Ma femme devient une pute Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

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- Où suis-je exactement?

- Dans une clinique privée.

- Mais... Comment... Je veux dire, j'ai été arrêté, je pense...

L'infirmière apporta un bol de soupe, du pain frais, une salade et un jus d'orange frais. Michelle n'avait rien mangé d'autre que de la restauration rapide pendant un mois. La nourriture était délicieuse et elle me demanda de lui expliquer ce qui s'était passé après qu'elle soit arrêtée.

- J'ai été averti que tu avais été arrêté. J'avais fait mettre une alerte de personne disparue sur toi. Après que tu te sois évanouie, tu as été conduite aux urgences et soignée. Je me suis présenté et j'ai discuté avec le policier qui t'a arrêtée et qui m'a expliqué ce qui s'était passé. Il a accepté de te laisser à ma charge jusqu'à ce que tu sois en bonne santé. Tes analyses de sang ont montré plusieurs drogues dans ton système sanguin, entre autres de la marijuana et de l'héroïne. Je t'ai faite transférer dans cette clinique qui a un bon service de désintoxication. Tu dors depuis deux jours. Ils t'ont tenue endormie pour que tu ne ressentes pas les effets du sevrage. Maintenant que l'héroïne est sortie de ton corps tu peux être réveillée. Maintenant il faut que tu restes ici encore quelques jours. Puis tu iras dans un centre de réadaptation pendant trente jours. Comme il s'agit de ta première arrestation, notre avocat a pu obtenir un accord avec le procureur. Si tu termine le programme de réadaptation, ils abandonneront les accusations.

L'infirmière amena plus de nourriture et Michelle mangea avidement. Elle me regarda et dit :

- Je suis vraiment désolé de t'avoir fait subir tout ça. Il faut que tu saches que je ne voulais pas en arriver là.

Je baissai les yeux :

- Tu veux toujours divorcer?

Elle commença à pleurer.

- Bien sûr que non. Je ne l'ai jamais voulu.

Michelle termina le programme de réadaptation et les accusations furent abandonnées. Avec son activité de pute dans la ville, elle ne put retourner travailler dans son cabinet d'avocat. Mais dans une autre ville plus loin au nord, elle se vit offrir un emploi dans un petit cabinet. La rémunération était inférieure de moitié à ce qu'elle gagnait auparavant, mais la ville était en expansion et les avocats du cabinet furent ravis d'avoir une avocate qui avait travaillé dans un grand cabinet. Ils prévoyaient d'en faire une associée dans quelques années.

Puis un jour, juste avant que nous déménagions, le nouveau téléphone portable de Michelle sonna.

- Je veux que ma femme revienne. Dit la voix à l'autre bout du fil.

Michelle se figea. Elle se doutait que James essaierait de la contacter, mais elle ne savait pas quand. Elle commença à pleurer. A l'autre bout du fil, James était tout tendre.

- Est-ce que ton bébé te manque? Je sais que tu dois t'ennuyer. Tu n'es pas revenu dans ton cabinet d'avocats. Que fais-tu alors? Tu peux revenir avec moi bébé. Ce sera mieux qu'avant.

- James... Comment... Comment as-tu eu mon numéro? Murmura-t-elle.

- Bébé, j'ai eu ton numéro le jour où tu as eu ton nouveau téléphone. Je suis passé chez toi. Je vois que ton mari stupide et toi faites vos valises pour partir. Mais tu sais que je suis ton homme. Tu ne peux pas partir à moins que je le permette.

Instinctivement, Michelle baissa les yeux, soumise.

- Je veux partir James. Laisse-moi partir.

- Pas si vite petite fille. Tu m'es redevable. Pourquoi ne pas nous rencontrer et en parler.

Ma femme se mordit la lèvre inférieure et sentit un picotement familier entre les jambes.

- Peut-on y arriver? Je ne veux plus être frappée.

James rit.

- Bien sûr que nous pouvons bébé. Ça sera mieux. Plus de coups. Tu divorces et tu m'épouses comme nous avions prévu et les choses iront mieux. Nous pourrons avoir un nouvel appartement et je t'achèterai de beaux vêtements. Je sais que ton homme te manque.

Michelle regarda autour d'elle. Il n'y avait personne.

- Tu me manques! Murmura-t-elle au téléphone.

