Nathalie Soubrette vendu Ch. 04

Informations sur Récit
Je suis née pour être esclave, pour être une femelle soumise.
2.1k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 12/19/2023
Créé 12/16/2023
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Et puis soudain, du bruit! Je ne peux rien voir car je suis de dos, et en plus mon collier m'empêche de tourner la tête. Je distingue deux voix, les voix des deux Maîtresses.

- Tu l'as vu cette salope? Elle est écartée comme une pute. Combien a-t-elle gagné?

- Quatre-vingt pour l'instant.

- Oulala!!!!!!! Et bien elle fait forte pour commencer chez nous cette chienne.

- Bon??? Ce n'est pas tout ça, il faut y aller, ont à pas que ça à faire.

- Tu prends le côté gauche et moi le droit, à deux ça ira plus vite.

- EEhh!!! Doucement!! Elle arrive tout juste, faux la ménager

- Doucement je veux bien mais la ménager!!!!! Elle est là pour ça cette chienne, c'est elle qui la choisie.

- Mais tu as raison!! On va prendre notre temps, plus c'est long, plus c'est bon.

- Ha! Ha! Ha! Je vois que tu as comprise, il faut tout de suite lui montrer ce qu'il l'attend ici et qui commande.

- OUAIS!!!! Ne faudrait pas que pour son premier jour, cette putain de salope s'endorme trop vite et que nous, nous soyons fatiguées par le travail.

- T'entends CAAATINNN!!! Tu vois on est trop bonnes avec toi, on pense à ton confort nous!!!

- T'inquiètes, on va bien s'occuper de toi pourriture, bientôt tu nous aimeras et tu en redemanderas par plaisir!!!

Soudain une vive douleur me ravage les fesses, je suis si surprise par l'intensité et par la rapidité des coups, que je ne peux même ni crier ni glousser. Les larmes fusent de part et d'autre de mes yeux, je pleure de souffrances mais en silence. De toute manière mon bâillon m'empêche de hurler. Je sens les coups, à droite, à gauche sur les cuisses, entre les cuisses. Ma tête arrive à se dodeliner de droite à gauche, je voudrais crier, arrêtez!! Pardon!! Mais aucun son ne sort, impuissante, je suis impuissante et à leur merci.

Tantôt deux ou trois coups à droite uniquement et tantôt de l'autre côté, les coups s'espacent puis s'accélèrent. Vingt, vingt et un, vingt-deux, vingt-trois. Les Maîtresses égrènent le décompte. Et puis un répit, ho! De courte durée, juste le temps pour les Maîtresses de changer de côté ou de changer d'instruments.

- Et tiens salope dit l'une en me fouettant le dos avec un fouet de quarante lanières.

- Tu ne fais pas la fière renchérit l'autre, tu as voulu venir alors tu vas être servie.

Trente-sept, trente-huit, trente-neuf et quarante. La douleur est insupportable, cela ne peut pas durer, elles vont s'arrêter.

- Je suffoque!!! AAAhhhhrrrr!!!!! MMMMm!!!! Graaaahhhh!!!

Comme par magie, effectivement elles s'arrêtent. Mais pour mieux repartir.

- C'est à la moitié, on change de style, il faut que cette salope goûte tout de suite au grand fouet et au fouet Langue de Dragon.

- Pour moi c'est d'accord, après tout elle l'a cherché et de plus, plus vite elle y goûtera, plus vite elle aimera, tu verras un jour, c'est elle qui nous le demandera.

- Allez la catin, vingt coups du grand fouet et vingt de la Langue de Dragon et nous te laisserons récupérer.

Flak, sap, sap, tak, sap, longs, courts, sur les fesses et dans le dos, de droite, de gauche, entre les cuisses et sur les cuisses, la brûlure du grand fouet est atroce, tantôt très fort, tantôt plus faible, de près cela fait moins mal, mais de loin, quel supplice. La douleur est atroce, insoutenable, insondable, détachée je m'écroulerais comme un poids mort. Jamais de ma vie je n'aurais imaginé ce traitement, j'ai de plus en plus peur pour moi, pour ma vie. Sans le voir je devine les stries dans mon dos ou sur mes fesses, est-ce que je saigne?

- Quarante-neuf, et cinquante...

Les coups s'arrêtent.

- Attend, on va lui faire une petite faveur pour les dix derniers coups du grand fouet, tu sais à la TURC!!!!!

- Ha!!! Oui!!! Le vinaigre!!! T'as raison, elle ne faudrait pas qu'elle nous fasse une infection cette salope.

Tu vois comme on prend bien soin de toi! Catin!! Tu sais à la Turc, c'est pour ton bien!! Pour ta santé, c'est en quelque sorte comme qui dirait, un moyen antiseptique!! AH! AH! AH!!!!!!

