Ninon Éponge Les Dettes - Partie 02

- Tu caches quoi sous cette petite robe en dentelle? tout en faisant remonter sa main depuis la cuisse bronzée.

- Oh putain! Toi t'es une sacrée, avec une robe si courte, il faut avoir du cran pour ne rien mettre dessous. Viens, je vais te donner ce que tu veux, dit il en la tirant par la main mais Ninon se libéra et accourra paniquée vers Fred.

- Que se passe t'il petite salope?

- Ah, vous êtes avec elle, répondit le gaillard qui l'avait suivi.

- Oui et non, c'est compliqué à expliquer. Qu'est ce que tu lui a fait pour qu'elle rapplique si vite?

- Aidez moi, il veut me... baiser, lâcha telle dans un soupir alors que Fred avait glissé sa main sur la chatte frémissante.

- Et alors, tu as vu comment tu l'as aguiché, tu ne vas pas le laisser comme çà! Tu veux que je lui montre les vidéos d'aujourd'hui ou du week end dernier?

Sans comprendre, mais bienheureux de ce retournement de situation, le jeune homme attira de la main Ninon et l'emmena vers les toilettes hommes. Les regards amusés des jeunes présents obligèrent Ninon à fermer les yeux jusqu'à ce que la porte de la cabine soit fermée. Deux secondes plus tard, assise sur la cuvette, sa robe fut retirée et le sexe proportionnel à la carrure de l'homme lui atterit sur les lèvres.

- Quelle paire! Je me doutais que si tu n'avais pas de culotte, tu ne devais pas avoir non plus de soutif! Ils ne doivent pas s'emmerder avec toi. Allez, soit une bonne fille, montre moi tes talents cachés.

Sans plus de préliminaires, il passa sa main derrière la crinière de la belle et lui imposa le rythme. Elle ne réussit qu'à engloutir la moitié du membre, manquant de vomir au passage. Sentant la fin arriver, il la fit se lever, puis la retourna. Appuyée sur la cloison, elle sentit sa vulve s'écarteler comme jamais elle ne l'aurait cru possible. Centimètres par centimètres, il profita de la chaleur de son antre, pressant ses deux seins avec ses grandes mains.

- Tu ne vas plus rien sentir une fois que j'en aurai fini avec toi!

Une fois complètement au fond, il fit des aller-retours en rythme, de plus en plus vite, jusqu'à ce que les jambes de son coup d'un soir tremblent.

- Te retiens pas, ils seront tous content de t'entendre gémir de plaisir.

La sensation intense d'être entièrement remplie, additionnée de l'humiliation de ne plus être libre de son corps, la firent crier son plaisir dans ces chiottes lugubres. Faisant abstraction de l'environnement, elle haleta une longue minute avant de retomber assise sur les toilettes, le foutre gisant en grande quantité de son abdomen. Elle eut à peine le temps d'attraper sa robe pour recouvrir sa poitrine qu'il avait ouvert la porte et repartit sans un regard. Un jeune fêtard présent à ce moment-là, resta bloqué, les yeux rivés entre ses cuisses. Sans demander son reste, elle tira la porte à nouveau s'habilla. Elle attendit qu'il n'y ait plus personne pour sortir, après avoir bien essuyé les traces de son accouplement torride.