Nu à l'hôpital (07)

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Chez la voisine.
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Partie 7 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/10/2022
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Abandonné nu, à la voisine, je dépose le dernier carton dans le garage. Je m'arrête et la regarde fixement : il s'agit d'une femme assez petite d'une cinquantaine d'années. Pourtant, son allure est celle d'une vieille dame. Robe et coiffure d'un autre temps, elle se présente comme une petite mamy. De ce que j'ai pu voir de la discussion et de ses intonations, elle a l'air d'une femme très mielleuse presque trop.

Alors que je la fixe, elle fait de même s'approchant délicatement de moi, comme si elle voulait me demander timidement quelque chose. Elle atteint ma position et me saisit le bras. Elle me dit "Je suis si heureuse d'avoir un si beau jeune homme pour m'aider. Venez, ne prenez pas froid". Elle me fait traverser la rue, nu, alors que je tente de l'autre main de masquer mon sexe. Je vois en passant des voisins à leurs fenêtres ou dans leurs jardins, me regarder d'un air inquiet.

La dame me fait rentrer chez elle, sur le pas de la porte et referme celle-ci à peine l'ai-je franchi. Elle se poste tout près de moi, si près que ses seins effleurent mon torse, et que sa robe frotte contre ma peau nue. Je voudrais reculer mais la porte est tout contre mon dos. Je me tiens face à elle, les épaules rentrées, tenant fermement mon entrejambe de mes deux mains.

Semblant émoustillée de la situation, elle me répète qu'elle est contente de m'avoir, tout en déposant, l'air de rien, sa main sur ma hanche. Elle croise fixement mon regard en arborant un grand sourire. Je suis contraint à rester ainsi pendant un long moment. Faisant finalement glissé sa main de ma hanche au bas du dos, elle m'indique le mouvement pour avancer dans la maison.

A peine ai-je avancé, qu'elle presse le pas et me dépasse en se collant à moi. Comme dans un geste accidentel, le revers de sa main caresse mon pénis au passage. Elle va faire la cuisine où je la suis. Arrivé là, elle me fixe de bas en haut avec un sourire béat. Mal à l'aise, ne sachant ce qu'elle me veut, je lui dis "Je dois vous aider?". Elle marque un moment de réflexion et hésitante, me dit "Vous êtes grand. Cela doit faire une éternité que je n'ai plus rangé le haut de mes placard. Je vais vous chercher l'escabelle. On va vider tout ça sur la table de la cuisine". Elle m'emmène dans un couloir, tout en se tenant toujours tout contre moi. Elle m'indique une armoire et me demande de monter. Je la vois fixer mes fesses avec attention pendant que j'enjambe les trois marches.

Alors que je commence à m'aventurer sur le planche supérieure, je sursaute. Elle vient d'entourer ses mains autour ma cuisse, la main gauche touchant mes testicules. Lorsque je la regarde étonné, elle me dit, souriante, il serait dommage que vous tombiez. Très vite, je lui passe les premiers objets pour qu'elle s'occupe les mains autrement. Elle me dit alors : "Ma foi. C'est bien à sa place. Je pensais qu'il y aurait plus de désordre. Vous pouvez redescendre". Je me retourne, mon pénis faisant face à son visage. Elle le fixe et je ne peux bouger. Elle barre le chemin. Voyant qu'elle ne bouge pas, je tente de forcer le passage, de me faufiler, obligé te contorsionner mon corps pour toucher au minimum le sien. J'arrive à finalement m'extirper et à la contourner.

Elle m'invite alors à boire une limonade dans la cuisine. Elle me fait asseoir sur une chaise et m'offre un verre. Elle s'assoit en face de moi et me questionne sur ma vie sentimentale. N'attendant à peine la réponse, elle me dit "Vous iriez si bien avec ma filleule... Attendez, je vais vous la montrer. Je vais chercher des photos". Elle revient avec un album, saisit une chaise qu'elle colle contre la mienne et vient commenter l'album.

Au fur et à mesure qu'elle tourne les pages, sa main évolue de mon genou vers ma cuisse jusqu'à ce que ses doigts finissent par rentrer en contact avec mon pénis. Je sens que sa progression continue et sursaute. Je me lève brutalement, n'ayant aucune envie de me retrouver tripoter par une "vieille dame". Pris par l'adrénaline, je me mets à verser des larmes de colère et je vide mon sac : "Vous savez. Je ne veux pas être nu. Votre voisine n'est pas ma tante. Je veux juste pouvoir rentrer chez moi".

Espérant de l'aide de cette gentille mamie, cette dernière se lève et m'enlace. Elle me dit "Allons allons. Il ne faut pas se mettre dans des états pareils". Descendant ses mains sur mes fesses et les malaxant, elle ajoute : "Faites donc confiance à vos ainées, à des femmes d'expérience qui ne vous veulent que du bien". Je tente de me dégager en la repoussant délicatement mais fermement, tout en lui disant "Mais non, mais vous ne comprenez pas". Elle se recule de son étreinte et se met à caresser mon pénis, en disant "Ah les hormones des jeunes garçons, ça explose pour un rien. Si vous avez un problème avec ma voisine, je peux l'inviter à nous rejoindre et nous discuterons de tout ça. J'ai juste peur qu'elle n'apprécie pas votre manque de confiance et de reconnaissance". Je soupire en disant "non. S'il vous plait". Ces mots semblent avoir été pour elle, le signal pour empoigner mon pénis et entreprendre une masturbation à laquelle je n'ose réagir.

Resigné, je laisse cette dame me masturber, en restant debout, les bras le long du corps. J'ai l'impression de devenir un objet mais l'expérience avec mon bourreau m'a appris que je n'avais que peu de choix. Protester aurait été une possibilité mais j'aurais risqué l'intervention de mon bourreau et de subir bien pire.

Me laissant faire, j'aperçois, par la vitre, un voisin témoin de la scène : Moi posté nu au milieu d'une cuisine, me faisant masturber par une dame. Quelle honte! Je n'ose réagir et elle, ne semble l'avoir vu.

Je tente de relâcher mes muscles, de penser à des choses excitantes. Je me dis "Que ça finisse vite". Je me laisse totalement aller, me préparant à l'orgasme libérateur. Pourtant, il n'en est rien. Lorsqu'elle constate mon sexe dur et mon abandon a ses mains. Elle s'interrompt et comme dans une urgence, me passe la main dans le bas du dos et me bouscule vers la porte d'entrée. Elle me dit "Je crois qu'il est temps pour vous de rentrer. Je ne voudrais pas que ma voisine s'impatiente de ne pas vous voir revenir". Elle me pousse littéralement dehors, nu et en érection, sous les regards des voisins, semblant toujours inquiets de mes allers-retours dénudés.

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Ces chapitres courts entretiennent l'excitation... vite la suite !

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