Noemie

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une soirée mouvementée
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Mais qu'était elle allée faire dans cette galère?

Noémie se le demandait en chemin pour retrouver sa voiture. Il était 2h du matin, elle était dans un quartier pourri, mal éclairé et les quelques badauds ne semblaient pas très engageants...

Petit flashback :

Noémie, 19 ans, étudiante en BTS plus par dépit que par vocation, ne rêvait que d'une chose : devenir une star.

Elle partageait ce rêve avec sa copine Jennifer. Un jour, celle-ci l'appela enthousiaste : « J'ai vu qu'il y a un casting pour des danseuses dans un clip demain. C'est l'occasion de nous faire remarquer! »

- « Ah oui? C'est quoi comme clip? »

- « du rap à priori. L'annonce demande des jeunes filles jolies, sachant danser et bien habillées »

- « Ouais, je vois le genre. Faudra être habillées hyper sexy, et danser derrière le chanteur. Madonna a bien commencé comme ça... »

- « Possible, mais qui ne tente rien n'a rien ma fille! »

- « Allez, on y va. On se donne rendez-vous là-bas? »

- « ça marche! »

L'adresse était celle d'un studio d'un quartier périphérique de la ville, qui avait eu son heure de gloire, en plein réaménagement.

Le lendemain, Noémie se prépara pour le casting : c'était son premier, alors il ne fallait pas se rater! Faut être sexy? Elle va faire péter des braguettes!

Physiquement, Noémie est ce qu'on peut appeler un canon : de longs cheveux blonds, des yeux bleus, un visage fin, un cul bien ferme et rebondi, une taille de guêpe et surtout une grosse paire de seins (95D) bien fermes aux aréoles roses.

Noémie décide d'y aller à fond : un débardeur blanc à fines bretelles lui donnant un décolleté très prononcé et laissant son nombril à nu, une petite jupe à volants noire s'arrêtant très très haut sur les cuisses (pour ne pas dire ras les fesses).

Le débardeur ne s'accorde pas avec un soutien gorge? Pas de soutien gorge! De toute façon, ses seins tiennent tout seuls! Et pour le reste un petit string blanc fera l'affaire. Elle avait bien fait de passer récemment chez l'esthéticienne pour entretenir son fin « ticket de métro »!

Un bon coup de maquillage et la voilà partie!

En chemin, SMS de Jennifer : elle ne peut pas venir, son copain lui a fait une scène, elle ne veut pas briser son couple.... Tant pis pour toi ma cocotte, se dit Noémie, à moi la gloire!

Elle se gare sur un petit parking à quelques centaines de mètres du studio et finit le chemin à pied. Le studio est une ancienne fabrique réaménagée, un petit panonceau « Téma prod » marque l'entrée.

Noémie souffle pour se donner du courage et pousse la porte. Elle tombe sur une vieille femme africaine qui semble secrétaire et standardiste.

- « C'est pour quoi? » lui demanda t elle en la détaillant de la tête aux pieds.

- « Bonjour, je viens pour le casting » bredouilla Noémie

- « A l'étage, deuxième porte à droite » lui répondit la secrétaire.

Noémie grimpa et toqua à la porte.

« Entrez » entendit-elle.

Dans la pièce, une demi-douzaine de blacks devant une console de mixage.

L'un d'eux, baraqué et couvert de tatouages, l'apostropha : « Salut! Tu viens pour le casting? »

- « Euh, oui »

- « Ok, on t'explique. Youssouf et Idriss ce sont les chanteurs, toi et nous on sera les figurants en arrière plan. On danse, on anime, on délire, tu vois le truc? »

- « Euh, oui, plus ou moins... Il n'y a pas de réalisateur? »

Youssouf éclata de rire : « Non on a pas les moyens encore, on débute! Il y a cette caméra HD qui fera l'affaire. On enverra le clip à des producteurs qui nous feront tourner un autre clip plus chiadé si ça leur plaît, tu vois le genre »

- « Oui, oui »

- « Ok, bon il faudra que tu danses très sexy, on se collera à toi, et peut être même qu'ils te tripoteront un peu, tu feras pas ta farouche? »

- « Non, je suis habituée » se persuada-t-elle en le disant.

