Monique Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Oui, le lendemain tu m'as dit que tu sortais juste pour faire une petite course, que tu ne serais pas long. Mais je sais que tu as dit à l'entrepreneur que tu devais aller au magasin dans une autre ville et que ça te prendrait bien quatre heures. Je sais aussi que tu lui as dit de ne pas me le répéter pour que je ne sois pas furieuse que tu travailles pendant un de tes jours de congé.

Tu te doutes qu'ils étaient contents. Bien avant que le bruit de ta voiture ne se soit éloigné, ils m'avaient déjà attrapée et me tenaient par les bras. Leurs mains ont commencé à courir sur tout mon corps et ils ont décidé de m'exciter assez vite. Ils savaient que tu serais absent quelques heures et ils voulaient en profiter le plus possible. Pense à moi toute seule à la maison avec quatre bites surexcitées.

J'ai essayé de garder un semblant de dignité en leur demandant d'arrêter. Mais ils m'ont emmené dans le salon et j'ai eu une boule à l'estomac quand ils m'ont obligée à m'agenouiller.

Ils se sont congratulés et ils se sont moqués de moi alors que le vieux contremaître m'obligeait à me mettre à genoux devant un de ses ouvriers. L'un d'eux s'est agenouillé aussi pour me tenir les bras. Un autre a posé ses mains sur ma poitrine pour tripoter mes seins. Puis ils ont dit à l'homme devant moi de retirer son pantalon et son caleçon.

Un homme m'a tenu la tête et l'a poussé sur l'énorme queue devant moi. Le vieux contremaître se moquait de moi en disant :

- Regarde, ça n'a pas l'air délicieux? Un bon morceau de viande et je crois qu'il veut ta langue pour chatouiller son petit trou. Ne nous dis pas que tu ne veux pas que ça reste coincé dans ta bouche.

Et ils m'ont regardée, incapable de résister à cette grosse queue qui touchait presque mes lèvres. Je n'ai pas eu besoin qu'on m'ordonne de lécher le liquide pré-éjaculatoire qui gouttait de la bite.

Ensuite le vieil homme s'est baissé, a soulevé ma jupe et a baissé ma culotte déjà mouillée tout en me disant :

- Tu veux que nous arrêtions? Mon copain est déjà en train de sortir tes beaux seins et le reste d'entre nous sait que tu veux qu'ils te mettent sur le dos, tes belles jambes bien écartées.

Il continue de me murmurer à l'oreille comme si j'étais un enfant :

- Allez petite dame, tu sais que tu le veux aussi. Où est le mal? Tu n'as pas dit à ton mari combien de fois nous t'avons baisée à tour de rôle. Tu ne lui as pas dit combien de fois tu as eu une bite bien juteuse coincée entre tes lèvres et combien de fois tu as avalé du bon foutre chaud. Et lui as-tu dit la façon dont tu cries alors que tu es assise sur mon visage, tes cuisses enserrant ma tête alors que ma langue lèche ta chatte. Et je ne crois pas que tu lui aies dit que nous avons changé de position, que je me suis assis sur ton visage, mes couilles dans ta bouche. Elles n'ont jamais été aussi propres. Et est-ce qu'il t'a lavé? A-t-il nettoyé tous le foutre que nous avons laissé sur tes jolis seins. Moi je crois que tu n'as rien dit. Et nous savons tous les deux pourquoi, et pourquoi tu es là encore aujourd'hui. Parce que tu ne lui diras pas combien de fois tu nous as demandé de t'emmener à l'étage, de t'allonger sur le lit. Et combien de fois tu as pris toutes les positions perverses que nous avons pu imaginer pour te baiser.

Il m'a souri et a dit :

- Je sais que nous sommes rudes avec toi, mais nous aimons te baiser. Je vais te mettre à l'épreuve et voir si tu vas m'arrêter si je joue avec ma main sur ta chatte humide. Soyons sérieux, nous savons tous les deux que tu ne m'arrêteras pas. Allez, écarte les genoux que je puisse m'occuper de ta chatte. Tu sais que tu le veux non?

Alors que sa main glissait sur ma jambe et que son doigt entrait en moi j'ai pu comprendre son ton sarcastique. Il a ajouté :

- Tu sais que ta chatte est vraiment inondée. Mes doigts ont réussi à glisser tout seul. Es-tu sûre de vouloir que nous continuions?

Il a rigolé quand je me suis traînée jusque à notre chambre et notre lit. Tous la gars faisaient des remarques vicieuses et annonçaient ce qu'ils allaient me faire tout en me suivant. Tous savaient qu'il me fallait plus et ils avaient raison. Je ne voulais pas qu'ils partent et je n'allais pas les empêcher de faire tout ce qu'ils voulaient de moi.

Ils étaient dans notre chambre, autour de moi et j'ai été forcé de me déshabiller complètement. Ils ont rigolé quand ils m'ont fait trembler mon cul, tenir mes seins en coupe, me tordre les mamelons ou les lécher. Ils ont claqué mon cul et j'ai poussé mes hanches en avant pour qu'ils puissent toucher mon entrejambe.

Quand ils ont fourré leurs doigts dans ma chatte mouillée, je suis devenu totalement excitée. Et l'humiliation finale c'est que j'ai dû supplier ces ouvriers de me baiser. J'étais nue et à genoux en leur promettant de faire tout ce qu'ils voudraient du moment qu'ils m'offrent du soulagement.

Encore et encore ils m'ont baisée. Je ne pouvais pas les en empêcher. Ils ne m'ont même pas permis d'aller aux toilettes sans être accompagnée. Alors que j'étais assis sur la cuvette pour faire pipi, l'un d'eux avait sa bite dans ma gorge et il me baisait la bouche.

Ils m'attrapaient, m'amenaient vers eux. Ils étaient comme des bêtes sauvages. Ils me jetaient sur le lit. Je n'étais qu'un jouet, leur jouet, quelque chose avec laquelle ils pouvaient s'amuser et baiser chacun à leur tour.

Et moi je t'imaginais au bureau sans que tu ne penses à moi un instant. Bientôt ils me prirent à plusieurs sur notre lit encore et encore.

Le problème maintenant est que j'ai pris goût aux pénétrations multiples. C'est une chose qui m'apporte beaucoup d'orgasmes. Et je suis en permanence excitée, c'est pour cela que je voulais aller au cinéma. Voilà, maintenant tu sais tout.

*****

Que pouvais-je faire maintenant, elle avait tout avoué. Je me sentis un peu coupable. Mais je bandai comme jamais. Nous sommes allés nous coucher et pendant des heures je la baisai. Quand nous finîmes, elle me promit d'arrêter d'aller au cinéma. Pour moi ça me suffit...

Jusqu'à mon retour à la maison une semaine plus tard.

A suivre...

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