Mon Apocalypse à Moi 14

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la caporale nous rejoint.
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Partie 14 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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Magalie rit de bon coeur. Cette jeune fille était étonnante.

-Nadia, Aurélie, Christelle, Priscilla, Sylvie, Séverine, Katia, Maria et maman, dit elle, j'imagine que vous avez mis au point une sorte de roulement.

Je la regardais d'un air étonné.

-Vous ne couchez pas avec chacune d'entre elles tous les jours.

-En effet.

-Même si vous êtes deux, vous ne pouvez pas nous prendre toutes, tous les jours.

-En effet, avouais je.

Elle me regarda avec sérieux.

-Tous les jours pendant des semaines, j'ai supporté un gros porc, pas d'offense, Maman.

-Ne t'inquiètes pas, cela fait longtemps que j'ai fait une croix sur lui. Modéra Maman. Et bien avant toutes ces histoires.

-Tous les jours, tous les jours, je lui vidais les couilles à la bouche le matin, il me baisait le midi et m'enculait pour le goûter. Il m'a donnée une fois à un visiteur, pour que je facilite l'accord. Et je vous passe les tripotages des autres au bureau, ou l'enfer que j'ai vécu en revenant à mon unité. Un soir de cuite, ils me sont passés dessus,à huit. Ils sont entrés dans ma tente. J'avais leurs mains partout sur mon cul, mes seins, ma chatte. Ils m'ont mis une culotte dans la bouche et m'ont frappée à coups de ceinture. Je les ai sucé, tous, et après ils m'ont fait lécher le vomi dans la gamelle du chien. Parce qu'ils me baisaient le visage. Elle fit le signe de guillemets pour montrer qu'elle citait.

-Ensuite, il m'ont violée. Ils m'ont prise en double. Puis, comme je réagissais moins, ils m'ont fait une double vaginale. Et une double anale. J'ai saigné pendant huit jours. Votre rite de passage était peut être dur au début, mais à présent, non. Vous êtes séduisant, et le jeune garçon est plutôt beau. Vous voulez que je vous dise? J'ai envie que vous me baisiez.

Évidemment.

Je la fis se mettre à genoux. C'était une très bonne suceuse, avec juste un peu de perversion dans le coup de langue sur le gland, accompagné d'un regard en dessous. L'effet était si puissant que j'explosais dans sa bouche. Elle me regarda avec un sourire très doux.

-Désolé. Dis-je

-C'est un bel hommage. Qu'est-ce qu'on fait maintenant? Commenta Magalie.

Je ne savais que répondre.

-Tiens toi prête. Je finirai dès que possible.

Le lendemain soir, je la fis crier sur la table, profondément enfoncé dans son sexe. Elle m'éclaboussa de sa jouissance. Elle se plaça à quatre pattes sur le tapis et se pencha en écartant ses fesses. Maman s'approchait pour la préparer mais elle l'arrêta.

-Prenez moi, Xavier, dit -elle.

Je me plaçais derrière elle. Je posais mon gland gonflé contre son petit trou. Elle était mouillée de son éjaculation féminine. Je poussais. L'oeillet résistait. J'insistais. Le gland fut englouti, alors qu'elle criait sa douleur. Je n'en tenais aucun compte et la bourrais comme un soudard. Elle criait à chaque fois que mes poils chatouillaient sa raie du cul. Je finis par jouir dans son rectum. Elle se redressa, tandis que Suzy me nettoyait.

-Je voulais montrer que je suis à vous. Dit elle avec un pauvre sourire sur son visage ravagé de larmes. Pas de traitement de faveur. Ma nouvelle vie commence ce soir.

J'opinais du chef en urinant dans notre chienne. Elle suça Kévin, ensuite, qui rendit les armes encore plus vite que moi.Maria s'approchait avec sa crème apaisante maison. Elle la repoussa.

-J'ai encore l'impression que Xavier est en moi. Dit -elle. Et j'aime ça.

Elle regarda les femmes qui l'entourait.

-Ainsi, je suis des vôtres. Complètement. Je suis normale. Pas la salope qu'on méprise mais qu'on va baiser le soir. Je vais être utile à la communauté. Exister.

Et elle fondit en larmes. Maria ouvrit grand ses bras. Magalie se blottit sur la grosse poitrine de notre grosse portugaise. C'était des larmes de soulagement, expliqua l'ex caporale, mon sperme, qui coulait goutte à goutte de son anus et que Suzy léchais sur le sol, mon sperme emportait la vacherie de sa vie d'avant.

