Rania Déshabillée Devant Sa Cellule

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Une prisonnière habillée puis déshabillée.
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Bonjour, ce texte relève du fantasme autour de l'exhibition et la nudité forcée et les faits rapportés sont fictifs et tout les personnages ont plus de 21 ans.

Incident nudité forcée impliquant une détenue (dans la section isolement).

Ce fait est relaté par un témoin extérieur (l'avocat d'une prisonnière) et concerne une détenue prénommée, Rania, elle a 22 ans, arrêté par les forces spéciales lors d'un raid dans un repaire de la rébellion. C'est la fille d'un responsable du parti Baath. Elle est gardée dans la partie dure du site dans une cellule d'isolement de par son statut de prisonnière de haute valeur.

C'est une jeune femme assez moderne, lors de son arrivée selon le registre d'accueil.

Dans l'unité d'isolement du camp de détention ou elle, est gardée, la nudité est obligatoire, mais hors de ce secteur les prisonniers doivent être habillés.. Rania est donc gardée sans vêtements dans sa cellule et lors des déplacements dans le quartier, mais peut se vêtir lors de ses rares "sorties".

Nous reproduisons ici des extraits du témoignage de l'avocat chargé de représenter Rania.

"Ce matin, je suis arrivé pour la première fois dans la section d'isolement de la prison d'Abou Ghraib pour un entretien avec ma cliente mademoiselle la Rania D, l'entrevue doit se dérouler dans la salle de visite. J'étais accompagné vers sa cellule par deux gardes dont l'un avait l'air de transporter quelques choses dans un sac.

Lors de l'ouverture de la porte de sa cellule, c'est avec stupéfaction que j'ai fait la constatation qu'elle était complètement nue. La pauvre femme avait l'air très embarrassée d'être dans cette situation. Elle était toute rouge et tentait de dissimuler sa nudité en repliant ses jambes contre sa poitrine pour ainsi cacher ses seins et ses organes génitaux.

L'un des gardes lui tend un t-shirt orange de prisonnier et une petite culotte blanche pliée et une paire de tongs en plastique. On lui dit dans un mauvais Arabe qu'elle doit rencontrer son avocat et s'habiller pour l'occasion.

J'avais tout de suite demandé aux surveillants de la section :

Mais que se passe-t-il ici? Pourquoi cette femme était elle gardée sans vêtements?

L'un des gardes me dit qu'elle est la depuis quelques jours et que la prison manque d'uniforme, les culottes, tongs et t-shirts ne sont arrivés qu'hier soir et n'ont pas encore étaient distribuer.

Qu'est-ce que c'est que cette histoire? Cette femme doit m'être présentée, je suis son avocat, et vous voulez l'avez laissé comme ça?

Est ce que vous voyez ou vous êtes? Nous sommes dans une vieille prison aux portes du désert, au milieu d'une zone de guerre, nous n'avons pas les moyens de fournir des vêtements aux prisonniers qui sont livrés au compte-gouttes.

Mais c'est quoi ces histoires, ou sont ses vêtements lors de son arrivée?

On n'en sait rien, ils ont probablement été découpés ou détruit à l'arrivée, car les prisonniers sont souvent récalcitrants et refusent de se déshabiller donc ils sont mis à poil de force. Moi, je ne suis qu'un garde, et ici, c'est le parti isolement de la prison d'Abou Ghraib, les prisonniers sont des personnes importantes, et parfois très dangereuses et qui peuvent détenir des informations décisives. Les prisonniers ici sont isolés du monde et sont souvent nus. Elle est la depuis une semaine elle est arrivée en cellule comme ça.

Qu'est-ce que c'est que ça? Vous traitez les détenus comme ça?

Nous travaillons dans cette unité, le renseignement militaire évalue chaque détenu à son arrivée. L'évaluation est en fonction des suspicions qui pèsent sur les captifs, leurs antécédents, leurs personnalités. Après leur fouille à nue, les prisonniers sont parfois habillés d'un uniforme orange si on les juge coopératif, qui peuvent être bien sur retirer et confisqué à n'importe quel moment par la suite. Inversement, des prisonniers nus peuvent recevoir des vêtements par la suite si leur comportement est jugé satisfaisant. Et nous n'avons pas de vêtements pour tout le monde ...

Si ça vous gêne, allez demander aux responsables des interrogatoires, nous, on fait notre boulot et nous remettons à cette détenue des vêtements pour son entretien avec son défenseur selon les règles de la prison.

L'autre gardien remet à Rania les habits et lui dit cette fois en anglais : "Prisonnière, enfilez ceci" on est venue vous chercher pour votre rendez-vous avec votre avocat".

La pauvre jeune femme en détresse prend les affaires et tente de se couvrir en s'habillant, elle met d'abord le t-shirt sur sa poitrine puis enfile la culotte en tentant le plus possible de cacher son corps, puis elle met ses petits pieds nus dans les tongs, elles aussi oranges.

Elle est toujours gênée d'être en petite culotte, mais c'est toujours mieux que les obligations de parader nue auxquelles elle a été soumise les jours précédents dit elle.

