Recalée de Parcoursup

BÊTA PUBLIQUE

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IV) Divers

A) BDSM : 15 heures

Formation basique sur le sado-masochisme. Utilisation de la cire, de la fessée. La moitié des heures doit être passée comme sujet d'expérience pour les autres élèves.

C ) Lesbianisme : 20 heures.

Apprendre à bien lécher, à caresser des seins et à mordiller un clito. Apprendre à mouiller quand il le faut.

D) Masturbation : 10 heures

Comment se toucher en ayant l'air sensuel et donner envie aux autres, rien qu'en ayant l'air de prendre son pied avec ses mains.

4) Apparence

A) Langage : 15 heures.

Apprendre à parler comme une pute, utiliser les termes adéquats au bon moment. Savoir comment vendre son corps et se désigner en tant que salope bouffeuse de queue. Savoir utiliser un langage soutenu quand il s'agit de se faire passer pour une poule de luxe.

B) Strip-tease : 10 heures.

Les trois premières heures serviront à enseigner la manière de retirer ses vêtements langoureusement. Les sept suivantes pour faire de même, mais avec de la musique et en dansant.

C) Apparance vestimentaire : 15 heures

Comment et quand s'habiller sexy ou vulgaire. Comment faire savoir à un client que l'on est une pute au premier coup d'œil. Dans la vie courante, quel vêtement choisir pour avoir l'air classe tout en ne laissant pas de doute que sous ces habits se cache une cochonne en chaleur?

D) Épilation : 5 heures.

Quelle épilation pour avoir une chatte qui donne la trique? Du ticket de métro, à la chatte toute lisse, inventaire des choix.

E) Maquillage : 10 heures.

Maquiller comme une voiture volée. Plus facile à dire qu'à faire...

À la fin du semestre, nous avions bien sûr des partiels notés et toutes les matières n'avaient pas le même poids. Par exemple, réussir à faire une bonne pipe était capital. L'épreuve était divisée en deux parties, chacune avec un coefficient de 10. La première partie consistait à parvenir à effectuer une gorge profonde avec un gode... Une copine se mit à vomir après avoir mis dans sa bouche un gode de seulement vingt centimètres, elle eut droit à un 0 pointé. Cette nuit-là, elle pleura dans mes bras en craignant d'avoir une moyenne inférieure à 4.

Pour la deuxième partie de l'épreuve, nous devions prodiguer une pipe sur un professeur pendant deux minutes. La note était laissée à son appréciation. Mais il était de notoriété publique que si l'on parvenait à le faire jouir, on pouvait être sûr d'avoir au moins un 18.

Cependant une des filles était tellement contente d'être parvenue à le faire gicler que, pressée de fêter son succès, elle avait recraché le foutre. Cette idiote aurait de la chance si elle avait plus de cinq. Avaler le sperme, c'était vraiment une des bases du métier...

Vu que d'autres épreuves, comme celle d'avoir une épilation impeccable n'avait qu'un coef de 2, mieux valait ne pas se rater sur ce genre de partiel!

Pour le second semestre, tout dépendait de la moyenne obtenue. Au-dessus de 16, on suivait des cours pour devenir escort-girl. Entre 12 et 16, nous avions le droit de suivre une formation de pornstar. De 8 à 12, c'était le plus basique, des cours pour être pute. De 4 à 8, on devait aller en cours pour devenir pornstar de vidéo fétichiste. Quant à celles qui avaient moins de 4, elles devenaient des « trous à foutre ».

Pour être escorte-girl, les cours comprenaient :

100 heures de langues, pour apprendre trois langues (l'apprentissage du russe étant obligatoire.) Cela devait permettre d'obtenir un niveau suffisant pour savoir quand un oligarque vous demande de le sucer.

10 heures de connaissance du luxe : comment reconnaître un bijou vulgaire et en toc, d'un vrai diamant.

8 heures sur l'alimentation : connaître les régimes pour garder une taille fine. Et bien sûr, apprentissage des différentes méthodes pour se faire vomir.

5 heures d'opération de chirurgie esthétique : obligation de se faire opérer du visage, des seins, et des fesses pour rentrer dans les canons de beauté attendue d'une escorte. (Opération qui devra être remboursée à l'université.)

20 heures de gymnastique : perfectionnement des techniques du Kâma-Sûtra.

15 heures d'études sur les positions sexuelles : quel technique est apprécié par qui.

200 heures d'exercices pratiques : baiser et se faire baiser jusqu'à obtenir un niveau suffisant pour être considéré comme un super coup.

