Pacte avec le diable Ch. 01

Informations sur Récit
Belle-mère addicte au sexe passe un marché risqué.
2.4k mots
3.86
18.1k
2

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 01/19/2021
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Elwan
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Antonin profitait de ses vacances d'été ... Deux mois entiers à ne rien faire, en attendant sa rentrée à la fac en septembre. Il venait d'avoir vingt-et-un an, il allait rentrer en master 1.

Comme tous les étés, il partageait son temps entre ses deux maisons, ou plutôt, entre ses deux parents, ceux-ci étant divorcés. Il passait la majorité du temps chez sa mère, mais il partageait les vacances en deux.

Nous étions ici fin juillet, à la moitié des vacances scolaires. En temps normal, c'est son père qui venait le chercher pour faire la transition. Cependant, le jour du départ, Antonin reçut un appel de sa belle-mère. Oui en effet il est bon de préciser que le père d'Antonin s'est remarié, avec une femme un peu plus jeune que lui : Le père d'Antonin, avait passé la quarantaine depuis quelques temps tandis que sa nouvelle femme, Aurélie, avait environ 35 ans.

Antonin n'était pas particulièrement proche de sa belle-mère, mais il n'avait rien contre elle non plus. Ils ne se voyaient pas souvent, hormis pendant une partie de chaque vacances scolaires. Mais d'ordinaire ils ne s'appelaient jamais, d'où l'étonnement d'Antonin quand il vit apparaitre le nom de sa belle-mère sur son téléphone.

— Oui allô Antonin, salut c'est Aurélie, c'est ton père, il est à l'hôpital!

— Hein? Mais qu'est-ce qu'il s'est passé? Il va bien?

— Il a eu un accident ce matin en voiture, un chauffard lui a grillé la priorité ... Il est à l'hôpital mais il est sorti d'affaire, même s'il a été touché assez durement d'après les médecins. Il a une jambe bien amochée et des côtes cassées ... J'ai pu le voir mais pas très longtemps, il devait se reposer.

— Oh merde!

— Oui ... Je suis à l'hôpital là, je pensais venir te chercher pour t'amener le voir à l'hôpital, puis rentrer directement chez nous, ça te dérange pas?

— Non non pas du tout ça me va, je finis de me préparer et je t'attends.

Antonin a résumé l'histoire à sa mère puis a fini de préparer ses affaires. Quelques dizaines de minutes plus tard, Aurélie est arrivée, puis peu de temps après Antonin et sa belle-mère étaient sur le chemin de l'hôpital.

Dans la voiture, et malgré les circonstances, Antonin n'a pas pu s'empêcher d'avoir le regard attiré par la silhouette d'Aurélie à quelques centimètres de lui. Il faut savoir que sa belle-mère n'attirait pas seulement le regard d'Antonin. Elle était assez petite, avec une silhouette fine sculptée par le sport qu'elle pratiquait régulièrement. De longs cheveux châtains ondulaient jusqu'à ses épaules et on ne pouvait que remarquer sa poitrine généreuse bien mise en valeur par un haut moulant.

D'ordinaire, Antonin n'attardait jamais trop son attention sur elle, c'est quand même la femme de son père après tout. Mais il n'avait pas non plus l'habitude d'être à ses côtés en voiture : il ne pouvait ici qu'admirer sa poitrine tressautant au gré des bosses de la route, avec la ceinture de sécurité coincée entre ses seins, qui faisait divaguer l'imagination d'Antonin ... Mais soudainement, ils étaient arrivés à l'hôpital, arrêtant net les pensées d'Antonin.

Ils ont pu voir le père d'Antonin brièvement, ainsi qu'un médecin qui le suivait. Le médecin les a informés que le père d'Antonin a dû être opéré mais qu'il n'y avait plus de soucis à se faire, le plus dur était passé. Par contre, ils vont devoir le garder au moins deux semaines. A cette nouvelle, Aurélie a tout de suite réagi, tout à fait paniquée :

— D...deux semaines? Mais ce n'est pas possible! Il va bien vous avez dit non?

