Mon Apocalypse à Moi 13

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Premier contact gouvernemental.
3k mots
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Partie 13 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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13

Tina avait craqué, enfin. Le bouc avait fait son office. Après quelques jours, elle ne résistait plus quand je la menais au parc à moutons. Sa selle était bien fixée,à présent et elle répondait aux rênes. En fin d'après midi, j'appelais Farida et les enfants. La petite marocaine écouta les instructions et se mit sur la selle. Elle plia les jambes et plaça ses pieds nus dans les étriers. Elle secoua les rênes et Tina commença à trottiner sagement. Le poids la cambrait légèrement, exposant son plug avec une queue blonde, et son entrecuisse blonde fendue par un sexe perpétuellement ouvert, suite aux assauts du bouc. Maria lui avait rasé les côtés du crâne et coiffé sa crête sur le côté. Farida fit tourner Tina à gauche et à droite, avec autorité. Tina trottait bien, dos plat, tête tenue par son collier. Margot et Fanny la chevauchèrent à leur tour, avec de petits rires. Théo leur succéda. Le petit garçon comprit d'instinct comment commander sa monture. Il appréciait visiblement. À la fin, je laissais les enfants lui donner à boire et quelques rondelles de carottes que Tina leur prit dans la main. Elle ne disait rien. Son harnais de cuir lui faisait une sorte de masque, plutôt comique, et évitait que sa joue se déchire si les petits tiraient trop fort. Je complimentais Séverine pour sa suggestion du bouc, qui avait accéléré le processus.

Avant le dîner, je décidais de récompenser Ernesto.

-Ernesto. Je sais ce que tu veux. Commençais-je.

Ernesto me regarda.

-Tu veux ma bite.

Il baissa la tête avec un sourire.

-Viens là.

Je le laissais baisser un peu mon treillis et prendre mon sexe mou dans la bouche. Il s'en occupait bien, mais je ne réagissais pas comme il le souhaitait. Je fis un discret signe à Katia, elle vint s'appuyer sur le bar de la cuisine. Elle se cambra, les jambes écartées, exposant son sexe épilé et son anus au creux de ses fesses rebondies. Elle était l'obscénité incarnée. Elle fit courir son index et son majeur sur sa vulve, l'écartant, appelant la bite. Elle glissa son autre main entre ses fesses. Son majeur vint glisser vers son anus et après quelques rotations elle le fit entrer dans son petit trou. Maman s'était approchée de la jeune professionnelle et la soutenait aux épaules. Les doigts de Katia s'agitaient telles des araignées prises de folie, pénétrant ses orifices offerts. Je jouis dans la bouche d,Ernesto qui grogna et éjacula sur le sol. Katia se redressait déjà avec un air triomphant. J'aidais Ernesto à se relever.

-Excuses moi, mais j'ai eu besoin d'aide. Dis-je

- Je sais que vous n'êtes pas comme moi. Répondit -il. Vous m'avez honoré, aujourd'hui.

Je me tournais vers ce qu'il fallait bien appeler les miens, à présent. Je leur souriais. Ils comprenait à présent ce que nous bâtissions, ici. Au repas, tout le monde était joyeux. Un bip retentit. Le détecteur de mouvements réagissait sur la route. La télévision afficha un buggy gris qui venait vers nous depuis le sud.

Je me plaçais au centre de la route. Le véhicule était haut sur pattes et très peu ouvert. C'était un véhicule de combat. Je l'avais vu aux infos. C'était un moyen d'éclairage pour les régiments blindés. Dans leur merdier, il gèlerait en enfer avant qu'ils arrivent à produire un tank. Je fis monter et descendre ma lanterne rouge pour qu'ils s'arrêtent. Ils stoppèrent. J'avançais la moitié du chemin. Un homme en treillis camouflage descendit du véhicule et rajusta son béret bleu nuit. Il approcha, la main sur son arme automatique.

-Bonsoir. Je suis le lieutenant Mercier.

-Bonsoir, je suis Xavier. Je gère cet endroit.

- Nous avons besoin de vivres et d'essence. Je peux vous donner une reconnaissance de dette du gouvernement.

