Nu à l'hôpital (08)

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Les exhibitions forcées continuent
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Partie 8 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/10/2022
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Je suis à nouveau dehors, nu, en plein jour. Je sens les regards de la rue posés sur moi. Je croise ça et là, les regards inquiets des voisins, à leurs fenêtres.

Je tente de dissimuler tant que possible mon sexe en érection. Je le maintiens collé contre mon ventre, utilisant mes deux mains. J'entame alors une course en plein rue jusqu'à la porte de mon infirmière. Lâchant la main droite pour frapper violemment à la porte, j'expose ainsi mes testicules et le bas de mon pénis. J'entends la femme parler derrière la porte, mais elle ne semble aucunement perturbée par le bruit derrière sa porte. Mon érection ne faiblit pas. Sans doute, parce que l'adrénaline aidant, ma main serre brutalement mon pénis contre ma peau.

Les minutes défilent, je frappe à cette porte toutes les 30 secondes, espérant un abri à ma nudité. Entre chaque tambourinage, je me retourne, constatant les voisins toujours postés derrière leurs fenêtres. Alors que je m'apprête à effectuer une nouvelle tentative de faire ouvrir cette porte, j'entends un bruit de moteur lent.

Je me retourne et vois une voiture de police arriver lentement.

Sans réfléchir, je me jette dans les buissons sur le côté de la maison. Là, la voiture émet un bref coup de sirène. La voiture s'arrête devant la maison. Un homme et une femme en uniformes sortent de la voiture. Ils arrivent face à moi. Je suis à terre, les bras écartés. Ils me saisissent chacun un bras et me relève. L'officier, tout en serrant mon poigné, me passe un savon « Monsieur. Vous n'avez pas le droit de vous balader nu, comme cela, dans un quartier résidentiel! C'est un attentat à la pudeur! Vous risquez de gros ennuis! ». Voyant que je reste aréactif, il ajoute d'un ton sec et autoritaire « Où sont vos vêtements? ». Pris par la peur, ma réponse spontanée est « Je ne sais pas... ». Cette réponse a le don d'énerver le policier. Ce dernier me tire violemment le bras et m'entraine vers la voiture, obligeant sa collègue à lâcher l'autre bras. Il me plaque contre le capot de la voiture si fort que mon pénis est endolori, pressé contre le métal chaud du la voiture. Sa collègue le rejoint, collant mes poignés contre mes fesses, et me passant les menottes. Je suis alors sauvement relevé et bousculé pour faire le tour de la voiture. A chaque bousculade, je sens mon sexe dur rebondir.

Les voisins sont tous sortis sur le trottoir, témoins de cette nouvelle scène humiliante. Sous leurs regards, j'atteins la porte arrière qui m'est ouverte et je suis assis dans un nouveau geste violent dans la voiture. Alors, que la jeune policière s'apprête à fermer la porte, je dis, tournant la tête vers la maison : « C'est elle! ». Voyant les deux policiers arrêtés et prêts à m'écouter, je développe « C'est la dame qui habite là. C'est elle qui a pris mes vêtements ». A cette remarque, le policier se tourne vers sa collègue et lui dit « Je vais voir cette dame. Surveille-le! ».

Alors que ce dernier va à la rencontre de mon infirmière, je reste assis dans la voiture, en érection, porte ouverte. Les voisins commencent à s'approcher timidement. Face à ce mouvement, la policière sort sa matraque télescopique et commence à titiller mon sexe avec. Elle ajoute « Cessez de vous donner en spectacle, c'est indécent ». Je n'ose lui dire que ce faisant, elle maintient précisément mon érection.

Les voisins continuent à avancer. Ils viennent à la rencontre de la policière qui se recule pour les accueillir. Ce faisant, elle brise ma dernière occasion d'être un peu dissimulé. Sept voisins sont là et commencent à commenter tout ce qu'ils ont vu : mes érections, mon passage chez la voisine d'à-côté, mes douches devant la vitre, mes allers-retours. Ils ne s'adressent plus vraiment à la policière mais sont tous tourné vers moi, les regards callés sur mon entrejambe qui, cette fois-ci, perd progressivement de sa vigueur, comme dans un geste de pénitence.

L'autre policier revient. Tournant la tête, je vois mon infirmière fermer ses rideaux. Il me sort brutalement de la voiture, me laissant debout, nu, menotté, entouré des sept voisins et deux policiers. Il s'adresse à sa collègue, en disant « C'est bon. J'ai pris l'identité du jeune homme. La dame qui habite là se porte garante ». Il se tourne ensuite vers les voisins : « Nous allons recueillir vos témoignages. En attendant, votre voisine vous garantit qu'elle le tiendra à l'œil ». Me bousculant encore jusqu'à la maison de mon bourreau, je pars sous les regards des voisins, humilié et toujours menotté. Le policier ne m'enlève les menottes qu'une fois ayant pénétré dans la maison. Il salue l'habitante en disant « Je vous le laisse ».

L'infirmière dans un calme inquiétant me demande de m'assoir dans le canapé et débute un monologue : « Je suis désolée que les choses en soient arrivées là, mais vous êtes responsable. Si ce matin, vous ne vous étiez pas rebellé comme je vous l'avais interdit, nous aurions pu éviter tout ça. Nous aurions pu éviter d'impliquer mes voisins et la police ». Lorsque j'entends ces mots, je déborde de questions dont je ne veux pas connaitre les réponses : Tout ceci aurait été prémédité? Aurait-elle elle-même appeler la police? Jusqu'où pourrait-elle aller pour me soumettre? Le fait est que je la crains, et que son machiavélisme semble sans limite.

Elle reprend : « Si vous décidez de devenir conciliant, je vous donne une occasion de rentrer chez vous, dès ce soir. Le souhaitez-vous? ». Je réponds immédiatement un « oui » dont le ton montre ma résignation et ma soumission à accepter toutes les conditions. « Très bien », dit-elle, « Les caisses que vous avez ramené dans le garage sont pour ce soir. Mon maigre salaire d'infirmière n'est pas suffisant, et je complète par de petites réunions pour ces dames.... J'y vends des articles de sexe... Le fait est que les ventes sont faibles ces derniers temps et que j'ai beaucoup de mal à vendre les articles masculins ». Je l'écoute attentivement. « Ce soir, j'attends huit de mes meilleures clientes... Vous allez m'aider. Si votre concours me permet d'augmenter mes ventes et de liquider les accessoires masculins, alors, vous pourrez rentrer. Etes-vous d'accord? » Sans réfléchir, sans négocier, je dis « oui ».

« Très bien. Ce soir, je vous demanderai d'accueillir ces dames. Vous servirez les boissons et apporterez votre concours lorsqu'il faudra présenter les objets... Ce soir, je vous veux vaillant. Si vous avez peur de ne pas être vigoureux, je peux vous donner quelque chose... mais vous avez montré ce jour, que vous y arrivez bien sans. Je vous demanderai aussi, et c'est une exigence, d'apprendre à vous contrôler, comme je vous l'ai appris. Il est hors de question que vous ayez un orgasme, sans que celui-ci ait été consenti. Sommes-nous bien d'accords? ». Vaincu, je réponds « oui ».

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