Interrogatoire Renforcé

Informations sur Récit
Une prisonnière soumise à un interrogatoire musclé.
3.5k mots
4.27
24.9k
2
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Interrogatoire renforcé

Cette histoire est fictive et relève du fantasme, tous les personnages ont plus de 21 ans.

Introduction des principaux personnages et de la scène.

Safia est une jeune femme de 25 ans environs, elle fait environs 1.60 m pour 50 kilos, sa peau est blanches et légèrement bronzée. Elle vient d'être traînée manu militari dans une pièce relativement grande ou l'attendent 5 soldats en uniforme.

Il y a le capitaine Jackson, un spécialiste des interrogatoires de l'armée américaine, et deux femmes soldates, Cathy, une Américaine blonde de 40 ans, et Mélinda une afro-américaine, elles sont toutes les deux en treillis militaire.

Il y a aussi deux soldats hommes anonymes.

En dehors de la salle derrière une vitre sans teint, on retrouve le lieutenant Jermain, un instructeur formateur de de la police militaire et ses apprentis en formation pour devenir les futurs agents du renseignement.

Fin de l'introduction.

L'instructeur Jermain présente la détenue aux apprentis :

"Aujourd'hui, c'est un cours de travaux pratiques sur le traitement des prisonnières de guerre et des interrogatoires, nous avons Safia qui est la sœur d'un chef insurgé terroriste important issue d'une tribu puissante et influente hostile à la présence américaine. La jeune irakienne est entre les mains de l'armée américaine depuis environs 24 heures, elle n'a pas bu ni manger, et est restée attacher les mains dans le dos avec une cagoule sur la tête la plupart du temps. L'objectif de sa mission est de retrouver son frère ou d'identifier d'autres insurgés et d'avoir ds infirmations sur leur fonctionnent. Regardez bien comment l'expérimenté capitaine Jackson procède avec ce type de détenue."

La cagoule de Safia lui est retirée et ses menottes retirées.

"Tout d'abord, il créer une discussion avec Safia qui parle très bien l'anglais" dit le lieutenant Jermain.

Le capitaine Jackson engage une conversation avec la prisonnière en lui demandant d'abord son nom, prénom, âge, nationalité lieu de naissance, niveau d'études. La fille répond Safia T, 25 ans, née à Bagdad dans un quartier chic, elle est irakienne et a fait des études de management dont une année à Boston ce qui explique qu'elle soit parfaitement anglophone.

Le capitaine lui demande ensuite sa profession, si elle est mariée, et si elle est en bonne santé. La jeune femme répond qu'elle aimerait travailler dans une entreprise informatique, qu'elle est célibataire et en parfaite santé.

Le lieutenant Jermain explique à ses élèves que "C'est important de créer un contact personnel en commençant par un dialogue amical et de mettre à l'aise la détenue en la libérant de ses entraves, pour lui faire relâcher la pression quelques instants."

"Le comportement assez froid et distant de Safia est normal, elle vient de passer un sale moment, sous le choc de son arrestation et ne sait pas encore exactement ou elle est. La prison d'Abou Ghraib était réputée terrible sous l'Ancien Régime, et la détenue ignore de toute façon ou elle se trouve."

Ensuite, "il faut poser des questions simples sur ce que nous voulons".

Le capitaine dit à Safia que l'armée américaine cherche son frère et il lui demande si elle sait où il est.

La prisonnière lui répond qu'elle ne sait pas. Le militaire lui demande ensuite quand l'a t'elle vue pour la dernière foi, elle répond le mois dernier quand les résistants avaient pris le contrôle du quartier, son frère était avec elle, et depuis le lancement de l'assaut américain sur la zone, elle ne l'a pas vu. Jackson lui demande ensuite qu'est ce qu'elle a fait avec lui, de quoi a t'elle parler?

Safia répond qu'elle a parlé de ses problèmes avec son fiancée, qu'elle préfère annuler ses fiançailles , ainsi que des problèmes de la vie quotidienne et sa volonté de quitter l'Irak, ce a quoi le frère à répondu qu'elle sera bientôt en sécurité en Jordanie ou en Turquie.

