Nu à l'hôpital (06)

Informations sur Récit
Sequestré par mon infirmière.
1.3k mots
4.58
2.6k
0

Partie 6 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/10/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
SJeje
SJeje
8 Admirateurs

Le matin sonne. J'entends des bruits de rideaux qu'on tire, dans un demi-sommeil. Le plaid qui me tient office de couverte est arraché, et un ordre « Levez-vous » sonne d'un ton autoritaire. Pourtant, j'ai du mal à émerger. Je me crois chez moi, je me rendors à moitié, tout en réalisant progressivement où je suis. J'entrouvre enfin les yeux et réalise la situation. Je suis nu allongé sur un canapé devant une baie vitrée qui donne sur la rue. Une dame promenant son chien me regarde fixement. Mon sang ne fait qu'un tour et je bondis du canapé pour me cacher à côté du rideau. Mon cœur palpite.

L'infirmière sans doute alertée par mon levé rapide revient dans la pièce. Elle me tire le bras en me disant « Venez vous laver ». Elle me force à repasser devant cette vitre, me faisant constater que la voisine n'avait pas bougé. Nous passons dans un jeu de couloirs avant de pénétrer dans une chambre. Là, encore une grande fenêtre au rideau grand ouvert, et donnant sur la rue. Je reste dans l'entrée de la chambre, cherchant à éviter un nouveau passage devant la vitre. Mon hôtesse me montre la porte en face de la vitre : « La salle de bain est là. Je vous y ai laissé une serviette. Je pars dans trente minutes, veillez à être lavé et séché ». Elle s'absente. Je file dans cette salle de bain en claquant la porte si vite que possible. La salle de bain est minuscule. Un évier sur ma gauche et une cabine de douche faisant face à la porte.

Je me place sous la douche et actionne les robinets quand la porte s'ouvre violemment « Je souhaites que vous laissiez la porte ouverte! ». Mouillé, les yeux engorgés d'eau, je reste surpris et tente de terminer l'exercice au plus vite, me sachant visible de toute la rue. Je m'essuie rapidement et glisse la serviette autour de ma taille. J'attends dans le couloir, évitant d'être vus davantage.

L'infirmière revient à ma rencontre et me bouscule jusqu'au salon. Arrivé sur place, elle m'arrache ma serviette en me disant « Vous n'allez pas abimé mon salon avec un linge humide ». Je me précipite alors dans un angle mort pendant qu'elle va ranger la serviette. Elle revient, verrouille les portes et me dit « Attendez-moi, j'ai des courses à faire ». Caché et guettant son départ, je m'assure qu'elle est bien partie. J'entreprends alors, en longeant les murs, de fermer ces rideaux qui m'exposent au voisinage. Ce faisant, je revois la voisine, celle qui promenait son chien. Elle est maintenant postée devant sa fenêtre, semblant fixé ma direction.

A nouveau en sécurité, je m'assois dans le canapé et je constate qu'une deuxième bouteille d'eau a été placée à côté de la première, à peine entamée. Encore une fois, elle est scellée. Je me demande ce qu'elle me veut avec son eau, mais l'effet est là, je m'hydrate ... La course semble longue et le temps interminable. Finalement, ma seule distraction est de boire jusqu'au moment fatidique où il faut évacuer. Je me dirige alors vers la toilette et saisit la poignée. Impossible de l'ouvrir, la porte semble fermée à clé.

J'attends, le temps passe et passe. L'envie devient de plus en plus pressante. Je commence à chercher un moyen de me soulager. Tout est fermé. Pas un évier, rien. Une seule porte est ouverte, la porte d'entrée. Impossible de sortir comme ça, rien pour me cacher. Je fais les cent pas, empoignant me pénis, le sentant déborder. Que faire? Je ne fais pas sortir nu, d'autant que les voisins semblent bien présents. Mais si j'avais un accident? Comment mon bourreau va-t-telle réagir? Le temps est long mais je résiste.

La porte d'entrée s'ouvre, et je me fais surprendre gesticulant, le pénis serré dans ma main. N'écoutant que mon urgence, je crie : « Je dois faire pipi. Les toilettes sont fermées ». Elle me regarde en toute quiétude et très calmement me dit « Je sais ... ».

