Manon en Enfer 10

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Exhibée pendant un spectacle 1.
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Partie 10 de la série de 32 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 02/16/2022
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EXHIBEE PENDANT UN SPECTACLE 1/3

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Comme Manon s'y attendait après son expérience avec cinq hommes qui il y a quelques jours l'ont sautée en même temps et amenée trop souvent à la jouissance et après qu'ils s'en soient vantés auprès de Bernard le directeur commercial de la société qui emploie son mari et la prostitue le téléphone de la putain sonne.

- bonjour monsieur Bernard -

- la putain tu m'as mis en colère -

- je ne comprends pas monsieur Bernard, je m'occupe bien des clients que vous m'envoyez et même quand ils sont plusieurs, comme pour les cinq récemment -

- justement cela concerne ces cinq hommes, ils m'ont raconté tes exploits: au lieu de leur donner du plaisir c'est toi qui en a pris et n'a pas cessée de jouir devant eux -

- je leur ai donné le plaisir qu'ils attendaient d'une prostituée mais avec tout ce que j'ai subi je n'ai malheureusement pas pu éviter les orgasmes -

- tes excuses bidon je n'en veux pas. Je t'envoie des hommes pour te sauter et se soulager dans ton cul de putain et tu n'as pas à en profiter pour te montrer en spectacle -

- monsieur vous savez bien qu'il n'est pas facile à une femme de ne pas jouir quand elle est trop sollicitée -

- salope c'est à toi de contrôler tes émotions et de te retenir, je vais finir par croire que tu ne vaux rien et cesser de te prostituer puis mettre ton mari au chômage en lui expliquant aussi ce que tu fais derrière son dos.

- vous n'allez pas faire ça monsieur -

- si! et je lui dirais que c'est toi qui nous a demandé de l'éloigner pour pouvoir te faire sauter sans être dérangée -

La perspective de voir son couple éclater et que son mari apprenne qu'elle se prostitue effraie Manon qui montre à Bernard qu'elle lui est soumise.

- ne faites pas ça monsieur je ferais n'importe quoi pour satisfaire vos exigences, prostituez moi autant que vous le voulez et avec n'importe qui. Punissez moi si vous jugez que je fais pas bien ce que vous me demandez, j'accepte les souffrances si vous me les imposez -

- la punition est prévue et elle sera à la hauteur de ma déception. Mais à partir de maintenant tu vas te prostituer plus souvent pour t'aguerrir et mieux résister car le plaisir t'est interdit -

- bien monsieur si c'est votre décision j'accepte et pour commencer que voulez vous que je fasse concernant la punition -

- demain à dix sept heures va attendre sur la place de l'hôtel de ville en tenue de putain. Tu vas être occupée pendant plusieurs jours -

- bien monsieur j'y serais -

Manon ne demande pas d'explications, d'ailleurs Bernard ne lui en fournirait pas. L'homme coupe la communication.

Bien avant l'heure prévue Manon attend sur la place et ne passe pas inaperçue dans ses habits très seyants et osés pour se montrer dans la rue.

Un maillot blanc qui la moule sans soutien-gorge, ses escarpins assortis à très hauts talons, ses bas résilles rouges à jarretières et sa jupe rouge ultra courte qui cache à peine son string et laisse à la vue des passants le bas de ses fesses.

Il est dix sept heures trente quand un homme en livrée l'aborde.

- vous êtes la prostituée qui travaille pour monsieur Bernard -

- oui monsieur -

- venez -

Elle suit l'homme jusqu'à une superbe et grande limousine, le quidam qui doit être le chauffeur d'une personnalité importante lui ouvre une portière arrière.

- mettez vos mains dans le dos, excusez moi je fais ce que mon patron m'a ordonné -

Manon s'exécute, il la menotte puis lui met sur la tête une cagoule sans ouverture pour les yeux. Il passe la ceinture de sécurité autour de la taille de la prostituée puis va s'installer sur le siège conducteur.

La voiture démarre en souplesse puis roule pendant un long moment, aveuglée par la cagoule Manon ne sait pas où ils se dirigent.