-Alors, tu devrais laisser au moins Suzy te nettoyer, dis je, elle va croire que tu ne l'aimes pas.

Elle regarda Suzy et ses grands yeux vides. Elle se pencha vers l'avant et exposa son intimité à la chienne. Celle ci se mit à lécher l'entrejambe de Magalie avec sa langue rouge, se régalant des résidus du rapport sexuel. Puis elle se remit sur ses fesses, l'air d'attendre.

-Qu'est ce qu'elle veut? Demanda Magalie.

-Elle veut que tu lui pisses dans la bouche, dit Christelle. On le fait presque toujours, après...

Magalie se positionna au dessus de Suzy. Tout de suite, celle ci colla sa bouche en coupe sur la vulve de Magalie. Celle-ci se vida dans la gorge servile.

-Elle n'a pas beaucoup de rapports. Expliquais je. Alors, elle est attachée à sa place.

Elle regarda Suzy qui retournait vers sa couverture.

L'été continua à dérouler son ciel bleu et sa chaleur au dessus de notre hameau. Je remarquais que la poitrine d'Aurélie était plus gonflée et sensible en cette fin août, alors que je lui donnais sa sodomie. Cela devait arriver tôt ou tard. Aurélie était enceinte. Maria consulta des livres et examina toutes les femmes. Christelle était également enceinte, ainsi que Sylvie, qui effectivement arborait un petit ventre rond, ce qui était physiologique, son utérus ayant déjà servi deux fois. Priscilla avait un implant qui la couvrirait encore un an et demi, Katia avait été stérilisée par ses souteneurs, Magalie avait subi une piqûre contraceptive qui la rendait inapte à la maternité pour un temps indéterminé, Séverine et Nadia avaient eu leurs règles. Maman et Maria étaient ménopausées.

Ces naissances à venir mirent le hameau en joie. C'était une bonne nouvelle, et tout le monde cherchait des prénoms. Ces enfants n'avaient pas de père certain, mais ils fut décidé qu'ils seraient ceux de leur mère respective.

Le bureau au rez de chaussée où Bernard tenait un état méticuleux des comptes fut transformé en salle d'accouchement, et rapidement empli de matériel d'obstétrique.

Les granges et la chambre froide accueillaient de plus en plus de légumes en bocaux et de conserves diverses, tandis que la récolte s'annonçait belle dans le verger. Bernard fut très touché par l'annonce de la grossesse de sa femme. Je l'autorisais à la prendre, que ce bébé soit un peu de lui aussi. Sylvie n'en avait pas envie, mais elle obéit, comme il se doit. Bernard la mit sur le dos et la lécha longuement, la secouant de plusieurs orgasmes. Quand il la prit, avec une bite peu vaillante, il vint rapidement.

-C'est un éjaculateur précoce. Je lui ai donné des leçons de cunni. Expliqua Sylvie.

Maria me parlait de l'anniversaire de Sara. La mère de famille donnait l'impression de faire des préparatifs de mariage. Elle était très enthousiaste. Sara avait peur, un peu, et hâte, davantage. Cette cérémonie d'entrée dans la communauté était un évènement salutaire. On s'ennuyait un peu, avec ces interminables pluies et le vent. La maison était chaude et confortable, avec la chaufferie mise au point par Magalie et Ernesto. La pièce avait été réaménagée, avec un vaste matelas qui servait aux filles à dormir, aux enfants à jouer et offrait un terrain de jeu pour forniquer. Avec ce désoeuvrement, je baisais plus, enfilant une de mes femmes dès que l'envie m'en prenait. On avait dû rentrer Tania avant les gelées et elle était dans le cellier, avec une mangeoire pour ses légumes et les restes de nos repas. Elle revenait par instants à elle, et ce matin-là, je l'entendis pleurer. J'étais surpris. Elle semblait si indifférente à tout.

Je me mis accroupi à côté d'elle.

Elle leva sur moi ses yeux tristes.

Je lui caressais la tête, là où son crâne était nu.

-Exceptionnellement, tu peux parler. Lui dis-je doucement.

Elle secoua la tête. Elle s'était brisée les cordes vocales, à force de hurlements lors de son dressage. Elle murmurait quelque chose. Je me penchais. Je saisis.

-Les enfants, j'ai des reproches à vous faire, commençais-je, au déjeuner.

Théo, Farida, Fanny et Margot se figèrent, j'avais l'intégralité de leur attention.

