Nathalie Soubrette vendu Ch. 02

Informations sur Récit
Je suis née pour être esclave, pour être une femelle soumise.
1.5k mots
4.32
3.2k
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 12/19/2023
Créé 12/16/2023
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Elle pose le contrat dans le tiroir d'une commode et m'ordonne de me relever.

Aïe! Ça fait mal, je me relève péniblement et me tiens droite comme un "I". Elle ouvre une armoire et en sort toutes sortes de choses, je ne vois pas bien car j'ai peur de lever mes yeux vers elle. Avec une infinie délicatesse, elle m'aide à enfiler des bas de soie noirs, puis un porte-jarretelle, un slip et un soutien-gorge assorti. Deux faux seins en silicone viennent compléter cette panoplie. Sur quoi, ils font plus d'effet que mes deux bouts de mousse.

En me tenant debout, les bras levés, elle m'ajuste un corset en cuir noir muni de plusieurs anneaux et de lanières. Le corset est si serré que j'ai peine à respirer.

- Ne t'inquiète pas, ce n'est pas pour longtemps, du moins pour le moment. Plus tard, avec l'habitude, tu en porteras presque en permanence, et de plus serrés.

Puis, après plusieurs essais, elle me chausse des talons aiguilles d'une hauteur raisonnable, environ 8 cm.

- Là aussi, me dit-elle, avec l'habitude, on augmentera la hauteur.

Elle me saisit les poignets et les fixe très haut dans le dos, attachés au moyen des lanières sur le corset. Puis, elle m'attache les chevilles avec des bracelets de cuir noirs, reliés entre eux par une chaîne d'environ 50 cm. Me soutenant par les épaules, elle m'oblige une nouvelle fois à me mettre à genoux. Sur mon cou se referme un large collier de cuir assez serré muni de trois gros anneaux de fer.

Puis, à ma grande surprise, elle me glisse une camisole de cuir qui vient enserrer totalement ma tête, où seuls mes yeux, mon nez et ma bouche sont libres. Même mon menton est enserré de la sorte, puis elle m'ouvre la bouche en grand et un mors de cheval en caoutchouc de belle grosseur vient s'y loger. Ce mors est fixé sur la cagoule par une sangle qui passe entre les deux anneaux et qui est reliée derrière la tête.

Toute penaude, je ne peux plus bouger grand chose et je pousse de petits bruits étouffés. Ma Maîtresse complète mon accoutrement par une laisse en chaîne de fer d'environ 2 mètres fixée à l'anneau de mon collier. Elle m'ordonne de me tenir tranquille, puis reprend quelques photos. Au bout d'un moment, elle s'empare d'un fouet moyen doté d'une dizaine de lanières et me tire brutalement vers l'extérieur de la bâtisse.

J'ai du mal à marcher à cause des escarpins et du lien entre les chevilles. Mais je la suis tout en découvrant la très grande propriété, rien n'est faux, tout correspond à la description faite. Après quelques coups de fouet sur les fesses, pas très appuyés pour me faire avancer, en tournant sur notre droite, je découvre un terrain rempli d'arbres, puis en descendant un peu plus, j'aperçois un bassin d'eau d'environ 20 mètres sur 30 mètres avec de gros nénuphars. Du fait du mors qui empêche ma bouche de se fermer, ma salive coule abondamment sur ma poitrine. Plusieurs coups de fouet viennent rougir mes fesses.

- Arrête de baver comme ça, chienne, et avance.

Au bout de ce bassin, il y a un ponton sur pilotis qui avance vers le milieu de l'eau. Et là, je n'en crois pas mes yeux!!! Au bout du ponton, il y a deux poteaux fichés très solidement dans l'eau. Sur un des poteaux, une belle jeune femme est attachée, à demi-nue les bras en croix. Elle est à moitié immergée, l'eau lui arrive à la ceinture. Je ne peux voir si ses jambes sont attachées, mais je le devine car elle ne bouge pas du tout, je vois ses seins superbes, blanc laiteux, ses poignets sont fixés par une corde qui passe dans de gros anneaux fixés sur les poteaux. Un bâillon boule grosseur l'empêche de gémir ou d'appeler. La pauvre, depuis combien de temps est-elle là? Combien de temps encore? Qu'a-t-elle fait.

En me posant ces questions, je ralentis un peu trop l'allure aux yeux de ma Maîtresse, elle me le fait savoir par une volée de coups à couper le souffle. Je me plie en deux sous la douleur ne pouvant me protéger avec mes bras, elle me tire violemment vers elle avec la laisse et me fait avancer plus vite. Plus loin, après un petit bois touffu, une vaste étendue plate toute engazonnée nous accueille et quelques petits chemins bordés de fleurs s'entrecroisent pour nous faire arriver devant un petit château.

