Portelo, Épisode 04

BÊTA PUBLIQUE

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Elle revint vers Victoire qui ne portait déjà plus que sa petite culotte et s'installait sur le lit. En achevant de défaire les boutons de sa chemise, la jeune canadienne rejoignit son amie.

Sur le lit, elle se baissa pour commencer à prendre en bouche sa belle poitrine en prenant bien soin de lui exciter les tétons.

Dans le même temps, elle sentit les mains de Victoire déclipser son soutien-gorge et elle fit glisser sa main sous le tissu de la petite culotte de la jolie brune.

La chaleur montait rapidement alors que les derniers vêtements finissaient sur le sol et que les caresses devenaient plus intimes.

Suivant toujours les consignes de Paulo, les deux jeunes femmes avaient passé l'essentiel de leur temps libre sur internet à visionner des vidéos pornos lesbiennes afin de peaufiner leur technique et cela commençait à porter ses fruits.

Victoire s'écarta du lit et repoussa doucement Andréa qui tomba sur le dos, jambes écartées. La jeune brune glissa sa tête entre les cuisses de son amie et commença un cunnilingus.

Andréa commença à souffler alors qu'une chaleur honteuse commençait à monter de son bas ventre. Elle avait déjà connu plusieurs orgasmes suite aux caresses de son amie d'enfance et en gardait un souvenir toujours amer tant ces contacts saphiques la dégoutait.

Elle jeta un regard sur le téléphone qui continuait à filmer. Cette vidéo était destinée à Paulo et elle ne manquerait pas de la lui envoyer dès qu'elles auraient fini, c'est-à-dire quand l'une d'entre elle au moins aurait jouis.

Victoire releva son visage, nimbé de cyprine indiquant que ses jeux de langues parvenaient à faire réagir le corps de son amie.

La jeune blonde attira son amie à elle et l'embrassa, léchant les traces de son liquide séminal puis les deux s'imbriquèrent en un 69 parfait, chacune jouant de la langue et des doigts et stimulant autant le clitoris que les zones sensibles de l'intérieur du vagin. Leurs mains se baladaient aussi sur toutes les parties du corps de la partenaire.

Ce fut Victoire qui se perdit la première. Andréa sentit ses muscles utérins se contracter et la belle brune fut prise de spasmes au niveau des hanches indiquant qu'elle venait de jouir.

Les deux jeunes femmes se séparèrent alors, en sueur et le souffle court. Il leur restait encore deux jours de voyage avant de retourner à Portelo. Deux nuits d'ébats lesbiens honteux et plus encore car elles étaient destinées à passer l'essentiel du temps du voyage dans leur cabine et donc autant d'occasion de continuer à se « perfectionner » avant de retrouver le monstre qui les avaient ainsi réduites à l'état d'esclaves obéissantes. Et toutes les deux se demandaient bien, les nouvelles horreurs qu'il allait alors leur faire vivre.

CHAPITRE 5

En se réveillant, Pamela crut sortir d'un cauchemar mais les liens qui la retenaient toujours et s'étaient enfoncé dans sa peau lui enlevèrent toute illusion. Elle avait bien vécu cet enfer. D'ailleurs, même dans ses pires cauchemars, elle n'aurait jamais esquissé l'idée de pouvoir ressentir une telle douleur.

Et une telle humiliation, aussi. Cet homme avait profité de son corps et l'avait même conduite à se pisser dessus et à le supplier. Elle ne lui pardonnerait jamais et comptait bien lui faire payer tout cela au centuple.

Elle commençait à réfléchir. Il l'avait kidnappé juste devant chez elle et donc chez lui, l'avait torturée et violée mais elle était encore vivante. Cela indiquait qu'il n'en avait pas encore fini avec elle et qu'elle avait encore une chance de redresser la barre.

Elle entendit des pas dans son dos puis le contact d'une main sur ses cuisses. Elle sursauta de dégoût. Il était hors de question qu'il ne la reprit de nouveau.

« Je vois que tu es réveillée, fit-il alors dans son dos. Tu dois déjà être en train d'imaginer comment te libérer et plus encore. »

Elle voulut lui lancer un torrent d'injures mais le bâillon qu'elle portait toujours l'en empêcha. De nouveau, elle sentit un contact sur ses cuisses puis une pression sur l'entrée de son vagin.

Elle se mit à se débattre mais elle se sentait encore tellement faible que ses liens ne bougèrent même pas alors que le pénis l'envahissait à nouveau.

Elle sentit les coups de reins qu'il donnait et qui abrasaient son vagin désormais totalement sec. Elle se mit à pleurer de rage alors qu'il continuait à profiter d'elle.

Finalement, il se contracta et elle comprit qu'il venait de jouir. Elle ne sentit rien en elle, il devait porter un préservatif.

Elle n'entendit ni ne sentit rien pendant quelques minutes puis on tira sur la ficelle de son bâillon qui tomba libérant sa bouche. Elle retrouva de la vigueur et se mit à vomir un torrent d'injures. Après les insultes vinrent les menaces et les intimidations. Elle voulait qu'il meure, qu'il la libère et qu'il crève une seconde fois.

Paulo, un sourire ironique au coin des lèvres, la laissa déverser sa haine inutile.

« Silence! Finit-il par lâcher sans une once d'énervement. »

Et le silence fut. Pamela ferma sa bouche et fut totalement incapable de la rouvrir.

Comme trois autres jeunes femmes avant elle, elle se retrouvait prisonnière de son corps et Paulo ne pouvait que s'en satisfaire.

« Je n'ai ni le temps ni l'envie de t'expliquer ce qui t'arrive. Je vais te libérer et tu resteras bien sage. »

Il défit ses liens et elle ne fit aucun geste à son encontre, attendant même qu'il l'autorisât à se redresser. Pourtant, elle bouillait d'envie de prendre n'importe quel objet pouvant lui servir d'arme et s'en servir pour faire pisser le sang à cette pourriture.

Finalement, il l'autorisa à s'assoir et lui donna même un peu d'eau. Elle la but avec plaisir tant elle était déshydratée. Puis, il lui présenta une série de papier qu'elle lut rapidement avant de tousser de surprise.

« C'est une blague? Put-elle s'étonner.

Je ne plaisante jamais. Signe! »

Elle prit le stylo et s'exécuta alors qu'elle y était totalement opposée.

Ce document était tout simplement une promesse de vente de son appartement. En signant, elle vendait son appartement de presque 100 m² à cette pourriture et pour une somme qui ne valait même pas la moitié de ce qu'il valait réellement.

Par la suite, elle signa encore une bonne demi-douzaine de documents dont elle ne comprit pas toute la teneur mais elle se doutait qu'ils n'étaient pas à son avantage.

Paulo rangea les documents dans un tiroir et revint vers elle qui attendait toujours son autorisation pour bouger.

« Très bien, ma belle. Maintenant explique moi donc ce que tu as fait pour obtenir une telle rage de la part de Rhonda Gomes. »

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