Problèmes de Discipline 1/3

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

J'ai passé la journée en écoutant à moitié mes cours, redoutant la réaction d'Ilyes que je n'avais pas revu depuis et surtout appréhendant la réunion de ce soir ou j'étais quasiment sûr que ma mère subirait encore d'horribles tourments.

Au final, Ilyes ne m'adressa pas la parole de la journée et la plupart des amis de notre groupe sont restés avec lui. Il portait un bandage à la main qui s'est coupée lorsque que je l'ai frappé. J'étais un peu seul mais je m'en foutais. Je ne pensais qu'à la réunion de ce soir, je me demande si ma mère est dans le même état que moi...

A la fin des cours, j'attends ma mère près du bureau de mon proviseur. J'aperçois Ilyes, son fils et mon ancien ami, passer devant moi.

- Alors toi et ta mère avaient encore des problèmes avec la direction? dit il d'un air moqueur.

Je ne réponds pas, lui jetant un regard noir. Il s'éloigne en ricanant. Dans le couloir il croise ma mère qui vient d'arriver.

- Bonjour madame, votre fils vous attend! scanda-t-il.

Ma mère, honteuse d'être convoqué de la sorte, elle qui nous avait toujours bien élevé ma sœur et moi et qui maintenant est forcée de venir régler mes problèmes, baisse la tête et me rejoint.

On ne dit pas un mot durant l'attente qui me paraît interminable. Avec 20 minutes de retard, Mr Diabé ouvre la porte. Une mère et sa fille en sortent, têtes baissées, sans rien dire.

Maman et moi entrons prestement. Nous nous asseyons sur les deux sièges en face du bureau.

- On se retrouve donc pour une deuxième séance dédiée à régler les problèmes de discipline de votre fils. Déclare Mr Diabé, un large sourire éclairant son visage.

- Oui Monsieur... répond ma mère, d'une petite voix.

Mr Diabé hoche la tête, satisfait, et ordonne :

- Mme Potier venait donc sous le bureau je vous prie.

Le ton très posé de sa voix produit un étrange contraste avec l'acte qu'il soumet à ma mère. Effaré, je vois cette dernière obéir après un dernier regard suppliant, rejeté par son tourmenteur. Maman sort de sa chaise, lissant sa jupe propre pour essayer de préserver un peu de dignité et passe par dessous le bureau.

- Défaite ma braguette je vous prie.

J'entends le zip de la braguette. Écœuré, je suis forcé d'assister encore une fois à la déchéance de ma mère.

- Sucez ma bite à présent, j'ai besoin de discuter avec votre fils.

Ma mère s'exécute sans un mot pendant que Mr Diabé, sourire aux lèvres, pousse un soupir d'aise.

- Alors Tom tu as vu ce que ta mère doit faire à cause de toi... J'espère que tu ne recommenceras plus.

Les dents serrées, je ne peux qu'acquiescer. Son regard dure est fixé sur moi. Il sait que je ne peut rien faire à part subir.

- Au final je pense que c'est la meilleure chose qu'il ait pu arriver à ta maman. Elle avait besoin que quelqu'un s'occupe d'elle au plus vite. N'est ce pas?

Il veut jouer avec moi. Je regarde cet être ignoble faire de nous ses pantins et je hoche la tête encore une fois.

- N'est ce pas Tom? reprend Mr Diabé, insatisfait de ma réponse.

- Oui Monsieur.

Je réponds le visage crispé par la colère.

- Bien Tom. Il est important que tu le comprennes. Ta maman est en train de me sucer car tu as fait quelque chose de très mal. Continue Mr Diabé.

- Oui monsieur.

- Bien, Mme Potier veuillez vous préparer à avaler s'il vous plaît.

Remarque accueillit par un grognement. Je vois le visage de notre tourmenteur se figer de plaisir et j'imagine que ma mère est obligée d'avaler toute sa semence. Je sens ma bite s'agitée. Désespérément j'essaie de penser à autre chose, me refusant d'être excité par cette situation.

Ma mère ressort de sous la table et se rassoit à côté de moi. S'essuyant quelques traces de spermes sur le contour des lèvres.

- Madame penchez vous sur le bureau à présent.

- Pas devant mon fils je vous en prie, je ferai ce que vous voulez. supplie ma mère, les yeux humides.

