Ma Vie de Femme Retrouvée (Acte 04)

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Marie et son amie Agnès se retrouve au club fitness pour...
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 05/02/2024
Créé 04/10/2024
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Comme le papillon Marie, passe de la morne obscurité à la pleine lumière

Résumé des 3 premiers chapitres

Marie, mariée, mène une existence triste et monotone avec Jean qui passe son temps devant la TV, plutôt que de s'occuper et sortir son épouse. Il est passif et froid comme un glaçon, elle est active et chaude comme une allumette.

Pour pallier à cette carence affective et sexuelle et donner un sens à sa vie, Marie décide de s'inscrire dans un club de fitness. Et là, c'est la rédemption. Elle a réveillé ses instincts et son corps. En plus de la musculation et la souplesse sur les agrès, sa sexualité et sa libido ont trouvé du répondant dans tous les recoins de l'établissement.

Forte de son expérience, elle propose son amie Agnès de s'inscrire, ainsi et elles vont, ensemble ou séparément, profiter de tous les instants.

* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

Nous sommes mercredi, Marie et Agnès visitent en binôme le club de fitness. Première séance pour Agnès.

A la réception, Rocco, le coach sportif, mon coach sportif, notre coach sportif maintenant nous attend et me fait la bise :

- Bonjour Agnès, bienvenue au club, je me prénomme Rocco

- Bonjour Rocco, oui Marie m'a parlé de vous en termes élogieux. Il semblerait que votre coaching soit apprécié.

- Bon Mesdames, je vous laisse passer aux vestiaires vous mettre en tenue de sport, on démarre dans 5 minutes.

De retour en salle de travail, je laisse Agnès en compagnie de Rocco pour la reconnaissance du parcours du combattant et moi, aujourd'hui, je vais me contenter de faire quelques exercices d'étirement au sol, ensuite, relaxation, je descendrai faire un sauna.

Pendant ce temps, Agnès passe d'un engin à l'autre, pilotée par Rocco et ses précieux conseils, plus manuels que verbaux. Il connaît son métier sur le bout du doigt, c'est le cas de la dire. Son scénario est bien rôdé. Il est en train d'enflammer allègrement notre Agnès, pas dupe du tout.

Mais ne soyons pas voyeurs. Laissons-les se débrouiller.

Après mes petits exercices assouplissement, retour aux vestiaires et changement de tenue : maillot 2 pièces, direction sauna au sous-sol.

Avant d'entrer dans le four, je jette un coup d'œil par la lucarne et m'aperçois que les occupants sont totalement nus, assis ou étendus sur leur serviette de bain. Alors je me mets à la page. Je retire mon bikini, m'enveloppe très provisoirement dans ma serviette de bain et entre dans l'étuve. Une bouffée d'air chaud parfumée à l'eucalyptus me saute au visage. Sacrée température.

Le local est exigu, sa lumière tamisée et sa très douce musique d'ambiance, en sourdine, m'accueillent, accompagnées d'un bonjour et d'un sourire des occupants, tout tuméfiés. Tout est parfait pour le bien être.

Mes voisins nudistes sont au nombre de trois. Un couple, assis, côte à côte et un jeune éphèbe, épilé de partout, très efféminé se caresse discrètement le pénis pour tenter de lui donner de l'importance.

Je m'assieds nue sur ma serviette de bain, face au couple, me contente de rêvasser, de planer, de rêver de fantasmer, adoptant une attitude lascive.

Le couple a dû lire dans mes pensées. Ils ont commencé par s'effleurer, s'embrasser, se prodiguer mutuellement des caresses, discrètes d'abord, puis de plus en plus appuyées de plus en plus orientées.

Là, c'est moi qui ne suis pas dupe, j'ai parfaitement compris leur manège.

C'est un couple d'une cinquantaine d'années, je dirais BCBG (à poil on peut se tromper).

Lui, élancé, grisonnant, légère bedaine pas déplaisante, très légèrement poilu. Son sexe, au repos, a belle allure.

Elle, petite femme, rousse à la base, le corps potelé et couvert d'éphélides, mais de belles formes harmonieuses, de jolis seins légèrement tombants, cicatrice de césarienne au niveau de l'abdomen, hanches bien marquées, pubis épilé, le tout bien appétissant. Un joli brin de femme.

