Ma Double Vie - Ch. 02

Informations sur Récit
L'intendant et l'employée sont troublés par la jeune Chloé
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Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 08/12/2023
Créé 08/10/2023
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Chapitre 2: Dans le bain

##### Marco #####

-HUMPHHHH...

Reclus dans un petit coin de forêt surplombant le centre touristique de Yvon, un grand black congolais émerge difficilement d'un profond sommeil, plutôt bien mérité selon lui. Outre le capharnaüm classique de cette période de forte activité au centre nautique dont il gère l'intendance, le quadragénaire de deux mètres zéro cinq, est tiré de son sommeil par l'arrivée d'un van familial immatriculé en région parisienne.

Lui, qui a eu tant de difficultés à laisser son passé à des centaines de kilomètres derrière lui, a l'impression de se faire rattraper par des événements qu'instinctivement il craint de ne pas maîtriser. Et ce qu'il appelle "événements", c'est le couple de bobos parisiens, qui débarque avec la toute jeune blondinette dont il observe le comportement d'allumeuse depuis quelques minutes du téléobjectif longue portée qu'il s'est récemment offert.

-Ainsi c'est donc pour eux que ce con d'Yvon m'a fait déplacer mon camp de base pour commencer la construction d'une nouvelle dépendance?

Après une vie tumultueuse dans les quartiers de Sarcelles et ses alentours, c'est dans ce petit coin de la France rurale, qu'il a pu, il y a dix ans, retrouver une vie plus simple. Les go fast depuis l'espagne ou le maroc, les kehbas dans les caves en tournante, les condés à tous les coins de rue, Marco est parvenu à s'éloigner de tout ça.

Bien sûr, à maintenant 40 ans, il a pris du recul et n'a aucun problème avec les touristes de paname qui passent à longueur d'année par le centre, mais c'est parce qu'il sont juste de passage qu'ils ne le dérangent pas. Mais avec ce trio de bobos parisiens qui débarque maintenant et qui a déjà impacté sa vie en le forçant à déplacer son petit camp, ils sont apparemment là pour rester.

Il connaît trop bien les habitudes ancrées dans leur personnalité forgée par des générations de snobinards. Il les as volé, arnaqués, il leur a vendu tout type de drogues, il a baiser leurs femmes, leurs filles, il a côtoyé nombre de de salopes à black qui se pavanait dans sa cité pour bouffer de la grosse bite, et la jeune allumeuse semble bien faire partie de cette catégorie.

Il observe, grognon, bougon, le comportement de la princesse "boucles d'or" dans son accoutrement d'allumeuse des beaux quartiers. Autant, il s'est fait à la bonhomie sans arrière-pensée des aolescentes de la région, autant il sent que cette nouvelle venue risque de réveiller des démons qu'il pensait avoir mis en hibernation depuis longtemps. Même si les accoutrements sont similaires, il sent bien la différence entre la fille des nouveaux venus et la petite tribu qui s'affaire sur la base de loisirs.

Même Manon la petite rouquine, avec ses petits hauts de bikinis et ses gros nichons ne l'émoustille pas comme le fait la petite blonde. Elle ne s'habille pas court pour provoquer les plus vils instincts des mâles qui l'entourent. Pour elle c'est juste pratique, facile, utile par rapport aux besoins dictés par le petit boulot qu'elle prend à cœur de bien faire durant les quelques mois d'été. Le grand black n'a aucun doute sur la coquetterie de la belle manon, mais ça fait plus naturel, moins forcé.

-HUM, même Yvon se laisse tenter! commente-t-il à voix haut, suivant de son objectif le rapprochement du quinqua lorsqu'il conduit la blondinette à l'intérieur

Lorsque le couple disparaît dans la grande demeure, Marco concentre son attention sur ses futurs patrons. "Bonne nouvelle" La mère semble en phase avec son homme, ils vident le coffre de la berline, et admirent d'un seul et même regard passionné l'aventure dans laquelle ils s'embarquent.

Il faut quelques minutes au congolais pour sortir de son esprit l'attitude délurée de la jeune blondinette dont il ignore tout, et pourtant dont le comportement pourrait faire ressurgir d'anciens démons qu'il a eu tant de mal à tenir éloignés.

