Marie-Hélène et la Féria de Bayonne

BÊTA PUBLIQUE

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Un type passe sous elle alors que les 2 autres lui tiennent les fesses sur le bord de la table. Il lui lèche le con et toute la fente depuis son petit cul jusqu'au pubis. Non seulement la langue parcours la chatte en de longs allers et retours, mais la pointe du nez et le menton caressent aussi toute la vulve et le cul. Tout ce qu'elle a bu commence à faire effet sur sa vessie ; si on ajoute le titillement de la langue et le léchage du clitoris et du con, la voilà qui commence à pisser doucement d'abord, puis en longs jets qu'elle envoie loin devant elle.

Ce dont elle se souvient, c'est qu'elle n'a pas pu se retenir ou plutôt elle s'est retenue trop longtemps et maintenant, tenue ainsi la position d'un jeune enfant que l'on fait uriner, elle ne peut tenir davantage... Un des types qui la tient s'empare d'un verre sur la table, et le présente sous son cul. Elle remplit le verre sans problème en peu de temps, puis un autre et encore un autre... Elle pisse de façon intarissable. Je sais parfaitement cela, pour l'avoir vue pas mal de fois dans ces situations où elle ne maîtrise plus sa miction...

Après le 3ème verre, un des types qui la regarde uriner de si bon cœur, apporte carrément une casserole où elle finit de se soulager avec le bruit caractéristique de la pisse qui tombe dans un récipient métallique. Là dans cette position, les jambes ouvertes au-dessus de la casserole, les bouchons sortent un à un du trou de son cul... Ils sont très vite remplacés par la bite, longue et nerveuse d'un des mecs. Il est venu se mettre derrière elle et le dos prenant appui sur le bord de la table, s'arc-boutant ainsi il encule Marie-Hélène qui sent une douleur vive et fugitive, suivie d'une grande chaleur qui lui envahit les entrailles...

Elle sent encore, me dit-elle, la bite énorme aller et venir dans son cul, puis elle sombre complètement et ne se souvient plus de rien...

Elle refait surface un court instant, beaucoup tard. Elle entend des femmes jouir autour d'elle. C'est une souffrance aiguë qui la sort de son coma éthylique : elle sent qu'elle est prise devant et derrière simultanément par deux jeunes mecs, tandis qu'un 3ème lui fait pomper son braquemart. En même temps elle prend conscience qu'elle branle de sa main gauche la bite énorme d'un autre garçon. La douleur passée, à peine a-t-elle le temps de sentir le foutre chaud du type qui lui décharge une bordée dans son cul, qu'elle replonge de nouveau dans les bras de Bacchus...

Beaucoup plus tard, c'est le patron du restaurant et sa femme qui la réveillent le lendemain en lui apportant le café. Elle me raconte qu'elle entend à travers le peu de lucidité que lui laisse sa gueule de bois, la femme dire à son homme :

- " Regarde chéri, c'est la salope d'hier soir qui était complètement saoule... Elle est belle, non?... Elle ne te fait pas envie?..."

- "Si, elle est bien foutue... Mais tu sais bien que cette nuit tous les mecs lui sont passés dessus..."

- " Et alors?!... Justement, profites-en, un de plus ou de moins... Je sais tu en as envie! Les salopes ivres ça t'excite! Tu ne vas pas passer à côté de ça? Après la nuit de travail que nous avons passé, cela te fera du bien... Et moi ça m'excite de savoir que tu bandes pour elle!"

- " Tu crois?... C'est vrai qu'elle me fait bander la garce, avec sa chatte ouverte et ses beaux seins..."

- " Oui, chéri, défais-toi le pantalon, je vais te branler comme tu aimes en te passant ta belle bite dans la fente de la jolie putain..."

- " Tu crois qu'elle va être d'accord?..."

- " Mais chéri, tu vois bien qu'elle est encore bourrée!... Elle ne s'en apercevra même pas! Et puis même, ça lui fera du bien, ça va la branler aussi en même temps... Aller chéri, je te sors la bite..."