James dit à Michelle où le rencontrer plus tard dans la journée. Elle lui dit qu'elle viendrait avec moi, son mari. Elle voulait que nous nous rencontrions et que nous nous mettions d'accord. James n'avait pas peur de moi alors il accepta facilement.

Nous arrivâmes devant le bar dix minutes plus tôt. Nous restâmes assis dans la voiture en silence. Puis je dis :

- Après tout ce que je viens de faire pour toi, après tout ce que ce voyou t'as fait. Tu n'as pas à faire ça Michelle. Nous pouvons simplement partir et continuer notre vie.

Elle secoua la tête.

- Je t'ai dit, il y a longtemps, quand j'ai commencé, que je finirai selon mes conditions

- Et aller voir James, ça va t'aider? Dis-je avec irritation.

Nous nous étions déjà disputés sur la façon dont elle s'était habillée, jupe courte et chemisier ample sans soutien-gorge, et bien sûr, des talons hauts.

Elle hocha la tête.

- Je suis une grande fille. Je sais ce que je veux.

- Tu as dit cela quand tu as commencé. Et tu t'es retrouvée à l'hôpital, une dent en moins, et accro à la drogue.

Michelle hocha de nouveau la tête.

- Je sais. J'ai fait des erreurs. Mais je peux gérer James maintenant.

Elle me regarda dans les yeux.

- S'il te plaît, laisse-moi faire. J'en ai besoin.

J'acquiesçai d'un hochement de tête silencieux. Michelle vérifia son sac à main, y mit son téléphone. Nous sortîmes de la voiture et entrâmes dans le bar en nous tenant la main.

James était assis à l'arrière du bar, face à la porte. Personne ne pouvait entrer ou sortir sans qu'il le voie. Le bar était quasiment vide à part deux hommes d'affaires à une extrémité du comptoir en train de siroter une bière et un autre gars débraillé avec de longs cheveux gras en train de boire un whisky bon marché à l'autre extrémité.

Nous approchâmes de James qui fit signe à Michelle de s'asseoir à côté de lui. Michelle me regarda puis lâcha ma main et s'assit. James passa tout de suite son bras autour d'elle en me souriant. Puis il souleva le haut de ma femme et fixa ses seins.

- Pas de soutien-gorge. Juste la façon dont ma femme doit s'habiller pour son homme.

Michelle alluma une cigarette. Elle laissa James caresser sa poitrine pendant une minute devant moi. Puis elle lui parla :

- Ecoute James, j'ai besoin que l'on fixe un accord maintenant. D'abord, tu n'embêteras pas mon mari.

James agita la main avec dédain.

- Je n'ai aucun problème avec lui tant qu'il sait que tu es à moi pour toujours à partir de maintenant.

Michelle hocha la tête.

- Deuxièmement, plus de drogue. Tu ne dois plus me donner de produits qui altèrent ma volonté. Je suis saine maintenant. OK?

James acquiesça. Mais Michelle insista :

- Je veux t'entendre le dire.

- Ok, ok salope. Je ne te donnerai plus de drogue.

- J'ai besoin de savoir. Que me donnais-tu exactement avant?

James haussa les épaules.

- Un petit peu d'aphrodisiaque, un peu de H, de la marijuana et d'autres merdes. C'est le H qui te mettait dans les vaps.

- Le H c'est de l'héroïne? Demanda Michelle.

- Oui. Répondit simplement James.

- Troisièmement, tu ne peux plus me frapper.

James se foutait de ce qu'il acceptait. Une fois qu'il serait seul avec elle, il lui apprendrait à lui parler ainsi en public. Mais pour l'instant il se contrôlait.

- Plus de coups.

- Tu m'a cassé une dent tu sais?

- Oui mais tu sais pourquoi j'ai fait ça. Tu dois respecter ton homme.

Michelle hocha la tête.

- je te respecterai et tu me respecteras.

James sourit et serra Michelle contre lui. Il posa une main sur sa jambe. Il voulait la passer sous la jupe. Il voulait toucher sa chatte devant le mari de cette idiote. Michelle se dégagea et enleva la main en disant :

- Pas avant que nous ayons fini.

Elle ajouta :

- Une dernière chose. Tu ne peux pas me forcer à faire l'amour avec quelqu'un. Je dois être d'accord.

Le sourire de James se figea. Il ne répondit pas immédiatement. Puis, à voix basse, il fit face à Michelle et la regarda dans les yeux.

- Tu sais ce que je fais. Tu sais comment je gagne ma vie. C'est comme ça que je gagne de l'argent.

