas être monotone dans mes va-et-vient. Mais cela ne semble pas suffire.

-- Écoute donc... T'as beau être une p'tite beauté, 'falloir qu'tu donnes un peu plus de ta personne si tu veux te débarrasser de moi. me lance-t-il. Sors-moi tes seins et astique-moi donc avec. Tu m'as l'air d'avoir une ben belle paire. Montre-moi donc ça!

J'hésite quelques secondes. Dois-je aller jusque-là? Mais je ne réfléchis pas longtemps : je veux terminer ce que j'ai commencé. Je laisse tomber les bretelles de mon débardeur et défais l'agrafe du soutien-gorge qui retiens ma poitrine. Billette lâche un roucoulement de plaisir à la vue de mes seins libérés.

-- Vous aimez mes grosses loches? susurré-je, charmeuse. Je joue quelques instants avec, les soupesant dans mes paumes.

-- Ils sont de taille parfaite pour mes mains, estime-t-il.

-- Je ne vous laisserai pas les toucher, si c'est ce que vous insinuez par-là.

Il grommèle de mécontentement. Je dois poser une limite très claire. Il a baissé les stores pour que Richard ne puisse pas voir ce qu'il se passe à l'intérieur, mais je ne veux pas laisser cela m'intimider.

-- Alors, branle-moi avec. Attends-tu que la nuit tombe? gronde-t-il d'un ton hargneux.

Une fois de plus, je m'exécute. Soulevant ma poitrine, j'enveloppe sa queue entre mes deux seins. Je les presse contre sa bite à l'aide de mes paumes. Je fais glisser ma peau contre son manche frémissant. Sans me prévenir, il crache à l'intérieur de mon clivage. Je lui jette un regard noir. Il doit comprendre qu'il est hors limite. À mon tour, je laisse couler un filet de salive le long de son membre en érection. Je le masse de bas en haut. Puis de haut en bas. J'opère des mouvements circulaires. Je crache encore.

-- Ostie de tabernac'... continue à m'astiquer d'la sorte, j'vas t'cracher mon sperm all over your face! maugrée-t-il, levant les yeux au plafond.

Je poursuis mes va-et-vient. J'abats encore plus fort mes seins contre son abdomen. Ses gémissements de plaisirs se transforment en spasmes. Il empoigne son bureau. Il s'avachit de plus en plus sur sa chaise, m'obligeant à le soutenir avec mon corps. Je commence à fatiguer. Mes seins endoloris par les compressions et les claquements, deviennent plus sensibles.

-- Ha... Sti' de calice! Prends-ça! Enfin il explose dans une ultime plainte de plaisir, répandant de filets de sperme sur mes seins et son costume, souillant au passage mon débardeur.

Un calme soudain s'installe tandis que je reprends mon souffle. Lui reste prostré sur sa chaise, les bras ballants. Dès que je m'en sens capable, je laisse retomber son sexe. Je me relève et me rhabille, ne lui laisse pas le temps de se ressaisir alors que je me dirige à grands pas vers la sortie.

-- Bon voyage hein... lâche-t-il, retrouvant ses esprits. Je me retourne. Il s'est redressé, coudes appuyés sur le bureau. Vous aut' avez du fun là.

-- Euh... Vous aussi...

Je réponds sans vraiment réfléchir, contemplant la pièce miteuse. Le néon défectueux, les dossiers par terre. C'est sa vie. Est-ce qu'il a beaucoup de « fun », lui? Quoi qu'il en soit, j'espère qu'il a apprécié cet instant. Je voudrais lui dire de se relever. De se ressaisir. De reprendre sa vie en main. Mais je n'ose pas. Que sais-je de lui à part qu'il travaille dans un taudis et ne prend pas soin de son apparence? Je pousse la porte.

-- Portez-vous bien... dis-je en retrouvant la lumière du jour.

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