-Je suis passé voir Tania. Elle ne va pas bien. Elle est sale, et triste. Son crâne et sa crinière sont négligés. Même sa queue est sale. Ce soir, avant de manger, vous ferez trottiner ici même. Je vous souhaite qu'elle soit rutilante, sinon...

À peine leur yaourt de brebis englouti, les enfants disparurent.

-Séverine, Suzy va être jalouse.

-Je m'en occupe. Répondit la bergère avec un sourire.

Je passais l'après midi avec Nadia. Dans Nadia, une bonne partie du temps. Je la fis gémir en lui prenant les reins à fond. Elle avait les jambes relevées sur les seins, ceux ci étaient pressés sur sa poitrine, sous mes mains serrées. Son cul était relevé presque à la verticale. Je vis l'éclat de peur dans les yeux de ma partenaire. Je jouis brutalement. Je me relevais doucement, tandis qu'elle restait, tremblante sur le lit. Son anus ouvert et irrité laissait sourdre mon foutre laiteux.

Elle s'assit au bord du matelas. Elle me regardait avec crainte, et un reste de douleur.

-Vous êtes revenu. Dit elle

-Comment ça?

-Le chef intransigeant. Notre maître.

Tania trottait, très fière, montée par Théo. Elle avait les flancs huilés, les cuirs cirés et sa crinière blonde propre et nattée. Ses rênes luisaient de cirage. Sa queue blonde avait retrouvé son aspect original. Je lui flattais la croupe et elle me lécha les doigts. Suzy parada ensuite, avec un nouveau collier, et poussait ses drôles de petits cris de joie, en sautillant partout dans la pièce.

Elle avait une queue de fourrure qui ressemblait à ces choses que les ringards accrochait à leur rétroviseur dans le monde d'avant.

Nadia et les enfants remis à leur place annonçaient mon retour. J'avais des plans pour la suite.

Mais le lendemain verrait une nouvelle entrée dans la tribu. Je mis Sara dans la chambre de Priscilla, dont tous les murs avaient été tapissés de miroirs, et le lit placé au milieu. Elle embrassa sa mère et les autres filles, puis monta. Je regardais ses petites fesses rondes onduler dans sa culotte blanche, quand elle montait l'escalier.

Je me retournais vers les filles assemblées. Elle me regardaient avec une attente dans les yeux. Je me déshabillais, exhibant mon érection. Je m'étendais sur le sol recouvert de matelas. Elles vinrent à moi, m'embrassant à pleine bouche, parcourant mon corps du voile de leur cheveux. Mon univers se résumait à leurs corps doux, durs ou tendres, leurs sexes se frottaient sur mes jambes, leurs seins agacaient ma peau. Une bouche, puis une autre, puis deux liées autour de ma hampe se succédaient , un corps souple me chevaucha, Une vulve rasée monta et descendit en rythme.D'autres prient sa place. Ensuite, un petit anneau serré m'enserra et je reconnus la courbe du dos de Christelle, un sexe trempé se frottait sur ma jambe. En apothéose, maman plaça ses pieds de part et d'autre de mes hanches, et une main guida mon sexe vers ses reins. Elle s'encula elle même avec un frisson. Sa chatte fournie s'ouvrait , dévoilant une fente humide et ouverte. Dans cette position, je voyais mon sexe disparaître dans petit puits obscur. La mère de famille coincée avait disparu au profit de la gourgandine échevelée qui s'empalait avec des cris de plaisir. Choyé par des chairs tendres, mon sexe libéra sa semence dans ce cul si doux.

Le lendemain,je me réveillais au milieu de corps nus étendus autour de moi. Après mon éjaculation, elles ne s'étaient pas calmées, continuant leurs caresses douces et les leurs baisers. Katia leva la tête dans la lumière du petit matin. Elle désigna mon érection du regard. Je lui fis un signe négatif. Aujourd'hui, tout serait pour Sara. Je me levais et sortit Suzy. Elle frissonnait, l'humidité du matin lui donnait la chair de poule. Ses seins pendaient, à la verticale, comme des mamelles fines. Quand elle se fut soulagée, je lui urinais dans la bouche. La maisonnée était en éveil lorsque je rentrais. Maman et Maria préparaient le petit déjeuner et une bonne odeur de café et de petits pains chauds s'élevait dans la pièce. Suzy fila vers sa gamelle. Je m'assis en bout de table, et tout le monde me rejoignit. Maria et Katia disparurent dans l'escalier peu après. Dix minutes plus tard, Sara fit son entrée. Elle portait un filet de laine, qui la laissait voir, surtout que des boucles soutenaient ses seins. Au lieu de son habituelle culotte de coton, elle portait un string blanc bordé de dentelles, avec un porte jarretelles blanc et des bas fins de même couleur. Son maquillage était discret, simplement ses lèvres étaient peintes de rose et un discret fard à paupières d'un ton plus soutenu illuminait ses yeux. Elle sourit timidement.