Depuis la semaine dernière, la rencontre de cette petite effrontée dans le jacuzzi, puis dimanche, les attouchements avec mon amie Agnès, me font comprendre que je bascule gentiment mais sûrement vers la bisexualité. La grenade était en moi, bien cachée et ces deux femmes ont trouvé le moyen de la dégoupiller. Et moi qui croyais bien me connaître.

Je dégouline à grosses gouttes dans cette pièce surchauffée, pas loin des 90°C, mais cela ne m'empêche pas d'avoir les idées claires mais lubriques en matant ce couple. Mon regard, mon attitude ma gestuelle ont dû changer et cela n'a pas échappé à leurs yeux.

De mon visage, mes épaules, mes seins, la sueur ruisselle et converge vers mon entrejambe. Je desserre légèrement les cuisses, histoire d'évacuer ce petit lac en formation et en profite pour passer ma main discrètement sur mon pubis, et effleurer mon petit clown, surnom de mon clitoris.

Mon geste n'a pas dû être si discret car le quinquagénaire m'adresse un large sourire

- Il fait chaud dans ce pays!!! dit-il avec un léger accent anglo-saxon

- .... « sourire »

- Je ne vous ai jamais rencontrée, c'est la première fois que vous venez?

- Oui, je suis membre que depuis une semaine, lui répondis-je

- Je suis Alan et voici mon épouse Nelly, nous venons tous les mercredis, enfin presque.

- Enchantée. Je suis Marie. Je suis seule, mon conjoint, pantouflard, est marié avec la télévision.

Je petit jeune impubère décide de quitter le sauna, n'ayant pas trouvé chaussure à son pied. Enfin c'est un euphémisme.

Là, le mari, voulant tendre la main au destin, commence à caresser son épouse avec beaucoup plus d'enthousiasme et de détermination, caresse ses seins et glisse une main fouineuse entre ses cuisses, histoire de faire monter la température, déjà passablement élevée. Elle écarte largement ses jambes et m'offre une vision de sa vulve que je ne saurais dédaigner. Un bel abricot, un beau fruit mûr. Je suis aux premières loges.

Le mâle alpha commence à bander et exhiber son phallus, les petits papillons, dans mon vagin, commencent à prendre leur envol.

Je suis vraiment trempe entre les cuisses. Un mélange de sueur et de sécrétion vaginale, odeur caractéristique.

Cela fait une bonne quinzaine de minutes que je sue et dégouline, il est temps de sortir et prendre une bonne douche.

Je me lève m'emballe dans ma serviette, prends congé du couple libertin en lui décrochant un large sourire en franchissant le seuil de la cabine. Oufff!!! Un peu d'air frais.

A peine entrée dans la cabine de douche qu'un pseudo rideau translucide sépare de l'allée, le couple du sauna se pointe derrière moi.

- On peut vous rejoindre demanda Nelly?

- ......

- Merci, c'est gentil. Ainsi nous pourront mutuellement nous frotter le dos et en économisant l'eau on fait un petit geste pour la planète.

Une douche chaude pour se débarrasser des toxines, de la sueur et des éventuelles d'autres sécrétions, une douche glacée pour refermer les pores de la peau et stopper la transpiration. Savon proscrit.

Nelly et moi sommes face à face, arrimées solidement l'une à l'autre pour ne pas perdre l'équilibre car Alain, pommeau de douche à la main, tourne comme un bourdon autour de ses deux abeilles afin de nous rincer énergiquement et copieusement le dos. Il y met beaucoup de délicatesse, et d'insiste sur le bas des reins, nos fesses, nos entrejambes. Il bichonne ses proies.

Chaque fois qu'il passe derrière moi, il en profite pour m'effleurer avec sa bite. Il doit faire pareil avec Nelly, et à chaque tour son érection devient plus marquée. La taille de son sexe est standard, elle a une fière allure. Si elle est aussi bonne que belle et qu'il sait s'en servir, il y aura du rififi dans l'air.

Face à Nelly, j'ai envie de la prendre dans mes bras et de l'embrasser. Ses tétons sont à la même hauteur que les miens, et chaque fois qu'ils se télescopent je reçois une décharge d'adrénaline dans tout le corps. Cette réaction doit être la même pour elle, son regard la trahit. C'est du bonheur pur sucre. Le menu qui va suivre risque d'être copieux.

Et s'ils changent d'avis et qu'ils ne veuillent pas de moi? Non, pas possible. Les signaux envoyés ne laissent aucun doute.

On se sèche mutuellement et Alan propose de s'isoler les trois dans une cabine pour faire plus ample connaissance. La direction de l'établissement appelle cela des salles de repos. Qui parle de se reposer.