Je souris.

-Je croyais que les assignats étaient passés de mode, depuis la révolution. Ironisais je.

L'officier accusa le coup.

-Je pourrais me servir.

-Avec un seul véhicule?

-Je suis suivi par d'autres.

-Je ne crois pas, non. Sinon, mes détecteurs les auraient vu.

-Vous êtes seul?

-Non.

-Appelez les autres, je dois faire le recensement.

-Non.

Il se tendit.

-Si vous sortez votre arme, vous êtes mort, dis-je. Dites aux trois autres de nous rejoindre.

- Il n'y a que deux personnes avec moi. Le chauffeur et le mitrailleur.

-Votre secouriste s'est fait bouffer?

Il gardait un silence révélateur.

Je les conduisis à pied dans notre salle des trophées. C'était une idée que j'avais eu. La pièce, un ancien hangar en pierre, ne disposait d'aucun confort moderne. Je montrais les fauteuils en bois sculpté par Ernesto aux militaires et les invitais à se servir sur la table, où reposaient des fruits, du poulet froid et des oeufs durs.

Aurélie, vêtue d'une robe de toile vint me murmurer un nerf rapport à l'oreille. Je laissais les soldats se sustenter. Il y avait le sergent Gaubert et la caporale Guichet. Je surpris quelques regards de pure haine de la caporale envers les deux hommes.

-Bien, dis-je. Ce bâtiment, juste à l'extérieur de notre périmètre défensif, me sert à rencontrer les voyageurs de passage. Ce qui

Pend sur le mur derrière moi, ce sont les étendards ou les signes distinctifs des imbéciles qui ont essayé de nous attaquer. Je ne veux pas la guerre, mais si vous m'y contraignez, je la ferai.

-Vous ne pouvez vous opposer au gouvernement. Dit le lieutenant.

Je riais.

-La safe zone est à six cent kilomètres. Et vous êtes partis à sept véhicules, il y a trois mois. Pour nouer des relations avec les communautés de survivants. Ça a tellement foiré que le général De Bozieu vous a tous décoré à titre posthume, la semaine dernière. Ne venez pas me la raconter. Vous êtes paumés, et nous sommes une chance de survie. Mais vous pouvez faire demi-tour et oublier que vous nous avez vus.

-Comment savez vous tout ça? Demanda la caporale.

-Mais parceque nous regardons la télévision, chère mademoiselle.

Ils comprenaient peu à peu que la grange n'était pas représentative de tout le hameau. --Alors que proposez vous, pour avoir de l'essence et des vivres? Et oubliez votre papier.

-Nous avons des antibiotiques, et des munitions. Dit le sergent

-Quel calibre?

-5,56.

Je secouais la tête.

-Ça n'ira pas, c'est de la balle de guerre. Je n'ai pas le fusil adapté.

-On peut vous laisser un Famas. Ajouta le lieutenant.

-Combien fait votre réservoir?

-100 litres.

-J'ai du mal à vous croire.

-C'est ce qu'il nous faut pour rentrer. Précisa le lieutenant.

-Donc; un FA-MAS, 2000 cartouches pour cent litres. Résumais-je. Et le mois de nourriture en conserve, c'est cadeau.

-C'est beaucoup. Observa le lieutenant.

-On peut peut-être s'arranger dit le sergent avec un clin d'œil égrillard.

Je vis la caporale sursauter. Je voyais quel arrangement proposait le sous officier.

-On vous laisse tous les deux et avec un peu de chance, demain, vous aurez une meilleure proposition.

Je hochais la tête.

-Je vais vous reconduire à votre véhicule.Dis-je.

La caporale resta assise sur son siège en bois. Raide comme un piquet.

Je raccompagnais les autres militaires à leur véhicule. Je revins en réactivant les pièges derrière moi. Je rentrais dans la grange. Je m'assis sur mon siège.

-C'est ca, le gouvernement, alors, utiliser ses soldats comme des putes. Commençais-je.

-Deux fois. Pour des vivres et de l'essence. Pour continuer la mission.

-Où note -t'il ses informations?

