L'oncle Georges 02

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Je retourne chez l'oncle Georges.
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Chapitre 2

Mes visites chez mon oncle et ma tante me faisaient entrer dans un monde parallèle. J'étais si curieuse et excitée que j'attendis deux jours seulement avant de reprendre le chemin de leur grande maison de location. J'avais ressorti de mes placards un crop top de coton blanc tricoté que je n'osais plus porter tant il était petit pour mes gros seins. La limite inférieure du vêtement voisinait dangereusement avec les courbes de ma lourde poitrine et j'avais un peu peur qu'il ne la libère d'un coup en sautant par-dessus. J'étais certaine de faire beaucoup d'effet à l'oncle Georges, mais aussi à tante Audrey. Pas de soutien-gorge, bien sûr, une culotte blanche de jeune-fille sous ma mini-jupe et des sandalettes à talon pour faire saillir un peu mes fesses. Je me sentais très salope.

En roulant à bicyclette jusque chez le tonton, le vent soulevait gaillardement ma jupette et me rafraîchissait l'entrecuisse. Je m'amusais à imaginer ce que les automobilistes croisés sur la route devaient en penser.

Tante Audrey m'ouvrit toujours chic, même en vacances, dans une longue robe fleurie. Sous la soie, j'aurais parié qu'elle ne portait rien et je devinais le relief de ses bouts-de-sein.

-- J'ai mis ton oncle au ménage. Viens le voir.

Le pauvre Georges totalement nu balayait la terrasse extérieure. Deux pinces ornées de clochettes pendaient à ses tétons d'homme.

-- Ça ne lui fait pas mal, ma tante ?

-- Tu parles ! Et comme ça, je peux savoir tout le temps où il est. S'il essaie de se branler, j'entends les grelots tintinnabuler et je peux intervenir.

Le tonton légèrement ventru n'était pas dans la prime jeunesse, mais j'aimais bien voir son sexe grossir dès qu'il posait le regard sur moi.

-- Quel vieux cochon ! Je vais devoir lui enfoncer son plug.

J'ignorais tout de la chose, mais ne voulus pas passer pour une gourde et suivis donc ma tante à l'extérieur. L'oncle Georges gardait les yeux au sol et me salua d'une petite voix.

-- Tu es très jolie aujourd'hui, Béa, murmura-t-il.

C'était drôle d'entendre ses clochettes tinter à chacun de ses mouvements. Audrey lui reprocha de bander face à sa nièce et lui ordonna de se retourner en appui sur la table de jardin et d'écarter les fesses. Je compris ce qu'était un plug devant l'objet en silicone, imitation parfaite d'un sexe masculin bien membré, que tante Audrey enduisait de lubrifiant. Elle s'apprêtait à le lui enfoncer dans l'anus.

-- Ça t'amuserait de le faire ? Me proposa-t-elle d'un coup.

Je rougis, mais avouai que ça ne me déplairait pas. Je saisis l'objet par son manche qui représentait une queue-de-cochon de la même couleur que le reste. Je pris le temps de l'observer un peu avant de m'approcher du tonton et de m'agenouiller pour mieux viser son trou du cul inratable tant il semblait désireux d'en offrir le spectacle à tout le monde. Ce n'était pas très attirant, mais de voir mon oncle ainsi dominé me faisait des choses. Je posai donc le bout du plug en forme de gland sur l'anus et appuyai doucement. J'observai le petit trou s'ouvrir progressivement pour avaler l'objet comme une bouche qui aurait tété une banane. C'était très inconvenant.

-- Tu vois, intervint ma tante, ça rentre tout seul. Il adore ça travailler avec sa queue-de-cochon.

Oncle Georges me remercia. Son sexe avait encore gonflé et je fus saisie d'une forte envie de le prendre en main. Ne te retiens pas, me proposa Audrey qui semblait lire dans mes pensées, branle-le un peu, ça lui donnera du courage pour la serpillière. Ne bouge pas, ajouta-t-elle, je vais t'aider à la faire grossir. Elle passa aussitôt derrière moi et releva le bas de mon crop top au-dessus de mes seins. Oncle Georges en gémit de plaisir et je ne dis rien. Je crois que j'étais contente qu'Audrey prenne cette initiative et fière de lui montrer ma poitrine. Je la laissai même enlever complètement mon haut par la tête. Mes nichons étaient nus et j'en étais très satisfaite. Je branlais lentement le tonton qui avait les yeux rivés sur mes grosses loches. Tante Audrey ne tarda pas à y poser les mains et à les caresser tendrement. Elle les soupesait en expliquant à son mari combien ils étaient lourds, et fermes, doux et pâles. Elle les lui offrait. Mais ils ne sont pas pour toi, ajouta-t-elle.

Elle lâcha ma poitrine un court moment puis revint se coller à mon dos ; elle avait dans chaque main une pince à linge en bois et je devinais son projet. Ma tante, protestai-je, ça doit être terriblement douloureux. Ne sois pas sotte et laisse-toi faire, répliqua-t-elle, donne un peu de ta personne. Elle reprit ses caresses, plus appuyées cette fois, se concentra sur mes tétons, les pinça, les étira, les tordit. Je poussai de petits cris tout en m'occupant de la bite de mon oncle. Une vraie princesse aux petit-pois, commenta Audrey, je les fais grossir pour qu'ils résistent mieux à ceci.