— Oui tout à fait mais ne vous inquiétez pas Madame, c'est pour qu'il se repose et pour que nous continuions de l'observer, afin de confirmer qu'il n'y a pas de complications post-traumatiques.

— Vous êtes sûrs que le retenir deux semaines est bien nécessaire? Est-ce qu'il ne pourrait pas rester à la maison pendant ce temps, avec un médecin qui le suit par exemple?

Antonin, comme le médecin, pensait qu'Aurélie s'inquiétait pour la santé de son mari, même si ses questions sur la durée à l'hôpital étaient étranges. Mais il se disait que c'était simplement le coup de l'émotion. Antonin s'est mis à son tour à rassurer sa belle-mère, portant secours au médecin :

— Ne t'inquiète pas, laisse les médecins faire, Papa ira beaucoup mieux dans deux semaines et tout reviendra dans l'ordre, aller viens on ne peut rien faire de plus.

— Tout à fait, faites-nous confiance on prendra soin de votre mari, vous le retrouverez comme neuf! a confirmé le médecin.

Même si Aurélie ne semblait toujours pas rassurée, elle se laissa entrainée par son beau-fils et le médecin vers la sortie. Sur le chemin du retour, Aurélie semblait ailleurs, mais Antonin la laissa dans ses pensées, elle s'en remettra vite se disait-il.

Ainsi commença donc ce mois d'août pour Antonin et sa belle-mère.

Dans les jours qui ont suivi, Antonin passait le plus clair de son temps dans sa chambre et sa belle-mère sortait souvent pour faire les magasins, son sport, ou autre. Antonin remarqua qu'Aurélie semblait de plus en plus perturbée et distraite, elle semblait penser à quelque chose constamment. De plus, elle semblait s'habiller de plus en plus court et moulant. Antonin pensait simplement que c'était dû aux chaleurs du moment, et puis il la trouvait encore plus sexy comme ça alors il n'allait pas se plaindre.

Au soir du troisième jour de l'arrivée d'Antonin, il entendit que quelqu'un toquait à sa porte de chambre, puis la voix d'Aurélie qui demandait si elle pouvait entrer. Etonné de sa visite, il la laissa entrer. Aurélie entra donc dans la chambre, et Antonin ne manqua pas de remarquer son short très court et son haut assez moulant.

— Je ne te dérange pas?

— Non pas du tout, je regardais juste un film.

Antonin était allongé dans son lit, et elle s'est assise sur une chaise, juste à côté. Comme elle ne reprenait pas la parole, semblant perdue dans ses pensées, Antonin entama :

— Un problème?

— Oui, il faut que je te parle d'un soucis personnel. Je ne vais pas tourner autour du pot, donc voilà, j'ai ce qu'on pourrait appeler une maladie ... intime. J'ai besoin d'attentions régulières, d'attentions physiques régulières. J'ai besoin qu'on me donne du plaisir très régulièrement.

Aurélie se tortillait sur sa chaise, fixant le sol, pendant qu'elle racontait son histoire. Antonin était encore plus gêné qu'elle en comprenant le sujet de la conversation.

— Heu ok je vois mais pourquoi tu me racontes tout ça?

— Et bien car ça concerne ton père, comme tu le sais il n'est plus à la maison depuis trois jours ... et j'ai besoin d'attention plus régulièrement que ça, beaucoup plus régulièrement que ça, donc je vais mal.

— Qu'est-ce que tu as? Qu'est-ce qu'il se passe si tu n'as pas ces ... attentions régulières?

— Je deviens de plus en plus perturbée, je me contrôle de moins en moins, mon corps veut absolument ces attentions, j'ai envie de sauter sur tout ce qui bouge, et j'en arrive à ne plus pouvoir me retenir tellement je suis en manque, c'est comme une drogue. Je te dis ça d'expérience, car j'ai connu ce manque pendant une période avant de connaitre ton père, ce n'était pas facile.