-Sur un cahier. Dans sa sacoche.

-Pourquoi avez vous accepté?

Elle me regarda, éperdue.

-J'avais faim.

Ça avait vraiment foiré, leur histoire.

-Vous avez des compétences particulière? Demandais-je.

-Je suis brevetée tireuse niveau deux. Et j'ai une formation d'électronique.

-Et vous n'avez jamais proposé de faire des réparations?

-Personne n'a d'électricité.

-Si, nous. Répondis-je. À vrai dire, votre proposition de sexe ne me tente pas du tout.

-J'ai vu, vous avez une femme.

-C'est plus compliqué que cela. Corrigeais je. Mais je peux vous faire une proposition.

-Je vous écoute.

-Demain, je vous ramène au buggy, vous les tuez tous les deux, et nous vous accueilleront le temps que vous décidiez si vous nous rejoignez.

Elle sourit d'un air désabusé.

-Le percuteur est cassé. C'est du cinéma, mon arme.

-Alors, il vous en faut une autre. C'est un glock 9mm?

-Oui.

-On a. Tuer ces deux imbéciles, ça, par contre, ça roule?

-Je rêve de leur faire la peau depuis Auxerre. J'ai dû coucher avec un fermier puant. Depuis, je n'ai plus d'arme.

Combien de crétins sont morts, tués par la haine de leurs victimes, je pourrais écrire un livre, là dessus.

-Ils ont abusé de vous?

Elle eut un ricanement sans joie.

-Ils sont ensembles. C'est des grosses tantes, malgré leurs treillis et leurs galons. Le medic était un vrai mec, et ils l'ont envoyé en éclaireur dans un bâtiment infesté. J'ai dû l'abattre à la mitrailleuse.

-Désolé

Elle secoua la tête comme pour chasser une mouche.

Les deux militaires regardaient la caporale approcher. Je voyais leur air goguenard dans la lunette de mon fusil.

-Alors, heureuse? Dit le sergent dont la voix grésille dans mon oreillette.

-C'est un dingue. Se plaignit la caporale

-Il a craché dans l'hygiaphone, Guichet? Demanda le lieutenant.

Elle dégaina son arme et tira deux fois dans le visage du lieutenant. Le sergent se jeta sur elle et plia son bras armé. Un coup de feu se perdit dans le ciel. Un second coup tonna et elle eut l'épaule gauche maculée de débris d'os et de cervelle.

-C'était vous? Demanda-t'elle.

-Moi. Précisa Kévin. Xavier n'avait pas le bon angle.

-J'arrive, dis-je. On va rentrer le buggy.

Je conduisis le véhicule jusqu'à la maison des invités. L'intérieur de leur caisse ressemblait à un campement de scouts merdique. Une grande partie de l'équipement électronique était en panne et le moteur ne tournait pas très bien. Il y avait la trace d'un couchage biplace sur le sol et un chiffon sentait le sperme dans un coin. Ils avaient par contre quatre FA-MAS, une Minimi et deux valisettes de cartouches. Des gourdes kaki contenaient une eau sale, sans doute prise dans une rivière. Je fis faire le tour du propriétaire à Magalie, puisqu'elle s'appelait ainsi. Elle s'émerveilla devant la propreté et le confort. Elle actionna la lumière de la pièce cinq ou six fois, avec un sourire ébahi. Je lui montrais la salle de bain.

-Elle marche?

-Bien sûr. Répondis-je, avec un sourire. Maman t'as préparé un repas, il est sur la table de la cuisine Je suppose que tu sais te servir d'un mitigeur. Je t'attends au salon.

Elle revint, vêtue d'une robe de laine que Séverine avait fabriquée. Elle finissait un petit pain de Maria.

-C'est super bon. Dit-elle. Mais j'ai une question.

-Laquelle?

-Pourquoi vous les avez pas juste allumé au sniper?

-Pour tester ta détermination. Je gère la communauté avec autorité, mais j'ai soumis l'idée de ton arrivée aux autres. Tout le monde est d'accord. Sinon, on vous laissait partir. On a rien contre le gouvernement.

Elle hocha la tête, la bouche pleine.