- Ne te fatigue pas va, elle n'y comprend rien et elle ne voit rien à force de pleurer, ses yeux sont tout gonflés!!!!!!

- Faut être humaine avec le bétail!!! Faut la ménager, lui expliquer, ça sera plus simple pour cette grosse vache!!!

- Bon d'accord!!! Comme tu voudras, c'est ta bestiole, explique-lui donc!

Étrangement, leur discussion m'avait permis un peu de récupérer, je sentais un peu moins cette incroyable douleur qui me brûlait le dos et les fesses. Mais elles m'expliquèrent à leur manière ce que voulait dire « à la Turc ». Et là, j'étais horrifiée, effondrée, je n'en croyais pas mes oreilles, elles ne vont pas oser, c'est inhumainnnnnnnn?

- Comment te dire? Tu vois lorsque l'on donne des coups de fouet en récompense à une salope dans ton genre!!! C'est obligé que des traces de coups plus ou moins profondes apparaissent sur la chair, des fois même, ça saigne!!

- Mais ce n'est pas de notre faute, ce n'est pas nous que l'on récompense, on fait juste notre boulot et on le fait bien!!!

- C'est toi???? Toi putain qui l'a méritée ta récompense...

- Nous on fait juste pour ton bien, pour que tu ne sois pas malade...

- Tu vois comme je suis bonne avec toi putain!!! Je t'explique bien pour pas que tu t'en fasses!!!

- Forcément!!!! Il y a des stries sur ta chienne de peau de vache que tu es, quand on fait bien son boulot.... C'est normal, mais là sur toi ça saigne!! Ça doit être la première fois hein? T'as pas l'habitude encore, t'inquiète ça viendra.

- Et comme je suis trop bonne avec toi, je vais te désinfecter les plaies, pour pas que t'attrapes des choses vilaines. Mais pas à la fin de ta récompense, tout de suite!!! Pendant que je te donnerai les 30 derniers coups, tu vois comme je prends bien soin de toi, tu ne dis pas merci??? AH! AH! AH!

- Mais voilà, y a un hic!!! Et c'est pour cela qu'on appelle ça à la Turc!!!

- Chez les Turcs, ils fouettent leurs esclaves avec un grand fouet qu'ils trempent dans du sel ou du vinaigre, eux c'est pour faire encore plus mal, Si! Si! Crois-moi, le sel ou le vinaigre sur les plaies saignantes cela provoque des brûlures extrêmement douloureuses, y en a plein qui s'évanouissent de douleur.

- C'est comme ça chez eux!!! Mais pas chez nous!!! Nous c'est la même chose mais c'est pour soigner l'infection des microbes.

- Il se peut que tu ressentes encore plus la douleur, mais c'est pour ton bien, ce n'est pas de notre faute, il faut que tu le comprennes.

- Bon? Assez parler, si t'as pas compris tant pis, le temps passe!!

- Allez? Serre les dents putain, maintenant tu vas jouir de bonheur! HI! HI! HI!!!!!

- Héééé? Il ne faut pas qu'elle y prenne plaisir la garce, regarde son dos, on dirait du hachis de bœuf.

- Ne t'inquiète pas, dans pas longtemps son cul ressemblera à de la gelée de groseille, heureusement il y a l'antiseptique.

Elles trempèrent chacune leur fouet dans un seau de vinaigre et...

- Allez salope, on remet ça pour ton plus grand bien.

Un éclair aveuglant me transperce de douleur, les membres pourtant entièrement distendus, j'arrive à produire des soubresauts et des cris de douleur. Je ne vois plus rien, mes yeux sont gonflés par les larmes, la salive coule abondamment sur ma poitrine, ma mâchoire me fait horriblement souffrir. Je suis sûre que mes dents sont plantées dans la boule du bâillon.

- Cinquante-neuf! Et soixante!

La brûlure du fouet est atroce, mais comparée à la brûlure du vinaigre, c'est de la broutille quand on a pris l'habitude. Je n'ai plus de force, je souffre tant que je délire. Je rêve éveillée, je suis dans un autre monde. Des litres de salive me coulent sur la poitrine, dans mon dos je sens un torrent qui coule à flot, je ne sens presque plus rien. Seuls les coups que me donnent mes tortionnaires raisonnent dans ma tête. Je ne peux bouger un seul muscle tellement je suis anesthésiée par la douleur. Pourtant, je vibre sous les coups, mon corps se déplace d'avant en arrière à chaque coup. Je veux m'endormir pour ne plus souffrir.

- Allez pour les vingt derniers, il faut que cette salope décolle de plaisir.

- Cela casse où ça passe??? Au fait morue, tu les veux comment les derniers, très vite ou plus doucement??? AH! AH! AH!!!!!

