Mes 2 Voisines 04

Informations sur Récit
Soirée dans un bar lesbien avant d'être punies.
1.2k mots
4.45
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Partie 4 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/05/2022
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Assas78
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Maîtresse Sophiane décide de nous emmener le samedi suivant dans un bar lesbien, fière d'avoir deux soumises à ses pieds.

Le vendredi soir, à peine rentrée chez ma Maîtresse, elle m'emmène en voiture sans me dire où nous allons.

Nous nous rendons dans un appartement, en fait un magasin discret, situé en étage d'un bel immeuble. Nous sommes accueillies par une femme au regard autoritaire qui ne laisse pas de doute sur son caractère dominateur. Les deux femmes se connaissent bien.

- Tu es encore habillée? A poil, dépêche toi si tu ne veux pas être punie en public.

En effet, nous ne sommes pas seules dans ce magasin, plusieurs femmes me dévisagent, surtout quand elles s'aperçoivent que je suis nue et intégralement épilée sous la robe très courte que j'enlève.

La femme qui nous a accueillie ne s'embarrasse pas, et vient passer un doigt dans ma fente, je baisse les yeux en signe de soumission.

- Elle est déjà mouillée, votre chienne. Voulez vous que je la corrige maintenant.

- Attendons un peu, cela lui ferait trop plaisir de s'exhiber.

Ma Maîtresse commence à bien me connaître et se doute que d'être punie en public va m'exciter, surtout qu'il me semble que la porte de l'appartement est ouverte et que de nouvelles clientes peuvent rentrer.

Ma Maîtresse se décide pour un blazer sobre qui descend au ras des fesses, fermé par un seul bouton, laissant mes seins découverts aux trois quart.

- Cette chienne est encore vierge du cul et je souhaite un rosebud suffisamment lourd pour augmenter ses sensations avant de lui faire perdre son pucelage.

Un certain nombre de rosebud lui sont présentés et elle choisit le plus lourd.

-Vous permettez, je vais lui essayer, demande la vendeuse.

- Debout, courbée en appui sur un fauteuil, je présente mes fesses devant tout le monde.

- En effet, elle est très serrée et a besoin d'être élargie avant d'être enculée, surtout si vous choisissez un strapon de bonne taille.

Elle plonge le rosebud dans ma chatte pour mouiller l'objet et m'exciter avant de faire des allers retours entre chatte et anus pour forcer petit à petit jusqu'à ce que cède ma corolle cède et accepte l'intrus

Je suis rouge cramoisie de me faire ouvrir devant les autres clientes qui se sont rapprochées de nous pour ne rien perdre. Impossible de cacher mon excitation, ma chatte est ouverte et coule sans retenue.

- Et réceptive en plus, la chienne. Une bonne correction est nécessaire.

Une fois encore ma Maîtresse laisse cette femme me caresser les fesses avant de les cingler à la cravache.

Des gémissements de douleur et de plaisir. Je suis devenue une chienne en rut permanent et masochiste.

Sous prétexte de ne pas salir ma robe, je ressors avec le blazer et mes hauts talons jusqu'à la voiture. Difficile aux personnes un peu attentives que nous croisons de ne pas se rendre compte que je suis nue en pleine rue, sous le blazer.

Comme prévu, le samedi soir notre Maîtresse emmène ses deux soumises dans un bar privé lesbien où elle a ses habitudes. A notre arrivée, Maîtresse Sophiane m'enlève ma veste, ma tenue attire tous les regards. Je porte un redresse seins minimal en cuir, et un micro short ouvert à l'entrejambes laissant l'accès libre à ma fente et à mes fesses, montrant à toutes que je porte un rosebud de bon calibre, bas et hauts talons. Les mains de Léa et les miennes sont attachées dans le dos et Maîtresse nous dirige avec les laisses attachées à nos colliers.

Toute la soirée, les lesbiennes présentes ne se privent pas pour nous caresser ou claquer les fesses, des doigts inquisiteurs s'insinuent entre mes cuisses et mes tétons sont tirés, pincés , tordus, ... certaines allant jusqu'à jouer avec le rosebud pour apprécier l'élasticité de ma corolle.