-Veux tu nous rejoindre? Demandais-je.

-Oui, je veux vous rejoindre.

-Tu sais ce que cela signifie?

-Prenez ma bouche, mon sexe et mes fesses, que je sois une des femmes de cette maison.

-Viens déjeuner.

Elle s'attabla et picora quelques miettes. Elle avait peur.

Je m'installais dans mon fauteuil. Je lui fis signe d'approcher. Elle sortit mon sexe du jogging que je portais et y mit les lèvres. Elle embrassa le gland puis emboucha l'ensemble. Elle fut secouée d'un haut le coeur. Je lui caressais la tête, alors qu'elle reprenait sa respiration. Elle reprit sa fellation, hésitante. Je me levais et lui bloquais la tête des deux mains. Je commençais à aller et venir, sans trop m'enfoncer, elle ne mordait pas , mais sa bouche était inerte. Toutefois, grisé par le pouvoir, je vins dans sa bouche. Elle avala tout. Je la relevais ,et d'un baiser, aspirait une de ses larmes. Je la gardais près de moi, sur le vaste accoudoir du fauteuil. Je la caressais longtemps, sans passer la main dans son string. Puis je m'installais dans mon fauteuil.

-Aujourd'hui, c'est ta journée. Tu es dispensée de travail. Dis-je.

Les femmes et les hommes partirent vers les tâches que je leur avais assignées. Je restais dans la pièce, et montais sur mon ordinateur portable la séquence que nous venions de vivre. Sara ouvrit de grands yeux en se regardant la bouche ouverte par mon sexe sur le petit écran.

-J'étais bien? Demanda -t'elle

Je souris. Elle avait encore beaucoup à apprendre pour arriver au niveau de Christelle et Magalie, mais sa bonne volonté était manifeste.

-Tu te débrouilles bien. La rassurais-je.

La table du midi desservie , je la fis s'allonger sur la nappe. Relevais la robe, et lui tirais son string. Sa fente, apparut , luisante, sous un petit buisson. Elle s'était épilé le sexe. Je caressais le mont de Vénus bombé de la jeune fille. Du pouce, je flattais le tendre clitoris, qui se dressa ,sortant de sa petite peau. Elle haletait doucement sous la caresse , puis se tendit, secouée de plaisir. Je me plaçais entre ses jambes écartées, et entrais jusqu'à sentir une résistance. Je la regardais dans les yeux et d'une seule poussée, l'arrachais à l'enfance. Elle eut un gémissement de douleur, mais noua ses mains dans mon dos. Sa chatte était étroite et brûlante. Je la pistonnais un moment , avant de lâcher ma semence dans ce ventre tout neuf. Je me relevais.

Ma bite encore à demi érigée était enduite de sperme, de cyprine et de sang mêlés. J'allais me faire nettoyer par Suzy, tandis que Maria calinait sa petite dernière et lui essuyait le sexe avec une serviette. Je remarquais que Sara marchait les jambes légèrement écartées. L'après midi passa tranquillement, tandis que je passais du temps à annoter une carte d'État major.

Le soir venu, tous étaient rassemblés dans la pièce, autour d'un matelas recouvert d'un drap rouge. Sara, qui ne portait plus que ses bas, se mit à quatre pattes sur le matelas. Je lui introduisis la petite poire à lavement dans l'anus et la pressait. Je me huilais le sexe et posais mon gland sur son petit trou. Je pesais sur son orifice qui ne me résista guère. C'était incroyablement étroit. Grâce à l'huile, je coulissais bien, mais son rectum était très serré. À entendre ses cris, il devait être sensible également, mais elle ne se dérobait pas, acceptant le viol de ses reins avec soumission. Elle qui avait vu toutes les autres subir le même traitement, elle savait à présent la sensation éprouvée lors d'un enculage profond. Ses petites fesses rondes s'ouvraient, laissant voir son anneau disparaître ou au contraire saillir selon mes mouvements. Avec un grognement, je jutais dans ce nouveau trou. Elle cria de nouveau. Je sortis et vis l'anneau se resserrer immédiatement. Sara se redressa sur ses genoux, et passa son majeur droit sur son anus.