Jackson lui répond ironiquement qu'elle est en sécurité entre les mains des Etats Unis. Ensuite, il lui demande ce qui motive son frère à résister à la plus grande puissance mondiale. La fille lui répond qu'il est un patriote et un combattant de la foi qui n'accepte pas de voir des Américains occuper son pays. Jackson lui dit qu'il le comprend et qu'a sa place, il ferait la même chose.

Il lui demande aussi s'il a des amis, qu'est ce qu'il faisait avant la guerre. Safia lui dit qu'il a deux vrais amis qui sont avec lui, ils sont fans de foot, et qu'avant la guerre, il voulait être kinésithérapeute.

Jermain commente "La fille dit sûrement vrai et se montre très coopérative" fait remarqué le formateur à ses étudiants dont l'un lui rétorque "Elle est innocente, et n'a pas l'air d'avoir d'informations importantes ne devrions-nous pas la libérer?"

Jermain lui répond "Quelques soit le degré de coopération un prisonnier peut toujours retenir des informations, et qu'il ne faut surtout pas la libérer pour le moment car elle pourrait indiquer à nos ennemis des informations sur nous. C'est en fait notre otage.".

"Une otage?" Réponds l'un des étudiants, "Oui, car entre nos mains nous avons un moyen de pression sur les insurgés, son frère sait que nous l'avons."

"Mais pourquoi garder une innocente?" Demande l'étudiant.

"Innocente? Bien sûr qu'il peut arriver qu'une personne soit arrêtée et punie, car présente au mauvais endroit et au mauvais moment, ou parce qu'elle habite dans un foyer de la guérilla ennemie, c'est la vie, mais vous ne pouvez pas faire confiance à une prisonnière comme Safia sans l'avoir adoucie et imposée de mesure de coercition et de pression pour la rendre pleinement coopérative. Et qu'il est impossible de croire en ce qu'elle raconte sans quelques pressions physiques et psychologiques que certains appellent torture et d'autre interrogatoire renforcé.

Ne vous en faite pas, toutes les procédures son validé par le ministère de la Défense et les meilleurs juristes des Etats Unis affirment que nos pratiques respectent les conventions de Genève et ne sont pas de la torture, et que nous devons faire notre travail sans états d'âme dans le cadre du droit."

Jermain ajoute que "Safia croit en la cause de son frère, chose normal et parfaitement compréhensible, mais que nous, notre but est d'obtenir une parfaite soumission et coopération de la détenue, ce qui passe par briser leur identité personne, leur estime d'eux même et leur système de valeur."

Après ces quelques commentaires, la séance reprend. Le capitaine Jackson prend un ton plus autoritaire envers sa prisonnière et lui donne l'ordre de lever les bras pour qu'une soldate lui impose une palpation générale et s'assurer qu'elle n'a pas d'armes sur elle.

Safia reste très élégante malgré ses dernières heures mouvementées. Elle porte une belle robe traditionnelle arabe bleue, une veste noire et un joli hijab (voile, foulard) blanc qui lui couvre la tête et le cou. Elle à la tête baissée

Le lieutenant Jermain insiste sur l'importance de s'assurer que la personne à questionner ne cache rien et qu'il faut toujours fouiller les prisonniers de façon très sérieuse.

La séance continue et le capitaine Jackson donne l'ordre à la prisonnière se déshabiller complètement. Safia se met à trembler et dit qu'elle refuse de se déshabiller en public devant des hommes.

Le Lieutenant Jermain fait remarquer à ses étudiants qu'il est important de forcer une prisonnière à effectuer elle-même des actes humiliants et dégradants comme retirer ses habits devant des hommes. Imaginez une fille respectable, pudique, pieuse timide et bien élevée comme elle faire un strip-tease elle-même, c'est bien plus efficace que de la mettre à poil de force. De plus, c'est lui faire perdre tout contrôle sur elle-même et prendre un avantage psychologique important."

