Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 10

BÊTA PUBLIQUE

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Paul n'est pas mécontent de cette journée. C'est Mike qui lui avait soufflé l'idée, il pensait que trois semaines sans contact avec Lucie pourraient lui donner des envies d'indépendance. Il ne fallait pas lâcher la pression, il voulait la laisser en éveil permanent. Il s'était rangé à ses arguments, y trouvant du sens, son envie de jouer avec elle reprenant le dessus. Ils avaient extrapolé nombre de scénari avant de s'arrêter sur celui-là. Il leur permettrait de voir ce qu'elle serait en mesure d'accepter sans leur présence. Ils la savaient de plus en plus inconsciemment réceptive à ce genre de situation. Même si cela prendra beaucoup de temps elle finira par se l'avouer. Et il est vrai que la journée avait été agréable, l'imaginer en pleine action dans ces cabines avait été presque aussi jouissif que de l'y accompagner! Il se promet de réfléchir à d'autres challenges de ce style.

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Acte 2 - Monologue d'un vagin!

Notre famille a la bougeotte, elle est éparpillée dans toute la France. C'est dans nos gènes ce petit côté explorateur, il doit nous rester de quelques illustres ancêtres inconnus ayant réussi à traverser le gué pour aller brouter une gueuse d'une contrée voisine! Alors une fois par an nous nous retrouvons pour les fêtes de noël, c'est une date que personne ne manquerait, c'est ce qui nous soude, nous fait nous reconnaître et nous apprécier.

Même si la majorité d'entre eux sont encore accrochés mordicus à leur sainte croix, sujet épineux s'il en est sur lequel on évite en général de me brancher afin de ne pas pourrir l'ambiance. Sauf bien entendu si l'on veut me voir monter sur mon cheval de bataille et partir bouter ces idées archaïques et ces inepties sous-jacentes sur la place de la femme dans la société. Oui en général je fais un package quand je pars en croisade! Cela en amuse certains qui en jouent, appréciant me voir démarrer au quart de tour.

Ce malheureux détail mis à part, donc, je m'y retrouve et m'y sens bien dans cette famille aux classes sociales hétéroclites, aux coutumes variées, aux accents parfois chantants dont le patois ne laisse aucun doute sur l'origine du terroir. Les retrouvailles se font toujours dans la plus grande simplicité, comme si nous nous étions vus la veille. Et même si mes parents, encore arc-boutés sur leurs principes de petits bourgeois provinciaux, les voudraient plus guindées, ces rencontres, la bonhomie et la bonne humeur y sont de mise.

C'est l'occasion d'y découvrir la tête des nouvelles naissances qu'un faire part parcouru trop rapidement et laissé sur un coin du bureau nous avait annoncés, de prendre connaissance des aléas de certains jeunes couples qui n'ont pas passé l'année, quelques traces de Voici et de Gala traînent forcément dans les bouches de certaines tantes! Ou encore de rencontrer un récent fiancé amené de force par une cousine impatiente de lui faire profiter de sa future belle famille!

Il est bien d'ailleurs son prochain parti, beau gosse, petit costume dans lequel il est un peu engoncé, il ne doit pas avoir l'habitude d'en porter! Une démarche un peu gauche, je le sens tendu, mal à l'aise devant l'agitation ambiante. Il n'aura pas assez de son séjour pour retenir les prénoms de tous les invités, ma cousine fait les présentations à la volée! Pauvre de lui, quelques jours de calvaire pour forger le bien-être de son couple.

Oncle, tante, cousin, neveu, toute la fratrie se rapatrie dans le grand domaine familial qui se transforme pour l'occasion en auberge espagnole. Chacun se ramène les bras chargés de spécialités locales, rosettes lyonnaises et saucisses en tout genre envahissent la table, des fromages basques embaument une partie de la grange, à l'opposé des bourriches d'huîtres nous font profiter de leurs effluves marins, on entend le cri de mouettes bretonnes en respirant ce filet d'iode qui s'en dégage! Le repas prend forme au gré des arrivées, seule la dinde donnera à ce festin une petite couleur de réveillon traditionnel.