Bonnant malant, il dépose son réflexe dans la caisse étanche à ses pieds, et s'extirpe de son hamac, nu comme un vers, son corps de géant luisant de sueur par la chaleur ambiante, et il se dirige vers le flux puissant du bras de Loire qui passe au pied de son nouveau campement, sans prêter attention au cailloux que se fichent sous la corne durcie de ses pieds.

Ce n'est qu'après cinq petites minutes d'ablutions à l'eau claire qu'il remonte à son point d'observation, le regard attiré par la sortie de la petite blonde. Il récupère son appareil photo et observe la jeune fille, pensif. "HUM... Cette petite keh est un mauvais présage!"

Il sent les pulsions animales envahir son cerveau de primate. Même de son point de vue, certes via un téléobjectif, il peut voir le dessin bosselé des petits tétons bandés de la belle blonde. Ses lobes tout justes soutenus par le tissu fin et élastique de son top à fines bretelles, oscillent de bas en haut, en rythme avec les pas courts de son tout petit corps. "Putain mate moi ce boule d'allumeuse!" Se dit-il en portant son attention sur les lobes fessiers parfaitement dessinés dans ce mini short tout droit sorti des séries US des années 80.

Un feu d'excitation prend naissance dans le creux de ses reins, et il sent la tige de chair de son sexe se gonfler de sang et pendouiller du long de ses cuisses en une demi érection d'un bon 25cm de long. Il sait qu'il a une grosse teub, mais il était parvenu ces dernières années à contrôler ses pulsions, certes grâce à la bouche plutôt experte de la jeune rouquine du centre, mais il n'est jamais aller plus loin devant son refus de se faire "empaler par un tel monstre" lui avait-elle sorti un jour.

Il aurait encore pu se contenter des lèvres pulpeuses de Manon encore des années, mais il a fallu que cette petite pute blonde pointe le bout de ses magnifiques seins tout ronds pour faire ressurgir ses pulsions. "Je n'ai pas beaucoup d'options! Putain, fait chier!" En effet, soit il part sans demander son reste mais il devra tout recommencer à zéro de nouveau. Soit il lutte contre ses besoins primaires, se les approprie de nouveau comme il l'avait fait avec l'arrivée de Manon sur le site, et parvient à les canaliser comme il est sur le point de le faire.

Pour l'heure, avec le départ de la blondinette, il a pris sa décision. Il enfile un caleçon pour contenir sa virilité, attrape un short large et son savon, puis se dirige du pas ferme vers les cabanes de douches en retrait du centre.

Contournant le terrain par derrière, Marco se glisse dans une des cabines libres et installe le loquet dans sa position inversée.

##### Manon #####

CRRRRRRRR

Le bruit de pneu sur les graviers du centre attire l'attention de la jeune rouquine en short et haut de bikini qui s'affaire à récupérer encore un lot de bidons étanches qu'elle va devoir vérifier, nettoyer et ranger dans la remise.

"Encore des nouveaux arrivants? Mais ça n'arrête pas aujourd'hui!" Depuis 08h00 ce matin, Manon, 18 ans, court dans tous les sens. Avec l'arrivée du week-end du 14 juillet, bon nombre de clients remettent leurs canoës et autres kayaks pour qu'ils soient presque immédiatement réassigner à de nouveaux groupes de touristes.

En ce début d'après-midi, la sueur dégouline abondamment entre ses seins, et elle sent le tissu de son slip de bains s'insinuer entre les lobes fessiers tout potelés secoués de droite et de gauche sous son léger short en coton. Mais pas le temps de le remettre en place, et en plus si de nouveaux clients se pointent encore, ça la foutrait mal de remettre en place la culotte sur son cul.

La curiosité l'emportant sur l'urgence de ranger les derniers bidons, elle porte son regard émeraude sur le van parisien qui vient de s'arrêter derrière elle. "Un couple et leur fille, c'est pas habituel ça! Mais what ze..." La rouquine est doublement surprise lorsqu'elle voit que la petite bonde qui saute du van n'est pas une pré-ado, mais plutôt une jeune fille d'un très petit gabarit

Bien incapable de donner un âge à la nouvelle arrivante, elle ne peut s'empêcher de jauger ses formes très féminines. Une belle paire de seins rondouillards, un joli petit boule tout rebondi et bien moulé dans son mini short de parisienne.