20 heures de pratique de l'orgie : comment avoir des relations avec plusieurs hommes à la fois sans un laisser un seul insatisfait. Et aussi comment exciter un homme en pratiquant le lesbianisme avec une autre call-girl.

10 heures de familiarisation des lieux de luxe : comment fonctionne un yacht, un hôtel quatre étoiles...

Pour être pornstar, les cours comprenaient :

200 heures d'informatique : savoir créer un site web, comment monter ses vidéos, comment uploader ses vidéos. Quels sites web de vidéo porno sont les plus populaires...

50 heures d'apprentissage de la comédie : comment avoir l'air naturel en baisant devant une caméra.

3 heures d'opération de chirurgie esthétique : obligation de se faire opérer du visage, des seins, pour être suffisamment bandante à l'écran. (Opération qui devra être remboursée à l'université.)

25 heures de langue : apprentissage de l'anglais spécialement le vocabulaire pornographique.

30 heures de cours de droit : les contrats avec les sites d'hébergement de vidéo. Le droit à l'image...

5 heures de cours de mise-à-jour des relations publiques/privées : obligation d'annoncer à sa famille que l'on souhaite devenir une star du porno.

100 heures d'exercices pratiques : baiser et se faire baiser jusqu'à obtenir un niveau suffisant pour être considéré comme un bon coup.

Pour être une simple pute, les cours comprenaient :

15 heures de géographie : savoir où se placer dans une ville pour trouver des clients, et quels sont les lieux de passages les plus fréquentés.

20 heures de cours vestimentaire : choisir des vêtements qui ne laissent pas place au doute sur sa profession, mais qui donne envie. Option couture disponible.

1 heure d'opération de chirurgie esthétique : obligation de se faire opérer des seins pour être suffisamment attirante pour un client. (Opération qui devra être remboursé à l'université.)

20 heures d'économie : comment marchander le prix de sa prestation à la tête du client.

20 heures de sociologie : connaître les principales filières de prostitution en cours. Savoir l'utilité d'un mac.

5 heures de droit : étude de la loi sur le racolage et la pénalisation des clients.

5 heures de cours de mise-à-jour des relations publiques/privées : obligation d'annoncer à sa famille que l'on souhaite devenir une pute.

15 heures sur l'exhibition : comment donnée envie au client de vous baiser par votre démarche et votre gestuelle.

50 heures d'exercices pratiques : baiser et se faire baiser jusqu'à obtenir un niveau suffisant pour être considérée comme méritant son salaire.

Pour être une pornstar fétichiste les cours comprenaient :

100 heures de BDSM avancé : apprendre à résister à la douleur.

20 heures d'initiation à la scatologie et l'urologie : comment ne pas vomir.

30 heures d'étude zoologique : études des animaux, de leur façon de se reproduire, approfondissement des pratiques interespèces. (Étude centrée surtout sur les chiens et les chevaux.)

5 heures de cours de mise-à-jour des relations publiques/privées : obligation d'annoncer à sa famille que l'on fait un choix de vie alternatif et que l'on a développé une passion peu comprise pour le masochisme et les animaux.

10 heures de cours sur le body-art : comment se faire percer les seins et tatouer ou marquer la peau...

Pour être un trou à foutre, il n'y avait pas de cours. Les étudiantes abandonnaient leurs études et la faculté se chargeait de leur trouver une « place. » Souvent les filles étaient emmenées dans des bordels qui pratiquaient des passes pas chères et où elles se feraient baiser au moins quatre fois par heure. Ces bordels se trouvaient souvent à l'étranger, cependant ne servant que de réceptacle à sperme, il était inutile de leur apprendre la langue du pays où on les envoyait.

L'étudiante devait commencer à rembourser les frais de sa scolarité dès la fin d'année. Cela incluait le logement (internat propre à l'université), la cantine (matin-midi-soir), le salaire des professeurs, des employés, les opérations de chirurgie esthétique, l'achat de vêtements, de colliers, d'accessoires propres à l'éducation (fouet, gode...) Le tout donnait une somme de 100.000 euros. Bien sûr il faudrait plusieurs années pour rembourser. Quant au taux d'intérêt, il était calculé sur la note que l'on avait au second semestre. Cela allait de 8 à 20 % (20 % si on avait une moyenne de 8 , et 8 % si on avait une moyenne de 20.) Si on avait une moyenne inférieure à 8 au second semestre, on était alors rétrogradé comme trou à foutre. Pour ces dernières elles avaient un contrat de passé avec l'université selon lequel elles devaient reverser la moitié de leur salaire.