Le domaine de mes parents est un grand corps de ferme rénové. Plusieurs granges ont été réhabilitées en chambre pour la plupart, ce qui permet pour ce genre d'occasion d'héberger une bonne partie des invités. L'une d'elles fait office de grande salle de réception et a été aménagée en conséquence. Forcément dans un petit coin trône une crèche plus vraie que nature!!

La marmaille crie et coure entre les tables, elle évite miraculeusement les jambes des mamies qui, les mains encombrées de succulentes tapas basques et d'une petite flûte de champagne, les houspillent à tout va. Elle se rapatrie dans les jupes de leur mère consoler quelques larmes à la moindre réprimande et repart de plus belle près avoir picoré quelques tranches de saucisses sèches.

Le repas bat son plein, quelques vins de Loire font monter les échanges dans les graves et déclenchent des fous rires de plus en plus fréquents aux boutades légèrement scabreuses d'un grand-oncle réprimandé par sa mégère. Quelques papys éméchés nous massacrent un chant corse ramené d'un été insulaire, le public respectueux salue la performance sans toutefois demander un rappel!

On fait en général les vêpres sur place, il y a suffisamment de maîtrise du guide des cantiques dans l'assistance pour se faire un rapide concert œcuménique avant d'attaquer le dessert! C'est marrant ils croient en dieu, mais pas au père noël, comme quoi les contes pour enfants prennent plus de sens lorsqu'ils sont transformés en contes pour adultes!

Mais je suis en train de vous raconter mes vacances alors que je viens tout juste d'arriver à mon rendez-vous. Il ne faut pas hésiter à m'arrêter quand c'est comme ça, je papote, je papote, c'est plus fort que moi, quand je conduis il faut que je m'occupe.

Paul m'a invité à faire du shopping cet après-midi, étonnant non, vu votre tête je vois que ça vous surprend vous aussi! Ça m'a fait cet effet-là en découvrant son texto avant-hier. Je ne lui supposais pas autant d'éducation. Vous allez me dire, maintenant que je maîtrise toutes les fonctions d'une cabine d'essayage il ne pouvait pas faire moins!

Je le retrouve à la manière d'un couple illégitime dans un parking souterrain du centre-ville. Après les politesses d'usage, il me demande de prendre place dans sa voiture. Moi qui pensais que nous partions pour un shopping. Nous bavardons un moment sur les fêtes comme de vieilles connaissances. Il me demande si j'ai été gâté et pousse la curiosité à connaître mes cadeaux.

En les lui énumérant, je me dis qu'il va vraiment falloir que je prenne le temps de faire une liste l'année prochaine pour éviter de me retrouver avec autant de trucs qui finiront au fond du placard! Il m'offre ensuite le sien, un petit paquet au nœud rouge fluo, je vois que Mr avait besoin d'une petite introduction pour faire son effet! Je le remercie sobrement d'y avoir pensé, son attention me touche, mais je ne m'emballe pas en le déballant, ses présents ne sont jamais désintéressés.

Ça ne rate pas! La boite d'un magnifique gadget sexuel s'offre à moi. Un modèle de vibro qui me surprend et m'intrigue par son allure si particulière! La partie haute de forme oblongue comporte un petit trou, la partie basse, elle, est recourbée à la manière d'un majeur en forme de crochet. Devant mon étonnement Paul me vient en aide et en termes connaisseurs me détaille l'engin.

- Le bas s'insère dans ton sexe, comme tu peux l'imaginer, et vient, grâce à sa configuration adaptée, se positionner contre ton point G. La partie haute va accueillir ton clitoris. Tu le glisses dans le petit trou et tu te laisses emporter par les sensations de cet aspirateur à clito s'enflamme-t-il!

- On ne pourrait pas faire du shopping simplement pour une fois? soupiré-je, car je suppose qu'il ne va pas reporter son essayage pour notre prochaine rencontre, ni offert ce gadget pour occuper mes fins de vacances à des plaisirs solitaires.

- Oui évidement on pourrait, mais ce serait moins drôle j'aime te voir te débattre avec tes envies. Tu n'as vraiment pas envie de l'essayer? Je te sens séduite par l'idée?

- Je n'irai pas jusque-là, mais effectivement sa forme originale me questionne. Je l'essayerais ce soir en rentrant chez moi, promettè-je honteusement pour me débarrasser d'une obligation que je sens arriver à grands pas.

