Problèmes de Discipline 1/3

BÊTA PUBLIQUE

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Il nous libère ensuite et nous nous empressons de rentrer à la voiture. Ma mère, les yeux humides, semble s'en vouloir d'avoir craqué et laissé échapper plusieurs orgasmes. Moi de mon côté, je suis content que personne n'ai remarqué mon excitation...

Nous rentrons à la maison assez tard. Mon père s'empresse de nous demander si tout s'est bien passé et nous dit qu'il s'inquiétait. Ma mère le rassure et lui dit que je fais beaucoup de progrès. Mon père semble ravi quand elle lui annonce que d'autres séances sont prévues avec le proviseur.

Comme à mon habitude, je me masturbe honteusement durant la soirée, repensant aux évènements de la veille. Mais ce n'était que le début.

Dans les deux semaines qui suivirent, maman et moi avons été convoqués de nombreuses fois. A un rythme de 3 séances par semaine, la correction de nos problèmes de disciplines respectifs avançait bien selon notre maître.

Durant ces séances, notre soumission se confirma. Il abusa de ma mère et moi de toutes les manières possibles. Ma mère se fit baiser à de multiples reprises, tandis que son fils, toujours voyeur, caméra à la main capturait ses scènes. Dès fois, il l'obligeait à se masturber jusqu'à l'orgasme. Maman devait aussi le sucer longuement tout en se caressant ou en se frottant à sa chaussure.

Durant une soirée, il l'a fait tellement crier que le concierge est venu vérifier que tout se passait bien. Elle dut vanter la virilité de notre maitre tout en rabaissant mon père. Il l'a fit jouir tandis qu'elle hurlait que sa bite était la meilleure bite qu'elle n'avait jamais eu en elle.

Souvent, il la baisait en l'obligeant à me regarder dans les yeux. Il lui chuchotait qu'il allait s'occuper de toute notre famille et que bientôt son cocu de mari la regarderait aussi se faire prendre. J'ai l'impression que ces propos dérangeants la dégoutaient mais d'une certaine manière, l'excitaient aussi. Elle finissait par jouir violemment, son visage tordu par le plaisir dirigé vers la caméra. Vers la fin, je devais même maintenir un vibromasseur sur le clito de maman pendant que notre maître la baisait. Cela rendait maman folle et elle jouissait instantanément.

Le soir, je rentrais et me branlais comme un fou en repassant ces images dans ma tête. Honteux, nous n'en parlions jamais. Je sentais la luxure s'insinuer dans mon esprit et bientôt je ne pensais plus qu'à ça, me masturbant plusieurs fois par jour pour calmer mon excitation. Je ne sais pas si maman le remarquait...

Il est jeudi, cela fait maintenant plus de 3 semaines que nous sommes tombés sur le joug de maître Diabé. Ce soir, nous avons encore une fois rendez-vous avec lui. Il trouve que nos problèmes de disciplines ne font qu'augmenter et a décider de renforcer le nombre de séances...

Ma mère conduit la voiture, direction le collège. Son style vestimentaire pour se rendre à nos réunions a radicalement changé. Elle est habillée très bourgeoise et très sexy. Un haut décolleté sans soutien gorge et une jupe courte avec des collants alors que les températures se refroidissent. Ses long cheveux brun sont noués en un chignon et son rouge à lèvres rouges déteint avec sa peau blanche.

Mon père ne s'est pas posé la question de pourquoi sa femme se présente-t-elle au lycée dans cette tenue. Il est obnubilé par son travail en ce moment et fait confiance à ma mère pour ce qui est de mes problèmes de disciplines.

Mr Diabé nous reçoit dans son bureau, il est assis derrière sa table en bois massif. Ses yeux se posent sur le décolleté de maman qui laisse apercevoir le sillon de ses seins.

A côté de lui, se tient Ilyes, assit sur une chaise. Ma mère marque un stop en s'apercevant qu'il y a quelqu'un d'autre dans la salle. Elle se souvient avoir croisé ce jeune homme dans le couloir une fois, mais elle ne savait pas que c'était lui le fils de Mr Diabé, celui à cause de qui tout cela avait commencé.

