Noemie

Avant même qu'elle puisse répondre, un autre avait fouillé son sac et avait trouvé ses clés de voiture et sa carte d'identité,

- « Cette chagasse habite en centre-ville. Et si on y allait pour continuer la fête? »

Cette suggestion fut accueillie par des « ouais, ouais » enthousiastes.

- « Il y a un cocu chez toi? »

- « Non je suis seule. »

- « Tant mieux, on va pouvoir continuer à s'occuper de toi tranquilles! »

Aussitôt dit aussitôt fait, l'un des mecs prit le volant de la petite citadine tandis que les deux autres s'installèrent à l'arrière avec Noémie sans lui laisser le temps de protester.

Le chauffeur conduisit à toute allure pendant qu'à l'arrière, pelles baveuses, pipes et doigtages de chatte s'enchaînaient ne laissant aucun répit à la jeune femme qui avait complètement perdu pied dans ce rodéo.

Arrivés devant l'immeuble où habitait Noémie, ils grimpèrent les escaliers quatre à quatre, défoncèrent quasiment la porte de l'appartement.

- « Va te doucher! » ordonna l'un d'eux « tu pues le sperme! »

- « ouais, ça sent la pute » enchaînèrent de concert les deux autres.

Noémie se débarrassa de ses vêtements, bons pour la poubelle de toute façon et se dirigea vers la salle de bains nue comme un ver... non sans onduler exagérément du bassin sous les yeux plus qu'intéressés des trois lascars.

Noémie se glissa dans la douche et fit couler une eau purificatrice sur sa peau.

Mais alors qu'elle commençait à se détendre, elle sentit deux mains agripper ses hanches et un sexe tendu se frotter sur sa raie culière.

L'un des lascars l'avait suivie, surexcité par la vue de son fessier, s'était désapé en vitesse et l'avait rejointe.

« Petite pute! Tu crois que tu peux promener ton boule sous notre nez comme ça? »

Avant qu'elle puisse répondre, le mec écarta les fesses de Noémie et plaça son gland sur son anus.

« Non, pas par là! » essaya elle de protester.

« Me la joue pas sainte nitouche pouffiasse! Je suis sûr que tout un tas de keums ont déjà dû te péter la rondelle! »

En réalité, seul son dernier petit copain l'avait sodomisée et elle n'avait pas plus apprécié que cela.

Le lascar ne perdit pas plus de temps : crachant au préalable un glaviot sur l'anus offert, il s'enfonça sans autre forme de procès en elle, en ayant pris soin de la bâillonner avec une main pour étouffer son cri. La douleur de la pénétration fut intense, douleur atténuée par le mec qui eut la délicatesse de verser en plus sur son trou du cul un peu de gel intime de Noémie trouvé sur l'étagère de la douche.

Ainsi lubrifié, le dard coulissait profondément dans l'anus de Noémie.

Passé la douleur de la pénétration initiale, la jeune femme commença bientôt à ressentir des vagues de plaisir. Il faut dire que la queue qui la prenait était autrement plus longue et épaisse que celle de son ancien copain!

Constatant que Noémie avait cessé de lutter, l'enculeur retira sa main de sa bouche pour tenir plus fermement encore le bassin de la petite salope, donnant de profonds coups de butoir. Il ne tarda pas à éjaculer abondamment dans l'anus.

Sans laisser le temps de souffler à Noémie, le gars la fit sortir de la douche et l'emmena dans sa chambre où attendaient les deux autres. Elle se fit jeter sur son lit où l'un d'eux entreprit immédiatement de la baiser en la tenant jambes écartées les pieds au niveau de ses épaules. Le gars la pilonne comme un malade, lui arrachant des cris de plaisir de plus en plus forts et rapprochés, avant de répandre son foutre tout au fond de sa matrice.

Les deux autres poussèrent quasiment leur copain pour prendre sa place et investir les orifices de la jeune femme : l'un pénétra la chatte encore poisseuse de Noémie tandis que l'autre lui saisit la tête pour la forcer à gober son membre bandé.

Les deux salopards ne cherchent même pas à la ménager : ils la baisent comme si elle était la dernière des traînées, lui donnant des grands coups de bite, celui se faisant sucer lui tient la tête et fait comme s'il baisait une chatte!

Bientôt les deux mecs ne tinrent plus et éjaculèrent chacun dans l'orifice occupé dans un grand râle de contentement. Le troisième, arrivé au bout lui aussi, se vida dans la bouche de Noémie tout en continuant à lui tenir la tête pour la forcer à avaler.

Le premier baiseur était allé ouvrir le frigo de Noémie et avait sorti sans vergogne trois bières s'y trouvant, pour lui et ses potes ; ils se désaltérèrent en contemplant Noémie épuisée sur le lit, somnolente, les orifices pleins de foutre :

- « C'est vraiment une belle salope! Elle encaisse bien! »

- « Ouais, elle nous a bien vidés, cette kahba! »

Noémie n'entendait plus, elle avait sombré rapidement dans un profond sommeil.

À son réveil, les mecs étaient partis. De ce qu'elle voyait de la chambre, rien n'avait l'air d'avoir été fouillé ou dérobé. Noémie se leva difficilement et se dirigea vers la salle de bains, les yeux embués, ses muscles endoloris, ses orifices douloureux.

Elle sentait que du liquide gluant coulait de sa chatte et de son anus et avait un goût de sperme en bouche!

« Ces salopards ont dû profiter de mon sommeil pour me baiser encore... » se dit elle.

Arrivée devant la glace de son lavabo, elle ne put retenir un cri devant son reflet : ces fumiers avaient profité de son sommeil pour s'emparer de son rouge à lèvres et écrire des messages à même son corps : sur son front était marqué « pute », sur ses joues « pipe gratis » avec des flèches vers sa bouche.

Après une longue douche aussi nettoyante que réparatrice, elle découvrit un SMS d'un numéro inconnu sur son téléphone : « merci pour la nuit petite pute! Si tu veux encore te faire défoncer, tu appelles à ce numéro! A plus! »

Noémie sourit et enregistra le numéro...