La voiture stoppe, avant de descendre le chauffeur lui dit:

- attendez ici, je vais avertir ces messieurs de votre arrivée et vous devez savoir qu'à partir de maintenant vous allez être filmée en permanence -

- merci de me l'avoir dit monsieur mais ce n'est pas un problème, depuis que ceux qui m'ont asservie me prostituent j'ai l'habitude d'être filmée et photographiée -

Peu de temps après elle entend des pas et comprend que plusieurs personnes s'approchent, la portière s'ouvre. Des mains attrapent Manon et la sortent de la limousine puis les mains la tiennent par les bras et marchant en essayant de calquer son rythme sur celui de ses accompagnateurs elle est entraînée elle ne sait où.

Tout le monde s'arrête. On lui retire la cagoule, Manon qui était dans le noir cligne des yeux.

Elle s'aperçoit qu'elle est dans une cave au plafond en forme de voute et où il y a de nombreux anneaux fixés dans les murs et sur le plafond, des chaînes sont entassées sur le sol qui est couvert de paille. Trois hommes sont là, vêtus de tenues rouges type inquisiteurs, avec une croix blanche imprimée sur l'avant. Le vêtement descend jusqu'à leurs pieds. sur leurs têtes ils ont enfilé des cagoules rouges comportant uniquement des ouvertures pour les yeux.

Elle entend une voix caverneuse, donc déformée intentionnellement.

- retire tes vêtements, ici tu n'en n'auras pas besoin -

Pendant qu'elle se déshabille elle s'aperçoit qu'elle est filmée sous toutes les coutures le caméraman se déplace autour d'elle et se contorsionne pour avoir une meilleure vue sur les endroits du corps de Manon qui l'intéressent.

Un participant lui met un énorme et pesant collier clouté autour du cou qu'il ferme avec un cadenas puis il fixe des bracelets en cuir munis d'anneaux métalliques à ses poignets et ses chevilles puis lui met une boule/bâillon dans la bouche et attache les lanières du bâillon côté cou.

- je l'ai équipée pour tout le temps qu'elle va passer ici, maintenant pendons la -

Elle doit lever ses bras et joindre ses mains, deux hommes la soulèvent et elle se retrouve suspendue à l'aide d'un crochet passé dans les anneaux des bracelets et dans un anneau du plafond, elle ne touche plus le sol.

La caméra est fixée sur un trépied et continue à tourner pendant que les trois quidams s'en vont la laissant seule avec sa souffrance.

Les trois inquisiteurs réapparaissent mais ne la décrochent pas, elle doit ouvrir la bouche dans laquelle un homme passe un coton tige puis écarter les jambes, un long coton tige s'enfonce et se déplace dans ses parties intimes. Ensachés les cotons tige sont remis à un valet qui se tenait à l'extérieur de la geôle.

- Firmin portez ça immédiatement à Arthur dans son labo, qu'il fasse les analyses habituelles et nous disent rapidement si notre prisonnière est saine -

- bien monsieur, j'y vais tout de suite -

Un des homme fait son inspection et vérifie l'état des dents et de la cavité buccale de Manon avant d'en faire autant dans sa chatte en écartant les grandes lèvres avec ses mains gantées. Il termine par la vérification de l'anus.

- elle me semble en bon état pour une prostituée -

- si les résultats en laboratoire sont corrects nous allons pouvoir nous divertir avec elle sans arrière pensée -

Ils quittent la cellule laissant un larbin fermer la grosse porte en bois et verrouiller.

Tard dans la soirée les trois compères qui s'éclairent avec des lanternes sont de retour dans la geôle.

- les résultats sont bons tu vas pouvoir satisfaire nos envies. Mets toi à genoux et bois à la source notre nectar -

Manon obéit, gênée par le poids des chaînes elle soulève la robe de celui qui se trouve le plus proche d'elle, constatant que le sexe est à nu et que l'homme bande déjà elle caresse les bourses puis le pénis avant d'approcher son visage et de lécher avant d'enfoncer le membre dans sa bouche pendant que la robe qu'elle a lâchée retombe sur elle la cachant aux yeux des autres.

Ayant trop attendu ce moment la fellation ne dure pas bien longtemps, l'homme se raidit et sa queue tressaute dans la bouche de la prostituée qui est inondée de sperme qu'elle préfère avaler avant se sucer encore la verge pour la rendre propre.

Elle émerge de sous la robe et le même scénario se reproduit avec le deuxième homme puis le troisième. Ensuite Manon reste à genoux attendant de nouveaux ordres.