Je regarde Ilyes avec des yeux ronds, comment se fait-il qu'il soit là ? Il me lance un regard mauvais. Je ne comprends pas, ces derniers temps nous nous étions à nouveau rapprochés et je pensais que cette histoire était derrière nous. Je continue tout de même à avancer et nous prenons place, habitués, sur les sièges face au bureau de notre maître.

- Mme Potier, je vous présente mon fils Ilyes. Celui que votre garnement a lâchement frappé.

- Bonjour Ilyes. S'empresse de dire maman.

Elle doit penser que si Mr Diabé a emmené son fils aujourd'hui c'est pour que je lui présente mes excuses et que cette histoire se termine au plus vite.

- Je suis content que votre fils soit là Mr le proviseur, Tom va s'excuser afin de régler cette histoire.

- Quand vous vous adressez à moi, vous employez le mot maitre Mme Potier. Lui rappelle Mr Diabé d'une voix calme.

Je vois les joues de ma mère devenir devenir rouges. Elle perd immédiatement son assurance. Il ose l'appeler comme cela devant ce garçon.

- Et vous appelerez mon fils comme cela aussi. Après tout, c'est avant tout à lui que vous devez laver l'affront que votre propre fils lui a fait. Continue Mr Diabé.

Ma mère et moi déchantons, notre cauchemar continue et semble avoir prit un nouveau tournant. Je regarde Ilyes, hébété, essayant de lui montrer ma détresse.

- Mon père vous a bien dressée à ce qu'il paraît. Il m'a dit que vous étiez prêtes pour enfin me présenter vos excuses d'avoir élevé un fils comme le vôtre.

Ma mère, le visage déconfit, cherche de l'aide chez Mr Diabé qui ne lui rend même pas son regard. Lentement, elle abdique...

- Oui Ilyes, je suis prête à m'excuser. Dit-elle du bout des lèvres.

- C'est maître Ilyes pour moi salope !

J'accuse le coup, mon ami vient de traiter ma mère de salope et veut l'obliger à l'appeler maître. Je cherche rapidement les options qui s'offrent à moi mais je n'en vois aucune. Maître Diabé a des vidéos pour nous faire chanter à présent, sans parler de la menace des forces de l'ordre qui plane toujours sur moi.

Je décoche un regard assassin à mon ancien ami qui s'amuse de ma réaction et me fait un clin d'oeil.

- Oui maître Ilyes... dit finalement maman.

- Bien, maintenant que les présentations sont faites. Mme Potier veuillez vous dévêtir je vous prie.

Je suis choqué de voir que Ilyes a ce genre de relation avec son père. Etait-il au courant depuis tout ce temps ? Maitre Diabé laisse son fils être au courant de ses agissements pervers ?

Maman se lève lentement, hésite et finalement laisse tomber son haut sur le sol. Je vois les yeux de mon ami s'illuminer. Un grand sourire éclaire son visage. Il la tient enfin sa revanche sur moi. Il le sait et je ne peux rien faire contre cela.

Les tétons de ma mère sont érigés malgré l'humiliante situation. Ilyes se rapproche de maman et s'empresse de prendre ses seins en main. Il les soupèse, tire les tétons, les tord pendant plusieurs secondes, jubilant comme si il avait reçu un nouveau jouet. Ma mère geint sous la douleur mais ses tétons se tendent de plus belle.

Ilyes la pousse contre une table de cours, il relève sa jupe. Il pousse un sifflement en se rendant compte qu'elle n'a pas mis de sous vêtements. Je regarde la scène abject, envahit par la colère. Mr Diabé vient poser une main sur mon épaule, comme pour m'empêcher de faire une bêtise.

- C'est de ta faute Tom, ta mère doit payer le prix de tes actions. Tu le sais n'est ce pas ?

- Oui Maître Diabé. Répondis-je, la mâchoire serrée.

- Bien Tom, regarde attentivement je te prie.

Ilyes ou plutôt Maitre Ilyes vient d'introduire ses doigts dans la fente de maman. Cette dernière halète en secouant la tête. Les vas et vient produient par les doigts d'un garçon du même âge que son fils la rendent folle.

- Quelle salope ! Mon père mentait pas t'es une vrai trainée. Assène-t-il à ma mère méchamment.

- Oui Maître Ilyes. Gemit maman.

- Et devant ton fils en plus, une vrai mère perverse. Continue Ilyes, complètement excité par cette femme déchue.

- Oui Maître Ilyes, je suis une mère horrible. Avoue ma mère entre deux gémissements.