Capitaine Jackson hausse durement le ton et répète à nouveau à l'Irakienne l'ordre de se déshabiller, sans faire d'histoires, sinon des moyens de coercitions seront employés et au final dans toutes les hypothèses elle se retrouvera sans vêtements. Que toute résistance est vaine, les gardiens et les gardiennes sont bien plus costaud que Safia et entraînés physiquement, et que ses vêtements seront arrachés et découpés.

Le formateur explique aux élèves que "L'interrogateur ici fait monter la pression sur la détenue pour obtenir sa collaboration avant d'user de la force".

Safia se met à pleurer en disant qu'elle ne veut pas se mettre toute nue devant les hommes.

Jackson lui répond qu'il est un interrogateur et qu'il a le droit d'assister aux fouilles réglementaires et que maintenant ça suffit, la discussion est terminée, et il pousse Safia contre le mur.

Jermain reprend la parole "La discussion sur le déshabillage ne doit pas durer longtemps, un seul rappel et pas plus sinon la prisonnière va penser qu'elle a le pouvoir de discuter les autres, puis un peu de pression physique suffisent pour les rendre plus dociles."

Captain Jackson ordonne à la jeune captive d'enlever sa veste, ce qu'elle fait.

Le formateur insiste sur "L'importance de fouiller les vêtements dans la recherche de tous objets illégaux, les vestes doivent être bien observés et étudier minutieusement, car il est facile d'y cacher des puces téléphoniques par exemple."

L'inspection continue et Safia doit retirer le foulard qu'elle a sur les cheveux et le remettre à ses geôliers. Elle a des très beaux cheveux brun ondulés, volumineux qui dégage une bonne odeur de parfum oriental.

Jermain intervient devant ses apprenants pour dire "Elle doit porter un couvre-chef comme cette écharpe qu'elle porte lorsqu'elle sort de chez elle selon les règles de sa culture et de sa religion. Certes, nous savons que Safia le porte plus par tradition et respect pour sa famille que par conviction, car sur le campus de son école lors de son année aux USA, elle allait tête nue et s'habillait à l'occidental, elle portait même par moments lors de certaines occasions des tenues très osés et courtes."

Une fois le foulard vérifié, il faut passer à la suite, et on ordonne à la fille d'enlever sa robe, une belle robe arabe bleu qui descend jusque à ses chevilles et est très ample et large.

Jermain réagit en disant : "Waow elle porte des sous vêtement de luxe, très sexy et très cher, cette petite coquine cache bien son jeux derrière sa tenue traditionnelle elle se fait très plaisir, si vous regardez bien sa culotte, vous verrez qu'elle mouille deja, elle sait qu'avec ça elle chauffe les mecs. Disons que dans le métier, avoir le droit d'assister aux fouilles à poil de femmes très sexy est une sacré chance, ça peut même créer des vocations."

L'enseignant ajoute "Regardez son visage, elle est à la fois tellement embarrassée et humiliée de se déshabiller en public, mais elle est toute rouge, car elle sait l'effet qu'elle procure au mec qui la regarde, on a tous la bite bien raide ici en voyant ce spectacle et Safia voit bien les bosses qu'on les gardiens autour d'elle."

La prisonnière doit ensuite retirer son soutien-gorge.

"Tous les regards sont portés sur sa poitrine, elle sent bien que le public autour d'elle observe avec passion ses seins en forme d'obus de taille moyenne, très fermes, avec des mamelons marron rose. Observez bien comment la détenue à l'air énervée maintenant, c'est tout un spectacle, profitez-en, quand la fille est jolie car malheureusement dans le métier c'est principalement des hommes qu'on interroge, c'est pas tous les jours qu'on peut mater des jolies choses".

Jackson ordonne à la fille de mettre les mains sur la tête et qu'elle n'a absolument pas le droit de tenter de cacher ses seins. La culotte y passe juste après.

Safia doit garder les mains sur la tête et écarter les jambes pour que tout le monde puisse bien voir sa chatte et sa vulve. Elle est toute rouge et elle a quelques larmes. Mais elle mouille. Jackson lui fait quelques remarques "Alors tu ne serais pas un peu une salope? Tu as l'air d'aimer montrer ta chatte et tes seins en public non?

