Ma Double Vie - Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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-Oui en effet docteur! Elle ajouterait bien le caractère de chien de sa fille lorsqu'elle ne prend pas son traitement, mais préfère en rester là.

-Voyons voir ce que nous avons là! La voix du docteur se fait presque murmure, comme s'il ne voulait pas que Cécile ne l'entende.

Etonnamment, le docteur, après s'être désinfecté les mains, ne prend pas la peine d'enfiler de gants. Il effleure la vulve imberbe de la pulpe de son index droit:

-HUMPHHHHHH

La réaction de Chloé est instantanée, au léger soupir de surprise s'ajoute un frisson incontrôlable, qui secoue tout son corps et commence à faire pointer ses petits mamelons roses d'où perlent déjà quelques gouttes blanchâtres.

La jolie blondinette sert les fesses, et crispe la prise de ses mains sur cuir neuf de l'assise pour tenter de contrôler les vagues de plaisir instable qui secouent son corps.

-HUNNNN

Elle essaye de maîtriser son souffle afin de contenir les spasmes qui parcourent tout son être, mais si sa mère n'était pas à deux pas d'elle, Chloé se laisserait sûrement aller. D'autant qu'elle n'a pas encore pu se caresser de la journée, et ça commence vraiment à être intolérable de ne pas pouvoir jouir une bonne fois pour toute.

De sa main gauche, le docteur Thierry appuie sur la vulve de la jeune fille, index et pouce sur chacune des lèvres, et observe les petites lèvres suintantes et gonflées s'ouvrir comme une fleur en éclosion.

Le salaud, il prend bien son temps et sait parfaitement où appuyer pour faire réagir l'adolescente. Chloé se bat contre la pression sexuelle qui s'accumule au creux de son ventre, et doit se mordre les lèvres pour ne pas pousser un gémissement de plaisir, que sa mère entendrait irrémédiablement de l'autre côté du rideau. Elle fusille le docteur du regard pour la tourmenter de la sorte, et n'obtient en retour qu'un sourire légèrement amusé, sûrement en réponse au petit jeu de séduction qui amuse la jeune fille depuis qu'il a tiré le rideau.

CLAP

-Bien, on en a fini pour l'instant jeune fille, je vous laisse vous rhabiller.

"Mais quel connard putain!" Elle l'observe faire comme s'il venait de retirer ses gants alors qu'il rejoint la mère de sa nouvelle patiente.

-Alors bonne nouvelle madame Gonzales, je ne suis pas totalement dans le flou ici. Lors de ma thèse, j'ai eu la chance de tomber sur un cas assez proche de celui de votre fille!

-Alors là vous me surprenez docteur, vous êtes bien le premier à me dire ça!

"Mais à quoi il joue?" Chloé a du mal à réconcilier ce qu'elle entend avec ce qu'elle ressent. Ce connard est parvenu à déclencher une excitation plutôt forte avant de tout interrompre, mais la laissant dans une zone très inconfortable de manque. Il aurait au moins pu lui branler le clito, histoire de la soulager un peu.

Comme si de rien n'était, le docteur Thierry discute avec Cécile, la pauvre Chloé laissée seule à reprendre ses esprits tout en essayant de s'habiller. La chaleur dans son ventre et les picotements de sa vulve entonnent un concert de spasmes que la jeune fille a bien du mal à canaliser. Comme pour la provoquer, ce salop en rajoute une couche:

-Tout va bien mademoiselle Guyot?

"En plus il utilise mon nom!" La frustration se mélange à plaisir inassouvi, comme une douce torture plutôt inhabituelle. Etrangement, elle éprouve presque comme un petit plaisir inconnu à cette ambivalence. Le docteur ne soufflerait-il intentionnellement le froid et le chaud sur ses frustrations?

Lorsque finalement elle parvient à retrouver un semblant de séance, elle rejoint les deux adultes qui conversent sur son cas:

-Ecoutez Madame Gonzales, je pourrais vous prescrire à nouveau ce que mes collègues ont tenté sur votre fille depuis quatre ans, mais j'ai l'impression que notre jeune Chloé a développé comme une tolérance au traitement. Du moins dans ce que j'observe!

-Vous pensez vraiment docteur?

-Eh bien, si comme vous me le dites, elle est hors médication depuis plusieurs jours, je m'attendais à trouver des traces plus flagrantes de pathologie. Or tout laisse penser que les symptômes ont à peine progressé.

-C'est tout de même insensé, et du coup, qu'est-ce que vous préconisez?