- Tu l'as déjà vu la queue de ton fils ? Demande Ilyes, plus pervers que jamais.

- Non Maître... Répond maman, essayant de se concentrer sur les implications de cette phrase.

Ilyes se retourne vers son père.

- Tu l'as jamais obligé à se foutre à poil ? Demande Ilyes à Mr Diabé.

- Non fils, uniquement la mère m'intéressait. Répond son père, un sourire entendu sur le visage. Il semble avoir comprit ce que son fils a derrière la tête.

Mr Diabé me soulève de ma chaise et me jette devant ma mère.

- Fout toi à poil ! Exige-t-il.

Je le regarde, décontenancé. Ce n'est pas du tout ce qui était prévu. Jusqu'à présent, cette humiliation nous avait été évitée. Si je me déshabille, tout le monde se rendra compte de mon érection.

- Tom obéit moi ! Gronde Maître Diabé.

Sous le regard pervers d'Ilyes et celui amusé de son père. Je capitule et retire mon pantalon et caleçon.

- Quel pervers ! S'esclaffe Ilyes. Il bande tout dur en voyant sa maman se faire dominer.

Mr Diabé ne cache pas son sourire, il était certain que cette petite merde devait être excité par les traitements qu'il infligeait à sa mère et il saluait l'idée de son fils de l'avoir enfin prouvé.

Ma mère regarde mon sexe, les yeux ronds. Ce pourait-il que son propre fils soit excité de voir sa mère se faire traiter ainsi. Etait-il dans cet état là les autres fois aussi ? Mais elle n'a pas le temps de beaucoup y réfléchir. Ilyes vient de s'enfoncer de tout son long dans sa chatte qui criait famine. Elle pousse un long cri de plaisir. Angoissée, elle voit Maître Diabé qui lui aussi vient de se déshabiller et expose son long membre.

- Vous allez me sucer pendant que mon fils vous baise afin d'exprimer vraiment votre honte par rapport aux actes du votre. Ricane Mr Diabé.

Ma mère, domptée, accepte la bite sans broncher. Elle la suce énergiquement, la prenant le plus loin possible tout en s'aggripant à la chaise. Ilyes la défonce violemment et ses coups de butoirs manqent de la faire tomber. Je suis dévasté de voir maman humiliée ainsi. Ilyes baisant avec son père, me laisse perplexe...

Je vois les doigts de mon ami qui s'enfonce dans la peau des fesses de ma mère. Ilyes respire bruyament tout en défonçant maman. Cette dernière pousse des cris étouffés par la bite noire de Mr Diabé. Mr Diabé m'intime de me rapprocher et je regarde avec fascination la bite de mon ami sortir et rentrer du fondement maternelle.

Ma bite pointe droit devant moi. La honte éprouvée au début laisse maintenant place à une excitation malsaine. Voir ma mère se faire baiser par deux hommes, me laisse pantois.

Ilyes se retire et éjacule sur le dos de maman en criant. Mr Diabé lui se vide dans la bouche de sa soumise qui avale son foutre sans rechigner.

Ma mère est assise sur le bureau du proviseur. Les jambes écartées, elle doit se branler avec le vibromasseur que Mr Diabé nous a déjà fait utiliser plusieurs fois. Je suis devant elle, assis sur une chaise immobile, la bite droite. Ilyes, jamais à court d'idées, s'amuse à la torturer en lui posant diverses questions.

Il lui demande si elle voit comment son propre fils est excité de la voir faire la pute devant lui. Si elle aimerait sucer ma bite. Ma mère salit le bois du bureau un peu plus à chacune de ses propositions scabreuses.

- Quel bite est la plus grande petite chienne dis le nous ? La mienne ou le misérable jouet qu'à ton fils entre les jambes ?

- La vôtre Maître, la vôtre ! Proclame ma mère, en lançant son bassin à la rencontre du vibro.

Mr Diabé se caresse en ricanant, tranquillement assit dans sa chaise. Il aime voir son fils réduire cette femme bien née à un état de dépravation totale.

- Décrivez nous la bite de votre fils Mme Potier, demande Maître Diabé. Avec des insultes je vous prie.

Maman semble avoir très bien compris ce que nos deux mâles dominants attendent.

