Ninon Éponge Les Dettes - Partie 02

BÊTA PUBLIQUE

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- On arrive.

Lorsqu'elle aperçut les lieux, elle reconnu de suite où ces salauds l'emmenaient.

Ils descendirent de la voiture puis avancèrent au travers d'un chemin, entrée de la forêt de Mervent. Les herbes hautes ne facilitaient pas la progression. Après deux kilomètres de marche, un parcours santé se présentait devant eux. Forcément, Ninon allait en être la candidate favorite. Le premier était un enchaînement de tronc coupés sur lesquels il fallait marcher. Elle passa avec brio la première moitié mais stoppa sa progression brusquement lorsqu'elle sentit les boules vibrer.

- Tu ne croyais quand même pas que çà allait être aussi facile, au plus tu attends, au plus les vibrations seront fortes au fait! rigola Théo.

Les jambes fébriles, elle réussit tout de même à franchir les obstacles et fut applaudie par ses tourmenteurs qui en profitaient toujours pour la filmer. Forcément, le même manège recommença sur le banc à abdo en bois. Son ventre la tiraillait entre les efforts pour réaliser la série de vingt et les palpitations mêlées. La contraction de ses muscles lui firent ressentir autant plus les objets intrusifs. La vue pour les garçons fut plus intéressante lorsqu'elle se hissa sur une barre de traction surélevée, la caméra juste en dessous capturait son entre jambes en gros plan. Elle lâcha sa prise au bout de trois tractions sur une série de cinq.

- 1ère punition gagnée, bravo! lacha Fred. Dommage, tu étais bien partie.

Le saut de haie suivant s'annonçait difficile et malheureusement à la troisième barrière, la soudaine vibration l'empécha de lever la jambe et elle s'étala dans la terre.

- 2ème! après les bras, ce sont tes jambes qui ne te soutiennent plus... Heureusement qu'il te reste Romain!

Devant la dernière épreuve, une poutre à soixante centimètres du sol où il fallait marcher en équilibre, Jacky la stoppa alors qu'elle avait le premier pied dessus, l'autre au sol. Il plia les jambes et extirpa les sextoys. Puis, alors qu'elle allait avancer plus sereinement, il lui dit :

- 1ère punition pour l'épreuve ratée, à poil.

Avec affolement, elle fit un tour sur elle-même pour voir si personne n'arrivait aux alentours. Un peu rassurée, elle s'exécuta et défit la nuisette terreuse. Jacky lui mit les mains dans le dos. Il avait posé son sac à dos à ses pieds, en sortit une corde et serra bien ses deux poignets. Il poussa dans son dos pour la forcer à poser son buste sur la poutre reche. Sans relâcher la pression, il lui tira les chevilles une à une pour les approcher des poteaux de fixation auxquels Théo vint lui prêter main forte pour immobiliser les jambes totalement écartées. Ainsi positionnée, impossible pour elle, à la seule force de ses abdos, de se redresser. Il relâcha la pression sur son dos et afin de pouvoir respirer, elle redressa la tête, posant son menton sur le bois. Ce mouvement lui rappela soudainement la douleur des pinces sur ses seins, débordant de part et d'autre de la poutre. Un ruban en soie posé sur les yeux, elle entendit des pas s'éloignant et s'affola de rester seule, attachée, nue en pleine forêt. Elle entendit au loin :

- Ta 2ème punition. Amuse toi bien et à plus tard.

