Mon Apocalypse à Moi 12

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Le dressage de notre monture continue.
1.9k mots
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Partie 12 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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12

J' attachais Tania solidement. Il ne fallait pas qu'elle bouge. C'était Sylvie qui m'avait donné l'idée. À présent que la monture des enfants trottait correctement, il lui fallait des rênes. Un mors était compliqué à fabriquer. J'en avais bien vu,avant, quand internet fonctionnait encore, mais le réseau ne marchait plus, et les commandes devaient avoir du mal à arriver. L'idée de Sylvie était toute simple. Fixer des oeillets derrière les commissures des lèvres de Tania et y passer des anneaux. Ainsi, le risque de déchirure était limité, et diriger possible. Maria avait cousu une selle, en cuir, avec des sangles ventrales serrables pour y asseoir le cavalier. Des étriers souples complétaient le harnachement. Pour la tête, un ensemble de lanières feraient le job. Depuis un mois que je la dressais, Tania commençait à bien obéir. Mais elle était toujours contrainte. Malgré les coups, les viols, les courses au bout de la longe et le fait de dormir dans le foin souillé de ses déjections, Tania était encore humaine. Elle n'avait pas le regard vide de Suzy, qui ne se comportait pas comme une chienne, mais était une chienne. Avec un corps de femme. Je ne pouvais pas laisser les enfants jouer avec une créature qui risquait de se révolter. Il fallait briser son esprit pour en reconstruire un autre. En attendant, je plaçais la pince à deux centimètres derrière la commissure gauche. J'appuyais et un cri hystérique sortit de la gorge de Tania. Je retirais la pince. Un peu de sang coulait, mais l'oeillet était en place. Lorsque j'approchais la pince de la commissure droite, elle tira de toutes ses forces vers l'arrière. Mais elle était solidement liée et j'introduisis l'outil. Le second oeillet fut fixé. Elle hurlait sa douleur sans discontinuer, tentant d'agiter la tête pour se soustraire à la souffrance. Passer les anneaux par les commissures fut un jeu d'enfant. Je les sertis d'un léger coup de marteau.

Pris d'une inspiration subite, je lui enlevais l'anneau qui lui tenait la bouche ouverte.

-Pitié. Gémit elle.

-Enfin, Tania, tu es agaçante, répondis-je. Tu es un poney. Je t'entraîne sans arrêt depuis des semaines, et tu continues à faire ta mauvaise tête.

-Je fais tout ce que voulez.

-Mais pas de ton plein gré. C'est toujours une contrainte. Regardes Suzy, elle est contente,elle. Je vais essayer autre chose.

Je l'attachais dans son écurie, très serrée de nouveau. Et la bloquait à quatre pattes. Le soir, je regardais, dans ma chambre, ce que ma caméra espion avait enregistré.Cela ressemblait à de petits jeux de chiens vicieux, mais c'était une sévère violation de la règle première; on ne touche pas aux enfants.

Et en plus, c'était un abus de pouvoir. Je donnais le pouvoir. Je donnais les privilèges. Je distribuais récompenses et sanctions. Et là, ça allait piquer. Je descendis rapidement. Les filles se tournèrent vers moi avec surprise. Elles étaient en train de préparer la pièce pour la nuit. Les matelas occupaient déjà une grande partie de la place. Je leur dis d'appeler les enfants. Je plaçais Farida à côté de moi. Je lançais la lecture. Les images, montées par mes soins, étaient impressionnantes. Surtout que par la magie du montage, Farida semblait prise de frénésie sexuelle. Il n'y avait pas de son, et le silence dans la pièce était glacé.

-Ceci est un montage de ces trois derniers jours. Annonçais je. Mais l'infrarouge n'a pas fonctionné.

Je tournais mon regard vers Farida.

-Je suis très déçu. Tu abuses du pouvoir que je t'ai donné. et tu n'as pas demandé d'autorisation.

Elle ne disait rien, tétanisée par la peur;

-Qu'est-ce que tu as à dire?

- je ne sais pas.

-Tu as abusé de ton autorité. Tu la perds ce soir. Poses ton fouet sur la table. mais tu vas être punie. Enlèves ta robe.

Elle passa sa robe par dessus sa tête. Elle avait un corps menu, avec des petits seins qui pointaient je lui laissais sa culotte.

-Mets toi sur la table.