-On pourrait commencer une thérapie plutôt comportementale et une médication plus légère, avec un suivi hebdomadaire pour commencer.

-Hebdomadaire? Mais nous entamons une lourde reconversion professionnelle, et je ne pense pas avoir trois heures à consacrer à un voyage hebdomadaire sur Nevers.

-Je comprends bien, mais dites-vous que si la maladie progresse, on pourrait voir apparaître des séquelles plus graves qu'une simple poussée de lait et des sautes d'humeur.

"Et voilà, j'me disais aussi, à force de ne rien dire à maman, ce sont les seuls symptômes qu'elle connaît!" Le jeune docteur sait ce qu'il fait, il a bien vu que la jeune fille a beaucoup plus de problèmes intimes que Cécile laisse entendre.

-A moins que... Attendez j'ai une idée! Cécile consulte son smartphone et s'adresse à sa fille autant qu'au docteur. Ma puce, tu pourrais prendre le train une fois par semaine et si le docteur a raison, tu pourrais enfin reprendre une vie normale.

Chloé connaît sa mère par cœur, et quand elle est dans cet état, rien ne peut la faire changer d'avis. Tout ce que la jeune fille a à faire, c'est accepter le deal, prendre ses médocs et la vie devrait reprendre son cours. Elle sourit au docteur pour lui signifier qu'il n'est pas près de la revoir:

-Oui maman, si tu veux je peux m'organiser, au moins pendant les vacances, ça devrait vous permettre de trouver mon traitement, non?

"Piégé mon couillon" Elle sourit, victorieuse!

-Parfait, ça me va, je pense qu'on pourra faire de vrais progrès. Juste un point complémentaire... Il marque une pause et se tourne vers Cécile: Si votre fille participe à toutes ses sessions, je pourrai vous faire rembourser les billets de train, et si vous le souhaitez... il marque une pause en consultant son agenda: on pourrait commencer demain en fin de journée, 17h00 vous conviendrait?

"Echec et mat petite pute!" Chloé peut presque entendre les mots sur le sourire soudainement étrange du jeune docteur.

-Est-ce qu'il y a un numéro sur lequel je pourrais vous joindre? interroge-t-il sans vraiment orienter sa question.

-Chérie? Tu veux bien donner ton numéro au docteur? Avec le boulot qui nous attend, je ne pense pas vraiment être utile comme intermédiaire.

Au pied du mur, et vaincue, la jeune blondinette donne son 06 au docteur alors qu'il gribouille une ordonnance:

-Tenez madame Gonzales, voici une ordonnance pour ce soir, ce traitement devrait permettre à votre fille de passer une bonne nuit en attendant la visite de demain. Mais en attendant...

Il ouvre un tiroir, fouille un peu, puis en sort deux tablettes de pilules. De la première il extrait deux cachet et un autre de la deuxième plaquette, puis reprend:

-Tu vas me prendre ces trois cachets qui devraient contrebalancer rapidement l'excès d'oestrogène. Comme ça tu ne devrais pas avoir à subir de montée de lait d'ici demain! Conclut-il d'un sourire.

Il se lève et les raccompagne à la porte, la main gauche appuyée dans le creux des reins de Chloé, bizarrement rassurée, mais tout de même en rogne de s'être faite avoir à son propre jeu.

-En tout cas merci pour tout docteur! Cécile lui sert la main

-Et ne vous inquiétez pas, même si elle peut subir quelques inconforts dans la soirée tout devrait rentrer dans l'ordre demain, je vais bien m'occuper de votre fille.

Chloé salue le "bon docteur", et une fois la porte fermée derrière elle, attrape la bouteille d'eau du sac de sa mère pour avaler les cachets. Elle sent la pression se relâcher dans sa poitrine et reconnaît les signes avant coureur. "Hors de question de tâcher mon top à cause de lui!"

La pression dans ses tétons retombe presque instantanément, "Il n'est peut-être pas si nul que ça après tout!" Soulagée, elle et sa mère passent ensuite à la pharmacie, récupèrent deux flacons d'une préparation minute, et se rendent à la voiture pour s'en retourner au centre quand le smartphone de la jolie blonde vibre dans sa main. "Un message?"

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Très bien écrit!

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Super

Rudy

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Super histoire, j'attends la suite avec impatience ! Le message comporte t'il une préconisation du gynéco de ne pas de masturber pour faciliter l'ingestion des médicaments ? Grosse frustration à venir :)

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