Aurélie a déballé son histoire d'une traite, sans se retenir, avant de se rendre compte après coup qu'elle en avait peut-être trop dit.

Après un moment pour se remettre de cette histoire, Antonin demanda la première chose qui lui venait naturellement en tête, se basant sur ses « expériences » personnelles :

— Mais tu ne peux pas te ... donner ces « attentions » toute seule?

— Je faisais ça dans ma jeunesse, mais plus le temps a passé moins ça me procurait de plaisir, au point que depuis mes 20 ans à peu près, je ne peux pas avoir d'orgasme seule.

Antonin avait bien entendu, sa belle-mère lui parlait d'orgasme.

— Je ... je suis désolé pour toi.

— Si je te dis tout ça Antonin, c'est que ... j'ai besoin de ton aide.

— C'est-à-dire ...?

— J'en ai trop besoin Antonin, j'ai besoin que tu m'aides, je n'ai personne d'autre vers qui me tourner. Ton père ne sera pas disponible avant au moins deux semaines, je ne pourrai pas tenir. Là ça fait seulement trois jours et je n'en peux plus. Aide moi s'il te plait, aide moi ... à avoir un orgasme, lâcha Aurélie, avec une voix désespérée.

Antonin mit quelques temps à comprendre, sous le choc de la requête. Sa belle-mère lui demandait à lui, de s'occuper d'elle physiquement. Il la regarda de bas en haut, et il ne pouvait nier qu'elle l'attirait. Ca ne le dérangerait pas de la déshabiller, de la toucher, lui donner son plaisir ... Non il devait se reprendre et calmer ses pulsions, les fantasmes ce n'est pas la réalité, c'est le principe d'ailleurs. Alors il reprit :

— Mais ... mais ... tu ne peux pas tenir le temps que Papa revienne?

— Non c'est impossible, c'est trop dur!

— Pourquoi? Tu as besoin de ... d'un orgasme tous les combien de temps, pour te sentir bien?

— Tous les jours, au moins, et là ça va faire trois jours, ajouta Aurélie d'une petite voix.

— Mais et Papa dans tout ça, tu ne peux pas demander comme ça à un autre homme de t'aider!

— On en a déjà discuté ensemble, il connait mon problème et avait déjà accepté que je me ... soigne par d'autres moyens si besoin. Et tu es le seul homme que je suis prête à accepter pour m'aider, je ne veux pas d'un inconnu, s'il te plait Antonin.

Plus elle insistait, plus Antonin avait du mal à refuser. Une simple réponse affirmative et il pourrait réaliser certains de ses fantasmes envers cette femme sexy, juste là, en face de lui. Mais il continuait néanmoins de se justifier, par réflexe face à la gêne que tout ceci lui procurait :

— Et tu t'es demandé si moi je suis prêt à t'aider? Tu ne t'es pas demandé si j'avais une copine par exemple?

— J'y ai réfléchi Antonin mais je n'ai pas d'autres choix, s'il te plait je te paierai si tu veux, ajouta Aurélie avec une voix de plus en plus désespérée.

— Tu me prends pour un gigolo en plus?! continua Antonin dans sa lancé.

— Nooon ne réagis pas comme ça, c'était juste une proposition, je ferai ce que tu veux, dis-moi juste ce que tu veux en retour et je le ferai! supplia Aurélie, avec une voix cassée.

Antonin avait devant ses yeux sa belle-mère qui le suppliait, se penchant devant lui en lui offrant une vue plongeante sur sa poitrine. C'est à ce moment que le petit démon qui lui intimait depuis le début d'accepter la proposition prit une place trop importante dans l'esprit d'Antonin. Ce petit démon lui suggérait non seulement d'accepter, mais surtout de profiter de la situation afin d'assouvir tous ses fantasmes pervers.

Alors Antonin, après un temps de pause calculé, répondit :

— Tu feras ce que je veux?