- Attends, tu ne vas quand même pas lui demander son avis à cette chienne, cet animal est juste bon à sucer des queues.

- Non ce n'est pas un homosexuel, elle ne l'a jamais fait!!!!!!!

- Ah bon??? Eh bien au moins ici on lui apprendra de gré ou de force, sucer deviendra naturel et elle aimera ça la garce.

Pan, pan, pan, Sac, Sac, Sac, trois, coups sur les fesses et trois coups sur les cuisses. S'ensuit une volée de coups d'une vitesse inouïe, je vais tomber dans les pommes ou en syncope. Les coups s'espacent, se font plus doux, moins violents.

- Soixante-neuf! Soixante-dix!

- On va y arriver? Plus que dix et on se repose!

- Attends! Avec la badine maintenant, c'est plus pratique pour le sel, il reste collé avec le sang et la sueur sur la baguette.

- T'as raison!!!! On n'est jamais trop prudente, le sel et le vinaigre c'est plus sûr!!!

Et soudain de grands coups lourds très lents sur la raie du cul, suivis de coups très secs à l'intérieur des cuisses. À chaque coup, elles remettent du sel sur la badine. Je ne sens plus les coups, juste la brûlure gigantesque du sel. Mon corps est un brasier à présent, je trépigne, mes yeux tournent et retournent dans leurs orbites, j'ai envie de mourir, je suis épuisée de tant de souffrance. Puis j'entends le décompte avec les derniers coups qui s'abattent dans mon dos. Soixante-dix-neuf et quatre-vingt.

- Ouf??? Cette salope m'a épuisée, elle le paiera tôt ou tard!!!!!!!!!

- Allez!!! Laissons-là se reposer jusqu'à ce soir. Il ne faut pas trop l'abîmer, peut-être que Madame voudra la voir, elle doit donc être en forme.

- Ah!!! Bon?? Tu crois, mais alors, faut la gâter, attends aide-moi!!! Et elles me frottèrent le dos, les fesses, les cuisses avec de grandes éponges qu'elles trempèrent dans le seau de vinaigre.

Je crois que je me suis évanouie!!!!!! Je me réveille lentement pour me replonger dans ce cauchemar, et j'entends!!!

- Attends!!! Comme elle a été sage, nous allons lui offrir un cadeau, défais sa sangle anale je reviens.

Je ne sens même plus les mains de Maîtresse sur mon corps, tant ma douleur est grande, les fourmillements de mes bras et de mes jambes sont remplacés par des sortes de décharges électriques. Malgré que les coups soient terminés, j'ai toujours l'impression qu'elles me frappent encore, mon corps me brûle. L'autre Maîtresse revient.

- Regarde ce que j'ai pour cette catin, regarde ce beau joujou, elle l'a bien mérité.

Et je sens brusquement quelque chose d'énorme me pénétrer l'anus, la douleur est aussi forte que les coups, car la pénétration est soudaine et profonde. L'engin est, en plus, de bonne taille.

- Cette salope a tout avalé!!!!!!! Tu te rends compte, 5 cm sans broncher, où tu l'as bien huilée, où cette cochonne a l'habitude de se faire enculer.

Elle faisait tourner et retourner le gode avec des mouvements de va-et-vient, et elle l'enfonçait jusqu'à buter au fond de l'anus, à ce moment cela me déchirait les entrailles.

- Bon??? Nous allons la laisser se reposer avec ce cadeau intime pendant trois heures, ça lui fera passer le temps.

Maîtresse me remet ma sangle anale, en serrant si fort de telle manière que le gode s'enfonce encore plus, et que la douleur ressurgit plus vive encore, la sangle avait totalement disparu entre mes fesses qui ressemblaient, d'après les dires de mes tortionnaires, à deux collines couvertes de gélatines et séparées par un ruisseau. Avant de partir, elles tendirent à l'extrême les chaînes qui retenaient mes jambes écartées, de telle sorte qu'elles étaient encore plus ouvertes et que mes pieds ne touchaient plus le sol. Le supplice est très douloureux pour les membres étirés, il me fait oublier la douleur du dos et des fesses. Elles éteignirent la lumière et m'abandonnèrent à ma douleur en refermant la lourde porte à clé. Qu'elles étaient douces les fessées de mon père en ce temps-là. Comparées à l'horreur que je viens de vivre, elles étaient bonnes. Ha! Si seulement il était encore là pour m'en donner encore.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Non seulement il a eu l'intégralité des 80 coups promis, mais en plus elles ont utilisé du vinaigre ainsi que du sel pour rendre la douleur encore plus intense... De vraies sadiques !

J'en connais une qui doit commencer à regretter d'avoir signée ce contrat

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