Je me sens défaillir. Je me tortille, en me serrant le sexe, comme un gamin de 6 ans. Pendant ce temps, elle me fixe avec un calme olympien. Elle reprend la parole et me dit : « Aidez-moi à vider le coffre de ma voiture et vous irez ensuite aux toilettes ». J'aperçois sa voiture garée sur le trottoir par l'entrebâillement de la porte. Est-ce l'impatience, la pression? Je sors de mes gonds. Je me mets à hurler : « Non, ça suffit. Je n'irai pas nu dehors devant tous les voisins... et je dois aller aux toilettes. Maintenant! ». Reprenant une mine sévère l'infirmière va du côté de la chambre, débloque la porte et reviens avec la serviette que j'avais utilisé plus tôt. Je l'enfile à toute hâte, relâchant mon pénis un moment. Je le ressaisis aussitôt, ayant l'impression que les vannes s'étaient ouvertes. Elle me dit « Allez uriner dans le coin, près des buissons, j'ai égaré la clé des toilettes ».

Bien que dans une tenue encore dénudée, je sors, fonce vers le buisson le plus isolé de la vue de tous et lâche la pression dans un soulagement énorme. Je me dis que j'ai enfin compris. Je n'ai jamais osé m'affirmer par peur mais là, ma colère semble l'avoir dompté. Je me dis que je vais me montrer plus dominant et que je sortirai de cette histoire... Quand soudain, la femme arrive dans mon dos, m'arrache ma serviette que je ne peux rattraper, étant occupé à vider ma vessie. J'entends la porte d'entrée claqué dans la foulée.

Je suis nu dehors. J'attends son retour qui ne vient pas. Je contourne la maison, tentant de trouver la planque idéale, sans la trouver. C'est long, très long. Je finis par entendre la porte du garage s'ouvrir et revient vers l'infirmière. Elle fait comme si j'étais transparent. Je reste figé à la regarder les mains cachant mon sexe. Je la vois retourner vers la maison et la poursuis en clamant « Je ... », sans trop savoir quoi dire. Elle ne va quand même pas m'abandonner nu dehors!? Elle se tourne vers moi : « Vous! ... Vous débrouillez ... Si c'est pour être impertinent, si c'est pour ne pas respecter mes règles, débrouillez-vous ». Je réponds « Non, s'il vous plait ». Elle me dit « Très bien. Je vous avais demandé quoi? », dit-elle en fixant mon entre-jambe. Je remets les mains, le long du corps. « Ok » ajoute-t-elle, « Vous allez vider les cartons de mon coffres et les entreposer dans le garage ».

Nu, découvert, je n'ai plus le choix. Je fais des allers-retours, le sexe ballant devant les voisins, visiblement fort attentifs, à ce qu'il se passe. Alors, que je continues mes trajets, je vois s'approcher cette voisine qui promenait son chien, le matin. Elle approche en me fixant et se pose à côté de mon bourreau qui surveille mon travail.

Une conversation s'engage entre les deux femmes :

- « Qui est ce beau jeune homme? »

- « C'est mon neveu »

- « Ah ... mais pourquoi est-il nu »

- « Il est un peu spécial. Je n'ose pas le contrarié

er. Il ne supporte pas ses vêtements. Je n'ai jamais compris que ses parents admettent ça, mais que voulez-vous, je ne vais pas m'opposer ...»

Je suis atterré par la facilité avec laquelle elle raconte ses mensonges mais je ne me sens pas légitime pour les couper. J'écoute donc patiemment la suite :

- « En tout cas, vous avez de la chance d'avoir un jeune homme pour vous aider. Je suis seule chez moi. J'aurais bien aimé avoir un neveu qui vienne m'aider »

- « Oh mais j'y pense. J'ai à faire pendant une petite heure. Souhaiteriez-vous que je vous le prête pendant une heure? »

- « Oh, ça serait adorable de votre part ».

- « Et bien, c'est entendu. Dès qu'il aura fini, vous pouvez me le prendre. Je vais de ce pas me préparer ».

Sans me sonder, sans autre considération, elle rentre chez elle, m'abandonnant devant le regard impatient de la voisine.

SJeje
SJeje
8 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

superbe série! L'humiliation pourrait être poussée plus loin, avec des scènes de traite, ou il devrait uriner en public, ou il rencontrerait une amie proche...

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

J'adore toujours autant ! Vite la suite !

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Nu à l'hôpital (05) Partie Précédente

Histoires SIMILAIRES

Get Yer Kit Off You make a stupid bet, you live with the consequences.
Higher Education One of my housemates tells her story.
The Entertainment Pt. 01 - The Party A dominant girlfriend takes her naked submissive boyfriend to a party.
The Female Agent Pt. 01 Stripped young popstar objectified by his wild female fans.
Shaving Away Straightness Brit helps her roommate Dave prepare to take his first dick.
Plus d'histoires