Marie-Hélène s'éveille peu à peu. La tête lui cogne comme un tambour. Elle a du mal à entrouvrir les yeux. Elle distingue un type très costaud qui se tient dace à la table où elle est allongée. Puis elle voit la patronne qui sort du slip du gars, un vit énorme, très long et d'un diamètre hors du commun. D'abord, elle suce le gland pour l'humecter. Elle a du mal à le rentrer dans sa bouche tant le membre est démesuré. Puis elle l'amène entre les jambes écartées de Marie-Hélène. Elle commence à passer le gland sur toute la longueur de la fente, du clito à la rosette, en un lent va et vient. Marie-Hélène sent la tête de la bite lui frotter le clitoris puis lui écarter complètement les petites lèvres du con, se présenter au trou sans y pénétrer, puis aller dessous caresser l'œillet qu'il distant au passage, avant de remonter de nouveau vers le haut de la fente. La vulve lui fait mal après les turpitudes de la nuit et cette caresse faite par l'énorme engin du patron lui fait beaucoup de bien et calme sa douleur. Elle en retire du plaisir...

La patronne intensifie le manège et appuie davantage le bout du vit dans toute la fente, forçant la caresse... Marie-Hélène sent qu'en même temps la femme le branle. Elle sent le gland devenir se durcir et d'échauffer. Elle perçoit aussi que la patronne branle son propre entrejambe de l'autre main.

Là, Marie-Hélène suspend son récit un instant, comme si elle revivait la scène et ressentait toutes les caresses et toutes les émotions. Je ne questionne pas, j'attends qu'elle poursuive d'elle-même. Je sais qu'il faut la laisser dire sans questionner. Après un temps elle dit comme si elle s'excusait :

- " Tu sais chéri, tu sais ce que ça me fait cette caresse : une bite qui passe et repasse dans ma fente surtout lorsqu'elle est énorme comme ça!... Eh bien ça me branle au plus haut point et je ne peux jamais résister, tu le sais, hein..." Bien sûr que je le sais ce que ça lui fait!... Je lui ai ça fait tant de fois! Et puis, je l'ai vue dans les situations dont je parlais se faire branler comme ça... Et je sais que cela la fait décharger comme une putain sans nom! Et là, bien sûr, elle a inondé la bite du type. D'ailleurs, me dit-elle sa femme s'en est aperçu :

- " Oh chéri tu vois, ça la fais jouir la coquine! Tu vois que tu lui fais du bien! La garce t'arrose la pine! Attends que je te suce pour récupérer sa liqueur?..."

Elle embouche le gland du vit et le suce. Elle remplace dans la fente la bite du type par sa main qu'elle enfile au trou distendu du vagin de Marie-Hélène, qui décharge de plus belle... Le type part à son tour :

- " Oh putain, c'est bon, tu branles bien et la cochonne m'a eu le foutre!... ". La femme renchérit le moment :

- " Oui chéri, vas-y arrose lui bien le ventre à cette salope... Décharge bien à fond sur elle... Moi aussi tu me fais jouir et là, ouiiiii, je décharge aussi!!..." Le patron arrose le ventre de Marie-Hélène, les seins, jusqu'au visage, en longues bordées d'un sperme chaud qui l'inonde sur tout le corps... La femme elle, s'affaisse aux genoux du patron, tétanisée par sa propre jouissance, tout en continuant de diriger les jets de foutre que lance le braquemart de son homme,.

Puis après un retour au calme, la femme se relève et dit ;

- " Tu vois chéri, tout le monde en a bien profité. Elle aussi... Donne-lui son café, elle l'a bien mérité. Je lui appelle un taxi. " Elle embrasse son mari et sort de la pièce. L'homme se rajuste donne son café à Marie-Hélène qui revient peu à peu à la réalité et lui dit plutôt sèchement, sans une once de reconnaissance :

- " Le taxi est là dans 5 minutes... Bois ton café et sort par derrière... Pas la peine de traverser le bar dans cet état... Salut..." Et il sort.

En apprenant cela de la bouche de ma femme, mon sang ne fait qu'un tour. Je suis sur le point de faire demi-tour et d'aller demander des comptes à ces restaurateurs maquereaux et proxénètes qui se sont servis de ma femme comme d'un vide-couilles! Cependant je me calme je me dis que cela ne servira à rien désormais...

Cet épisode de la Féria de Bayonne fut le dernier que nous ayons partagé. Je l'ai quitté deux mois après ne pouvant plus accepter ses soulographies et ses frasques. Depuis elle boit plus que jamais et je me sens coupable de ne pas avoir su la sortir de là, de l'avoir laissée s'enfoncer dans la déchéance...

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