-Si tu es prête, on peut visiter.

Je la menais jusqu'au jardin, où Sylvie lui montra les rangées de fraises et de légumes en tout genre, et l'assomma avec des considérations techniques. Je l'arrachais à Sylvie avant que celle-ci ne la mette à repiquer des légumes. Aurélie salua Magalie par dessus son épaule, sans se relever de sa position de quatre pattes. Son anus et sa vulve étaient exposées et Magalie détourna le regard. Je l'accompagnais ensuite au parc à moutons. Séverine dirigeait Farida et Fanny qui trayait des brebis.

-Bonjour, dit Farida, c'est toi, la militaire?

-Oui, répondit Magalie.

-J'espère que tu vas rester. Alors. Conclut Farida.

Séverine montra le lieux où elle fabriquait les yaourts, ainsi que la bergerie. Dès qu'elle sortit, elle appela Suzy, qui accourut de sa drôle de démarche. Séverine flatta le dos de notre chienne. Suzy regarda Magalie de ses grands yeux vides et sourit.

En repartant, Magalie avait l'air soucieuse.

-Suzy faisait partie d'un groupe qui a essayé de nous piéger, on a tué tous les autres, et on l'a dressée pour garder les moutons.

Elle hocha la tête

Ernesto et Bernard travaillait sur un mur. Ils étaient tous les deux torse nu.Bernard portait une cagoule en cuir. Je donnais leur prénoms à Magalie, et ils vinrent lui serrer la main.

-Qu'est-ce qu'il a fait? Demandais-je.

-Il arrête pas de causer. Répondit Ernesto avec sa voix pleine d'accent. Il m'énerve. Je crois qu'il le fait exprès.

-C'est bien possible, dis-je. Ça avance bien?

-Sans soucis. On sera prêts pour l'automne. Vous vous y connaissez en thermostat? Demanda-t'il à Magalie.

-Oui, pourquoi?

-On installe une chaufferie pour cet hiver.

-Pas de problème, il faut juste une sonde, et un coupe circuit, c'est plutôt simple.

Théo arrivait,chevauchant Tina, qui trottinait en agitant des petits grelots fixés dans son harnachement. Guidée par le petit garçon, qui portait un t-shirt et un pantalon de cowboy, elle tirait une petite carriole avec une glacière d'eau fraîche. Les deux hommes se servirent un verre d'eau puis nous en offrirent.

-Elle est bonne, dit Magalie.

-Maria ajouté des zettes de citron. Précisa Théo.

Il repartit , juché sur Tania.

-Elle aussi, elle faisait partie d'un groupe ennemi,et vous l'avez transformée en bête de somme. Dit Magalie.

-En poney. Précisais je. Elle est pour tous les enfants , mais c'est surtout Théo qui s'en occupe.

-Il ne fait pas bon être votre ennemi.

-Il ne faut pas nous attaquer.

-Et si on avait attaqué?

-On vous aurait tous tués.

-Heureusement qu'ils étaient lâches, alors.

La maison était là. Je présentais Katia et Maria qui prenaient soin des arbres fruitiers. La grosse dame portugaise descendit de son escabeau pour embrasser Magalie.

Katia sourit à la visiteuse, et lui lissa les cheveux de la main.

-Tu ne prends pas assez soin de tes cheveux, ils pourraient être bien plus beaux.

-Je viens de prendre la première vraie douche depuis l'invasion. Expliqua Magalie.

Avant d'entrer dans la pièce principale, Magalie s'arrêta.

-Une des règles est que les femmes sont tout le temps nues, c'est ça?

Elle me regarda et fit passer sa robe par dessus sa tête. Elle avait un corps musclé et c'était une vraie blonde.

Elle entra dans la pièce par la porte fenêtre.

-Vous êtes Me Pavrot! S'exclama -t'elle

Maman la regarda avec surprise.

-J'étais. Répondit Maman. Maintenant,je suis Maman. Comment le saviez vous?

-Vous êtes notre invitée,ce soir, vous nous expliquerez.Dis je.

Magalie mangeait avec l'appétit de ceux longtemps privés de nourriture.