Les envies des trois inquisiteurs assouvies il sortent sans dire un mot du cachot, un serviteur y pénètre et pose devant elle une écuelle dans laquelle des morceaux de pains et quelques pommes de terre trempent dans un bouillon, comme il y a une cuillère en bois elle s'en sert.

Son repas terminé l'homme qui attendait impassible l'enchaîne et la bâillonne puis s'en va et ferme à clé la porte en bois munie d'une trappe. Manon ne sachant pas quoi faire reste debout pendant un moment puis trouvant ses chaînes trop lourdes, car elles tirent sur ses bras, elle s'allonge dans la paille attendant le sommeil gênée par les fétus de paille qui irritent sa peau.

Pendant la nuit plusieurs visiteurs se présentent dans la geôle s'éclairant à l'aide de torches, c'est d'abord deux fois un homme seul puis deux mâles ensemble. Si une fois son bâillon est retiré pour qu'elle fasse une fellation et reçoive le sperme dans sa gorge, l'homme attend qu'elle l'ait recraché sur le sol pour la réduire de nouveau au silence.

Pour les autres, deux fois elle n'a qu'à écarter les jambes et attendre que la queue qui va et vient dans sa chatte s'y soulage et une fois c'est à genoux qu'elle se fait sodomiser et qu'elle reçoit le sperme dans ses intestins.

Le matin arrive, elle se sent sale. Avec son déjeuner, composé d'un bol de café et de pain rassis, un larbin amène un seau d'eau, un savon, une éponge et une serviette.

Elle fait ses besoins sur les toilettes à la turc situées dans un angle de la cellule, la longueur des chaînes est suffisante pour les atteindre puis elle se lave.

En cours de matinée elle est débarrassée des chaînes et emmenée les poignets et chevilles menottées jusque dans une pièce où allongée sur un lit on lui met un bandeau sur les yeux pour l'aveugler, elle comprend que certaines personnalités ne veulent pas être reconnues.

Des hommes viennent la retrouver, elle fait des pipes quand des queues s'enfoncent dans sa bouche. Quand quelqu'un se met sur elle et la pénètre dans la position du missionnaire elle coopère et fait bouger son bassin en rythme avec les coups de reins qu'il donne. Elle n'oppose pas de résistance quand des bras la retournent et comprend vite qu'elle doit se mettre à genoux, prise en levrette des pénis lui défoncent la chatte ou le cul.

Ses orifices sont bien arrosés de sperme qui s'échappe de son vagin et de son fondement, coule entre ses fesses et sur ses cuisses.

Accompagnée par uns soubrette jusque dans une salle de bain puis de retour dans sa cellule elle est de nouveau pendue au plafond par les poignets, on ne vient la décrocher que pour qu'elle puisse manger et pendant un court instant. les membres douloureux elle prend son mal en patience.

Les pas de plusieurs personnes résonnent puis la porte du cachot s'ouvre, deux femmes vêtus d'habits faisant penser au moyen âge entrent accompagnées d'un soldat en armure et côte de mailles.

- préparons la pour le spectacle -

Décrochée et ses pieds touchant le sol, débarrassée des chaînes elle doit enfiler une robe longue ou plutôt une guenille qui parait sale (elle a été vieillie et salie artificiellement), elle a été déchirée un peu partout.

Elle n'a ni culotte ni soutien-gorge, profitant d'une grande déchirure du tissu à cet endroit son sein gauche apparait presque entièrement et le droit ne demande qu'à sortir car le vêtement est déchiré mais un peu moins à cet endroit.

Debout son sexe est à peine caché par les lambeaux de tissu qui retombent jusque sous les genoux mais si elle fait des mouvements ce n'est plus le cas.

On l'enchaîne de nouveau puis une corde est accrochée à son collier avant qu'on ne la tire en dehors de son cachot jusqu'à l'extérieur du bâtiment où elle est retenue prisonnière.

Là elle est remise à deux hommes déguisés en soldats revêtus d'armure, côtes de mailles, chausses et heaumes ou casques, avec une épée à la taille.

Emmenée enchaînée et bâillonnée jusqu'aux écuries, elle trébuche souvent pendant le parcours car ses lourdes chaînes entravent sa marche et les inégalités des pavés qui recouvrent le sol ne l'aident pas. Arrivée sur place elle voit un cheval attelé à une carriole rudimentaire en bois faisant penser qu'elle date d'un siècle bien ancien.