— Oui oui, s'empressa de répondre Aurélie, sentant l'espoir naitre en elle.

— Pour résumé, tu es addicte au sexe, et tu veux que moi, ton beau-fils, je te fasse jouir aussi souvent que nécessaire, pour assouvir tes pulsions?

Antonin prit un plaisir intense à résumer la situation ainsi, en insinuant que toute la perversion de la situation venait de sa belle-mère et non pas de lui, et qu'il n'était que le sauveur. Aurélie entendit ces mots, crus mais pourtant réels, mais voulant à tout prix obtenir son plaisir elle confirma avec une petite voix honteuse, les yeux bas, avec un faible « Oui ».

Antonin ne pouvait pas arrêter sa lancé, il voulait accentuer le sentiment de pouvoir qu'il ressentait, alors il enchaina :

— Je veux te l'entendre dire.

Aurélie avait accepté l'idée qu'elle mettrait sa fierté de côté pour obtenir ce qu'elle voulait, alors elle répéta docilement :

— Je suis addicte au sexe et je veux que toi, mon beau-fils, tu me fasses jouir aussi souvent que nécessaire pour assouvir mes pulsions. S'il te plait! ajouta-t-elle d'une voix suppliante.

A ces mots, Antonin sentit le pouvoir qu'il avait sur Aurélie, et son excitation était à son paroxysme. Il voulait encore amplifier ce sentiment alors, après un moment de pause pour la faire languir, il répondit simplement :

— Je vais réfléchir.

Aurélie, dont l'espoir d'obtenir l'orgasme tant attendue montait en flèche depuis tout à l'heure, resta sous le choc de cette phrase quelques instants, avant de se mettre soudainement à genoux devant Antonin en le suppliant :

— S'il te plait je ferai tout ce que tu veux, mais aide-moi à jouir je n'en peux plus. Je suis droguée de sexe, je l'admets, mais fais-moi jouir maintenant s'il te plait!

Elle était à genoux devant le lit d'Antonin, ce dernier étant assis sur le lit en face d'elle, habillé seulement d'un pyjama court. Elle ne put que remarquer la protubérance entre les jambes d'Antonin, qui relevait le vêtement de façon ostentatoire.

Elle ajouta alors, en posant une main sur la cuisse d'Antonin :

— En échange, je ... je suis prête à ... à te faire jouir aussi.

Elle jouait sa toute dernière carte, en utilisant les mots crus qu'elle n'utilisait pas en temps normal, en lui proposant une idée qu'elle n'avait pas envisagé de proposer avant de venir dans sa chambre.

Antonin n'en croyait pas ses oreilles, ses machinations perverses commençaient à porter ses fruits. Il regarda à nouveau Aurélie, et attendit quelques secondes avant de répondre, autant pour apprécier la caresse de sa main sur sa jambe que pour apprécier le résultat de ses efforts. Mais il sut se contenir car il voulait obtenir plus encore, alors il lui répondit simplement :

— Je vais retenir l'idée, je te donne une réponse demain, tu peux me laisser maintenant.

Aurélie baissa la tête résignée, aux pieds d'Antonin. Elle avait compris qu'elle n'aurait pas sa délivrance ce soir comme elle l'espérait initialement. Cependant, elle sentait un espoir naitre suite aux dernières paroles d'Antonin, et c'est pourquoi elle n'insista pas d'avantage, pour ne pas le faire changer d'avis. Elle se releva sans un mot et quitta la pièce. En franchissant les derniers pas vers la sortie, elle se disait que le lendemain en revenant dans cette pièce, elle serait prête à accepter tout ce qu'Antonin lui proposerait, pourvu qu'à la fin elle obtienne son orgasme qu'elle désespérait d'obtenir.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
Un début prometteur

J'attends la suite avec délice

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
Super

Ce futur pacte va très certainement amené de magnifiques rebondissements

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
Bravo

Bravo.

Très excitant. Encouragements sincères à l’auteur!!

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