Ophtalmologue

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Un examen des yeux bien surprenant.
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Depuis longtemps, ma femme et moi, nous avons des examens périodiques de la vue, chez un ophtalmologue.

Nous n'avons pas de praticien régulier, ma femme prend rendez-vous pour nous deux chez celui qui a le délai le plus correct. Nous n'avions pas trouvé curieux que son bureau soit dans une villa, ni qu'il y ait deux spécialistes et aucune réceptionniste.

Après une longue attente, trente minutes au moins, l'ophtalmologue est venu nous accueillir pour nous conduire jusqu'à son cabinet. En passant devant la première salle d'examen, nous avons vu l'autre médecin assis à son bureau, semble-t-il en train de lire un bouquin. Il n'y avait aucun autre patient, et nous n'avons pas compris la raison du délai d'attente.

La pièce dans laquelle nous avons été emmenés était toute en longueur, le bureau d'un côté, et la chaise d'examen avec d'autres équipements à l'autre bout. Le type avait la cinquantaine et il était gras et bedonnant. Ce n'était pas l'ophtalmologue classique, ce type ressemblait à un métèque. Peau cuivrée et grasse, des lèvres charnues, des petits yeux noirs et brillants, il avait une tête de jouisseur, déplaisant et lubrique.

Après avoir passé en revue nos différentes paperasses, il m'a conduit à la chaise d'examen. Pour moi, l'examen a été rapide. Après, il a appelé ma femme en lui faisant signe d'aller jusqu'au fauteuil d'examen. Mais il est resté assis derrière son bureau, la regardant marcher jusqu'à l'autre bout de la pièce. Elle portait des leggins, et il était clairement évident qu'il scrutait son cul pendant qu'elle marchait.

Ma femme voulait des lentilles de contact, donc son examen était un peu plus complexe, et prenait plus de temps. Après avoir vérifié sa vision, il s'est assis sur une chaise en face d'elle et a commencé à lui expliquer en détail ce qui avait changé, et qu'il ne pouvait pas terminer aujourd'hui, car le laser qu'il utilise pour des mesures précises était en panne.

Il lui a expliqué en détail les examens qu'il devait lui faire, en dessinant avec son doigt sur la cuisse de ma femme.

Après l'avoir raccompagnée jusqu'à son bureau, en la suivant, les yeux braqués sur ses fesses, il a de nouveau expliqué tout le confort de ce nouvel appareil, le laser, en regrettant qu'il ne soit pas opérationnel cette semaine. Il a essayé de lui donner un rendez-vous, mais ma femme travaille, elle n'a pas beaucoup de temps, l'agenda du toubib semblait surchargé, finalement il a dit qu'il la rappellerait la semaine prochaine.

Ma femme a dit que c'était ridicule, qu'elle irait ailleurs pour cet examen. Il a refusé, prétendant que l'examen était terminé, que seule une mesure manquait. Il a dit qu'il la recevrait la semaine prochaine, quand sa machine fonctionnera, et qu'il resterait ouvert jusqu'à ce qu'elle arrive.

Sur le chemin du retour, ma femme a commenté l'impression de malaise que lui avait laissé ce type. Il n'arrêtait pas de se pencher sur elle pendant l'examen, il la frôlait continuellement, elle n'avait jamais vu un médecin utiliser sa main pour caresser son genou, en lui expliquant les détails de l'examen. Bien entendu, il avait prétendu dessiner avec son doigt, mais elle avait été obligée d'arrêter sa main qui, partie de son genou, dessinait jusqu'en haut de sa cuisse.

Je lui ai dit qu'il s'était rincé l'œil et matant son cul quand elle était allée jusqu'au fauteuil d'examen, et qu'il avait peut-être des lubies de vieux vicieux. J'ai dit que la meilleure façon de traiter ce genre d'obsédé, c'était de le rendre fou, en portant quelque chose de sexy, et en espérant qu'il ne bave pas sur elle. Elle a ri et m'a dit :

"Bonne idée, c'est ce que je vais faire!"