Jermain commente "N'oubliez jamais de faire retirer les chaussures et les bas, collants, chaussettes ou tout autres habits aux détenus, non seulement parce qu'une fouille à nu se fait par définition totalement à poil sans aucun vêtements, et que les chaussettes et assimilés sont des armes potentiellement dangereuse pouvant etre utiliser comme des armes, au USA des détenus mettent des pierres dans leurs chaussettes et ça représente un danger.

Le Capitaine fait enlever ses derniers morceaux de tissus à Safia qui en pleurnichant défait ses chaussures, une paire de tennis blanche et enroule ses bas le long de chaque jambes et laisse pendre ses seins en se baissant. Ses pieds sont assez petits et très jolis avec des orteils vernis en couleur vert flashy, ses petons sont bien entretenus.

Jermain intervient auprès de ses élèves pour leur rappeler une anecdote au sujet de séjours bostonien de la prisonnière. "Dans la résidence du campus universitaire, Safia et une de ses copines afro-américaines ont rendu un étudiant blanc esclave sexuelle pendant plusieurs semaines avec leurs pieds, Safia qui sur le Campus était en short, débardeur et tongs comme la plupart des étudiantes américaines quand il fait chaud avait remarquer que ce "pauvre" étudiant était spécialement attiré par ses pieds, elle l'a charmé et en a fait son véritable valet, elle le faisait faire le ménage à poil dans sa chambre, s'amusait à lui tripoter le zizi, a lui mettre des petits objets dans les fesses en rigolant avec sa copine. Donc pour ceux qui doutent encore que nous ayons à faire ici à une véritable obsédée sexuelle, je pense que vous êtes rassurés.

Safia doit remettre les mains bien sûr sa tête et écarter les jambes et les cuisses et ne pas bouger.

Jermain : "Revenons aux choses sérieuses et concrètes de ce cours pratique. Une fois la détenue complètement nue, privée de toute pudeur, exposée, et vulnérable, il n'y a aucune raison de se précipiter surtout quand c'est un joli modele. Regardez bien le détail important aussi, les affaires de la prisonnière sont mis dans un sac et sorti hors de la pièce, assurez vous que la détenue voit bien qu'elle n'a plus espoir de récupérer ses vêtements et de s'habiller, ça renforce son désespoir et sentiment d'impuissance."

Jermain explique qu'on va passer à la fouille corporelle à proprement parler "Bien sur qu'en général les fouilles se font avec des gardes du même sexe que les prisonniers, mais lorsque vous êtes un interrogateurs, vous pouvez et je dirais même avez le devoir d'assister à la fouille, surtout quand c'est une femme. L'humiliation fait partie du processus et du travail d'adoucissement pour délier les langues."

Jackson ordonne d'abord à Safia de secouer ses cheveux dans tous les sens, et de bouger sa tête d'avant en arrière, puis l'une des femmes soldates vient lui regarder dans les oreilles, lui fait grandement ouvrir la bouche pour y vérifier les gencives, sous la langue, et dans le fond de la gorge avec une lumière, puis de soulever ses seins, la gardienne palpe et caresse les seins de la captive tout en soulevant bien ses nichons. La surveillante vérifie aussi bien le ventre, spécifiquement le nombril et les aisselles. Ensuite, Safia doit faire quelques squats toute nue et tousser fort, tous les yeux sont rivés sur sa chatte et son anus. Ensuite, elle doit se pencher et toucher ses orteils et écarter les fesses pendant qu'une gardienne examine ses entrailles avec une lampe torche.

Puis les pieds nus de la prisonnière son aussi contrôlés, ses doigts de pieds sont minutieusement inspecté tout comme ses plantes de pieds.

Jermain " Ceci est la procédure classique d'une fouille, mais ici nous sommes dans un contexte de guerre avec l'objectif d'assurer la sécurité maximum et de dégrader les prisonniers."

Safia doit ensuite se placer sur une table, sur le dos, obligée de ramener les genoux vers elle et d'écarter les cuisses le plus possible. Les organes génitaux exposés à toute personne présente dans la salle. Une gardienne lui examine attentivement le vagin, en écartant les lèvres et triturant le clitoris, puis en y introduisant un spéculum pour bien écarter la chatte de la suspecte. Safia doit rester plusieurs minutes exposée ainsi et subir les moqueries et blagues de l'interrogateur.