- Elle est toute petite maître, elle n'est pas comparable à la votre. Exhulte ma mère, perdue dans un océan de luxure.

- Tu aimes nos bites noires ?

- Oui... Oui j'aime ça... Admet maman, proche de l'ogasme.

Les humiliations que subit ma mère m'excite au plus au point. Je regarde ma bite, c'est vrai qu'elle est ridicule comparé à celle de mon ami. J'ai l'impression que j'ai déjà vu une bite ressemblant à celle d'Ilyes mais je n'arrive pas à me souvenir précisement...

- La bite de mon fils est si petite comparé à celle du votre. Continue ma mère dans sa litanie.

Ses insultes devraient me heurter, me dégouter mais à mon grand étonnement, je sens ma verge prendre de l'ampleur. Des gouttes de liquides perlent à son sommet. Je regarde cette femme brisée par des semaines d'humiliation et de jouissance forcée. Soudain elle explose d'un orgasme intense et s'écroule sur le bureau, sonnée...

Pendant l'heure qui suit, ma mère se fait baiser dans toutes les positions. Ilyes et son père semblant infatigables.

Elle doit d'abord sucer mon ami pendant que Maître Diabé la prend sauvagement. Ses seins balancent d'avant en arrière tandis que de la bave coule sur son menton. Moi, caméra au point, je regarde la scène. Je ne pense qu'à me branler et ma bite bande à m'en faire mal, mais je ne peux me résoudre à faire ça, pas devant eux.

Maman est ensuite placée à genoux au milieu de la salle tandis qu'elle doit alterner entre les deux gros membres noirs du père et du fils. Ilyes me regarde en souriant pendant que ma mère le suce avec application. Tout ceci ponctué par des commentaires et insultes humiliantes. Ilyes passe sa main sur les fesses de ma mère et lui met plusieurs claques qui raisonnent dans la pièce.

Elle est ensuite allongée sur le bureau. Pendant que Ilyes lui prend la chatte, Mr Diabé s'est accroupi au dessus d'elle et lui prend la bouche. Tâche dont elle s'acquitte avec veulerie. Ses gros seins bougent dans tous les sens sous la violence des coups. Ilyes, vicieux, lui caresse le clitoris en même temps, prenant un malin plaisir à constater les preuves de plaisir sur le visage de maman. Cette dernière sort la bite de mon proviseur de sa bouche et pousse un cri, jouissant une nouvelle fois.

Ses deux amants finissent pas jouir le peu de sperme qu'ils leur restent après cette longue séance de baise sur le visage de ma mère. Maman s'écroule sur le sol, repue. Son vagin est rouge à force d'avoir été utilisé et son visage est déformé par le plaisir que vient de prendre son corps défendant.

Nous sortons de la salle et marchons dans les couloirs vides. Nous croisons le concierge de nuit dans un couloir, il nous lance un sourire goguenard et rentre dans son office. Mais maman et moi n'avons pas la force de réfléchir à tout cela pour l'instant. Nous rentrons vite dans la voiture.

Sur le chemin du retour, ma bite n'a pas débandé et je ne pense qu'à une chose : la prochaine séance prévue par Maître Diabé pour régler « nos problèmes de discipline »...

Le week end s'écoula sans autre incident. Je fis tout mon possible pour ne pas avoir l'air géné devant ma mère qui avait vu ma bite bandait devant sa dépravation. Elle semblait elle aussi avoir décidé d'écarter se souvenir. Mon père et ma sœur ne se doutaient de rien comme d'habitude et nous avons passé des moments en famille tout a fait normaux.

Lundi, fin de journée, je suis crevé et j'ai hâte de rentrer chez moi. J'ai acheté un nouveau jeu ce week end et ça me permettra de penser à autre chose que ma vie plutôt bizarre en ce moment.

Alors que je marche vers le parking, là où ma mère me récupère habituellement, j'entends une voix résonner dans le hall.

- Eh Tom attends moi!

Je ferme les yeux en priant pour que je me sois trompé, je sais à qui cette voix appartient.

- Vas y invite moi chez toi! Après tout on est pote non? continue Ilyes, un sourire barrant son visage.

- Ok si tu veux. Répondis-je, d'un air faussement enjoué.

Nous marchons donc tous les deux vers la voiture de ma mère qui blêmit en reconnaissant le garçon qui m'accompagne.