- Je vous suis, dis-je en leur emboîtant le pas.

- Il a deux catégories de cabines. Les totalement closes et celles avec de petites ouvertures à faible hauteur permettant de regarder ou de glisser un éventuel doigt, deux doigts ou autre chose, nous dit Alan

J'opte pour la première version : close. Ne brûlons pas les étapes.

La cabine N° 7 (mon chiffre porte-bonheur) est libre, nous y entrons et refermons derrière nous la porte coulissante.

Les murs sont en bois peint couleur sous-bois, un large et confortable matelas s'étale sur l'ensemble de la cabine, pas de risque de chute. La même petite musique douce du sauna nous caresse les tympans, la même pénombre, le même ravissement.

Nelly vient s'appuyer contre moi me pousse en arrière et vient s'allonger sur moi pour poser ses lèvres sur les miennes. Nos visages sont à deux doigts de la cuisse d'Alan. Elle m'embrasse avec un appétit de louve, j'en perds mon souffle. C'est bon. Sentir le corps de cette femme lové sur le mien, qui ondule, ondule, ondule, qui frotte son pubis contre le mien, c'est merveilleux. Je suis dans un autre monde, le monde du sexe, de l'amour, du partage, de la luxure, de l'extra-conjugal.

Heu!!! Si Jean me voyait!!! Mais je ne ressens aucune culpabilité. Au vu de son comportement, n'importe quelle femme agirait de la sorte. C'est moins dangereux et plus ludique de papillonner de gauche à droite que de prendre un amant.

Alan se rapproche de nous, amène ses hanches au niveau de nos visages et nous nous retrouvons nez-à-nez avec sa bite, à courte distance et prêtes pour la tétée.

- A toi l'honneur me dit Nelly, prends-la, suce-la, Alan adore ça

- ......

- Vas-y, ne te gêne pas, je vois que tu en crèves d'envie, insiste Nelly

- .....

- Alors elle te plait cette queue? La taille te convient?

- ......

Bien sûr que ça me va, bien sûr qu'elle me convient, mieux que ça même, mais je ne peux pas m'exprimer, j'en ai plein la bouche. Mes parents m'ont toujours dit de ne pas parler la bouche pleine.

Pendant que je suce Alan avec un bel appétit, Nelly se glisse au niveau de mes cuisses, de ma vulve pour être plus précis, et de sa langue fouineuse s'attaque à ma chatte, mon clitoris, tète mes lèvres, et de son index, caresse délicatement mon sphincter en tentant d'y entrer dans mon petit trou. Tout en même temps, c'est divin. Une femme qui me lèche, une bite dans la bouche, j'ai l'impression d'être l'héroïne d'un film porno. Nous sommes 3 anges au paradis.

Nelly remonte tranquillement au niveau de mes seins. Elle les malaxe, les caresse, les lèche, les suce avec beaucoup de doigté et de délicatesse.

Je suis au bord de l'extase, c'est le Nirvana, la foire aux délices. Le costaud d'Alan devient de plus en plus dur. Je suis impatiente de me le fourrer entre les cuisses. Nelly est radieuse.

Elle remonte au niveau de ma bouche. Rebelote. Nouveau baiser torride. Nos langues s'emmêlent, se caressent, nos salives se marient, nos corps se soudent. Nous sommes 2 tisons incandescents. Elle me plaît, je l'aime. Mon côté romantique, fleur bleue resurgit. Je me glisse sur le côté lui laisse ma place et lui engouffre la bite de son mari dans la bouche. Son membre s'enfonce jusque dans sa gorge. Je la regarde faire. Une pro de la pipe. Je peaufine ma technique. Ça peut être utile pour le futur.

A mon tour de me glisser le long du corps de Nelly et de faire une halte sur sa vulve. Après quelques hésitations, je commence à lécher sa chatte, le pubis d'abord, les lèvres, le petit clown et finalement. J'enfonce ma langue dans son vagin, déjà très mouillé et je bois, je bois Nelly, je bois à la source, son suc, son miel, son nectar. C'est un régal, un repas de princesse. C'est la première fois DE MA VIE que je lèche une chatte, et sûrement pas la dernière. On devrait nous apprendre ça à l'école, une femme ne devrait pas passer à côté d'un tel plaisir.