Plusieurs fois dans la soirée, je remarque le regard d'une superbe femme noire d'une cinquantaine d'année qui me regarde avec insistance. Habillée d'une robe noire très simple, sans aucun signe extérieur de ce milieu, il émane d'elle une supériorité de grande classe. A chaque fois, je baisse les yeux pour lui montrer mon obéissance et ma soumission. Elle me trouble et je ne sais pas encore que je vais bientôt la revoir.

J'espère qu'elle vienne me toucher ou qu'elle s'approche, mais nous partons précipitamment, car Léa a un comportement qui déplait à notre Maîtresse. Elle montre de la mauvaise humeur par rapport au succès de ma tenue et notre Maîtresse est furieuse.

Au moment du départ, je suis pris d'un doute. J'ai cru voir ma fille au bout du bar dans les bras d'une autre femme plus âgée qu'elle. J'essaye à nouveau de voir si je n'ai pas eu une vision, mais je ne la vois plus. J'espère m'être trompée et qu'elle ne m'a pas vue dans cette tenue indécente, tenue en laisse.

La fin de la soirée, une fois rentrées va être compliquée.

Soumise Léa n'a pas le temps de réagir quand notre Maîtresse l'attache par les bras à l'anneau du plafond, les jambes écartées avec juste le bout des pieds touchant le sol. Son soutien seins est arraché ainsi que son micro string.

- Je vais te corriger et t'apprendre à te passer de tes caprices et de ta mauvaise humeur.

- Elle revient avec le fouet à lanières très fines, celui qui fait le plus mal.

- Et puisque tu es jalouse de Nathie, c'est elle qui va te corriger.

- Maîtresse me tend le fouet et me donne l'ordre de fouetter Léa.

- Ne t'avise pas de faire semblant et de l'épargner. Si elle ne crie pas, tu en recevras le double.

- Je n'ai pas le choix, je fouette Léa en tournant autour d'elle. Je suis prise d'un sentiment malsain, je n'ai qu'une seule envie c'est de lui faire mal et de l'entendre crier. Je frappe sans épargner les seins, sa chatte, sa raie, l'intérieur de ses cuisses, partout où je sais qu'elle va avoir mal. Ses cris résonnent dans la maison et m'excitent. Quand notre Maîtresse me stoppe, je réalise ce que je vienne de faire et je tombe à genoux devant Léa, j'ai honte.

- Pour humilier un peu plus Léa Maîtresse me félicite et me demande ce qui me ferait plaisir pour me récompenser. J'ai tellement honte que j'ose demander à ce que Léa puisse à son tour me fouetter encore plus fort pour me faire pardonner.

- Puisque c'est ce que tu veux, tu vas être exhaussée.

Léa est détachée et c'est moi qui suis attachée et offerte au fouet. Je vois dans ses yeux son envie de vengeance et les premiers coups sont si forts que j'en ai le souffle coupé. Léa, elle aussi, choisit les endroits les plus sensibles et très vite je ne sens plus rien. Je ne peux me retenir et je sens que a vessie se vide, je ne me maitrise plus.

Quand je reprends conscience, je suis dans les bras de Léa, par terre et Léa me tamponne d'eau froide les marques. Elle me regarde avec tendresse et nos bouches se trouvent pour un baiser comme deux amoureuses, nos langues ne cherchent plus, elles s'enroulent et parcourent la bouche de l'autre. Je n'hésite plus à laper sa chatte, à aspirer son clitoris et à le mordiller, à aller le plus loin possible pour entrer ma langue dans sa corolle et gouter à son amertume. La pièce résonne à nouveau de nos cris mais ceux ci sont des cris de plaisir et de jouissance. Désormais nos devenons inséparables dans le plaisir et dans la douleur.

Je lui promets de lui obéir quand elle me le demandera, au risque d'être punie sévèrement.

Assas78
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  • COMMENTAIRES
3 Commentaires
Assas78Assas78il y a environ 2 ansAuteur

@Rudy

Elle n'en est pas sûre. Et moi non plus !!! Nous le saurons peut être prochainement ...

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Tous les chapitres sont d'une intensité de plus en plus forte ! Bravo.

Mais était-ce sa fille dans le bar lesbien ?

Rudy

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