- Tu vas derrière mon pote! lance Ilyes.

Je m'exécute de mauvaise grâce. Le trajet est plus long que d'habitude... Je suis à l'arrière de la voiture de ma propre mère pendant que ce connard en profite pour palper cette dernière sous toutes les coutures. Il malaxe ses gros seins tandis qu'elle conduit. Et pose sa main sur sa cuisse, comme si elle lui appartenait.

Ma mère, le visage cramoisie, ne dit rien malgré l'opprobre qu'elle éprouve d'être manipulée de la sorte par un garçon de l'âge de son fils.

- Ton mari est pas là salope?

- Non il travaille jusque tard. Répond maman, qui maudit mon père d'avoir des horaires si contraignant.

- Parfait on sera tranquille alors, j'ai vu que ta fille avait cours jusque 17h. Se réjouit Ilyes.

Arrivée à la maison, Maman doit sortir de la voiture et monter les marches du perron de notre maison avec sa jupe troussée. Dévoilant ses collants et son string noir. Elle se dépêche de pénétrer dans la maison et on referme la porte.

Ilyes m'ordonne d'aller lui chercher un coca à la cuisine puis de vaquer à mes occupations. Je suis surpris qu'il me laisse tranquille et j'acquiesce.

En revenant dans le salon, je vois que ma mère a relevé son haut, ses deux gros seins gonflés d'excitation sont sucés par mon ancien meilleur ami.

Je pose le verre de coca sur la table basse et reste figé en les regardant, je ne sais pas quoi faire.

- Eh bah! Je t'ai dis fait ta vie! Tu es à ce point habitué à attendre les ordres? ricane Ilyes.

Je rougis me trouvant ridicule, j'ai eu une attitude qui m'effraie. Je décide de monter dans ma chambre. Je lance ma console et essaie de me concentrer sur mon jeu mais les gémissements qui s'élèvent du salon me rendent fou.

C'est impossible de ne pas les entendre! Je me surprends à imaginer ce qu'il peut être en train de faire subir à ma mère. Ma bite gonfle dans mon caleçon. Fait chier! L'envie de descendre voir ce qu'il se passe me serre le ventre... Mais si il me voit cela serait trop humiliant...

Après 10 minutes à perdre lamentablement mes parties, j'en conclue que je ne peux pas penser à autre chose. Je décide de descendre...

Ma mère est à genoux sur le canapé, la tête dans le cousin. Ilyes debout derrière elle, lui a introduit des doigts dans le vagin. J'en distingue deux. Il la branle énergiquement. Ma pauvre maman halète et remue ses fesses sur les doigts de son tourmenteur.

- Hmm sale coquine! Tu coules comme une fontaine! Assène Ilyes à maman.

Maman pousse un long gémissement. Je ne peux pas voir son visage mais j'entends distinctement ses cris de plaisir.

Ilyes n'en pouvant plus, s'enfonce de tout son long dans le vagin accueillant. Il se met à bourriner ma mère, en soufflant comme un bœuf, trop excité par cette bourgeoise décadente.

Ses couilles cognent le ventre de ma mère tandis qu'il la prend en levrette. Cette dernière pousse des petits cris en le suppliant d'arrêter, qu'il ne faut pas, que son fils pourrait descendre.

- Mais ton fils est déjà en bas! grogne Ilyes, le visage radieux. Tom je sais que tu es là, sort de ta cachette c'est un ordre.

Le salaud, il savait ce qu'il faisait. Je me sens si stupide, en cédant à mes pulsions, j'ai marché directement dans son plan. Je n'ai pas d'autres choix que de sortir. Ma mère, la bouche grande ouverte dans un cri muet, me dévisage.

- Met toi nu Tom! ordonne Ilyes.

La bouche sèche, j'enlève fébrilement mes vêtements. J'apparais avec une belle érection...

- Branle toi à présent. dit doucement Ilye, le regard triomphant.

Les yeux baissés, je prends ma bite et commence à m'astiquer. Quel pitre je fais, en train de me branler comme un ado devant ma mère qui se fait culbuter par mon ami. Ilyes, fou de vice, se met à défoncer ma mère de plus belle.

Cette dernière, le visage ravagé par le plaisir, crie son bonheur sans retenue. De la bave coule sur menton tandis que ses yeux écarquillés fixent la bite de son fils.