- Allongée sur un lit en nuisette, trop simple, trop confortable, ça manque de piquant tout ça! Je suis sûr que ton clito, tel que je commence à le connaître, va apprécier cette nouvelle compagnie. Mets-toi en mouvement et fais-lui constater tout le confort de ce jouet.

Ça ne sert à rien de tenter de négocier, c'est une résolution que je me promets de remettre au goût du jour l'année prochaine. Je relève ma robe, baisse mon shorty, fort heureusement Paul s'est garé dans un endroit discret du parking, et entame quelques caresses sur mon sexe afin d'accueillir l'étranger plus confortablement. L'introduction est aisée, le vibro est confortable et viens facilement se mettre en place. Je décalotte mon clito sur les conseils avisés de Paul et viens le positionner dans le petit trou prévu à cet effet. Mon shorty remonté, le gadget est maintenu en place, bien au chaud et ne devrait pas me quitter de l'après-midi!

J'avoue, sans honte d'ailleurs, ne m'être jamais vraiment penchée sur mon point G, je ne le connais pas. Je n'ai pas été curieuse, mon clito jusqu'alors, très sensible et réactif, suffit amplement à mon bonheur, lui qui me rabâche sans cesse que rien ne se répète. Aucun de mes amants n'y a prêté attention, aucun courageux n'a tenté d'explorer cette partie méconnue des plaisirs féminins!

Où en suis-je d'ailleurs dans cette quête de l'hédonisme? Il serait peut-être temps de faire un point Q sur mon abécédaire lubrique? Surtout que depuis quelques mois il a évolué bien au-delà de mes envies, je n'en maîtrise plus grand-chose, sans vraiment savoir si c'est pour mon bien!!

A ... comme anal ou accroche-toi ma fille! Un anneau anoblit par un aimable agace-cul, par une anguille de calecif aiguisée.

B ... baisée par de basses biroutes d'une bande de bouseux dans un bar bordélique.

C ... un chaste clito chaviré par de charmeuses et chatoyantes sirènes.

D ... dinde qui se dandine en déambulant, la démarche déboussolée par ce dildo qui la démange.

E ... des exhibitions exacerbées après un effeuillage effarouché.

F ... de farouches fellations d'une folle farandole de phallus.

G ... je gigote, grimace, grogne, gémis, avec ce gadget qui me galoche goulûment mon point G!

Paul vient de mettre son jouet en route au terme de cet abécédaire chimérique et me ramène à la réalité.

- On va y aller progressivement, je n'ai mis que le vibro en marche, il a une douzaine de vitesses et autant d'intensités différentes, je ne suis pas persuadé que l'après-midi soit suffisant pour tout découvrir! m'informe-t-il en jouant avec l'application sur son smartphone qui lui permet de le gérer discrètement.

Son effet est immédiat, une légère et douce vibration vient remplir mon sexe. J'essaie de m'en détacher et reviens à l'objet de ma présence dans ce sombre parking.

- À quelle occasion cette invitation à flâner dans les boutiques Mr?

- Je trouve que tes tenues, lorsque tu viens chez moi, même si tu as déjà bien progressé, ne sont pas encore à la hauteur de mes attentes. On va arranger ça et t'en trouver deux acceptables. Tu pourras ainsi affirmer tes goûts, je te les offre!

Je ne relève pas la remarque, tant que c'est lui qui tient le porte-monnaie je ne vais pas me priver pour garnir ma garde-robe!

- Nous allons démarrer par un magasin de chaussure, celles que tu as au pied ne vont pas avec ta robe.

- Elles ne sont pas là pour l'esthétisme, mais pour leur confort!

J'ai mis ma tenue de baroudeuse, celle adaptée aux léchages de vitrine avec mes amies. Une petite veste, une robe sans boutons qui s'enlève facilement, un petit détail technique qui permet de ne pas perdre de temps lors de l'essayage (!) eh oui on en fait plus comme ça et une paire de chaussures, peu élégantes certes, mais qui me permet d'enchaîner les boutiques sans fléchir.