Des mains s'agrippent à ses bras, elle est jetée dans la carriole aux roues en bois. Ses chaînes sont fixées aux anneaux vissés dans les planches.

C'est escorté de quatre soldats en armures, côtes de mailles, boucliers et armés de lances, montés sur des chevaux harnachés de selles datant d'une autre époque, que le convoi se met en marche. l'homme qui dirige le cheval attelé au chariot est habillé comme un manant du moyen âge.

Pendant que la charrette roule elle reste debout et doit se cramponner pour ne pas tomber lorsque les roues de l'engin passent sur les inégalités du chemin pavé.

Dans une grande étendue herbeuse Manon aperçoit un camp composé de tentes sur lesquelles flottent des étendards, bannières et des oriflammes. Elle voit des tables et chaises en bois grossier ainsi que des d'objets divers qui font penser à un camp militaire du moyen âge.

Des soldats et des femmes déguisées en cantinières s'affairent ou sont assis et discutent.

Il y aussi beaucoup d'armes et autres objets stockés par catégories: des lances, des épées, des boucliers, des arcs et des arbalètes. Plusieurs bombardes sont exposées ainsi qu'une potence.

Le long du camp des barrières ont été installées et une centaine de personnes, hommes et femmes, y sont agglutinées. Juchée sur la carriole Manon, honteuse d'être exhibée ainsi, passe devant les spectateurs avant de bifurquer vers le centre du camp là où se trouve une grande cage faite de barreaux métalliques.

Arrivés près de celle-ci la carriole et son escorte s'arrêtent, la prostituée est empoignée par deux soldats qui la descendent sans douceur de la charrette et l'enferment dans la cage avec toujours les chaînes fixées à ses poignets et ses chevilles.

Manon comprend qu'ici va se jouer un spectacle médiéval et qu'elle en fait partie mais qu'elle ne va pas avoir le beau rôle.

Pour commencer une vingtaine de soldats à l'équipement rappelant le moyen âge ( casques, armures, côtes de maille) et en selle sur des chevaux passent au galop devant les spectateurs avant de se battre entre eux avec des épées mais sans chercher à gagner les duels.

Le spectacle se poursuit, extraite de la cage Manon toujours affublée du bâillon est hissée sur un cheval et se retrouve sur le ventre couchée en travers de la monture dépourvue de selle, les poignets et les chevilles sont reliées entre eux par une corde qui passe sous le ventre de l'animal.

Plusieurs cavaliers brandissant des oriflammes l'entourent, l'un deux saisit les rênes de son cheval puis ils se mettent en route d'abord au pas puis au galop passant et repassant devant l'assistance.

Pendant que son cheval galope Manon dans une position inconfortable est bien secouée puis elle glisse et se retrouve sous le ventre de l'animal pendant qu'ils longent l'endroit où les spectateurs sont alignés et ont une vue superbe sur ses fesses.

Les cavaliers s'aperçoivent qu'elle est dans une position délicate mais sur leurs chevaux ils continuent à avancer et passent plusieurs fois devant l'assistance qui commente ce qu'elle voit car d'autres parties du corps de Manon apparaissent quand les secousses la déplacent.

Sur les lieux une croix de Saint André vient d'être installée, elle est un peu inclinée, Manon débarrassée de sa robe en haillon doit se coller contre la croix, écarter les jambes et les bras puis pendant que des mains la soulèvent et la maintiennent pour qu'elle reste en place.

Elle se retrouve les poignets et les chevilles attachés aux poutres qui la constituent. Sa nudité n'échappe pas à l'assistance qui placée pas très loin d'elle en aperçoit suffisamment pour commenter, rire et se gausser.

Les cavaliers participent d'abord à un concours en utilisant leurs lances sur un mannequin en paille d'abord statique puis en mouvement solidement attaché sur la selle d'un cheval carapaçonné de cuir épais et de plaques métalliques pour éviter de le blesser.

Au bout d'un moment un concurrent est déclaré vainqueur et Manon, qui est censée représenter la lie de la société au moyen âge, devient sa propriété. Des hommes en armes la libèrent et le gagnant, la tirant par la corde accrochée à son collier, l'emmène jusque dans une des tentes.

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