Malgré mon inexpérience, Nelly tremble comme une feuille et j'entends sa respiration se faire plus bruyante, plus rapide. Si je continue, elle va jouir dans ma bouche. Je continue donc, si je dois arrêter, elle me fera signe. Aucun stop de sa part. Alors je lui titille, mordille, lèche, tète, le clitoris, le vagin. Il est d'une sensibilité extrême. Son bassin sursaute, sa main appuie sur l'arrière de mon crâne pour me signifier de continuer, et là.... C'est parti. Abandonnant le sexe de son homme, elle se tortille comme un ver, susurre des mots incompréhensibles, se pince violemment les tétons, halète, gémit, râle et son sexe devient une fontaine. Des jets de cyprines jaillissent de son entrejambe. Jamais vu ça, ça sort de partout, ça coule de partout, y en a partout. Oui, Nelly est une femme-fontaine. Je passe ma langue pour en saisir le goût. Ce n'est pas désagréable. Dans la cuisine asiatique on appelle cela aigre-doux. Ses cris, ses gémissements, ses râles finissent par se calmer. Nelly est aux anges. Ses yeux brillent, les pommettes de son visage sont rosies par l'excitation et son orgasme XXL. Je la crois très heureuse, très épanouie.

- Merci Marie, c'était exquis, j'ai joui comme jamais. Je suis vidée.

Si je n'ai pas encore joui, ça ne saurait tarder, De voir son épouse dans un tel état, la bite d'Alan est devenue une arme, une massue et moi un trou é pine. Je suis en nage, mais ce n'est pas de la transpiration. Ma chatte réclame de l'attention. Il faut me pénétrer, me remplir, me culbuter.

Alan, lui aussi sur la réserve prend les commandes et s'approche de moi, l'arme à la main. Je suis impatiente de me faire labourer le vagin et lui n'attend que l'instant de me ramoner de fond en comble mon trou dégoulinant.

C'est en levrette qu'il décide de me pénétrer. A quatre pattes, cuisses largement écartées, dos cambré, j'offre mon fruit mûr à souhait au timonier. A l'abordage!!!

Pas besoin de lubrification, mon abricot ruisselle. De sa main il guide son ogive vers mon trou et s'y enfonce brutalement. Son membre est tout de même impressionnant et il aurait pu y aller plus délicatement. Mais je crois que c'est son instinct de mâle qui a pris le dessus sur la délicatesse. Mais après quelques va-et-vient, le plaisir remplace avantageusement la petite douleur initiale qui m'a fait crier. Mais maintenant je ronronne, je feule, je gémis.

Je sens cette verge qui me pénètre tout au fond de ma chair, mon corps entier est en alerte rouge, je tremble, je vibre, j'offre mon corps tout entier aux coups de boutoir d'Alan. Il s'active, change de rythme, met les gaz, il vient, il va jouir, sa bite est en béton, je suis à bout, je me laisse aller, moi aussi. Avec son dernier coup de rein il m'envoie un jet de sperme au fond de mon vagin. C'est chaud, puissant et ça déclenche chez moi une jouissance grand cru. Je donne tout, je me vide complètement, me répands sur la virilité de cet homme dont je ne connais que le prénom. Nelly nous a regardés avec beaucoup d'intérêt en se caressant la vulve pour faire redescendre la pression.

C'est presqu'à regret que nous reprenons nos esprits, trouvant dommage que ce soit déjà terminé. Nous nous faisons la promesse de nous retrouver un de ces prochains mercredis, mais il y a tant de choses à découvrir encore, je ne sais pas si l'acte II aura lieu avec Nelly et Alan. Ce n'est jamais pareil la seconde fois.

Nous quittons notre cabine N°7 et nous nous séparons après s'être fait de gros et chaleureux câlins et de belles promesses.

Après un passage sous la douche et au vestiaire, je me retrouve à la réception où personne ne m'attend personne. Hic!!! Où est passée Agnès.

J'apprends par la réceptionniste que mon amie est partie faire une course urgente, qu'elle revient ici sous peu et me demande de patienter.

Je m'installe dans un fauteuil, feuillette un magazine et après quelques minutes Agnès arrive avec la « banane » et le feu aux joues :

- Tu m'attends depuis longtemps me demande-t-elle avec un large sourire?

- Non, quelques minutes. Où étais-tu?

- Au parking souterrain, dans la voiture de Rocco me susurre-t-elle dans l'oreille. Et toi?

- Je te raconterai, lui dis-je

Du coup, on éclate de rire toutes les deux sous le regard interrogatif de la réceptionniste.

A suivre....

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 10 jours

La fête continue et partagée c'est encore mieux

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