Ma rencontre avec Marie

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Marie m'a séduite.
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J'étais allée faire les boutiques un samedi après-midi.

Je fouillais dans un grand bac de vêtements en solde. J'étais penchée en avant pour atteindre un petit haut qui me paraissait intéressant. J'ai senti soudain qu'on me touchait les fesses. Non pas le haut de la cuisse mais carrément le tranchant d'une main dans la raie.

Je me suis retournée brusquement, prête à faire un scandale. Mais je m'arrêtai nette dans mon intention. Je n'avais pas un moustachu bedonnant en face de moi mais une femme.

Je restai sans réaction. La femme ne s'excusa pas. Elle me demanda de la suivre pour, dit-elle, aller dans un endroit plus tranquille. D'autorité, elle me prit le bras et m'emmena avec elle. Je ne tentai même pas de résister et je l'accompagnai jusqu'à une zone à peu près déserte.

Elle m'expliqua que j'avais un très beau cul, c'étaient ses mots, et qu'elle n'avait pas pu résister. Elle était sereine, ne se sentant pas du tout en faute. J'étais muette, inerte. Elle me demanda ce que je faisais dans la vie. Je lui répondis, comme si c'était normal de répondre à quelqu'un qui vient de vous mettre la main aux fesses. "Je ne travaille pas. Je m'occupe de ma maison, de mon mari et de mes enfants." Elle voulut savoir si je serais disponible le mercredi suivant en début d'après-midi. Encore incapable de la moindre protestation, je lui dis que j'étais libre de mon emploi du temps. On ne pouvait pas être moins coopératif.

Elle me tendit une carte de visite et me donna rendez-vous chez elle, ce fameux mercredi. Je n'eus pas le temps de refuser, ni même d'objecter. Elle s'éloignait déjà, pleine d'assurance. Je rangeai machinalement sa carte dans mon sac à mains.

C'était étrange. J'aurais dû soit me sentir en colère contre cette agression, soit encore ne plus y attacher aucune importance. Mais de façon surprenante, j'ai pensé à cette caresse pendant tout le reste du weekend. Je me demandais si j'irai au rendez-vous, essayant de me persuader que cela n'avait aucun sens. Mais plus j'y réfléchissais, plus je voyais qu'au contraire ça aurait un sens très clair pour cette femme. Et c'est cela qui me troublait terriblement : que je ne pouvais pas m'empêcher d'y réfléchir, alors que je comprenais très bien l'enjeu. Je ne le trouvais pas repoussant. Il me perturbait.

Je ne sais pas si mon mari s'est aperçu que j'avais un peu la tête ailleurs. Les jours passaient et je continuais de ressasser ce moment dans le magasin. Une caresse n'est jamais désagréable. C'est le fait qu'elle soit faite sans consentement qui peut rebuter. Mais même dans ce cas, se voir imposer un attouchement peut ajouter au plaisir. Pour ma part, j'étais passée en quelques secondes de la surprise au rejet puis à l'interrogation.

Le mercredi matin, en prenant ma douche et en m'habillant, je sentis une sorte de creux au ventre. Je reconnaissais cette sensation. Elle était toujours présente quand j'allais faire quelque chose d'inavouable, comme par exemple me masturber dans des toilettes publiques. C'était sexuel. Je savais à cet instant que j'irais au rendez-vous et je me rendais compte que je me préparais pour ça.

Vers quatorze heures, je sonnais chez elle. Elle s'appelait Marie et elle habitait au quatrième étage d'un immeuble sans ascenseur si bien que j'étais essoufflée au moment où elle ouvrit la porte.

Elle eut un grand sourire en me voyant. Elle m'invita à entrer. "T'as pas eu peur de venir. C'est bien." Elle me tutoyait alors qu'elle ne connaissait même pas mon nom. Mais ce qui me laissa pantoise, c'est qu'elle m'embrassa sur la bouche.

Elle prit un peu de recul et me regarda de haut en bas et de bas en haut. Elle me demanda de me retourner, pour voir mon cul, dit-elle. J'obéissais sans discuter. Puis, une fois qu'elle m'eut bien reluquée elle m'ordonna de me déshabiller. Ce n'était pas l'invitation d'usage à retirer son manteau, d'ailleurs je n'en portais pas, mais bien une injonction à me mettre nue. Comme je ne réagissais pas, elle s'approcha de moi. Je lui tournais toujours le dos et elle commença à baisser la fermeture de ma robe en me baisant le cou.

Je me retrouvais en slip et soutien-gorge, avec ma robe en tas à mes pieds. Elle me prit par la main et me fit entrer dans le salon puis, sans s'arrêter, m'amena directement dans sa chambre. Elle s'assit sur le lit et me laissa debout face à elle. Elle avait les cuisses écartées de part et d'autre de mes jambes.

Elle avança sa tête jusqu'à mon entre-cuisses et respira profondément. Je devais sentir un peu, malgré toutes mes précautions avant de venir, car il faisait assez chaud. Elle passa ses mains derrière mes fesses, me caressa puis tira d'un coup sur ma culotte. Elle la fit descendre jusqu'aux chevilles. "Enlève la et écarte tes jambes." J'enjambais mon slip et je fis ce qu'elle me demandait. Elle accompagna mon mouvement avec ses mains jusqu'à ce qu'elle considère que j'étais assez ouverte.

Elle me passa sa langue sur le sexe, de bas en haut. "T'es très mouillée! T'en avais envie, pas vrai?" Je ne pouvais plus le nier tellement c'était visible. Elle se leva, me prit le visage dans ses mains et m'embrassa sur la bouche, forçant mes lèvres. Elle rentrait sa langue et cherchait la mienne. Notre baiser dura très longtemps. Elle ne se lassait pas d'explorer, touchant mes gencives, mon palais et s'enfonçant parfois jusqu'à la luette. Je la laissais faire parce que j'y prenais plaisir.