- Mais ça je le sais déjà salope, vous m'appartenez et c'est pour quoi je me contrefiche si votre fils voit la pute que vous êtes réellement.

Je lance un regard vers ma mère, voulant lui dire que ce n'est pas grave. Mais elle ne me regarde pas, elle est déjà debout, prête à se pencher sur la table.

Je reste assis sur mon siège, à quelques centimètres des fesses de ma mère qui sont dressées tandis que son buste est écrasé sur le bureau en bois noble de mon proviseur.

Mr Diabé contourne son bureau et se place derrière elle. Il arrache encore une fois son collant. Ma mère pousse un cri de peur.

Je vois Mr Diabé écarter son string et introduire deux doigts dans son fondement. Ma mère gémit faiblement.

- Bien entendu... s'exclame-t-il en retirant ses doigts.

Il me montre deux doigts trempés et fesse directement ma mère.

- Quelle chienne vous faites Mme Potier, être excitée par une fellation.

Je regarde les doigts, les yeux ronds. Je refuse de croire que ma mère est sensible à cette situation. Mais ma queue qui a prise toute son ampleur me trahit moi aussi.

- Je vais devoir sévir encore une fois. Comme votre fils vous méritez qu'on vous discipline.

Il replonge ses doigts dans la fente gluante de ma mère. Le vicieux les agite énergiquement durant quelques instants pendant que ma mère secoue la tête en le suppliant d'arrêter. Il retire à nouveau ses doigts et me les remontre. Ils sont poisseux de mouille... Oppressé par cette vision, je veux tourner la tête mais Mr Diabé m'ordonne de regarder. À contre cœur, mes yeux se reposent sur le spectacle dégradant.

Mr Diabé replonge ses doigts encore une fois et branle ma mère pendant de longues minutes. Le silence de la salle est rompu par les gémissements de maman. Son bassin se soulève à certains moments comme pour aller chercher les doigts noirs de notre maître chanteur.

Je vois distinctement le jus de ma mère couler le long de l'intérieur de ses jambes. Elle a relevé la tête et pousse de longues plaintes tandis que Mr Diabé la doigte habilement, les yeux éclairés d'une lueur sadique. Il veut la pousser à bout...

Tout à coup, ma mère se tend et ses jambes se mettent à trembler tandis qu'elle pousse un petit cri. Je viens de voir ma mère jouir sous les doigts d'un autre homme que son mari.

Mr Diabé ressort ses doigts et les égoutte en secouant sa main.

- Vous avez sali mon bureau Mme, veuillez nettoyer tout ça.

Ma mère est alors forcée de lécher sa propre mouille sur le bois. Je bande à en avoir mal à cause de la situation. Une fois le bureau propre, nous sommes congédiés et Mr Diabé fixe une autre réunion pour régler « nos problèmes de discipline respectifs » en fin de semaine.

De nouveau, le trajet en voiture se passe dans le silence. Ma bite a repris une taille normale heureusement mais je ne peux penser à autre chose que ce que je viens de vivre. Ma mère s'est laissée aller à jouir comme si elle aimait ça. Ça doit être son corps qui lui fait défaut... J'ai déjà lu quelque part que le corps des femmes, même forcé, réagit aux stimulations... Cette idée me conforte dans l'estime que j'ai pour ma mère...

Lors du repas, mes parents discutent, comme si de rien était, avec ma sœur et moi. Après le dîner, nous sommes devant la télé et ma mère regarde son téléphone. Elle blêmit devant son écran et sort de la pièce. Je me reconcentre sur le film quand je l'entends m'appeler.

- Qu'est ce qui se passe? demandai-je à ma mère une fois dans la cuisine avec elle.

- C'est ton proviseur... répond elle d'une petite voix, il veut que je lui envoie des photos...

- Comment ça? Quel type de photos?

Elle me tend le téléphone, alors que son visage devient tout rouge. Je lis les instructions données par Mr Diabé et relève les yeux vers ma mère, indigné. Il est hors de question qu'on lui obéisse. Il veut des photos d'elle nue dans notre cuisine mais le pire c'est qu'il précise que c'est « votre délinquant de fils qui doit les prendre ».

- Dis lui qu'on ne peut pas faire ça! Il abuse de nous! dis-je à ma mère, paniqué à l'idée que le chantage se prolonge à la maison.