Les escortes-girls pouvaient ainsi assez rapidement s'acquitter leur frais de scolarité, mais les simples putes allaient devoir passer de nombreuses années de travail intensif avant de pouvoir sortir du rouge. C'était injuste, vu que la scolarité des escortes-girl était plus longue et plus coûteuse, mais cela nous motivait à avoir les meilleures notes possible.

Mon année scolaire se passa plutôt bien. Je me découvrais des talents insoupçonnés, je m'enfonçais des godes de 30 cm facilement dans la bouche, la gorge profonde était presque innée pour moi. J'avais du mal à ne pas rougir de plaisir quand le professeur me faisait des compliments pour mon expertise devant toute la classe. La comédie ne me posait pas non plus de problème, je pouvais dire : « Oh oui! Enfonce ta grosse bite dans ma chatte de pute, j'en ai trop envie » avec un naturel parfait, tout le monde y croyait.

Là où j'étais en difficulté, c'était pour la gymnastique. Je m'écroulais par terre dès que la position devenait un tant soit peu compliquée, quant à me baiser dans une position du Kâma-Sûtra, c'était peine perdue. Le prof de gym m'insultait et me surnommait « la chienne » parce que je n'étais bonne qu'à me faire baiser en levrette. C'est vraiment cette matière qui me coûta des points aux partiels. Mais je n'étais pas non plus à l'aise avec le lesbianisme, je me sentais vraiment mal à l'aise quand j'enfonçais ma langue dans la fente d'une de mes camarades, et j'avais presque mal à cœur, quand une fille m'embrassait ou me léchait la chatte. Mais je faisais des efforts, je gardais un grand sourire tout le temps (peut-être un peu figé...) et je prenais sur moi pour embrasser une des filles juste après lui avoir donné un orgasme. Je crois que lors du contrôle final, l'examinateur ne devina pas une seconde que je trouvais ça répugnant.

Au final, je me retrouvais avec un 13 de moyenne, juste assez pour faire pornstar et éviter d'être une pute de trottoir.

Lors du cours de relation publique/privé et que j'annonçais à mes parents que j'allais arrêter mes études pour faire de la pornographie, cela se passa mal. Ils me traitèrent de pute. Je me retins pour leur dire que j'étais justement doué pour ça.

À la sortie de la fac, avec mon diplôme de pute mention « pornstar » en poche, je montais un site web avec quelques copines. On balança des vidéos hots sur les sites gratuits, mais avec juste les cinq premières minutes, pour voir le reste, il fallait aller sur notre site et payer. Comme j'étais doué pour sucer des queues et avaler le sperme, je me spécialisais dans le gangbang. Tout un tas de mecs me passaient dessus, puis, quand ils étaient prêts à jouir ils me jutaient sur ma gueule ou dans ma bouche. Le sourire que j'arborais quand j'avalais le foutre était splendide. Mes fans me disaient en commentaire qu'ils s'imaginaient que j'avalais leur sperme et que je les en remerciais, tellement ça devait me faire plaisir.

Mes copines faisaient plutôt du sexe endiablé, mais on apparaissait souvent dans les mêmes vidéos. Par exemple, ma camarade venait avec une cuillère pour racler le sperme qui maculait mon visage et me donner le tout à manger. Dans une autre vidéo, c'est moi qui arrivais après qu'elle se soit envoyée en l'air avec deux mecs, je me mettais alors à genoux pour lui lécher la chatte et aspirer tout le sperme qu'on lui avait fourré dedans.

Cela marcha bien, on était vraiment sexy, tout le monde voulait se branler en nous regardant baiser.

Maintenant, je suis assez connu et je ne regrette pas ma formation. C'est pourquoi je voulais poster ce message à toutes celles qui s'inquiètent en se voyant uniquement sur les listes d'attente de Parcoursup. Si vous n'êtes prise nulle part, vous pourrez devenir une pute comme moi. Mais attention! il faudra quand même bien travailler à la fac des recalées, ou sinon vous finirez comme trou à foutre...

Fin.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

J'avais déjà lu cette histoire quand elle était sortie sur l'autre site.

Elle est franchement bien. Très excitante. En plus vous avez eu l’intelligence de savoir quand vous arrêter, au lieu de nous offrir une succession de rapports qui à la fin n'aurait eu aucun intérêt.

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Bravo

Bravo pour cette idée et pour le style d'écriture.

J'ai adoré l'originalité de la situation.

Un grand merci

RUDY

carlitoucarlitouil y a presque 4 ans

tres bonne histoire j'adore

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