Elle est encore très contrariée d'avoir été contrainte de devoir marcher nue les fesses à l'air sans la possibilité de couvrir ses seins et ses organes génitaux exposés publiquement aux hommes et aux femmes présentes dans ce secteur du pénitencier.

L'un des gardes lui met ensuite les menottes dans le dos et lui met des chaînes aux chevilles.

Rania est conduite manu militari vers une autre partie de la prison pour un aparté avec l'avocat. Lors de la sortie du secteur d'isolement, le port d'entraves, de chaînes ou de menottes n'est pas obligatoire. L'avocat décide de lui faire retirer. Elle le remercie en anglais et lui demande si elle peut avoir une robe ou un pantalon et de quoi se couvrir la tête pour être plus à l'aise.

L'avocat lui demande d'attendre quelques instants pour voir ce qu'il est possible de faire. Une soldate très humaine à accepter de lui donner une de ses robes, certes ce n'est pas une robe arabe, mais Rania l'a prend quand même et l'enfile sans soutien-gorge, et je lui donne une casquette, car impossible de trouver un hijab (foulard qui sert de couvre-chef) en quelques minutes dans cet endroit.

.

Rania remercie le juriste même si ce dernier ne peut pas faire beaucoup plus. L'avocat promet d'en dire un mot aux autorités compétences et de signaler l'incident à la direction de la prison.

Le spécialiste de la Loi demande aussi à des soldats d'acheter des vêtements pour femme sur le marché pour le prochain entretien.

Rania est ensuite entendue dans une petite pièce avec l'avocat pendant 10 minutes en présence d'un membre de la police militaire pour rendre impossible toute dénonciation des méthodes américains et empêcher la prisonnière de donner par exemple des indications à des complices hors de la prison par l'intermédiaire d'un avocat. Le droit à une défense équitable n'est pas vraiment respecté par la coalition.

Lors du retour de Rania dans la section d'isolement, je sais qu'ils lui ont confisqué sa robe et casquettes."

Le règlement est très dur en isolement, Rania avait encore été obligée de retirer ses vêtements devant des hommes et des femmes.

Lorsque je l'ai raccompagné au quartier d'isolement, deux gardes l'ont prise et escorter jusqu'à sa cellule, et ils s'y sont arrêtés devant. Elle reçut l'ordre de rester immobile face au mur pendant que ses chaînes et menottes lui sont ôtées.

Les surveillants lui donnent pour consigne de se déshabiller en anglais et dans un Arabe approximatif.

Les déshabillages et les fouilles se font souvent dans les couloirs et en public, en ce secteur.

Elle défait les tongs et pose ses petits pieds nus encore vernis de rouge sur le sol de façon gracieuse. Elle est comme beaucoup de femmes des pays chaud tout le temps pieds nus et prend très soin de ses petons.

Elle remet aux gardes sa casquette pour découvrir sa belle chevelure noire volumineuse et ondulée. Chose déjà terriblement gênante pour elle qui était intégralement voilée en arrivant.

Résignée, elle enlève ensuite la robe qu'on lui avait offerte et apparaît en petite culotte devant les gardes exposant ses seins ronds et bien tendus avec des mamelons rose foncé.

"La culotte Rania, donne là!" Dit le garde en haussant le ton tout en restant ferme, mais non-violent.

Rania prend une voix mignonne et suppliante pour demander en Anglais correct "please" S'il vous plaît, je voudrais garder la culotte, je vous promets que je ne cache rien".

Tu connais les règles ici, Rania, n'y vois rien de personnel, ce n'est pas dirigé contre toi, mais ici les détenus n'ont pas le droit de porter le moindre vêtement dans leurs cellules. Tu aura droit à la culotte et au t-shirt essentiellement lorsque tu sors de ce block, ton avocat t'a même fourni des vêtements que tu pourras enfiler, mais pour le moment, tu dois te mettre en tenue d'Eve. Pour limiter toute violence nos supérieurs ont décider que même les femmes doivent être détenues intégralement et 100 % nue.

Le garde ajoute que les hommes et les femmes qui arrivent ici sont tous soumis aux mêmes règles édictées par l'armée américaine. Les quelques femmes ici n'ont pas de vêtement. Alors donne nous cette culotte, tu n'a rien a cacher et nous t'avons déjà vu toute nue plusieurs fois.

Rania, résignée, baisse sa culotte et l'a laissé tomber à ses pieds, toute rouge et en colère elle donne un coup de pied dans sa culotte qui s'envole dans le couloir. "Voilà je suis toute nue vous êtes content!?" Hurle t'elle en colère.

Rania se tient devant les gardes à poil, provocante avec un air de défiance, l'air de dire qu'elle s'en fiche et qu'elle n'a rien à cacher.

Les gardes procèdent à une brève fouille en lui faisant ouvrir la bouche et regarder à l'intérieur avec une lampe torche, remuer les orteils, ils l'a font s'accroupir tousser et écarter les fesses devant eux.

Merci Rania dit l'un des gardes avant de l'enchaîner et de la remettre en cellule en toute sécurité.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Cette histoire est bien écrite et intéressante. De plus, ayant été un garde, je me suis vite mis dans la peau des gardes qui mâtent la prisonnière.

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