Dans un premier temps, elle voulut crier mais se ravisa, évitant ainsi d'attirer l'attention de promeneurs éventuels. Combien de temps s'était-il passé, trop en tout cas, pourquoi ne revenaient-ils pas la libérer? Privée de la vue, elle se concentrait sur les bruits, et d'un coup, des bruits de pas approchant l'inquiétèrent. Elle entendait un souffle silencieux, n'y aurait-il qu'un des gars qui serait revenu seul la détacher? Non, quelqu'un était là, il la regardait. Elle sursauta et cria en tendant la cordelette au moment où elle sentit quelque chose à l'entrée de ses lèvres. Un doigt qui glissa facilement, tellement elle était humide du traitement subi. Timide au début puis plus aventureux, un deuxième le rejoingnit puis un troisième sur son clitoris gonflé. La main se retira, le bruit d'une braguette et, sans prévenir, un penis chaud et doux s'inséra en elle avec une délicatesse étonnante. Il prenait plaisir à rester au bord, à entrer et sortir doucement, puis accéléra la cadence et s'enfonça entièrement, provoquant les gémissements de Ninon. Il ressortit avant qu'elle jouisse, frustrée une fois de plus, encore un coup de ces enfoirés se dit-elle. Elle entendit un raclement de gorge puis de la salive lui atterrir sur le cul encore bien ouvert. Elle essaya de se débattre, accentuant la sexualité qu'elle dégageait. Le gland atteignit l'entrée, bien tendu, mais à peine eut il franchit la barrière qu'il se dégagea. Un bruit de braguette, et des pas rapides qui s'éloignent. Quelques secondes de silence puis le bruit d'un vélo au loin se rapprochant. Il ralentit à sa hauteur, elle ne compris pas tout mais entendit tout de même les mots "malade", "obsédé", "salope". Il s'éloignait maintenant, doucement.

- Au pied mon chien!

C'est le cycliste qui parlait. Juste à côté d'elle, des bruits de pattes et de respiration haletante. Son chien était près d'elle. Certainement excité par l'odeur, il lappa avec sa grosse langue rugueuse, l'anus et le vagin de la prisonnière. Le dégoût fut lentement remplacé par du plaisir, la truffe contre ses fesses, la langue s'était frayée un chemin au travers de ses lèvres et pénétrait de plusieurs centimètres en elle, agitant ses sens. Le bruit du vélo se rapprocha.

- Putin mais t'es dégueulasse, au pied!, suivi un bruit de laisse et le chien se retira.

L'instant suivant :

- Eh bien ma cochonne, on ne se doutait pas que tu étais chienne à ce point! On a dû bailloner ton copain sinon il allait effrayer le berger allemand! Et la belle bite du promeneur, elle t'a plu aussi? Je t'ai posé une question! gueula Jacky.

Silence, calme plat.

- Si tu le prends comme ça!, dit-il en enfilant les geishas et alluma la télécommande, à fond. Je vais finir le travail. Aujourd'hui, c'est sodomie.

Jacky en premier, Théo en second et Fred le dernier, lui labourèrent l'arrière train violemment, éjaculant une quantité impressionnante de sperme. Le plug fut remis en place aussitôt pour qu'elle conserve leur souvenir le plus longtemps possible. Détachée, elle dut être maintenue par les bras pour ne pas tomber, telle une poupée. Les pinces furent arrachées, provoquant un crie de sa part ; puis replacée perversement sur ses lèvres inférieures. "Rhabillée", la quasi- totalité de la chaînette était visible, pendante entre ses jambes. Ils repartirent en direction de la voiture, croisant quelques couples se baladant qui détournèrent le regard. Fred avait tout de même pris soin de bloquer la chaîne des pinces dans l'embase du plug pour éviter des problèmes.

- Tu te nettoies avant de monter dans ma caisse et tu vires ta robe dégueu, pesta Jacky.

Théo attrapa une bouteille d'eau dans le coffre et aspergea les jambes et les bras plein de terre de Ninon qui était de nouveau dévêtue, sur le bord de la route. Romain lui tendit son T-Shirt pour qu'elle puisse s'essuyer.

- Que c'est mignon! Allez, on y va, on a encore des choses à faire, le week-end n'est pas terminé.

- Vous n'allez pas nous garder tout le week-end, s'exclama Romain.

- Toi je ne sais pas. Mais elle, oui! N'est-ce pas Ninon, avec le plaisir que tu prends avec nous, tu ne vas pas rentrer avec ta fiotte? Ne réponds pas, ce n'était pas une question.

Apeurée, elle pleura dans les bras de son homme.

- Ça va aller, débrouilles toi pour trouver l'argent, je supporterai un jour de plus. Je t'aime.

- Quel courage! Avec ce qu'on va lui mettre, tu ne la reconnaitra pas demain soir.

- Vous avez intérêt à ..., Romain ne finissa pas sa phrase, un coup de poing dans le ventre lui coupa le souffle.

- Ta gueule, sinon je ne te ramène même pas à La Faute!

Le trajet fut silencieux, pensif à la suite des événements pour les uns, épuisés pour les autres.