-J'étais affectée dans une compagnie d'infanterie. J'en avais marre de passer mon temps au contact des zombies. J'ai vu que le cabinet du préfet recherchait une secrétaire. Quand je suis entrée dans son bureau, Pavrot m'attendais. Il était chef de cabinet du préfet. C'était lui qui cherchait une secrétaire. Je me suis présentée, et il m'a fait asseoir. Il m'a demandé mes qualifications, m'a dicté une lettre, puis il m'a dit:

-Ça te ferait plaisir de travailler ici?

J'ai répondu oui, parceque j'avais beaucoup combattu.

Il s'est levé et a dit; alors, il va falloir me faire plaisir aussi,et il a sorti sa bite. Je ne suis pas une oie blanche. J'ai pris sa bite et je l'ai sucé. On était en fin d'après midi. Il puait, mais je l'ai quand même sucé. À la fin, il est sorti et m'a éjaculé sur le front. Il m'a dit

-Étale,c'est bon pour la peau."

Maman émit un soupir. Magalie la regarda, mais comme Maman n'ajoutait rien, elle reprit son récit.

" Il m'a donné un déguisement de secrétaire, en me disant que c'était ma tenue de travail. Dès le lendemain , je sentis qu'il se collait contre moi en toute occasion. Alors que j'étais debout devant la photocopieuse à attendre qu'elle chauffe, il s'est glissé derrière moi et as écarté mon string. Relever ma jupe était à peine nécessaire, vu sa taille. Il m'a écarté le pied droit et m'a mis un doigt. Après,j'ai senti qu'il me pénétrait. Juste après,il m'a fait claquer le string en disant:"

-Les coups à la sauvette sont les meilleurs. Dit maman.

Aurélie hocha la tête.

"J'essayais de l'éviter ou de me trouver seule dans une pièce avec lui, mais il arrivait toujours à me coincer. Finalement après deux semaines, il m'a couchée à plat ventre sur son bureau, et il a pris un pot de graisse.Il m'a posé son gland graisseux sur le cul et a poussé. J'ai cru m'évanouir quand il est entré. Mais ça n'a pas duré non plus,heureusement. La photo de sa femme et ses enfants était sur son bureau, il racontait tout le temps comment il les avaient lui même abattus à cause d'un nègre qui les avait mordu. Dix jours plus tard, il m'a virée car il en avait marre de toujours être obligé de me chercher. Je suis retournée dans l'armée, avec l'étiquette "salope" sur le front. J'ai été ravie de pouvoir partir en mission, les 2 phoques me foutaient la paix et le medic était timide."

-Ernesto est gay, et Bernard, pas loin, merci de ne pas employer de mots comme ça, précisais je.

-Excusez moi, Ernesto. Mais le fait est que c'était surtout des connards.

-C'est oublié, dit Ernesto.

Je ricanais. Mes règles semblaient bien cool, par comparaison au marigot du gouvernement.

Je lui expliquais tout de même le concept du golf à trois trous. Maman précisa qu'elle se faisait fort de la préparer avant la sodomie, car elle savait ce qu'elle avait subi.

J'approuvais. Magalie demanda où cela se passerait. Je montrais le tapis, et précisais que Kévin voudrait en profiter aussi.

Elle accepta avec enthousiasme. Maria dit qu'il fallait parler de la party du dimanche. Magalie demanda des précisions.

-Le dimanche, tout le monde baise avec tout le monde, tout le monde participe, mais rien n'est obligé. Et à part ça,on ne me dit pas non. On fait ce que j'ordonne. En cas d'écart, tu seras punie. Le fouet, l'enculage à sec ou la golden soup , et souvent les trois.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
une trans

Une petite trans dans la communauté ça pourrait être cool :)

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Où on en découvre sur le mari de maman

Episode intéressant, la communauté s'agrandit avec la jeune militaire qui reconnaît maman car elle avait vu sa photo sur le bureau de son mari lorsqu'elle était baisée (violée) par son ex mari.

En final je pense que maman est plus heureuse et mieux traitée aujourd'hui qu'elle ne l'était avant avec son mari

OlivX

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