En nous rendant quérir ces escarpins souhaités, il s'amuse à me faire apprécier les différents modes de variations disponibles pour le vibro. Je passe du cha cha cha aux battements de cœur, fais un détour par une série de vagues aux intensités variables et finis dans les loopings d'une montagne russe ... De belles gammes, diversifiées, qui, malgré mes tentatives de désintéressement, mettent mon point G aux aguets, attentif à la suite.

Une petite pause m'est accordée en arrivant à destination, me laissant plus facilement me concentrer sur mes choix. Mais ceux-ci ne sont pas sans condition! Paul est difficile et ce n'est qu'à la 6eme paire amenée par la jeune vendeuse, qui fait preuve d'une belle patience devant son exigence, qu'il donne son aval. Allez plus qu'une à trouver! Alors que je vais pour lui désigner un autre modèle, une nouvelle sensation vient de prendre possession de mon sexe, c'est mon clito qui vient de découvrir les effets de l'aspirateur. Il me laisse bouche bée, le doigt tendu dans une vague direction, répondant d'un simple hochement de tête au « celles-ci » de la jeune femme m'en proposant une paire. Ce n'est pas la bonne, mais qu'importe, je ne pouvais pas m'exprimer!

Paul s'amuse avec sa télécommande, essayant de me décontenancer à chaque essayage ou lors de mes échanges avec la vendeuse, il joue à faire vibrer mon clito. J'ai bien tenté de l'en dissuader discrètement, mais sans résultat, pourquoi l'arrêter alors que j'aime prendre du plaisir me renvoie-t-il. Une seconde paire est enfin validée, je vais repartir avec aux pieds pour lui faire plaisir, non en fait il ne me laisse pas le choix là! Car il en veut une 3eme et pour celle-là il a, a priori, une idée bien précise. Un petit détour par l'accueil de la poste centrale pour y retirer un colis en instance, pendant lequel le compagnon de mon sexe me laisse tranquille, me permet de dévoiler en ouvrant le paquet la nouvelle paire d'échasses qu'il a commandées pour enrichir ma collection. Des Louboutins d'un noir intense, aux courbes fines et arrondies et aux hauteurs vertigineuses! Direction l'Himalaya avec ça. Perchée je vais être! Un stage à l'école du cirque située non loin de mon quartier va être nécessaire pour les maîtriser celle-là!

En repartant le vibro reprend sa douce musique, Paul lui fait interpréter ses deux gammes simultanément. Ça pulse, ça pulse, ça pulse, ça vibre! Ça pulse, ça pulse, ça pulse, ça vibre! Moi qui ne supporte pas les soirées technos! Côté point G le réveil est rapide, j'ai encore la membrane gorgée de désir, côté clito c'est le branle-bas de combat, l'aspirateur, qui avec son système d'onde, produit un effet de succion intense et de pression sur tout le pourtour de son gland, génère une stimulation incroyable. Ces vagues d'onde successives parcourent mon clito jusqu'à la racine pour se propager ensuite dans l'ensemble de mon vagin. Ça tapote vite, ça pulse, comme la toile d'une batterie, vous visualisez un pivert et bien c'est un peu ça avec en prime une vibration sur toute la partie externe de mon clito, il est gonflé à bloc là, l'afflux sanguin décuple son plaisir!

Je viens de m'arrêter devant un magasin de bricolage, je ne suis pas crédible, j'ai horreur de ça, mais j'ai besoin de laisser passer cette vague de chaleur qui vient de me submerger. Paul respecte mon silence, souriant à mon faciès qui grimace et à mes cuisses qui se frottent malgré moi. Les sacs de chaussures me donnent au moins une contenance.

Après cette envolée, je sens très vite que cet après-midi de shopping va être un cauchemar de plaisir. Nous reprenons nos emplettes, enchaînant les boutiques de lingerie, je fais d'ailleurs sensation dans la suivante où le regard intrigué de la vendeuse en me voyant arrivée rouge écarlate en cette période un peu fraîche me perturbe.

Le rythme est soutenu, difficile de flâner, nous sommes malgré nous entraînés par cette foule qui déambule à grands pas dans cette ambiance électrique d'entre fêtes. Les ultras retardataires profitent de cet entre-deux pour terminer leurs cadeaux, d'autres sont déjà dans les préparatifs du réveillon du 31 à courir après leurs réservations de crustacés, certains viennent entrevoir ce qu'ils vont pouvoir s'offrir avec leur carte cadeau et croisent les immanquables retours des doublons imprévus.