Noémie sentait bien que pendant qu'elle discutait, les autres la mataient sans même se cacher. Il faut dire qu'elle avait mis le paquet! Son débardeur comprimait ses gros seins et sa jupe à volants cachait à peine ses fesses. Si elle se penchait, c'était open bar! Et puis la présence de ces six malabars à muscles saillants et débordants de testostérone lui faisait un peu peur. Mais bon, si elle voulait percer, il fallait être audacieuse!

Et puis, cette situation un peu limite la chamboulait émotionnellement : elle avait souvent fantasmé, le soir dans son lit, en se masturbant sur des situations chaudes avec des blacks. D'ailleurs, son petit string s'était humidifié sans qu'elle s'en rende compte...

« Allez en place on va commencer! » cria l'un d'entre eux, la sortant de ses pensées.

Les deux chanteurs se placèrent au premier plan devant la caméra, Noémie et les quatre autres au second plan. La musique se mit à retentir : rythme funk et r'n'b. La chanson parlait de trafics, de descentes de police et de « taspé », qu'ils étaient les rois du quartier, et que les toubabs leur livraient leurs meufs contre du teusch...

Si elle avait bien compris la suite de la chanson (compliqué tellement le débit des deux rappeurs était rapide), elle était la meuf d'un de ces toubabs qui avait été livrée contre du shit.

Noémie se déhanchait de la façon la plus provocante sans être vulgaire. Les quatre lascars l'entouraient, la saisissaient à tour de rôle ou deux par deux par la taille pour danser, devant ou derrière elle, mais ceux qui se mettaient derrière frottaient ostensiblement leur sexe bien érigé sur la raie des fesses de Noémie. Et quel sexe! Ce qu'on disait sur les blacks se vérifiait, au moins pour celui-là!

La situation était bien chaude, et Noémie commençait à avoir elle-même bien chaud : le rouge lui était monté aux joues et son entrejambe était trempé!

L'un des lascars, placé derrière elle, son sexe bandé confortablement fiché le long de sa raie des fesses, remarqua son trouble et s'enhardit : il prit les seins de Noémie à pleines mains et commença à les pétrir en faisant rouler ses tétons à travers le débardeur.

Celui qui était devant la collait également de très près et se déhanchait comme s'il la pénétrait debout.

La situation devenait de plus en plus scabreuse, Noémie respirait de plus en plus fort, elle perdait peu à peu pied, passant sa main dans les cheveux de son partenaire de derrière en collant sa tête sur son épaule.

Le gars de derrière finit par carrément relever le débardeur de Noémie pour continuer son tripotage directement sur ses seins nus. Celui de devant avait passé ses mains sous la jupe et tirait sur les côtés du string pour le déchirer. Celui-ci, très fin, ne résista pas longtemps aux assauts et céda dans un petit craquement.

Noémie essayait d'opposer une résistance mais son corps ne semblait plus lui répondre.

Dans la suite de la chanson, elle entendit un truc comme: « une bonne taspé, pour du hash, elle doit nous pomper » ou un truc du genre.

Les deux autres danseurs, jusque-là sur les côtés à montrer leurs muscles comme des gorilles, se rapprochèrent alors de Noémie. Ses deux tripoteurs relâchèrent leur étreinte mais juste pour permettre aux deux nouveaux venus de se placer près d'elle. Elle était encerclée par quatre blacks monstrueux.

Noémie regarda les deux nouveaux venus les yeux vagues. L'un d'eux posa sa main sur son épaule et la força à s'agenouiller. Dans le même mouvement, tous les quatre avaient extrait de leur jogging des bites ébène de taille plus que respectable.

La jeune femme comprit : la scène devait s'accorder aux paroles de la chanson!

Elle était venue pour danser, pas pour piper quatre types sous l'œil d'une caméra!

Mais ce moment de rébellion fut vite interrompu par l'un des blacks qui força sans ménagement sa bouche pendant que les autres attendaient leur tour en s'astiquant ou en tripotant ses seins à l'air.

Deux autres prirent chacun une main de Noémie pour les placer sur leurs queues et se faire branler.

Le dernier, le plus mal placé puisque de dos, avait empoigné ses cheveux pour se branler avec.