Pendant qu'elle m'embrassait, elle dégrafa mon soutien-gorge. J'étais désormais presque nue devant elle qui restait habillée. Il me restait mes chaussures à talons. Elle se pencha pour téter mes mamelons. Je me rendais compte que mes tétons pointaient, or il ne faisait pas froid et même plutôt chaud dans cette chambre. Marie me malaxa la poitrine à deux mains, la pelotant sans ménagement, écartant les deux seins ou bien au contraire les pressant l'un contre l'autre. Elle donnait des petits coups de langue alternativement sur chaque aréole. Elle les pinçait entre le pouce et l'index, tirait dessus comme pour les allonger encore. Elle prit le sein droit et le compressa de ses deux mains pour le faire ressortir et elle en enfourna autant qu'elle le pouvait dans sa bouche, aspirant comme pour me traire. En le ressortant, elle mordit le bout du téton avec ses incisives.

Elle m'enleva mes chaussures. "Mets toi à plat ventre sur le lit." Elle semblait très directive et inexplicablement, je me soumettais à ses instructions.

Je l'entendis qui se déshabillait. Elle s'allongea sur moi, me recouvrant totalement. C'était la première fois de ma vie que je touchais un corps de femme nue. En vérité, je ne touchais rien. C'était plutôt ma peau qui était en contact avec la chair de Marie. Elle avait son ventre dans le creux de mes reins, ses bras le long des miens et elle prit mes mains dans les siennes, entremêlant nos doigts. Elle m'embrassait un peu partout sur le visage. Ses seins s'écrasaient sur mon dos et je sentais ses poils pubiens sur mes fesses.

Marie roula sur elle-même et me commanda de me mettre sur le dos. Je continuais à lui obéir. Elle vint se placer entre mes cuisses, qu'elle écarta largement, le visage à quelques centimètres de mon sexe. Je sentais son souffle sur mes lèvres. Elle les sépara pour dégager la vulve. Elle glissa son index à l'entrée du vagin et quand elle le ressortit, un fil de cyprine s'étira qu'elle porta à sa bouche.

Elle frotta délicatement l'intérieur de mes lèvres avec ses deux doigts en fourche. Elle les mouillait dans le vagin. Elle me pénétrait à la profondeur d'une phalange, ressortait ses doigts, les séparait en remontant jusqu'à la base du clitoris où ils se rejoignaient. Elle faisait le même chemin en descendant et s'enfonçait à nouveau. Elle allait lentement mais à une cadence de métronome. A plusieurs reprises je tentais de serrer mes cuisses mais Marie les maintenaient ouvertes et les bloquaient avec ses coudes. Je ne fis que contracter mes muscles sans pouvoir bouger les jambes. Puisque je ne pouvais pas bouger horizontalement, j'essayais de lever mon bassin, mais là encore Marie m'en empêcha en appuyant sur mon pubis avec son autre main, sans pour autant arrêter ses stimulations. J'étais impuissante, soumise à la caresse méthodique faisant inexorablement monter le plaisir. Le va-et-vient continuait, en profondeur, puis en surface, de bas en haut, puis de haut en bas. Je retenais ma respiration, je serrais les fesses, je bandais mes abdominaux, dans mon esprit je tendais mon sexe vers le visage de Marie mais sans pouvoir modifier concrètement ma position. Elle dû le ressentir sous sa main et c'est elle qui approcha sa langue de mon clitoris.

Elle posa la pointe directement sur le bouton. Ça me fit l'effet d'une décharge électrique. Mais je ne pouvais pas bouger, seulement gémir. Elle fit tomber de la salive et en nappa toute la surface autour du capuchon avec sa langue. Elle titilla le petit gland, puis le lécha avec de moins en moins de délicatesse et finit par remplacer sa langue par sa main. Elle ne me caressait plus les lèvres, elle me branlait le berlingot avec frénésie, crachant dessus régulièrement pour le lubrifier. Elle frottait avec son majeur. Sa main gauche ne maintenait plus mon bassin et je décollais mes fesses du matelas. Marie écartait le capuchon pour dégager le haricot au maximum et elle continuait à l'astiquer. La jouissance venait sans que je puisse m'y opposer. Elle montait, contractait tout mon corps, mes bras se raidissaient, j'agrippais le dessus de lit avec mes mains, je bloquais ma respiration et soudain, ce fut la délivrance, l'orgasme, par saccades. Je poussais une longue plainte. Marie ne touchait plus mon bouton mais tirait sur les peaux pour le faire saillir à l'extrême. J'avais des soubresauts du bassin. J'aurais voulu fermer mes cuisses mais Marie s'interposait. Avec l'assouvissement, tout retomba. J'étais relâchée mais pantelante.

Je mis quelques minutes à reprendre mon souffle. Marie rampa jusqu'à moi et m'embrassa le front puis les lèvres. Elle se plaça à ma gauche et me prit la main. Nous restâmes un long moment ainsi, allongées l'une à côté de l'autre.

J'ai dû m'endormir. Quand je me suis réveillée, Marie n'était plus dans la chambre. Elle m'avait enveloppée en repliant le couvre lit pour que je n'ai pas froid.

Je me levais et allais la retrouver dans le salon. J'étais nue et elle s'était rhabillée. Elle avait rassemblé mes vêtements sur un dossier de chaise. Je regardais l'heure à l'horloge. Il était déjà tard et je devais partir. Je mis ma culotte et mon soutien-gorge, sans prendre de douche. Quand j'enfilais ma robe, Marie m'aida à remonter la fermeture. Nous nous embrassâmes. Je la serrai très fort dans mes bras.

Je lui promis de revenir bientôt.

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