Les vitrines sont radieuses, toutes décorées, d'un simple et sobre « joyeuses fêtes » jusqu'à la crèche en santons pour les plus pointilleuses, certaines se détachent et font preuve d'un peu d'originalité avec des décos bien plus rococo. Le gang des pères noël est en action, mais heureusement Diefenthal n'est pas de sortie pour les arrêter. Ils accaparent les regards des bambins, photos, bonbons, ballons tout est bon pour aller caresser la barbe blanche de ces papys venus de ces grands froids du nord.

Un grilloir à châtaignes en forme de locomotive nous met l'eau à la bouche. À proximité, un sdf, fan de Ferrat, fredonne allègrement en faisant la manche une version très personnelle de « Que ferais-je sans toit? ». Au gré des boutiques Paul fait des pauses et me laisse récupérer de mes débuts de petites suées sinon, comme le disais précédemment, je n'aurai plus ma tête aux achats. Il a d'ailleurs l'exigence du client averti et pinaille sans cesse sur d'infimes détails. Il relève en connaisseur et parvient à ses fins sans prendre de haut les vendeuses. Tout un art.

Lors de l'essayage d'une robe, bien trop moulante à mon goût, qui ne dispose que du strict minimum syndical pour cacher ma culotte, qu'une reprise aussi vicieuse qu'inattendue des hostilités du vibro déclenche subrepticement l'orgasme laissé à la porte de la boutique pour cause de bienséance recommandée. Je suis cueilli à chaud, il me désarçonne! Je tente un rétablissement désespéré en prenant appui sur la porte de mon isoloir. Le morceau de tissu se dérobe et ma main rentre en contact avec le dos de Paul qui, en cerbère de la cabine, m'évite une sortie épique et inconvenante dans ce magasin chic!

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Paul est satisfait de sa nouvelle acquisition, elle provoque vraiment les effets escomptés. Il savait qu'elle ne résisterait pas longtemps à une sollicitation aussi intense de son clito, même si pour l'instant il ne délivre qu'avec parcimonie les somptueuses vibrations.

Il se demande combien de fois elle serait capable de jouir avec ce joujou actionner en permanence pendant une heure. Il testera ça cet été, il la voit déjà, pas en haut de l'affiche ... quoi que, mais allongé dans le transat au milieu du jardin, les mains attachées pour une fois, elle serait incapable de résister et l'arrêterait certainement sinon.

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Après avoir écumé la moitié des boutiques du centre-ville, je me retrouve avec deux tenues complètes à son goût. Il a choisi également un tablier de soubrette au ton rouge et un 3ème ensemble qui dénote par sa vulgarité, un choix surprenant pour quelqu'un dont la garde-robe est toujours élégante et sexy. Il est resté très mystérieux sur son utilisation. Je vous laisse juge sur son style ... les Louboutins aux talons démesurés énoncés tout à l'heure, une paire de bas résille autofixants noirs aux larges mailles et à l'imposante jarretière en dentelle, une mini robe caraco moulante d'un rouge assez vif, au col carré maintenu par de minimaliste bretelles, qui dessine de façon obscène mon 90d et dont le bas couvre tout juste mon shorty.

Je vois que vous avez la même impression que moi, le tout assemblé, sans aucun sous-vêtement, me fera de très près ressembler à la dernière des catins de la ville ... C'est j'espère une tenue d'intérieur!

Après avoir déposé notre palanquée de paquets à la voiture, un petit trajet en tramway nous amène dans un sex-shop en bordure du centre-ville. Sa devanture assez imposante est bien agencée, c'est sexy, à l'érotisme clairement affiché, mais sans vulgarité. J'en avais entendu parler, Lyse y achète tous ses jouets et en est fan, c'est le plus prisé de la ville m'a-t-elle dit. Perso je n'ai jamais osé y mettre les pieds, mon mini vibro commandé sur le net me convient parfaitement pour l'instant. Tout juste entré, Paul va directement voir le vendeur.