- Tu m'as fait faire la pute pendant un mois. Dit rapidement ma femme.

Elle commençait à énerver James. Il devait faire de gros efforts pour se contrôler. Ailleurs, il l'aurait giflée pour ces paroles. Mais au lieu de ça, il grinça des dents et dit :

- Bien sûr que je t'ai fait faire la pute stupide. Qu'est-ce que tu crois...

Avant que les mots finissent de sortir de sa bouche, James réalisa ce qui se passait.

- Enculée, salope, tu m'as eu.

Les trois autres hommes dans le bar se déplacèrent rapidement. Ils avaient ce dont ils avaient besoin. Sur l'enregistrement, James avait admis avoir frappé Michelle, l'avoir droguée avec de l'héroïne et l'avoir obligée à se prostituer. Plus simplement il avait avoué qu'il était un proxénète. James baissa les yeux sur le sac à main de ma femme qu'elle avait placé devant lui. Dedans, il y avait un micro et un magnétophone.

Les hommes en costumes sortirent leur badge tandis que l'homme aux cheveux longs tenait un fusil braqué sur la tête de James.

- Agents fédéraux. Vous êtes en état d'arrestation. Gardez les mains sur la table et levez-vous lentement.

***

Quelques mois plus tard, Michelle reçut un message du procureur. Lors des faits, James était en libération conditionnelle. Il était accusé de traite d'être humain. De plus comme le bar où il prostituait ma femme était dans un état voisin, il fut accusé de proxénétisme fédéral. Il encourrait la peine de 20 ans de prison pour violation de sa liberté conditionnelle. De plus il risquait 30 ans avec un minimum obligatoire de 15 ans pour le crime fédéral.

Pour pouvoir purger sa peine dans un établissement fédéral plus confortable qu'une prison d'état, il accepta de faire 25 ans. Michelle n'aurait plus à se soucier de lui.

Ma femme posa le téléphone et sourit. Elle pouvait reprendre sa vie. Elle avait subi un traitement au laser douloureux pour enlever le tatouage dans son dos. Mais elle ne l'avait pas encore fait pour ceux sous ses seins.

Elle travaillait dur dans son nouveau cabinet et les affaires de celui-ci commencèrent à se développer. Ses patrons étaient ravis et il était certain qu'elle deviendrait associée.

Lentement notre relation s'améliora. Dès le jour où je l'avais rencontré, j'avais su qu'elle aimait se comporter en chienne. Et elle avait compris que j'aimais la regarder flirter avec d'autres hommes. Ce qui l'avait amenée à danser avec d'autres dans des bars puis leur tailler une pipe dans leur voiture pendant que je regardais dans la mienne.

Et puis le côté obscur de ce fantasme devint réel. Elle voulut jouer à la pute. Et elle finit comme prostituée droguée sous la coupe d'un homme brutal.

Après quelques semaines, nous avons refait l'amour. Lentement et timidement, Michelle est venue à moi, me disant comment lui manquaient mes caresses, et comment elle avait besoin de mes baisers. Puis tout redevint normal.

Un jour, alors que nous étions couchés dans notre lit, je lui demandai :

- Dis moi ce que tu as fait!

Michelle qui taquinait ma queue avec sa main, la sentit raidir. Elle sourit malicieusement.

- Tu veux dire quand ta salope de femme était une putain?

- Oui, quand ma femme était une pute. Gémis-je.

- Hé bien, je m'habillais avec un short très serré ou une mini-jupe et un haut dans lequel mes seins étaient libres. Je mettais des hauts talons et je marchais dans la rue en me balançant. Tout le monde devinait que j'étais une pute.

Je gémis de nouveau alors que ma femme passa sa tête sous les couvertures.

- Tout le monde savait que ta femme se mettait à genoux et sucer des queues pour un peu d'argent.

Michelle passa sa langue sur ma bite et caressa mes couilles. Puis elle releva la tête et dit :

- Tu as encore des vidéos de moi?

- Toutes. Lui répondis-je.

- Bien alors, nous pourrons regarder ta femme être une salope.

FIN.

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Anonymous
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1 Commentaires
milfoliviamilfoliviail y a environ 5 ans

Malgré ses mésaventures, Michelle est une vraie salope, et sa nature revient très vite. On se laisse facilement imaginer qu'elle se fera repérer par ses nouveaux collègues/voisins ou connaissance.

Merci pour cette histoire!

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