Ninon était désormais seule. Jacky avait dit à Romain qu'il la déposerait chez lui le dimanche soir, en indiquant qu'il ne savait pas dans quel état. Elle avait pu récupérer sa robe au passage mais aucun sous-vêtements ne lui furent accordés. A quoi bon... Elle savait très bien qu'elle allait de nouveau devoir les satisfaire. Pourtant, pendant l'apéro du soir, ils restèrent courtois, lui servant à boire, discutant ouvertement, se moquant aussi de son cocu de copain bien sur. Ninon essaya de garder une consistance, et de maintenir ses charmes secrets même s'ils les connaissaient par coeur.

- Tu aimes être attachée comme la semaine dernière ou comme cette après midi Ninon?

- Je... c'est nouveau pour moi... et puis je n'avais pas le choix...

- Romain ne pourra pas t'en donner autant, tu ne sentiras même plus sa bite d'ici demain. Mais on est gentlemen, sinon tu n'aurais pas le droit de jouir.

- Si vous le dites..., répondit-elle pas convaincue.

La sonnette retentit. Jacky ouvrit à un couple, Ninon compris que c'était son frère et sa copine. Jacky lui présenta Ninon en lui expliquant que c'était la copine de Romain, que lui n'avait pas pu rester mais qu'elle avait souhaité continuer la soirée avec eux. Étonnés, autant par la situation que par sa tenue, Sarah lui fit la bise, suivi d'Olivier, les yeux exorbités.

- Bonjour Ninon, ravi de faire ta connaissance lui dit il chaleureusement.

Ils s'installèrent à table et discutèrent longuement, buvant tout autant. Une belote s'improvisa entre les gars, à la fin de la partie, voyant que les filles s'ennuyaient, ils sortirent la mallette de poker.

- Comme Ninon ne roule pas sur l'or, on va se faire un strip poker!, déclara Jacky.

Ninon essaya de trouver du secours du côté de Sarah mais elle ne protesta pas, ne souria pas non plus. Elle avait l'air soumise à Olivier qui commençait à distribuer les cartes. La main de Sarah lui fit perdre sa jupe, faisant apparaître un beau tanga rouge. Sarah était du même calibre que Ninon, une poitrine développée, des fesses charnues, une belle chevelure brune. Les garçons perdirent aussi, tous torses nus, ils conservaient à minima leur boxer. Ninon avait une chance étonnante, alors qu'elle n'avait qu'un vêtement, elle était toujours vêtue alors que Sarah dû abandonner ses derniers remparts en deux tours d'affilés. Le débardeur d'abord, qui était la seule protection de sa poitrine, puis le tanga, qui dévoila son sexe imberbe. La bande salivait à la vue de ce corps splendide. Sarah se recula de la table.

- Reviens ici et continue à jouer, pesta Olivier. OK tu es en tenue d'Eve, mais les gages remplaceront les vêtements!

Étonnée, Ninon confirma sa pensée en voyant Sarah reprendre sa place sans rien dire. Elle était belle et bien docile, ou soumise. Et à nouveau, comble de malchance, elle perdit le tour.

- Allongez là sur la table, c'est l'heure du dessert fit Olivier à son frère et ses copains qui n'attendirent pas une seconde.

Ils n'eurent même pas à batailler, elle se laissa guider au travers du plateau, sur le dos, exposant sa poitrine dressée, se laissant écarter les jambes et relever les genoux. Olivier arriva muni d'une bombe de chantilly avec laquelle il recouvrit la bouche, les seins, le nombril et le sexe de sa compagne.

- Bon appétit à tous, lanca t'il.

- Ninon, on te laisse le morceau le plus sucré, ria Fred.

Olivier prit un sein, Fred un autre, Jacky son nombril et Théo sa bouche qu'il baisait de sa langue. Ninon ne réagissant pas, Jacky l'attrapa par les cheveux et lui colla le nez dans le minou poivré de la pauvre perdante.

- Qu'est ce qui ne va pas, c'est la première fille que tu lèches? Il va vraiment falloir te dévergonder dis donc! Vous savez que cette après midi elle s'est faite lécher par un berger allemand? Hein Ninon?