Elle m'a téléphoné le jeudi suivant pour m'annoncer qu'elle avait rendez-vous avec l'ophtalmologue à 18H30 le soir même. Comme nous en avions discuté, elle voulait se moquer de lui, alors elle est passée à la maison pour se changer, enfiler une courte robe d'été légère avec les épaules dénudées

Le toubib l'a conduite directement vers la machine laser, l'autre médecin étant encore dans son bureau, toujours avec un bouquin. En installant l'équipement, il a passé sa main devant un objectif qui a dessiné une fine ligne rouge sur sa main. Il lui a expliqué ce qu'était le laser, et qu'il allait lui donner une mesure parfaite de l'œil. Il lui a dit que c'était la plus récente technologie, mais que cela prend plus de temps, donc il faut mettre des gouttes oculaires pour protéger les yeux, et elle doit rester parfaitement immobile tout au long de l'examen.

Il lui a expliqué que les gouttes dans les yeux provoquaient une légère sensation de picotement, qui rend difficile l'action de garder les yeux ouverts sans bouger. Donc, il conseillait un relaxant à ses patients pour éviter cette gêne. Il a placé un masque en plastique sur sa bouche et son nez, et elle s'est rapidement sentie très détendue. Après avoir posé les gouttes dans ses yeux, il a éteint la lumière dans la pièce, ne laissant qu'une petite veilleuse.

Elle pouvait le sentir derrière elle, tout proche, tandis que le laser contrôlait ses yeux, l'un après l'autre. Pendant l'examen, elle a entendu la porte du bureau s'ouvrir et se refermer, elle ne pouvait pas voir ce qui se passait, mais elle a entendu la voix d'un autre homme dans la pièce.

Leurs voix résonnaient désagréablement à ses oreilles, parce qu'elle entendait l'un des médecins crier les mesures à l'autre, qui les notait sur l'ordinateur, à l'autre bout de la pièce. Elle a entendu le grincement d'une chaise que l'on traîne sur le sol, et elle s'est rappelée de la petite chaise qu'il avait utilisée la première fois, lorsqu'il avait posé sa main sur sa cuisse. Alors qu'on lui enlevait son masque, elle entendit l'un des médecins dire à l'autre :

"Elle en a encore pour une bonne vingtaine de minutes"

L'autre a répondu : "Tu lui a mis la dose, à celle-ci!"

Ils ont rit tous les deux et il lui a demandé s'il le regrettait . L'autre a répondu : "Non, non, pas du tout!"

Puis, ils sont restés silencieux.

Elle restait assise là, dans la pénombre, silencieuse, incapable du moindre mouvement, quand elle a senti un contact. On touchait sa main, on la secouait, un peu, sans qu'elle ne puisse réagir. Elle a entendu l'un des deux :

"Je ne te l'avais pas dit?"

L'autre a répondu : "Tu avais raison!"

Une voix était toute proche de son oreille, elle l'entendit marmonner : "Voyons voir, ce que nous avons ici?"

Ma femme a senti le haut de sa robe être dégrafé, les bretelles de sa robe et de son soutien-gorge ont glissé de ses épaules, et deux mains se sont emparés de ses nichons dénudés.

L'autre gars a ricané, un rire narquois, ses jambes ont été soulevées, écartées et posées sur les accoudoirs. Une main a attrapé l'entrejambe de sa culotte pour la tirer de côté, et la main s'est posée sur sa chatte.

Les voix ont continué de marmonner, l'un disant qu'il aimerait bien la baiser, l'autre répondant qu'ils ne pouvaient pas, que ça laisserait des traces, et donc des preuves.

Elle a entendu de nouveau le grincement des pieds de la petite chaise que l'on traînait sur le sol. Un doigt s'infiltra dans sa chatte et une bouche se posa sur son clitoris. Un moment après, elle ne pouvait toujours pas réagir aux sollicitations, mais le gars se retira pour dire à l'autre :

"Elle aime ça, cette salope, elle est trempée!"