- On ne peut pas Tom, il faut lui obéir... Nous n'avons pas le choix mon chéri. Coupe maman, sèchement.

Je décide de lui faire confiance même si ça m'inquiète de voir ma mère abdiquer si facilement. Je suis plus bas que terre, cette histoire est entièrement de ma faute comme mon proviseur nous l'a dit. J'ai entraîné ma mère dans cette spirale infernale.

Je me résigne et envoie un message à Mr Diabé lui signalant que j'attends ses indications. Il me répondit immédiatement et durant 10 minutes je dus prendre en photo ma propre mère dans des positions plus décadentes les unes que les autres.

Maman doit montrer ses gros seins, lécher ses tétons avec un air pervers, écarter les lèvres de sa chatte et aller jusque rentrer une courgette de notre frigo dans sa fente tout ça sous les ordres de Mr Diabé et bien sûr sous l'objectif du téléphone manié par son fils. Je m'étonne de voir à quel point ma mère prend ce jeu malsain au sérieux et me surprends moi même à faire en sorte de prendre les meilleurs clichés possible.

Les commentaires de Mr Diabé sont dégradants mais m'excitent malgré moi...

« Quel air de cochonne! », « Première fois que tu vois ses gros seins depuis un moment hein Tom. », « Regarde comment la courgette est luisante, cette coquine doit être trempée ».

A la fin de la séance d'exhibition forcée, ma bite est dure comme un roc tandis que ma mère respirent bruyamment.

Elle se rhabille à la hâte, reprend son téléphone et déguerpit dans le salon sans un mot. Mon père et ma sœur ne se sont doutés de rien... Quand à moi, je n'en peux plus. Je monte dans ma chambre et commence honteusement à me masturber en repensant aux événements de la journée... Je jouis rapidement encore une fois et m'endors presque aussitôt.

La semaine passe lentement. Ilyes et mes amis me reparlent mais mon ancien ami se sachant intouchable s'amuse à reparler de la vidéo de ma sœur qui a provoquée toute cette histoire. Je ne peux qu'encaisser sans faire de vague, par peur des sévices que son père pourrait faire à ma mère si je pète encore un câble.

Je subis ces humiliations sans rien dire, content, malgré tout, que ma bande de pote me reparle comme avant.

Vendredi, je reçois un message de ma mère m'indiquant que Mr Diabé vient de nous donner un autre rendez vous. Ce soir à 19h après la fermeture du lycée. Cette heure tardive ne me dit rien qui vaille mais avons nous le choix?

Quand ma mère lui annonce la nouvelle, mon père ne nous questionne pas trop. Il est au courant que j'ai des « problèmes de discipline » et est ravi que Mr Diabé prenne ça au sérieux. Si il savait...

Le soir même à 19h, ma mère et moi attendons devant le portail du lycée quand Mr Diabé lui même vient nous chercher. Il nous emmène jusque dans son bureau, les talons de ma mère claquent sur le sol. Elle est habillée en tailleur chic, je crois qu'elle n'a pas pris la peine de mettre un soutien gorge. Il nous demande de nous assoir. On commence à avoir l'habitude...

- Nous nous revoyons de nouveau pour régler vos problèmes de disciplines à tous les deux. Je vous ai convoqué à cette heure ci pour que nous soyons plus tranquille. ajoute-t-il, avec un sourire entendu.

- Mme Potier veuillez venir à côté de moi.

Ma mere, résignée, se lève et se place à côté de son maître chanteur. Ce dernier faufile une de ses mains dans l'échancrure du tailleur de maman et attrape un sein ferme.

- Vous vous êtes conduit comme une vraie cochonne dans la cuisine l'autre jour Mme, tout cela sous les yeux de votre fils, vous êtes une terrible mère vous le savez? demande-t-il en tordant le téton de ma mère.

- Oui Mr Diabé. Répond ma mère, après avoir pousser un gémissement plaintif.

- Vous allez être puni pour ça parce que vous le méritez vous comprenez?

- Oui Mr Diabé, je mérite d'être puni. Continue ma mère.

- Bien Mme Potier. Maintenant enlevez votre tailleur.

Ma mère, la tête baissée, s'exécute sans un mot.

- Pas de soutien-gorge ! A ce que je vois, vous avez commencé à comprendre ce que j'attends d'une chienne comme vous. La complimente Mr Diabé.