Le rappel de ce moment lui provoqua des frissons, elle ressentit la rugosité de la langue qui l'avait pénétrée et par le même biais, s'appliqua d'autant plus sur la chatte qui lui était présentée. Sarah mouillait beaucoup, le visage de Ninon était trempé, mélange de salive, de mouille et de chantilly. Comme une affamée, elle continuait de parcourir les replis des grandes et petites lèvres, du capuchon déployé alors que Fred continuait de narrer sa journée, lui remémorant le plaisir refoulé. Lorsque Sarah jouit, ils applaudirent en cœur les deux femmes. Insistant bien sur les talents de débutantes de la copine de Romain.

Les yeux dans le vide, les filles s'installèrent et reprirent le cours du jeu. Logiquement, la chance tourna et Ninon accusa le coup. Sarah fut désignée pour lui oter sa robe et Olivier resta la langue pendante.

- Bordel, je m'en doutais mais elle était vraiment à poil depuis le début dans sa robe de salope! Donc c'est pas des conneries ce que nous a raconté avec le chien?

- Non, tout est véridique, en fait, son cocu nous doit beaucoup de fric, parce qu'il a joué de l'argent à la place de ses fringues lui... donc comme il ne paye pas, on prend les intérêts!

- Et du coup, elle peut faire ce qu'on lui demande?

- Evidemment! Mais continuons un peu de jouer, on verra plus tard. Elle est avec nous jusqu'à demain...

Dès lors, le moindre tour perdu allait lui coûter le peu de fierté qu'il lui restait. Elle essaya de se concentrer sans succès. Les deux plus mauvaises mains étant celles des filles, elles furent conduites sur un grand transat, têtes bêches, en 69. Ninon recommenca comme précédemment mais lorsque la langue de Sarah s'appliqua sur son bouton, elle ne réussit pas à continuer. Les sensations étaient splendides. Sarah savait y faire, elle glissa deux doigts dans l'antre tropicale et du bout de la langue, attaqua son clitoris. Elle provoqua des giclées chez sa partenaire, stupéfaite d'apprécier cette relation lesbienne en publique.

- Bravo Sarah, quel doigté souligna Théo. Par contre, Ninon n'a pas accompli son gage, au contraire, elle n'a fait qu'en profiter! Elle mérite une punition, qu'en pensez vous?

A l'unanimité masculine, Ninon prit la place qu'avait Sarah sur la table. Elle manqua de se brûler avec l'une des bougies éclairant la table en cette nuit naissante.

Olivier lui chuchotta à l'oreille :

- On peut dire qu'en une semaine, tu en a fait des découvertes! Exhibition, bisexualité, zoo, uro, sodomie, gorge profonde, attachée... Tu as beaucoup de chance qu'on partage tout çà avec toi! Sarah aussi a vécu toutes ces expériences, mais sur une bien plus longue période. Maintenant, il faut que tu la rattrapes avec l'une de ses préférées. Pour que tu n'aies pas trop peur, je vais te bander les yeux. Tâches de ne pas essayer de te rebeller, sinon on t'attachera.

Effrayée par ces mots, Ninon préféras laisser son nouveau bourreau lui oter la vue. La tête pendante en arrière en bout de table, Sarah la rejoignit, accroupie, et l'embrassa tendrement.

- Ca va bien se passer, reste calme, si tu veux, tu pourras me lécher pendant qu'ils s'amusent, pour t'occuper l'esprit. Tu m'as tellement fait jouir tout à l'heure!

Une chaleur vive atteignit son ventre, Olivier venait de laisser quelques gouttes de cire de bougie brûlante tomber sur sa peau. Elle ne put retenir un cri.

- Sarah, fait la taire ou je la bâillonne, je n'ai pas envie que mon frère ait des emmerdes avec les voisins, comme quand tu avais gueulé à ta première double pénétration! lui envoya Olivier.

Elle se positionna au dessus de sa nouvelle compagne de débauche, plia légérement les genoux et présenta son sexe suintant contre sa bouche. La cire repris de plus belle, se limitant au ventre au début, pour atteindre les contours de sa poitrine ensuite. Alors que ses seins la brûlaient, une autre main vint apposer des glaçons sur ses deux tétons. Le mélange était indescriptible, elle n'aurait pas su dire qui de la douleur ou du plaisir l'emportait. Par ailleurs, elle se régalait de ce cunnilingus humide, jamais elle n'aurait cru prendre du plaisir avec une femme. Le froid des glaçons commençaient tout de même à devenir insupportable, son buste se courbait pour repousser le contact, et c'est ce moment qui fut choisi pour échanger la glace avec la chaleur. le chaud froid lui glaça le sang mais son attention se porta aussitôt entre ses cuisses alors qu'un glaçon parcouru le chemin de son bouton jusqu'à l'intérieur de son vagin.

