Nathalie Soubrette vendu Ch. 03

Informations sur Récit
Je suis née pour être esclave, pour être une femelle soumise.
1.2k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 12/19/2023
Créé 12/16/2023
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Une violente douleur me tire de mes réflexions. Par une volée de coups de fouet, Maîtresse, qui est revenue de je ne sais où, m'ordonne :

- Arrête de rêver, esclave, et relève-toi.

Péniblement, je m'exécute. Elle se plante devant moi, et là! Surprise! Ce n'est plus la même femme.

J'ai devant moi une Maîtresse dans toute sa splendeur, une femme qui a bien 30 cm de plus que moi, toute bardée de cuir noir. Elle a la taille munie d'un corset très serré qui fait ressortir une opulente poitrine, de superbes cuissardes avec des talons vertigineux. Je vois l'ovale de son visage, une grande et belle Maîtresse. Je vois ses anneaux autour de sa taille, une large ceinture où sont fixées des menottes de métal et un fouet court doté d'une dizaine de lanières. Qu'elle est belle!

- Nathalie soubrette, je crois?

Dit-elle en m'attirant à elle par l'anneau de mon collier.

- Un trop joli nom pour une souillon de ton genre. On t'a expliqué en arrivant que tu n'es rien, que tu n'as plus droit à rien. Tu es juste une femelle esclave, une catin, une chienne. Dorénavant, et jusqu'à nouvel ordre de notre part, c'est-à-dire lorsque ton dressage et ton éducation nous satisferont, tu répondras au nom de catin. Maintenant, je vais te défaire de ton accoutrement et te vêtir avec le mien. Tu ne bouges que pour exécuter mes ordres et tu ne dis mot, sauf si je t'interroge.

La voilà qui me défait de mes parures, le mors, la cagoule, le collier, le corset, les souliers, et enfin les bracelets. Il ne me reste que les sous-vêtements. Que c'est bon d'être libre enfin, je respire à nouveau. Comme je m'en réjouis un peu plus au fil de cet effeuillage, j'ose croiser son regard. Elle a des yeux verts merveilleux et les traits de son visage sont fins et délicats.

- Dix!!! Dix de plus me dit-elle.

- Comment?

Oups! Ce mot m'a échappé. Je n'ai pas encore l'habitude.

- Vingt!!! Vingt de plus me redit-elle.

Je n'ose plus parler, vingt quoi? Me dis-je dans ma tête.

- Écarte les jambes et les mains sur la tête, salope!!

Elle retire mon soutien-gorge en dentelle pour m'en ajuster un en cuir rouge avec incorporés dans celui-ci de faux seins en silicone qui offrent un effet plus naturel à ma poitrine. Elle le serre au maximum, puis elle me descend le slip sur les pieds. Je n'ose bouger tellement j'ai honte. Une grande claque sur les fesses me fait lever les pieds. Elle en profite pour me retirer entièrement mon slip.

- Écarte plus les jambes, catin, et tiens-toi droit!!!

Elle glisse entre mes jambes une sorte de string en cuir, rouge lui aussi. Il est composé d'une large ceinture très serrée à la taille sur laquelle est fixée une autre bande de cuir, partant sur le devant en forme de triangle renversé jusqu'à l'entrejambe. Ce triangle cache à merveille mon anatomie, et il remonte par derrière sous la forme d'une lanière de 5 cm entre les fesses pour se rattacher à la ceinture. Bien que cette lanière me rentre profondément dans la raie des fesses, je suis moins honteuse car on ne voit plus mes attributs masculins.

Passant devant moi, elle me fixe autour du cou un énorme collier de cuir rouge. Il fait au moins 13 cm de large sur le devant et 7 cm sur le derrière. Il est garni de trois anneaux chromés de bonne taille. Ce collier m'oblige à tenir la tête en arrière, je ne peux d'ailleurs la bouger. Je crois que c'est un collier de maintien.

- Baisse les bras vers moi putain et allonge-les!