Ma mère hoche la tête. Ses gros seins trônant fièrement. Ses tétons sont tendus comme si ils voulaient toucher le plafond. Elle a le visage rouge de honte du fait de se tenir nue devant moi.

- Comment trouves tu les seins de ta mère Tom? me demande Mr Diabé, amusé.

Les mots se bloquent dans ma gorge, il ne veut pas quand même pas que je réponde à cette question. Je ne peux pas.

- Tom? Je t'ai posé une question? reprend Mr Diabé, son regard dur me clouant dans ma chaise.

- Euh... Ils sont... très beaux... dis je, les yeux rivés sur le sol.

- Je trouve aussi que les seins de ta maman sont magnifiques mais tu ne trouves pas qu'il faudrait les faire rougir un peu? dit Mr Diabé, d'une voix vicieuse.

- Que voulez vous dire? m'exclamai-je, ne comprenant pas l'aboutissement de ses propos.

- Je veux que tu ailles les fouetter pour moi. M'ordonne mon proviseur.

Concert de protestation de ma part. Il est hors de question que je fouette les seins de ma mère.

- Si tu ne le fais pas, je m'en chargerai. Mais sache que j'y mettrai toute ma force. Pense à ce qui est le mieux pour elle.

Effaré, je comprends la perversion dont fait preuve le père de mon ami. Je jette un regard de détresse vers ma mère mais cette dernière regarde ses pieds, silencieuse. Piégé, je me lève comme un automate. Je commence à comprendre dans quelle situation je nous ai mise. Alors que je défais ma ceinture, Mr Diabé m'interpelle :

- Non prend ça!

Il me tend un fouet à 9 queues noire. Le manche est en forme de gode. Je tente de déceler une lueur de pitié dans ses yeux mais intraitable il me remet l'objet en main.

- Et fait en sorte que ça soit assez fort! Sinon je m'en charge moi même! me rappelle le proviseur.

Je cherche le regard de ma mère pour lui faire comprendre que je suis désolé mais elle évite à tout prix de croiser le mien. Je me positionne à côté d'elle et commence donc à frapper.

Le fouet cingle sa poitrine nue et lui soutire un cri strident. Je comprends maintenant pourquoi notre rendez vous était si tard... Mon être entier me dit d'arrêter de faire cela mais la menace de Mr Diabé ne me laisse pas le choix. Je ne laisserai pas cet homme frapper ma mère.

Les coups commencent alors à s'enchaîner. Ma mère ne crie plus mais pousse des jappements à chaque coup. Ses lourds seins sont tout rouges, ses tétons semblent vouloir exploser tellement ils sont droits. Mr Diabé contemple la scène avec délectation. Il sait qu'une étape a été franchie pour briser mentalement ses deux proies.

Sans m'en rendre compte, je fouette les seins de ma mère de plus en plus fort. Je sens que mon excitation a pris le dessus, ma bite est terriblement à l'étroit dans mon pantalon.

- Arrête Tom, elle a eu ce qu'elle méritait pour avoir été une mère aussi salope. N'est ce pas Mme Potier?

- Oui Mr Diabé. répond ma mère sans broncher.

Notre tortionnaire lui demande de venir à côté d'elle. Il passe un doigt le long de sa fente et avec un sourire nous le montre.

- Encore une fois, les traitements que vous subissez vous laisse trempée. Annonce Mr Diabé. Vous êtes une pute irrécupérable.

L'humiliation pour ma mère est totale, se faire fouetter par son fils et se faire surprendre à mouiller de la sorte. « Je suis vraiment une pute » se dit-elle avec effroi.

Mr Diabé me reprend le fouet des mains et le donne à ma mère. Lui intimant de se servir du manche pour préparer sa chatte. Maman le regarde, une grande appréhension sur le visage, mais ne désobéit pas. Totalement nue, assise sur une chaise de cours, elle écarte les jambes. Le gode rentre sans problème dans la fente noyée par la cyprine.

Elle jette sa tête en arrière et pousse un gémissement de satisfaction.

Mr Diabé s'est rassis derrière son bureau et me donne un caméscope.

- Filme ça je te prie Tom. J'en aurais besoin pour la suite.

Je ne sais pas ce qu'il veut dire par là mais je n'ai pas le choix. Je m'empare du téléphone et commence à filmer, une énorme bosse déformant mon pantalon malgré moi. Je prie pour qu'aucun d'entre eux ne s'en rendent compte.