Au premier plan de la scène les rappeurs continuaient leur chanson « La meuf on se la met, sans répit on la soumet ; pute à caillera, suce des zobs de renoi, et elle aime ça »

Noémie avait complètement perdu pied : elle suçait, branlait comme une automate.

Le gars placé derrière elle en eut vite marre de jouer seulement avec ses cheveux. Il la fit relever d'autorité, la pencha en avant et planta sa queue au plus profond du vagin de la jeune femme, lui arrachant un gémissement de femelle satisfaite.

Pendant que les rappeurs continuaient à chanter, en arrière plan, Noémie se retrouvait face caméra, glapissant des gémissements de plaisir, un black la pilonnant par-derrière, ses seins ballottant au rythme des coups de bite.

Bientôt un autre la prit par les cheveux pour lui faire engloutir d'autorité son braquemart et profiter des coups de bite de son copain qui imprimait le rythme de la fellation que lui prodiguait Noémie.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, Noémie ne put réprimer un violent orgasme étouffé par le monstrueux bout de viande qui obstruait sa bouche.

Les deux blacks, arrivés eux aussi à la limite, se dégagèrent et la firent à nouveau mettre à genoux entre eux.

« C'est une meuf à blacks, on la marque! Maintenant c'est nous ses macs, c'est notre esclave! »

Les deux blacks présentèrent leurs bites devant Noémie et gueulèrent « ouvre la bouche! ».

Machinalement elle obéit et prit instantanément deux copieuses rasades de sperme sur la langue. La caméra s'approcha d'elle pour faire un gros plan de son palais maculé de semence.

Le rappeur en profita pour lui accrocher autour du cou une sorte de petit collier sur lequel est marqué SLAVE.

Sans réfléchir et sans qu'on ait besoin de lui dire, Noémie déglutit et avala d'une traite le sperme.

Un « coupez!» vint terminer la chanson. Tout le monde se congratula en se tapant dans les mains.

Le rappeur dit à Noémie qui se relevait difficilement : « t'as été super! Une vraie star! t'as joué ton rôle à la perfection! »

Ouais tu parles! Noémie avait surtout l'impression d'avoir servi de vide couilles à une bande de rappeurs amateurs...

La jeune femme récupéra ses vêtements et n'avait qu'une envie : partir d'ici le plus rapidement possible avant qu'ils n'aient l'idée de tourner une deuxième prise!

- «Bon ben, moi je vais y aller! » dit Noémie en remettant son débardeur.

- « Rhôôô, t'es pas pressée, reste un peu avec nous » dit celui qui tenait la caméra « on va boire un coup et faire plus ample connaissance » poursuivit-il avec un clin d'œil.

Plus ample connaissance, elle voyait déjà le topo : ces salopards allaient la faire boire ou pire la droguer pour la baiser comme une pute le reste de la nuit! Il faut dire qu'elle venait de leur montrer qu'elle n'était pas bien farouche et les mecs étaient bien bâtis.

Après quelques palabres, elle accepta de prendre le numéro de l'un d'entre eux pour « un autre clip » puis s'éclipsa.

Le quartier semblait encore plus lugubre la nuit : la moitié des réverbères étaient hors service et il ne semblait pas y avoir âme qui vive.

Enfin, elle reconnut le parking où elle avait garé sa voiture. Elle la vit au fond (à son arrivée, le parking était encombré de voitures et de fourgons de chantier, à présent il était quasi vide). Mais il y avait du monde autour! Son cœur se mit à battre la chamade. On essayait tout de même pas de lui voler!

En s'approchant, elle vit trois Maghrébins, dans la vingtaine, assis sur le capot en train de discuter en partageant un joint.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'arrivée de Noémie ne passa pas inaperçue : Une blonde aux gros seins dans un débardeur à moitié déchiré et tâché de foutre et une micro jupe qui dévoilait le bas de ses fesses à chaque pas , c'était assez rare dans le coin.

- « Eh, ma belle, ça va? Tu veux fumer? » lança l'un d'eux.

- « Euh, non merci, par contre vous êtes appuyés sur ma voiture, je vais partir. »

- « Ooooohhhh allez, tu vas pas partir si vite, on vient à peine de faire connaissance... »

Les trois ne bougeaient pas d'un pouce du capot. Noémie n'avait ni l'envie ni les moyens d'aller à la confrontation. Il fallait improviser pour se sortir de là.

