Mes 2 Voisines 03

Le lundi soir en rentrant, j'ai envie de m'arrêter devant la porte de mes voisines, même si cette visite peut me valoir une fessée magistrale. Je suis déjà en manque. Comment cela est possible d'avoir changé aussi vite, à moins que ce soit mon vrai caractère que cette Maîtresse m'a révélé.

Je rentre chez moi, sachant que cela va être difficile de cacher ma nudité sous mes robes et mon sexe totalement épilé aussi bien à mon mari qu'à ma fille. Une simple jupe qui remonte en s'asseyant dans le canapé, un croisement de jambes ou rester assise les cuisses entre ouvertes, sans parler de la douche, ne m'étant jamais caché de mon mari. Combien de temps je vais arriver à rester une petite bourgeoise comme il faut?

Ces premières semaines se déroulent normalement même si une certaine gêne s'est installée entre mon mari et moi. Mon mari est toujours aussi absorbé par son travail rentre fatigué le soir, quand il n'est pas en voyage y compris parfois le samedi.. Il n'est plus demandeur de relations depuis longtemps et moi aussi désormais, ce qui change.

Décidée à assumer, je ne me cache pas plus dans la salle de bain. J'espère que mon mari va me poser des questions. Il n'a pas pu ne pas voir mon sexe nu mais il ne dit rien y compris quand il est rentré plus tôt que prévu samedi dernier et que j'étais chez ma Maîtresse.

Notre fille passant le week-end chez une amie, je décide de lui parler au petit déjeuner. Il ne semble pas surpris quand je lui dis que j'étais chez nos voisines.

Je sais, me dit il. Je t'ai vue par la fenêtre de leur salon, tu étais nue à genoux et l'une des deux te fessait. Il y a quelques semaines, quand tu m'as montrée que tu t'épilais intégralement j'ai pensé que tu avais un amant. Mais très vite, j'ai aperçu des zébrures sur tes fesses et j'ai compris que tu avais une relation particulière avec nos voisines. Je t'ai épié plusieurs fois.

D'un commun accord, pour épargner notre fille, nous décidons de ne pas divorcer. Mon mari va demander une mutation à l'étranger comme il en avait toujours eu envie.

Dès le lendemain matin, j'annonce cette nouvelle à ma Maîtresse en allant me présenter chez elle avant de partir au travail.

- C'est parfait, tu vas pouvoir m'appartenir sans retenue. Je t'attends vendredi soir pour tout le week-end. Tu viendras ici sans repasser chez toi. Je vais en profiter pour te dresser un peu plus fermement pour devenir une chienne. Et pour commencer ce matin, à genoux sur le canapé, fesses bien cambrées, je vais te marquer les fesses à la cravache avant de partir travailler.

Les derniers coups de cravache sont appliqués sur la face interne des cuisses. Je ne peux m'empêcher de pousser gémissements et cris, mais je dois avouer que j'aime cela et j'aimerais qu'elle aille plus loin pour me faire jouir, mais elle préfère me frustrer.

- Et interdiction de te faire jouir en arrivant au bureau ou dans ta voiture, tu es trempée, ça te coule le long des cuisses. Ce week-end tu vas encore l'occasion de gémir, crois moi.

En arrivant au bureau, je me sens totalement libérée. Plus aucune raison de me cacher, même si je dois rester discrète. Ma collègue de bureau et amie s'en rend compte rapidement. Elle s'était rendue compte assez vite que j'étais fesses nues sous ma jupe et je lui avais avoué que j'avais une relation homosexuelle avec une femme dominatrice.

Vendredi soir, j'ai l'interdiction de passer chez moi. Je suis obligée de me déshabiller dans la voiture avant de sonner. C'est rapide, juste une robe à enlever, et sortir de la voiture totalement nue avec mes hauts talons. Je suis libérée depuis avoir mis mon mari de mon choix de vie, je n'ai plus de crainte à être nue dans la rue jusqu'à chez ma Maîtresse. La porte est ouverte et je rentre pour saluer ma Dominatrice en lui embrassant les pieds. Elle m'attache immédiatement par une cheville et un poignet à Léa, pour nous obliger à la servir ensemble mais aussi à nous gêner mutuellement et à provoquer des accidents.

Vous allez devenir inséparables, nous dit elle avec un grand rire. A chaque erreur de l'une d'entre vous deux, je punirai les deux. Vous allez vous détester.

Je n'ai pas envie de détester Léa et je ne vois pas pourquoi. J'aime même envie de lui prouver mon infériorité et me doutant qu'elle m'en fera aussi baver. Cela m'excite d'être considérée comme une chienne à dresser.

Difficile de se déplacer attachées ensemble et de s'occuper de notre Maîtresse. Entre mes maladresses, et celles provoquées par Léa, je sais que la punition va vite arriver. Notre Maîtresse s'en amuse et n'est pas dupe. Ses deux soumises s'opposent constamment. Léa me provoque et j'y réponds immédiatement au risque d'être punie ou je devrais dire punies toutes les deux.

- Ca suffit, les deux chiennes! Vous voulez vous opposer et jouer? A genoux immédiatement, prosternez vous et offrez vos fesses.

Je m'attends que nous soyons fessées mais Maitresse revient avec une canne souple. Je sais que c'est douloureux et j'appréhende. Léa doit être habituée et ce sera plus facile pour elle. Les premiers coups de canne tombent et je n'arrive pas à étouffer mes gémissements et bientôt mes cris. Léa serre les dents et subit en silence.

- Tais toi, petite chienne. Je ne veux plus entendre tes cris, sinon je vais te marquer pour plusieurs semaines.

Les deux coups de canne suivants sont deux brulures. C'est perdu pour moi.

Ma Maîtresse me bâillonne avec un collier boule. Elle ne va plus entendre que des gémissements et des gargouillements dus à la salive qui coule de ma bouche et que je ne peux pas stopper.

- Soumise Léa, nettoie avec ta langue les saletés de ta compagne de dressage. Nettoie!

Léa me fusille du regard et nettoie ma salive sur le parquet.

- Tu crois t'en tirer comme ça? Regarde ce qui coule le long des cuisses de Léa. Cette chienne, la canne ça l'excite et la fait couler. Va lécher sa mouille et nettoie lui la chatte. Si elle jouit par ta faute, gare à vous deux.

Léa ne jouit pas, elle résiste alors qu'elle coule de plus belle et je bois à sa source allant chercher avec la langue au fond du puits tout son jus, Je mets toute mon énergie pour la faire jouir et qu'elle soit responsable de notre prochaine punition.

Mais une fois encore, je n'y arrive pas. Je dois aussi progresser à donner du plaisir à une femme.