Ma mère fait des va et vient énergique avec le manche du fouet. Mr Diabé, penché à côté d'elle, lui suce les tétons en faisant des bruits obsènes.

- Ah salope, vous êtes une mère des plus perverses. Vous vous branlez comme une trainée. Exulte-t-il, tout en giflant les seins de ma mère.

Cette dernière pousse de longs gémissements. Malgré elle, ce traitement dépravant la met dans un état d'excitation qu'elle n'arrive pas à expliquer. Son jus coule abondamment et salit la chaise. Je m'approche encore plus et fais de gros plans sur son visage, tout cela sous les ordres de mon proviseur.

J'ai la bouche sèche et le coeur qui bat si fort que j'ai l'impression que je vais m'évanouir. L'ambiance de la salle est chaude et vicieuse. Mr Diabé se réjouit de nous voir ainsi rabaissés.

- Je vais pouvoir baiser ta mère Tom, elle est prête ! Déclare-t-il, n'en pouvant plus.

Il reprend le fouet des mains de ma mère et me le tend. Je le prends par la poignée et le lâche brusquement. Ma main est couverte du jus de ma mère, je regarde, incrédule, le liquide poisseux sur mes doigts.

Pendant ce temps, Mr Diabé a positionné maman à genoux sur la chaise, le buste contre le dossier. Ses gros seins sont comprimés et semblent vouloir exploser sur les côtés. Notre tortionnaire sort alors un immense pénis noir de son pantalon. C'est la première fois que ma mère et moi le voyons et nous sommes tous les deux choqués par sa taille impressionnante.

Après un dernier supplice, ma mère encaisse dans son fondement l'intromission du braquemart de Mr Diabé. La sensation lui coupe le souffle. Le camésope filme son visage, yeux exorbités, bouche ouverte.

- Hmmm, vous êtes serrée Mme Potier, votre mari et moi ne devons pas avoir le même gabarit. Raille-t-il, satisfait de son effet sur ma mère.

Il entâme alors des aller retours longs et puissants tandis que maman s'époumone sous la violence des coups. Je suis subjugué par ce que je vois, honteusement je repense aux pornos interracial que je regarde quelque fois. C'est un véritable accouplement animal.

Mr Diabé, sur de lui, continue ses lents mouvements tandis que ma mère halète en remuant ses fesses. Je regarde la scène, le regard fou. Ma bite me fait mal, à l'étroit dans mon jean.

- Ça vous change de celle de votre mari hein salope ? Lui demande Mr Diabé, en accélérant ses coups de reins.

Ma mère secoue la tête, trop occupée à contenir les sensations qui montent en elle. Mr Diabé ricane et lui envoit des coups de bassins à en renverser la chaise. Heureusement qu'il la tient bien par les hanches.

Ma mère pousse un cri strident et jouit sur le coup. Je croise son regard, elle a les yeux mouillés par la honte. Mais Mr Diabé n'en a pas finit avec elle et continue de la prendre durement pendant de longues minutes.

Il ponctue ses coups de reins par des propos de plus en plus salaces.

- Dîtes le que vous préferez ma bite à celle de votre mari !

- Je pourrais vous ordonner de sucer votre fils ? Ça vous plairez ça ?

- J'étais sûr que vous étiez une vrai pute blanche, vous allez voir, nous allons faire de grandes choses ensemble.

Ma mère boit ses paroles en balançant son bassin à sa rencontre. Les cheveux décoiffées, le regard perdu. Finalement, notre maitre chanteur se vide dans sa fente en lançant une dernière insulte. Ma mère s'écroule sur la chaise, je crois qu'elle a eu plusieurs orgasmes.

Pour la scène finale, ma mère est de nouveau assise sur la chaise et doit écarter les lèvres de sa chatte dégoulinante de foutre tandis que je suis assis sur une autre chaise à côté d'elle. Mr Diabé m'a inséré le manche du fouet dans la gorge et je salive abondamment dessus. Le manche me distant la bouche tandis que l'odeur de la mouille de ma mère me remplit les narines. Notre nouveau maître comme il vient de nous ordonner de l'appeler, nous filme avec le caméscope pour tourner la dernière scène. Un sourire carnassier sur le visage.