Elle emprisonne mes poignets et mes chevilles avec des bracelets rouges sur lesquels sont fixés de gros anneaux chromés. Bien que coiffée d'une perruque en arrivant et que l'on me l'ait retirée, j'ai quand même naturellement de longs cheveux, d'environ 20 cm de long. C'est par ces cheveux précisément que m'empoigne très sauvagement Maîtresse. Sous la douleur, je pousse un cri.

- Aiiiieeeee!!!

Ce cri est vite assourdi par quatre gifles très violentes qui m'étourdissent quelques temps. Je n'ai pas le temps de me remettre que déjà, Maîtresse m'entraîne par les cheveux vers le fond de la salle. Là se dressent deux colonnes de pierre. Elle me positionne entre elles et me lâche pour aller chercher un petit banc de bois.

- Tourne-toi!! Et monte là-dessus me dit-elle en le plaçant devant moi.

Elle entreprend ensuite de fixer les chaînes qui pendent des colonnes à mes bracelets de poignet. J'ai les bras écartés et en l'air.

- Maintenant, souillon, descends de là!!!

En descendant de ce banc, je m'aperçois vite de son utilité. En effet, je me retrouve maintenant avec les bras très écartés et étirés. Maîtresse fixe maintenant d'autres chaînes aux bracelets de mes chevilles. Elle tire si fort sur les chaînes que mes jambes s'ouvrent au maximum et que je suis obligée de me tenir sur la pointe des pieds, comme si j'avais des talons de 15 cm.

Je ressemble maintenant à un X majuscule. Les quatre membres ainsi écartés me procurent une douleur qui va en s'amplifiant, cette douleur est si présente que je pousse de petits cris. Maîtresse saisie le banc pour monter dessus derrière moi, et elle me fait taire en m'affublant d'un bâillon boule de belle grosseur.

- Vas-y maintenant, sale chienne, me dit-elle en redescendant du banc, tu peux toujours crier, pleurer, maintenant tu en as le droit.

- Cette couleur!!! Cette couleur rouge de tes cuirs, elle est de la même couleur que ton sang quand il coulera, ça se verra moins.

- Dix!!! C'est le nombre de coups de fouet que je vais te donner pour avoir posé tes yeux sur moi.

- Vingt!!! C'est le nombre de coups supplémentaires pour avoir parlé sans mon autorisation.

- Et enfin, cinquante!!! C'est le nombre de coups que tu as mérités pour avoir appelé au téléphone et demandé ta route, tu étais pourtant prévenue.

- Ce qui fait, pour aujourd'hui et maintenant, un total de quatre-vingts coups de fouet. Après cela, je te laisserai te reposer pendant trois heures et nous poursuivrons la soirée avec d'autres réjouissances, fais en sorte que cela se passe bien.

- MMMHEooUUiiii!!! Ooouuffff!!! HHAAArrrrrrr!!!!!!

C'est tout ce que je peux dire avec mon bâillon, mais je suis terrifiée. Mes bras, mes jambes, mon cou, tout est étiré et je ressens de plus en plus de douleur, surtout sur la pointe des pieds. La boule de mon bâillon écarte très largement ma bouche, les muscles sur le côté me font souffrir, et je commence à saliver énormément.

Plus rien, je n'entends plus rien, je ne sais où se trouve Maîtresse. Derrière moi? A-t-elle quitté la salle??? Ces coups qu'elle m'a promis, ce n'est pas possible, pas autant, et puis je viens d'arriver! Elle a sûrement dit ça pour me faire peur. Un long moment se passe qui paraît pour moi interminable. Je voudrais bien quitter cette fâcheuse position. Étonnamment, au fil du temps, j'ai l'impression que la douleur devient plus supportable.

J'ai le corps tout ankylosé. J'éprouve des fourmillements dans les membres. Je crois que c'est l'asphyxie des muscles qui provoque la diminution de la douleur, je l'ai lu quelque part. Seul lorsque l'on essaye de bouger, cette douleur revient, c'est pourquoi j'évite de bouger. Je ferme les yeux, ne pense plus à rien, je me concentre mentalement et j'attends.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Je crois qu'elle rêve si elle pense que la Maîtresse ne lui infligera pas la punition annoncée.

Elle est en phase de dressage, et visiblement il va être particulièrement sévère.

Olivx

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