Quel éclat, de superbes colonnes de pierre sont disposées de chaque côté d'une lourde porte en chêne. De chaque côté de la bâtisse, une rangée de colonnes plus petites forme un arc de cercle avec à l'intérieur des dalles de marbre blanc.

Je remarque tout de suite ces énormes anneaux de fer forgé scellés dans la pierre. À quoi peuvent-ils bien servir? Bah, on verra bien. Sur le côté gauche du château, on aperçoit aussi un bâtiment plus petit doté de plusieurs portes, pas très large mais assez long, environ 7 mètres sur 14 mètres. J'y suis! J'aperçois des bottes de paille, de petites calèches ressemblant à des sulkys, des selles et des harnais, c'est donc une écurie pour chevaux. La suite me dira que non, ou plutôt que cette écurie est réservée à d'étranges chevaux.

Un petit sentier contourne le château, en tirant fort sur la laisse, Maîtresse m'oblige à la suivre d'un pas pressant. À cause de cette chaîne qui relie mes chevilles, je suis obligée de faire de petits pas très saccadés, ce qui me procure une douleur grandissante. Je peine à respirer à cause du corset, je voudrais bien m'étirer les bras mais impossible, ils sont solidement maintenus dans mon dos.

En arrivant à l'arrière de la bâtisse, Maîtresse me stoppe brutalement. Je distingue une porte voûtée sous laquelle descendent une dizaine de marches d'escalier. "Attention", me dit-elle, et elle m'invite à descendre ces marches, c'est très pénible ainsi attachée. Avec mille précautions, nous arrivons en bas de l'escalier, elle ouvre une lourde porte en chêne et nous entrons.

Nous marchons environ 30 mètres dans un couloir étroit très sombre, puis nous descendons à nouveau quelques marches. Une nouvelle porte s'offre à nous, elle l'ouvre et me pousse vers l'intérieur. La soudaine clarté, due aux spots halogènes sur les murs me fait fermer les yeux. En me saisissant par un bras, Maîtresse me force à m'agenouiller à même le sol et disparaît de ma vue. Je commence à m'habituer à la lumière et je découvre mon environnement :

Des poteaux, des croix de Saint-André en bois, de grosses et lourdes chaînes, des palans à chaîne, des cages de toute sorte, quatre colonnes de pierre en plein milieu de la salle avec sur celles-ci des anneaux scellés ainsi que des grosses chaînes munies de solides bracelets métalliques, un lit très étroit, quelques chaises dont certaines sont équipées de godes, quelques meubles, une énorme roue en bois montée sur un axe et munie de bracelets se trouve en face de moi, un peu plus loin un carcan d'exposition, des tapis à terre, et partout du sol au plafond, des chaînes et des anneaux métalliques.

Sur les murs, une panoplie impressionnante d'objets de toutes sortes, je peux apercevoir des fouets de toutes sortes, petits et grands, avec plusieurs lanières. Des grands fouets tressés, ceux qui font le plus mal, ceux qui n'ont qu'une lanière de cuir et qui mesurent environ 3 mètres. Des badines de tout format, des paddles en bois en cuir. Des cagoules, des bracelets de toutes matières, des cordes de toutes natures, grosses et fines, longues ou courtes, des menottes métalliques.

Soudain mon regard est plus attiré, en effet je n'ose à peine y croire, des godes de toutes sortes sont disposés sur des étagères. Des gros, des fins, des petits et longs, des lisses et des veineux, certains munis de picots en caoutchouc, des droits et des courbes, des godes-ceinture. Mon dieu, ils ne vont tout de même pas? Pas à moi.

Cette collection est complétée par d'innombrables plugs du plus petit au plus grand et gros, des plugs vibrants de toutes matières. Ça, je connais, me dis-je, je m'en suis déjà servie. Des brides et des harnais de cuir et métalliques, une impressionnante quantité de colliers et de bracelets en toutes matières. Les colliers sont énormes et munis pour la plupart de clous et d'anneaux, il y a même des colliers de fer comme pour les forçats, des colliers de chien plus petits ou des colliers de plusieurs largeurs qui servent au maintien de la tête.

J'aperçois aussi des entraves métalliques, de larges barres de fer qui maintiennent la tête et les poignets, en quelque sorte des carcans de métal. Il y en a d'autres qui maintiennent ensemble les pieds et les mains. Des masques aveuglants, des muselières simples ou intégrables, en cuir ou en métal. Sur le côté, disposés sur une table, je distingue aussi plusieurs godes électriques ainsi que des appareils de stimulations électriques soi-disant pour maigrir.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

chouette, sexy

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