-Bonjour Yvon, comment allez-vous?

-On ne va pas commencer les bourgeoiseries, si? On avait dit qu'on se tutoyait.

-Oui pardon... Comment vas-tu Yvon?

...

Ben apparemment Yvon les connaît bien, mais Manon ne les a encore jamais vu. "En même temps, c'est pas mes affaires non plus!" Elle se remet au travail et s'occupe des tâches comme le font tous ses copains qui bossent avec elle dans le centre.

Lorsqu'elle ressort du cabanon, elle observe, légèrement distraite, les vas et vients de son patron avec la fille des nouveaux venus, puis elle suit du coin de l'œil la fille et sa mère qui quittent déjà la propriété. Le quadra plutôt beau gosse qu'elles laissent derrière elles reprend sa discussion avec le patron.

Yvon, comme à son habitude, fait de grands gestes autour de lui. Il doit décrire les bienfaits de la vie au grand air, sa jeunesse passer à écumer la Loire et la campagne chéroise dans ses moindres recoins, etc... Rien d'inhabituel pour la jeune fille, qui a appris à adorer les exubérances du quinqua.

Ils font maintenant le tour des installations, ses collègues fourmillant dans tous les sens pour préparer les embarcations, charger les remorques ou conduire les clients à leurs spots de départ. Elle de son côté continue à préparer les bidons, et distribuer les gilets de sauvetages à la chaîne.

Mais ça ne la gêne pas, elle travaille tranquilou tout l'été, au soleil, à bronzer sans s'emmerder sur une plage bondée de monde. Sa petite vie d'étudiante lui convient parfaitement. Elle va et vient en train tous les jours depuis Nevers où elle vit en coloc depuis qu'elle a eu son bac et qu'elle a été prise à la fac de droit.

Lorsque Yvon et le quadra refont surface, elle les observe distraitement monter dans le pickup et quitter le site. Elle se retrouve seule, un peu comme d'habitude à finir de ranger le parc alors que les parents d'Yvon tiennent l'accueil.

"Bon allez c'est pas tout ça ma vieille, mais faut s'occuper des parties communes!" Elle se dirige vers les sanitaires pour y passer un bon coup de karsher avant le retour des clients. Elle contourne les cabine, lorsqu'elle remarque le loquet inversé de la dernière.

"Hum, on dirait que Marco a une petite envie!?" Se dit-elle en un sourire coquin.

##### Une petite douche? #####

La douche fraîche de milieu d'après-midi n'est pas pour déplaire à l'intendant de la base nautique. Mais même l'eau froide ne parvient pas tout à fait à venir à bout de l'excitation de Marco qui n'arrive pas à sortir l'image du petit cul potelé de la blondinette de son esprit. Peut-être que la jolie Manon pourra le soulager un peu!

"Putain qu'est-ce que j'lui pêt'rais bien l'cul à cette chienne!" Perdu dans ses pensées perverses envers la jeune Chloé, il sent son mandrin gonfler et durcir entre ses cuisses puissantes. Il faut dire qu'en plus d'être bien pourvu, son barreau de chaise de 25 cm en érection s'accorde parfaitement avec la carrure imposante de son 125kg toujours tonique malgré sa quarantaine.

Avec le corps puissant et athlétique d'un pilier de rugby, et malgré la bedaine due à son âge, le grand chauve en impose dans la campagne chéroise, et ce n'est pas ici qu'il va trouver des michetonneuses à black comme il en pullule dans les boîtes parisiennes. Il n'y a vraiment que la jolie rouquine du centre qui ait accepté de le soulager de temps à autre, d'autant qu'avec les services de cette jolie suceuse, il n'a pas eu plus besoin de chercher de meuf.

"Dommage qu'elle écarte pas les cuisses cette p'tite salope!" Une nouvelle envie de buriner un bon petit trou lui taraude à nouveau l'esprit, lorsqu'il entend le grincement aigu de la porte qui s'ouvre sur lui. "Cool elle a vu le signe!"

-Bonjour beau mec! L'introduction de la légère voix sensuelle de Manon ravive son érection. Eh ben mon cochon, t'es en forme dis-moi!

La main savonneuse du black coulisse le long de son mandrin tendu, alors qu'il l'observe tirer sur le lacet de son soutif:

-Ouais, j'ai besoin d'une bonne vidange ma belle!