Puis il continua ses attentions, insérant deux doigts, et léchant goulûment la chatte trempée. Ma femme perçu un souffle court accompagné d'un cri rauque, et elle compris que c'était elle qui faisait cela. Le gars entre ses cuisses s'est éloigné, celui qui tripotait ses nichons lui disant de ne pas laisser de traces.

Les discussions et les reproches entre les deux pervers ont continué, puis celui qui était derrière elle, a dit :

"OK, maintenant, c'est mon tour!"

Le deuxième gars a commencé par lécher sa chatte et la masturber avec deux doigts, comme le premier, quand elle a entendu le bruit d'une ceinture que l'on déboucle. L'autre gars a protesté, mais celui entre ses cuisses l'a assuré qu'il ferait attention de ne pas la salir!

Elle ne sentit rien pendant plusieurs secondes, puis un objet contondant, doux et chaud, fut inséré en elle. C'était plus gros qu'un doigt, et ma femme a compris que l'un des deux satyres entrait sa bite en elle, et qu'elle ne pouvait rien faire, paralysée par le narcoleptique. Sa chatte était utilisée sans son consentement, et elle ne pouvait rien faire d'autre que panteler et gémir. Son corps la trahissait, acceptait et accueillait l'intrus en exprimant sa satisfaction.

Elle a ressenti une secousse, et le gars s'est retiré, la terminant avec ses doigts. Celui qui était passé en premier exprimait son mécontentement, mais celui qui la faisait exulter lui a dit :

"T'inquiète, c'est pour ça que je l'enregistre. Si elle veut faire des histoires, j'aurais ses cris de joie!"

Quand elle s'est réveillée, les deux médecins étaient assis au bureau en train de discuter. Elle baissa les yeux pour examiner sa tenue, mais elle vit que tout était parfaitement en place. En réalisant qu'elle reprenait ses esprits, ils se sont rapprochés d'elle :

"C'était pas mal, n'est-ce pas?" mais elle restait muette.

Il insistait : "Avez-vous eu des hallucinations? Un mauvais rêve? Des sensations bizarres?"

Elle a demandé combien de temps avait duré la séance, et il lui a dit moins de quinze minutes.

Elle était encore étourdie et confuse en rentrant à la maison, et elle s'est endormie sur le canapé. Je l'ai réveillée en rentrant, et elle a sursauté de peur. Elle m'a raconté toute l'histoire. Elle m'a dit que les sensations étaient très vives, très précises, et qu'elle était certaine d'avoir été baisée à son insu.

Mais que ce rêve était étrange, et qu'ils avaient prétendu que le gaz pouvait créer des hallucinations. Ils avaient dit que l'intervention avait duré moins de quinze minutes, mais qu'elle était tellement confuse qu'elle n'avait pas pensé à vérifier l'heure. De plus, la sieste sur le canapé, probablement accompagnée de rêves, lui avait embrouillé les idées.

Je lui ai dit que si elle voulait déposer une plainte, il lui faudrait un début de preuve. Elle s'est déshabillée et nous avons examiné ensemble sa culotte et sa chatte, sans rien trouver de probant. La culotte était légèrement déchirée, et elle avait été froissée. Je ne suis pas médecin, et en examinant sa chatte, il m'est venu des envies, et j'ai utilisé ma langue et mes doigts pour la réveiller.

Ensuite, nous avons passé un moment agréable sur le canapé. On ne peut rien prouver, mais je me demande combien de femmes ont subi cet examen de ces deux pervers, sans porter plainte.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Bonjour Rainett. Superbe histoire. Pourriez vous faire une suite avec la patiente qui serait obligée de revenir se faire consulter en lingerie sexy. (Puisqu'il avait filmer il pouvait la " manipuler") merci de votre futur réponse.....

DavidMC2DavidMC2il y a plus de 3 ans
Complice

Chaud, le mari qui lèche les traces de la bite sans le savoir ! Il se retrouve complice de l'agresseur de sa femme en nettoyant les traces du mec avec sa langue. Il fait disparaitre toutes les preuves dans sa bouche. Il n'a même pas remarqué une différence de gout ?

trouchardtrouchardil y a plus de 3 ans

Encore une bonne histoire. Merci.

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