Elle se pencha en pleurant sur la table. J'aperçus son anus entre ses fesses.

-Pas comme ça, allongée à plat sur la table.

Je me redressais, avec une cravache à la main.

-Tu vas avoir trois coups de cravache.

Et je précisais.

-Chacun.

Je cinglais ses fesses, ses cuisses, et son dos. Je passais le fouet à Kévin, avec instruction de bien frapper en travers, sans chevaucher les marques entre elles. Les coups de fouets se suivaient avec régularité, sans un mot des bourreaux et ponctués des cris et des pleurs de Farida.

Après la séance, je l'examinais. Des épaules aux mollets, sa peau était marquée de traits rouges. La peau n'avait pas craqué, mais la brûlure de ce traitement allait l'accompagner plusieurs jours. Farida baissait la tête.

-Tu as de la chance que je te garde,dis-je. Et la punition a été clémente, tu es une enfant.

- Merci monsieur. Dit-elle.

-Tu arrives à la puberté. C'est normal que ton sang bouillonne. Tu ne dois pas te comporter comme ça avec les autres enfants. Tu peux te caresser toi même, mais c'est tout. Je veux que quand le temps sera venu, je sois ton professeur.

Elle hocha la tête.

-Quand tu auras quinze ans, tu pourras assister à ce que font les grands. Ajoutais-je. Comme le fait Nadia aujourd'hui.

Elle acquiesça.

-Allez vous coucher, les enfants. Dis-je. Il est tard.

Je regardais les femmes.

-Puisque Farida s'est mise hors jeu, il faut une responsable de la maison. Je ne veux pas avoir à m'en occuper. Je désigne maman. Après tout, à la base, c'est chez elle,ici. Je lui donne Maria et Katia pour l'assister. Sylvie, tu es responsable du jardin, et tu as Aurélie et Christelle pour t'aider. Séverine, tu veilleras sur les animaux. Priscilla, tu seras de garde avec Kévin. Tu pourras t'habiller dans le château d'eau. Ernesto, tu es en charge de ce qui tient debout, à toi de l'améliorer et le maintenir, je te donne Bernard. Si je constate de nouveau que vous avez des rapports en journée, vous allez être très sévèrement punis. Le sexe se pratique ici et sur mon autorisation.

Les deux fautifs étaient gênés.

-Bernard, déshabilles toi, ordonnais-je.

Il se mit nu. Je le fis asseoir, puis les filles passèrent à tout de rôle lui uriner dans la bouche. Sa main glissa vers son sexe mais je lui cinglais le bras avec ma badine. Il arborait une érection impressionnante, à la fin du passage des quatre filles. Je fis mettre Kévin à genoux devant lui et Bernard dut sucer le jeune homme. Celui-ci rendit les armes rapidement, excité par l'incongruité de la situation. Je dis à Bernard de garder le sperme en bouche et de le poser dans la main de Sylvie. Sylvie lui barbouilla la face de sperme. Puis j'appelais Suzy. Elle vint, croyant sans doute avoir du nettoyage à faire. Je la plaçais derrière et lui attachais un gode ceinture. Suzy léchait le cul de Bernard , ayant sans doute compris ce qui allait arriver. Bernard frémit de tout son être quand l'objet en plastique se mit à le défoncer. Les mitaines et les mains de notre chienne lui griffaient les épaules et elle s'agitait avec ferveur. Je la fis descendre du maso qui transpirait une sueur aigre. Il bandait toujours.

-Suce le , Maria. Mets toi à genoux ,Bernard. Quand il lacheras, gardes tout dans la bouche et craches lui à la gueule.

La grosse portugaise n'avait aucun talent pour la pipe, mais elle serrait fort et bougeait vite. Cela donnait une sorte de branlette humide. Bernard lui inonda la bouche et elle lui cracha un mélange de sperme et de bave sur la face. Ernesto se déshabilla à son tour et dut nettoyer de sa langue le visage de Bernard. Ernesto était profondément vexé, et son sexe restait pendant. Il s'acquitta pourtant de sa tâche sans rechigner. Moi, par contre, j'étais bien dur. Je fis mettre Aurélie sur le coussin et la pénétrais. La petite grosse était toute bronzée, et plus tonique qu'avant. Sylvie ne la ménageait pas, et le travail lui modelait le corps. Je me plaçais ensuite sur son petit trou et la prenais tranquillement. Bien que son ouverture se soit adaptée avec le temps, le reste de son cul était toujours aussi serré. Priscilla était également serrée, mais elle contractait son corps pour donner cette impression. Aurélie était serrée car elle n'aimait pas ça. À vrai dire, Aurélie préférait les jeux saphiques. Mais une gouine peut être défoncée comme une autre. Je vins dans son cul soumis. Ernesto avait fini son lavage. Je lui ordonnais de boire l'urine de Bernard et allais me faire nettoyer par Suzy. Aurélie fit de même.Suzy lui lécha le cul avec enthousiasme. Je remarquais que.notre chienne s'agitait, se frottait l'entrejambe.