Les seins en poire libérés de leur support de tissus, la jeune fille s'accroupit devant le quadra. Elle écarte les cheveux de son visage et les cale, avec ses doigts effilés, et en un mouvement de tête sensuel, derrière ses oreilles.

-HUM... Voyons voir ce qu'on a là, mon salaud!

De la main droite, elle attrape le gros pénis bandé et commence à le branler, faisant difficilement le tour de la trique tendue. Elle lui soupèse les couilles et les caresse en le masturbant à la verticale contre la bedaine de son amant.

Le savon disparaît à mesure que l'eau coule, et la jolie Manon, le regard d'émeraude fixé dans celui de Marco, se redresse et crache sur le gland pour lubrifier la branlette. Elle se baisse à nouveau et se met à lui lécher les couilles qu'elle caresse au rythme de la douce masturbation du grand black.

-Ouais c'est ça ma belle, prends ton temps! Lèche-moi bien les couilles!

-HUM... SMACK... Elle ventouse ses lèvres douces et pulpeuses sur les bourses rasée et les avale comme elle le peut avant de les aspirer en retirant sa bouche.

-Ouais vas-y bouffe moi bien, salope!

Il se restreint, il connaît bien Manon maintenant, au moindre écart de conduite cette petite pute pourrait le laisser en plan, et là il a vraiment besoin de se vider les couilles dans la bouche de cette jeune salope.

Loin d'être frustré, il s'est adapté, comme toujours, et profite dès qu'il le peut de cette bonne bouche de suceuse. Même si elle refuse de se faire baiser par un black, et qu'il lui est impossible de lui péter la rondelle, il a appris à se satisfaire des moments de plaisir qu'elle lui offre.

La rouquine abandonne un instant les bourses pleines pour lui lécher la bite tout du long jusqu'au frein qu'elle titille du bout de la langue, avant de redescendre lui lécher les couilles. Manon continue ce traitement, crachant de temps en temps à nouveau sur la grosse tige de chair, afin d'en faciliter le branlage.

-Vas-y bouffe-moi la bite, p'tite pute!

Il attrape le visage de la jeune fille, avec force mais sans bruscation, entre la pulpe de ses mains blanchâtre, et Manon aligne le gros gland tuméfié avec sa bouche ouverte et gourmande.

-SLURP... HUM HUM HUM...

Elle lui aspire le bout de la queue et le laisse mener la baise de sa bouche humidifiée par l'excitation et la salive. La jeune rouquine a su imposer ses propres limites dès le début de cette relation insolite il y a deux ans. Hors de question que ce marginal ne la pénètre, ni qu'elle avale son sperme "dégradé", elle sait qu'il a eu une vie décousue à la capitale, et elle n'a aucune envie d'en avaler les restes.

En confiance avec cette brute, elle est parvenue à le domestiquer assez rapidement, et elle sait qu'il n'ira jamais plus loin que ce qu'elle est prête à lui offrir. Donc parfois, elle lui laisse un peu de liberté, les mains toujours prêtes à appuyer sur ses cuisses ou son ventre bedonnant, s'il allait trop loin.

-HUN HUN HUN... Bouffe moi ça p'tite chienne!

-SLURP SLURP SLURP...

Manon salive abondamment pour rendre la baise de sa bouche très excitante et mener son amant à l'éjaculation. Elle lui caresse les couilles du creux de la main gauche et essaye d'englober du mieux qu'elle le peut la circonférence de son mandrin pour le branler, tout lubrifier qu'il est de sa bave tiède.

"Putain, comment une fille normalement constituée peut-elle baiser un tel monstre?" Manon est toujours surprise par la taille de ce calibre. Elle peut tout juste lui avaler le gland sans risquer le réflexe nauséeux, jamais elle ne pourrait le prendre en gorge profonde comme elle le voit dans certaines vidéos pornos.

"Putain qu'est-ce qu'elle est bonne c'te pute!" Les lèvres serrées de la jolie rousse autour de son gland le soulage un peu, il en oublie presque la petite blondinette. Mais Marco la garde dans un coin de sa tête, s'imaginant en train de la prendre dans tous les sens et de la faire jouir à la limer de tout son long, il visualise les lèvres distendues de sa chatte alors qu'il la pilonne en enclume, Il se voit écartant ses petits lobes dodus de ses grosses paluches en train de l'enculer en profondeur en bull dog.