Redoutant le moment fatidique, elle tenta vainement de serrer les cuisses. Une grosse bougie fut déversée sur son pubis puis en filet le long de sa moule. Jacky accouru armé d'un Wand (un puissant stimulateur clitoridien), qu'il activa sur sa victime. Pour se retenir de crier, la bouche grande ouverte, Ninon avala littéralement la chatte de Sarah qui jouit simultanément, ne pouvant se retenir de lâcher des jets abondants dans sa cavité buccale. Repue, elle se dégagea de son visage et lui permit de respirer convenablement à nouveau.

- Vas chercher ton jouet préféré ma puce, demanda Olivier.

Sarah compris le message, elle alla, nue, jusqu'à la voiture le long du trottoir, récupérer un beau fouet rouge avec les lanières en cuir. Ninon, toujours les yeux bandés, ne savait même plus si elle urinait ou si c'était l'effet de la fonte du glaçon qui lui trempait les fesses. La réalité lui revint de plein fouet, c'était le cas de le dire, quand elle sentit les lanières frotter contre son ventre et faire sauter la cire refroidie. Lorsque ses seins servirent de cible, elle se sentit défaillir, ses pointes cinglées lui rappelant sa condition. Le fouet passa lentement sur son sexe, avant de fouetter à nouveau. Ses cuisses rougirent mais elle fut soulagée quand le tiraillement de cire cessa. Le manche de l'arme lui fut ensuite inséré dans la chatte ruisselante, soulageant un désir charnel. Olivier en profita pour lui remplir le gosier jusqu'au fond de la gorge, parce qu'il ne voyait pas pourquoi Sarah serait la seule à en profiter.

- Elle suce bien votre copine! Je croyais qu'elle était débutante?

- Dés qu'elle a quelque chose en elle, elle l'avale, c'est dingue, regarde, je ne vois même plus le manche de ton fouet! Il lui faut du gros calibre. D'ailleurs..., Jacky lâcha le fouet, et revint avec une courgette qui prit sa place.

- Whaou! Continue, elle avale presque mes couilles dis donc!

- Je t'avais dis qu'elle avait des qualités insoupçonnées, fit Fred.

Le légume tapait au fond de son ventre, plus des trois quarts étaient rentrés tout de même. Olivier libéra se libéra de la gorge étroite et répandit son foutre sur le visage déjà trempé de salive. Les coups de fouet reprirent et, coordonnés aux mouvements de lu cucurbitacé, firent trembler le corps offert jusqu'à l'extase.

- Je pense qu'il n'y a plus besoin des cartes pour continuer à jouer avec nos deux pouliches, ria Olivier.

- Non c'est certain, elles n'ont même plus besoin de nous pour jouir, c'est vexant, ajouta Jacky.

- Elles en veulent plus, je connais un endroit si vous voulez!

Sur les mots d'Olivier, Sarah et Ninon échangèrent un regard inquiet. Elles étaient désormais des jouets à disposition de ce groupe de pervers. Le seul vêtement autorisé fut une robe pour chacune, sans rien dessous. Pendant le trajet en voiture, la consigne leur fut passée de continuer à se toucher mutuellement par dessous leurs robes relevées. Les videurs de la boîte de nuit les laissèrent passer après vérification de leur pass sanitaire. Il faisait maintenant nuit noire, la piste était bondée. Elles traversèrent la foule, sentant des mains froler leurs corps peu protégés. Les garçons s'installèrent sur une banquette confortable et commandèrent à boire, laissant leurs deux proies sur la piste. Ninon fut vite rejointe par un grand bonhomme baraqué. Nonchalamment, elle dansit avec lui, se rapprochant dangereusement, elle sentit d'un coup le renflement de son pantalon contre ses fesses. Son regard appitoyé vers ses tourmenteurs ne déclencha pas d'autres réactions que leurs rires. Théo filmait encore, son portable à la main. Sarah subissait les assauts d'un groupe de trois jeunes à côté d'elle. Elle ne semblait pas offusquée de la situation, certainement plus habituée à ce genre de "jeu". Le partenaire de danse de Ninon lui souffla à l'oreille :