Et, sans me prévenir, elle ouvrit les pinces à linge et les planta simultanément sur mes deux bouts-de-sein. Une véritable horreur ! Je lâchai le tonton et criai. Tante Audrey me retourna et me gifla très fort sur les deux joues. Tais-toi, petite idiote, ça ne fait pas si mal et regarde-toi comme tu es belle ainsi !

Face à moi, je me vis dans un grand miroir en pied. Une vache ! Une véritable laitière ! Je ne pus m'ôter cette image de la tête tant les pinces à linge grossissaient ignoblement mes tétines et les faisaient ressembler à des pis d'animal. Les claques de ma tante m'avaient rougi les joues et je me trouvai belle et terriblement désirable.

-- Ne joue pas à Narcisse, reprit-elle, il a mal fini. Mets-toi à quatre pattes, je vais te donner ta première fessée. Ta mère a sûrement raté ton éducation de ce côté-là.

J'obtempérai comme hypnotisée par Audrey. Je me retrouvai tel un animal devant mon oncle dont la queue s'agitait à quelques centimètres de mon visage. Je savais bien ce qu'il voulait et j'en avais envie, mais j'attendais les ordres comme une chienne à l'arrêt. Mes seins me brûlaient, mais je ressentais plus de plaisir que de souffrance au contact des pinces. Je réalisai enfin que je jouissais de ma douleur et de ma honte. Je rougis plus encore, mais ni mon oncle ni ma tante ne le remarquèrent. Audrey se pencha au-dessus de moi pour caresser mon dos et flatter mes nichons comme les tétines d'une bête puis elle se plaça derrière moi et remonta ma jupette sur ma taille. Seule ma petite culotte de coton blanc sauvegardait encore ma pudeur.

-- Tu as un très beau cul, tu le montreras à ton oncle tout à l'heure. Tu as déjà pris un garçon en bouche ?

-- Oui, ma tante et j'aime bien sentir grossir leur truc sur ma langue.

Je reçus deux fortes claques sur mes fesses. Le bruit me surprit plus que la douleur et je me plus à la chaleur qui montait autour de mon bas ventre.

-- Tu es une vraie dévergondée, commenta ma tante. Allez suce ton oncle, tu lui feras plaisir, mais ne le mords pas pendant la fessée.

Georges ne se le fit pas dire deux fois et me tendit sa grosse queue dure comme du bois. Je l'avalai gloutonnement ayant complètement oublié qu'il était le mari de la sœur de ma mère et qu'il avait trente ans de plus que moi. À peine avais-je commencé à téter cette belle queue que la fessée démarra vraiment. Tante Audrey savait s'y prendre. Elle alternait les coups sur chaque fesse, changeait d'endroit pour me chauffer toute la peau et je ne tardai pas à gémir à chaque claque. On n'entendait que mes bruits de succion, celui des gifles qui me martyrisaient le popotin et les clochettes de l'oncle Georges qui tintinnabulaient.

Tante Audrey arrêta ses coups pour caresser mes fesses à travers ma petite culotte. Elle glissa même sa main entre mes cuisses et la passa doucement sur mon sexe. Je crois que tu aimes les punitions, souligna-t-elle, en constatant combien j'étais humide par là. Reprenons ! Cette fois, elle découvrit presque complètement mon popotin en rentrant ma culotte dans ma raie. Nous allons faire rougir cette merveille, commenta-t-elle. La fessée devint plus douloureuse, car le mince tissu de coton ne me protégeait plus. Je geignais doucement tout en suçant avec plus d'application la queue de mon oncle comme j'aurais pu serrer un doudou pour oublier un chagrin. Je sentis qu'il n'était pas très loin de juter et comme par miracle la fessée s'arrêta alors que je ne retenais plus mes larmes.

-- C'est bien, me félicita ma tante, tu as de l'endurance. Je le dirai à ta mère !

Je n'eus pas le temps de réagir que je dus tourner sur moi-même pour présenter mes fesses rouges et quasi nues à l'oncle Georges. Sa femme lui ordonna de se finir vite et l'autorisa à juter sur mon cul. Elle se plaça à genoux à mes côtés et me caressa tendrement le visage en séchant mes pleurs. Elle me donna son index et son majeur à sucer tout en me flattant de nouveau les seins et en me titillant les tétons à l'aide des pinces à linge. En quelques instants, le tonton cria de plaisir et je sentis ses jets de sperme chaud atterrirent sur mes fesses. J'étais fière et heureuse. J'avais le sentiment d'avoir trouvé ma place au monde. Georges s'écarta de moi, ma tante se mit à me masser le cul avec la semence en me félicitant de mon bon comportement. Je la remerciai tandis que ses caresses se faisaient de plus en plus proches de mon sexe. Au moment où je crus qu'elle allait enfin se décider à me branler, tout s'arrêta.

-- Ce n'est pas encore pour aujourd'hui, jeune fille ! Rhabille-toi et rentre chez toi ! conclut-elle en riant. Regarde-la, Georges, une véritable petite chienne en chaleur.

Je la jugeai bien injuste et me redressai les larmes aux yeux. Elle choisit ce moment pour ôter d'un seul coup les pinces de mes tétons. Je hurlai tant la douleur du sang retrouvant sa place au bout de mes seins me déchira le corps. Alors enfin, tante Audrey fit preuve de tendresse et me serra contre elle en me consolant. Elle m'embrassa, me caressa le dos et les fesses, me massa la poitrine en me susurrant mille gentillesses.

- Reviens vite nous voir ! me dit-elle tandis que je remontai sur ma bicyclette.

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AnonymousAnonymeil y a 5 mois

vivement la suie

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