- « OK, vous voulez quoi? De l'argent? »

- « Oh, comment tu nous parles! On est pas des clodos! Par contre on aimerait bien voir tes nibards! »

Mais c'est pas possible, je suis tombée dans un quartier d'obsédés! se dit Noémie.

Malheureusement, elle était crevée, elle voulait rentrer et puis, après tout, il n'y a pas mort d'homme.,,,

Sans un mot, elle souleva son débardeur et fit admirer sa magnifique paire de meules.

Les trois loulous se relevèrent en sifflant en cœur avec une énorme érection dans leurs frocs , s'approchèrent de Noémie et commencèrent à palper ses beaux nichons, avant de faire glisser leurs mains partout sur le corps de Noémie, la faisant à nouveau tremper...

- « Oah, et tu portes pas de culotte en plus» dit l'un d'eux qui avait remarqué l'humidité de sa fente dépourvue de string : « t'es pas farouche, toi! T'inquiètes petite pute, moi et mes potes on sait s'occuper des chaudasses comme toi! »

- « Non non, ça ira... » bredouilla-t-elle « vous vouliez voir mes seins, vous les voyez, c'est boooooon! »

Noémie voyait bien que la situation lui échappait complètement et qu'elle risquait fort de se faire baiser, mais son corps ne lui obéissait plus... Les types étaient de plus en plus entreprenants : l'un d'eux glissa sa main sur sa chatte et y rentra deux doigts sans aucune difficulté...

La jeune femme ressentait des ondes de plaisir la parcourir. Elle pensait s'en sortir avec une petite exhibition mais ces mecs avaient d'autres plans! Ça allait mal finir!

- « Tu vois que t'es chaude! On va se donner du bon temps tous les quatre! » dit l'un des gars.

- « Aahhhhh! Mmmmmhhhh! J-je veux bien vous faire une pipe à chacun... Mmmmhhh! Et on en reste laaaaaahhh! »

Les trois types n'avaient aucune intention de lâcher une si belle proie pour une simple pipe. Ils comptaient bien en profiter! Et Noémie n'avait aucun moyen de s'y opposer...

- « Oh non ma salope » dit l'un d'eux « tu nous as chauffé avec ta grosse paire de einsses, tu vas ramasser! »

Un autre avait délicatement attrapé le menton de Noémie pour tourner son visage vers lui, fourrer sa langue dans la bouche de la jeune fille et lui rouler un énorme patin auquel elle répondit sans réfléchir .

Décidément, la machine à fantasmes tournait à pleins tubes aujourd'hui : se faire baiser en étant un peu « forcée » dans un coin glauque par des inconnus était un autre de ses fantasmes...

Un peu apeurée quand même, Noémie dit doucement en regardant droit dans les yeux un de ses « agresseurs » : « vous n' allez tout de même pas me violer? » avec une expression qui demandait exactement le contraire!

Le gars devina tout de suite le trouble de Noémie et comprit son envie inavouable. Cette petite pute voulait qu'ils la malmènent un peu et fassent comme s'ils la violaient alors qu'elle n'attendait que de se faire baiser! « La chance pour nous! » se dit-il intérieurement! « Elle veut qu'on fasse les acteurs? Elle va être servie cette salope! »

« Ici c'est chez nous pouffiasse! Et quand on se balade sur notre territoire habillée comme une pute, faut s'attendre à être traitée comme une pute! » rigola-t-il en faisant un clin d'œil à ses copains pour les inciter à rejoindre le jeu.

Noémie, intérieurement ravie qu'ils aient compris, essaya de se dégager mais le voyou était plus fort et fut bientôt rejoint par ses potes qui achevèrent de la maîtriser.

La jeune femme fut basculée sans ménagement sur le capot de sa petite citadine, l'un des gars ramena des sangles abandonnées et il entreprit de ligoter Noémie en lui attachant les mains sur les rétroviseurs de sa voiture. Elle essaya vainement de les en empêcher en se débattant mais ils étaient bien plus costauds.