Jermain dit à ses disciples "Imaginez la consternation que la pauvre fille doit ressentir?

Surtout que le capitaine Jackson et les gardiennes n'hésitent pas à commenter l'intimité de la prisonnière nue, surtout que l'une des soldates prend des photos de la détenue dans une position plus qu'embarrassante, sa chatte ouverte par un spéculum est photographiée , quelle "adorable petite chatte bien juteuse,!" "Notre salope se rase elle-même la chatte!". Puis son anus aussi est mis en valeur et immortalisé par une photo, avec pour commentaire "Un petit anus bien serré et avec de jolis petits plis", "Elle doit être bonne à enculer aussi cette salope".

Les gardes mâles se masturbent devant elle satisfait de ce spectacle. Cathy et Melinda se déshabillent et ne gardent que leurs bottes, casquettes et colliers auxquels est accroché son matricule de soldate.

Cathy libère la chatte de la détenue de son spéculum et se met à masturber doucement la captive. Sur la table. Mélinda lèche le corps de Safia, elle lui fait plein de bisous sur tout le corps, elle lui bouffe littéralement les seins, sous le crépitement des flash de l'appareil photos. Safia est toute chaude et tout émoustillée de sentir la douceur de la bouche de la noire lui mordiller les tétons et la couvrir de baisers.

Jackson dit à Safia en riant "Si tu ne parles pas nous enverrons ses photos à ta famille et à ton frère pour leur prouver que tu es bien une salope de lesbienne qui en profite pour baiser, et nous avons aussi des témoignages de ce que tu as fait à Boston, dont quelques partouzes".

Safia qui rougie, cette fois de plaisir, n'y prête pas spécialement attention, elle sent la langue de la soldate Cathy se promener sur le bas de son corps, Cathy lui mange cette fois-ci les orteils , elle passe sa langue de haut en bas, et lèche consciencieusement les pieds de l'Irakienne, sa langue passe bien sur ses plantes de pieds, puis elle lui embrasse et mord les orteils vernis un à un avant de remonter petit à petit ses longues jambes pour y introduire sa langue dans l'anus et le clitoris. Safia à aussi le droit de se faire lécher le cul, elle tremble et a un orgasme, mais l'Américaine assoiffée de sexe continue à lui lécher le cul. La soldate Melinda, quant à elle, embrasse l'Irakienne à pleine bouche et lui caresse le haut du corps.

Safia lui dit dans un parfait Anglais ", c'est trop, c'est trop arrête", puis des spasmes l'interrompt elle se débat, mais elle ne peut rien faire face à cette avalanche de stipulation sexuelle. Jackson lui dit "Non nous n'arrêterons pas, car tu mouilles trop et tu aime ça.

Safia, leur crie "bande de pervers!" Et Jackson lui répond "Hahahaha toi aussi, tu en es une, tu a l'air d'aimer ça. Safia n'en peut plus et s'abandonne au plaisir des langues et des mains lesbiennes et elle jouit.

Les lesbiennes laissent un peu de répit à Safia, et Jackson l'accuse sur un ton d'inquisiteur d'avoir fait des choses sales. Safia essoufflée et la chatte toute mouillée n'a qu'une envie, recommencer, car Cathy à encore un doigt dans son cul et son clitoris est pressé par l'autre main de Cathy.

Jackson ordonne ensuite à Safia de se masturber, elle n'hésite pas, elle est chaude comme tout et à tout oublier ce qui se passe autour d'elle. D'une main, l'Irakienne se caresse et pince les mamelons et frotte et fait tourbillonner ses doigts sur ses lèvres et son clitoris avant de s'introduire des doigts dans la chatte.

Jermain intervient "Vous êtes raides, vous avez le droit de sortir vos bites et de vous masturber comme cette salope en profitant de ce magnifique spectacle."

Quand la prisonnière jouit, les soldates l'essuient énergiquement. On lui laisse quelques instants de répit avant de la relever.

12