-HAN... Oui putain fais moi jouir salope!

Manon sent le gland tressaillir entre ses lèvres, il est à point. Il va bien gonfler et libérer tout le sperme entre ses lèvres. Elle adore bouffer du foutre, mais pas celui de ce marginal qui préfère vivre à l'écart dans son petit camp de fortune, pour lui elle va se contenter d'absorber la pression de ses éjaculats et y noyer sa langue.

Frénétiquement, maintenant, la rouquine lui tétouille le gland qui gonfle et se rétracte sous l'excitation, et elle le branle maintenant, emprisonnant la largeur de son vit entre ses deux main.

-HUM... HUM... HUM... Ces petits cris étouffés deviennent plus aigus à mesure que Marco approche de l'explosion, et c'est l'apothéose!

-HUNNNNNNN... Oh oui putain, prends ça dans ta gueule salope! Il meurt d'envie de gicler sur son visage d'ange perverse, mais il la laisse le vider sur sa langue frétillante.

-HUMMMMMMM

Le foutre se déverse par salves entre ses lèvres. Le sperme glisse sur sa langue, et emplit sa bouche, salve après salve. "Putain, il en avait en réserve aujourd'hui!?" Surprise par la quantité inhabituelle, elle sent la pression lui gonfler les joues, et craint que tout ne déborde et lui salope les pieds.

Heureusement, la source se tarit enfin. Elle parvient à retirer la teub mollissante d'entre ses lèvres qu'elle tente de maintenir ouverte sans vider sa bouche pour autant. Elle sait que son gros nounours aime l'admirer la bouche inondée de sperme blanchâtre. De la main gauche, elle attrape ses cheveux en une queue de cheval improvisée et écarte les cuisses pour recracher tout le foutre entre ses pieds, son doux regard vert clair fiché dans les yeux marrons foncés de son amant.

-SPIT... RRRRRSPIT...

Elle crache les restes de sperme, se râcle négligemment la gorge, puis se rince la bouche à l'eau claire de la douche. Manon se redresse ensuite, tout en ajustant son haut de maillot de bain, un petit sourire coquin au coin de lèvres, encore luisant de bave:

-Eh ben, dites-moi Mr. l'intendant! Y avait la dose aujourd'hui! Qu'est-ce qui vous met dans ces états? Z'aviez vraiment envie de votre suceuse préférée ou quoi?

L'air taquin de la jeune fille alors qu'elle finit de couvrir sa poitrine ne suffit pas à distraire le quadra de la jolie boucles d'or, et il lance maladroitement:

-Nan t'inquiètes, au calme, c'est pas toi!

-Ah ben merci! ça fait toujours plaisir! Mais même le ton bougon de lManon ne parvient pas à chasser la personnalité de cité, qu'il a eu tant de mal à contenir ces dernières années.

-C'est bon fait pas chier, faut qu'je taffe!

Sur cet acte très brutal, auquel Manon n'a encore jamais été confronté, et pour lequel elle se retrouve bien dépourvue, il sort de la douche sans même un regard pour sa jeune pompeuse.

Piquée au vif, Manon restera très loin de Marco pour le reste de l'après-midi. Ce dernier occupé qu'il est à contacter fournisseurs et organisateurs pour planifier les activités des semaines à venir.

Ce n'est qu'au retour de Yvon et de son invité que Manon revoit enfin le colosse. Apparemment le proprio introduit les deux hommes. Chose qu'il ne fait jamais avec les clients. "HUM... Je me demande bien qui tu es toi?"

Toujours sous le coup de la colère contre l'intendant, elle commence à imaginer quel jeu de séduction elle pourrait mettre en place avec le nouveau venu: "Je vais t'apprendre moi! Tous des salauds, vraiment! C'est pas comme si je te vidais pas les couilles une fois par semaine!"

Malgré sa colère, Manon se souvient encore lorsqu'elle est tombée par hasard sur le congolais en train de se changer à la sortie des cabines de douches. La taille de son braquemart l'avait surprise, voire choquée, et ce n'est qu'un peu plus tard qu'elle avait eu le cran de sucer une bite aussi balaise.

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