En deux temps trois mouvements, Noémie était attachée par des sangles aux rétroviseurs de sa voiture, allongée sur le dos sur le capot. Son débardeur relevé laissait à l'air libre ses appétissants gros seins, et sa micro jupe tire-bouchonnée sur sa taille ne cachait plus rien de sa fente luisante .

Elle était bel et bien coincée, elle allait être « violée » par ces trois voyous!!!

Les trois mecs, eux, contemplaient le spectacle en se caressant leurs bites raides à travers leur survêt.

Putain ils allaient se régaler!

- « On va la déchirer comme elle le mérite, tu vas être un bon vide-couilles! »

- « Ouais, on va te ken bien comme il faut, tu vas aimer tu vas voir! »

Noémie se demanda à ce moment si elle n'avait pas fait une grosse bêtise en les chauffant... mais il était beaucoup trop tard pour reculer...

Cinq minutes plus tard, le spectacle au fond de ce parking était apocalyptique!

Une nana était allongée sur le capot d'une voiture, les mains attachées aux rétros, ses gros nichons à l'air, ses vêtements en charpie au sol, un mec entre ses cuisses la tenant par les hanches, pistonnant sa chatte comme un malade, pendant qu'un autre se faisait sucer en lui tenant la tête pour imprimer le mouvement et qu'un troisième se branlait en attendant son tour.

N'importe qui surprenant la scène conclurait qu'un viol était en cours, mais il n'en était rien...

Les gémissements de plaisir de Noémie ne laissaient aucun doute quant à son acceptation de ces outrages : Elle avait rapidement cessé de tirer sur les sangles, acceptant (pour son plus grand plaisir) sa condition de pauvre fille perdue dans un quartier pourri, coincée par des voyous et soumise (très soumise...) par eux aux derniers outrages.

Les insultes à l'encontre de Noémie fusaient : « salope! » « grosse pute » « bouche à pipes », et par ses gémissements elle mettait tout son cœur à justifier leurs insultes.

Celui qui se faisait sucer s'amusait à bouger sa bite dans la bouche de Noémie avant de plonger le plus profondément possible dans sa gorge. Il se régalait d'abuser ainsi de sa bouche « Sa mère -gémit il-sa bouche c'est une vraie chatte, chaude et humide comme il faut! »

L'autre, confortablement installé dans sa chatte qu'il martelait de coups de bite, abonda : « tu sentirais sa chatte, c'est du velours, putain je vais pas pouvoir me retenir longtemps! »

Aussitôt dit, aussitôt fait, le salaud lâcha toute sa purée dans un râle de jouissance. Noémie sentit la bite du mec tressauter et un liquide chaud envahir son vagin. Le salopard n'avait même pas pris la peine de mettre une capote! Noémie ne pouvait protester puisque bâillonnée par une bite qui ne tarda pas à lâcher sa liqueur au fond de son gosier tandis que le dernier se soulageait sur ses belles mamelles .

-« Quelle chaudasse! » commenta l'un d'eux en se rembraillant.

-« Ouais » reprit l'autre « ce serait dommage d'en rester là, je ferai bien une deuxième mi-temps! » tout en claquant le cul de Noémie.

Les trois salauds considéraient la jeune femme gisant sur le capot, les vêtements déchirés, les mains liées aux rétroviseurs de sa voiture, encore sous le coup de ses orgasmes, les yeux dans le vague, les seins maculés de sperme, le contour de la bouche plein de foutre, elle avait toujours les cuisses écartées avec une vue superbe sur sa chatte dégoulinante de semence chaude.

Comble de perversité, sans même y penser, Noémie sortit sa langue et lécha le contour de sa bouche pour en recueillir un peu de sperme qu'elle avala dans un petit gémissement.

A ce moment, Noémie était bel et bien devenue leur esclave sexuelle : ils l'avaient dominée, soumise, possédée et souillée. Elle était maintenant leur petite pute gauloise, ils pouvaient la baiser autant qu'ils le voulaient, la prêter à leurs potes ou à des inconnus, la mettre au tapin, elle était à ce moment prête à tout accepter d'eux.... Une nature de soumise se révélait soudain à elle!

-« Dis-moi, petite salope, t'habite où? » demanda l'un d'eux

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