-N'allez pas voir Suzy, dit elle. Je vais le faire.

Elle prit mon sexe dans sa bouche et je sentis sa langue agile me nettoyer. Je lui caressais la tête. Elle souda ses lèvres autour de mon sexe. Le premier jet la surprit, mais elle le but. Je me libérais petit à petit. Lorsque la dernière goutte fut sortie, elle me prit le sexe en main et le recalotta délicatement. Je la relevais et l'embrassais profondément.

-A présent, elle est à vous pour un soir. Dis-je en la repoussant vers les autres.

Les femmes attirèrent Sara sur le matelas rouge. Elle la caressaient , lui suçaient les seins, l'embrassaient dans le cou et sur la bouche. Katia se colla à son entrejambe et la lécha longuement. La petite jouissait sans arrêt, elle accueillit Kévin entre ses jambes avec langueur, et gémit de plaisir quand il la prit. Bernard but son urine à même le matelas, avant d'éjaculer sur ses seins. Maman lui prépara l'anus avec son expertise délicate. Enfin, Ernesto l'encula à plat ventre, et elle couina tout du long. Elle était éreintée, et je me rapprochais pour la relever.

-Bienvenue dans le monde des grands, dis-je.

Elle tremblait comme une feuille. Elle arborait des cernes bleues sous les yeux.

-Tu es épuisée. Dis-je. J'avais prévu de te prendre dans la chambre avec moi, mais je ne veux pas baiser un corps inerte. Ta mère va te remplacer.

Maria poussa un petit cri ravi. Avec son air toujours content et ses cheveux poivre et sel à présent qu'elle ne se teintait plus, j'en arrivais à oublier qu'elle restait une femme, avec des désirs inassouvis. Elle me précéda avec des regards par dessus son épaule dans l'escalier. À peine arrivés dans la chambre, elle me prit en bouche et lorsque mon sexe fut bandé, elle se plaça au bord du lit et écarta largement ses cuisses grasses, dévoilant sa toison abondante et désordonnée. J'écartais sa pilosité pour la pénétrer et peu après, elle criait son plaisir. Sur une impulsion de moi, elle se plaça les fesses en arrière, le visage sur le matelas et ses longs cheveux noirs et blancs en étoile autour d'elle. Je lui pris l'anus doucement, tandis qu'un long râle extatique lui échappait. La sensation était bonne. C'était plus large que sa fille mais moins offert que Maman. C'était bon, juste ma taille. Je la pistonnais un long moment, jusqu'à ce qu'elle prit un plaisir qu'elle qualifiait de "sale." Cette capacité à jouir du cul lui faisait honte, bizarrement. Aussi veillais je à lui donner un orgasme anal à chaque fois. Je l'avais prise et elle tourna vers moi son corps massif.

-Je vais vous nettoyer. Dit elle.

Elle fit son office, puis me regarda.

-Vous avez encore envie?

-Je ne reconstitue pas les réserves aussi vite. Répondis-je.

-Pas de ça.

Je compris. J'avançais mon sexe flasque jusqu'à ses lèvres. Elle ajusta sa bouche. Je lui inondait la gorge, et elle but mon urine avec un frémissement.

-Merci, dit-elle. Vous ne me le faites jamais.

Je hochais la tête. Voilà la vraie soumission, ne pas subir un traitement dégradant était vécu comme une punition. Au coeur de la nuit, je me réveillais. J'écoutais le silence de la maison quelques instants. Le détecteur de mouvement dans la plaine ne détectait rien. C'était juste un rêve confus qui m'avait tiré des bras de Morphée. Maria dormait sur le côté, me présentant son large fessier, un peu tombant. Je hasardais un doigt et sentit le trou du cul dans son petit nid de poils. Je mis quelques gouttes d'huile sur mon index et mon majeur. J'entendis la respiration de Maria changer. Elle ne dormait plus, mais restait passive. Mes deux doigts entrecroisés explorèrent son rectum. Je repliais un peu ses jambes et la pénétrais doucement. Elle émit un soupir, mais ne bougeait pas. Je commençais mes va-et-vient dans son trou passif. Je lui arrosais le colon, puis m'essuyais sur sa cuisse. Et me rendormit. Au matin, une sensation humide me tira délicieusement du sommeil. Maria me suçait. Je la laissais ingérer mon sperme. Elle se leva.

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