Je me mis derrière elle et lui introduisit deux doigts dans la chatte. Je fis aller et venir rapidement ma main et elle jouit, larguant un petit jet et un pet tonitruant qui fit vibrer son plug

-t'es dégueulasse, dis je, en lui faisant sucer. mes doigts.

Elle me sourit, avec ses grands yeux vides.

Je montais me coucher avec Katia. La moldave avait une vocation de balance, et elle me renseignait sur les rapports dans la maison, aidant à maintenir l'ordre. En plus, bien dressée, c'était un très bon coup, sachant quand être passive et quand prendre l'initiative. Elle se mit cambrée quand je la réveillais au milieu de la nuit. Je lui pris le cul vite fait, et elle n'émit pas un son, juste de profondes respirations, pour ne pas réveiller la maisonnée. Ce n'était pas la peine de la contraindre, elle acceptait tout sans jamais protester. Il fallait juste lui dire qu'elle était une bonne pute. Alors, elle se rengorgeait avec fierté. J'aurais bien aimé causer un peu avec ce Boban, il avait fait du super boulot.

Je menais Fanny, qui titubait de fatigue, auprès de Séverine.

-Alors? Demandais-je.

-Il est prêt. Il y en a une qui a le sexe gonflé. Je l'ai isolé. Répondit la bergère.

-Super.

Je conduisis Tina dans un cadre de bois. Elle lançait des regards affolés dans tous les sens. Le bouc s'agitait de plus belle. Séverine frictionna le sexe de sa brebis avec une serviette éponge et fit de même sur le sexe de Tina. Le bouc fut amené derrière sa partenaire du jour et posa ses sabots sur le cadre en bois. Tina hurlait de terreur, puis de douleur lorsque l'animal commença l'accouplement. Le bouc n'est pas un amant endurant, mais le sexe de Tania dégoulinait d'une substance crémeuse.

Je fis faire le tour du hameau à Tina, qui pleurait toujours. Je lui fis boire une petite bouteille d'eau. Puis la ramenais à l'enclos des moutons, elle voulut résister, mais, de l'Aiguillon électrique je la plaçais dans le cadre. Cette fois ci, le bouc n'eut pas besoin d'un guide olfactif. Il s'accoupla tout de suite. Séverine me souffla que le bouc pourrait baiser jusqu'à épuisement, mais que c'était mauvais pour lui. Je ramenais Tina dehors. Suzy approchait. Je laissais la chienne la nettoyer, ce qui ajoutait encore à l'humiliation, car Tina passait de grands coups de langue gourmands.

Je menais notre poney en devenir jusqu'à son écurie. Là, je lui posais ses rênes, avec des anneaux prit dans le anneaux qui dépassaient de sa bouche. Je lui enlevais son bâillon. Elle bredouillait des mots sans suite. Je consacrais l'après midi à Ernesto, qui avoua m'en avoir d'abord voulu avant de comprendre que je voulais que tout se passe au mieux.

-C'est bien. Dis-je, et je lui posais sa tête sur mon épaule.

Je sentis son soulagement. Je compris.

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Anonymous
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2 Commentaires
DesonrageDesonrageil y a plus de 5 ansAuteur
Oups

En effet. Désolé, je vais tenter d´y remédier.

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Toujours aussi intéressant

Le dressage de Tania continu, il a donc décidé de la faire saillir par le bouc pour la briser définitivement.

Par contre je ne suis pas sur d'avoir bien compris des agissements de Farida. Elle faisait des attouchements à caractère sexuel sur les autres enfants ?

Attention aux mélanges dans les prénoms, à un moment, Suzy devient Tina et Tania devient Fanny

OlivX

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