L'oncle Georges 03

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Nouvelle soirée à la maison.
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Chapitre 3

Mais je n'eus pas le temps de les revoir avant que ma mère ne les invite à dîner le samedi suivant. Mon père était d'accord, mais de toute façon, il acceptait toujours les idées de maman. Après tout, elle était la sœur d'Audrey et je me demandai in petto si, elle aussi, traitait son mari comme Audrey faisait du sien. J'étais tout de même un peu inquiète, car je ne savais pas très bien ce que ma tante avait pu raconter à maman. Du coup, ce soir-là, je m'habillai sagement et décidai de me faire oublier. Je me transformai en gentille grande fille, mettant le couvert et préparant les salades tandis que mon frère Hubert — tout le monde disait Hub — passait son temps sur sa console de jeux. On ne le lui reprochait pas, car lui au moins avait choisi des études « sérieuses » au dire de mes parents. Il brillait dans une école d'ingénieurs où il apprenait la logistique. Quelle barbe! Ce soir-là d'ailleurs, il s'était trouvé une bonne raison de ne pas être présent, une sortie cinéma avec des copains — je soupçonnai surtout son béguin pour Célia, une fille du coin dont Hubert s'était entiché.

On sonna à la porte et j'allai ouvrir sur une tante Audrey magnifique, très maquillée dans sa une jupe courte et droite qui lui moulait les fesses et son chemisier largement échancré sous lequel je voyais bouger ses seins. Juste derrière elle venait l'oncle Georges en short de garçonnet et polo trop petit qui lui boudinait le bidon. Je ris et ma tante sourit de ma réaction avant de m'embrasser en déposant subrepticement ses lèvres sur les miennes. La soirée promettait fort.

Maman retrouva sa sœur avec grand enthousiasme et s'amusa elle aussi de la tenue de l'oncle Georges qui gardait, lui, les yeux au sol.

-- Audrey m'a raconté que tu avais découvert les penchants vicieux de ton gentil tonton, me murmura maman à l'oreille.

Je rougis, mais acquiesçai et avouai même avoir pris du plaisir à le châtier pour ses vilains regards en coin. Cela fit rire ces dames. À cet instant, papa sortit de la cuisine — c'était en général lui qui préparait le repas les soirs de tralala — un tablier de femme autour du cou qui lui descendait jusqu'à mi-cuisse.

-- Tourne sur toi-même, lui ordonna maman d'un ton sec. Montre à ton beau-frère et à ta belle-sœur comment tu te promènes devant ta fille!

Je ne pus retenir un « Oh » de surprise. Papa était nu sous sa petite tenue de cuisinière rose ornée de pâquerettes, d'une licorne et d'un message ambigu « Je suis la cheffe ».

Tante Audrey rit de bon cœur en passant son bras sur mon épaule. Tu as tout compris ma jolie Béa, commença-t-elle, ton père a les mêmes penchants que ton oncle. Je crois bien que ta mère et moi, nous les avons choisis pour cela. Je souris à mon tour, mais n'étais pas tout à fait sûre de trouver ma place dans cette fiesta. Je me sentais un peu dépassée.

Comme elles étaient sœurs, maman et tante Audrey se ressemblaient pas mal, mais cette dernière était plus élancée que ma mère dont je tenais sans doute ma poitrine généreuse. Ce soir-là, elle s'était habillée simplement, mais des petits détails comme les boutons du chemisier ouverts et la jupe fendue sur des bas chair laissaient penser qu'elle s'était spécialement préparée.

Les deux femmes m'invitèrent à les rejoindre au salon tandis que les hommes s'occupaient de l'apéritif et du dîner. J'avais du mal à me détendre, car je me demandais quelle serait ma place dans ce quatuor pervers. Et puis, voir les fesses de mon père nues me troublait plus que celles de l'oncle Georges.

-- Tu es bien sage, ce soir, remarqua tante Audrey. Tu n'as plus envie de me montrer tes gros lolos? Je suis certaine qu'aujourd'hui, tu as mis une culotte!

Je rougis comme une écolière et ris gênée, comme si j'avais tout oublié de ce qu'il s'était passé entre nous. Heureusement, l'oncle Georges et papa arrivèrent à ce moment-là portant un plateau d'apéritifs divers et de petits canapés préparés à la cuisine. Audrey et maman demandèrent des whiskys et je décidai de les accompagner pour me donner un peu de courage. Mon père servit les verres et quand ce fut au tour de ma tante, elle lui plaqua la main sur l'entrejambe à travers son tablier.

-- Elle n'est pas bien grosse aujourd'hui, mon cher beau-frère. C'est la présence de Béa qui vous intimide?

Papa ne répondit rien, mais ne se déroba pas non plus à l'attouchement.

-- Pourtant ma sœur m'a avoué que vous mâtez votre propre fille sous la douche par l'entrebâillement de la porte, reprit tante Audrey.

Je suffoquai le nez dans mon whisky et maman acquiesça précisant que c'était un petit jeu qu'ils avaient tous les deux à la demande de mon père.

-- Tu sais bien, Audrey, avoua-t-elle, je luis octroie quelques divertissements parfois, mais je peux te garantir qu'il le paie cher!

-- Qu'en penses-tu Béa? m'interrogea ma tante.

Je fus tout d'un coup saisie d'une saine colère, me levai, me plaçai derrière papa et lui assénai une franche claque sur ses fesses nues. Je lus des encouragements dans le regard d'Audrey et continuai à le punir sans réfléchir plus avant. Je frappai alternativement ces deux fesses un peu molles sans retenir ma force. J'avais le sentiment de me vider de quelque chose comme si j'avais toujours su en fait que ces deux pervers me mâtaient sous la douche. Tante Audrey continuait à lui peloter la bite et remarqua, presque choquée, que ce cochon prenait plaisir à être fessé par sa propre fille.

-- Il bande, le salaud, il bande! annonça-t-elle en écartant le tablier rose et en lui saisissant la queue à pleine main.

Oui, papa bandait parce que je le punissais! La réalité de la situation m'apparut dans toute sa perversité et j'arrêtai là ma fessée presque gênée par ce que j'avais fait. On entendait une mouche voler ; l'oncle Georges avait les yeux au sol et ma mère se taisait. Je me souvins tout à coup qu'elle faisait partie de la bande et qu'elle avait avoué m'avoir elle aussi reluquée dans la salle de bains pour avoir soi-disant une bonne raison de punir papa. Foutaises!

-- Et toi, maman, commençai-je, tu en as bien profité? Viens là! lui ordonnai-je en montrant un fauteuil vide. Mets-toi à genoux et pointe bien tes grosses fesses vers nous.

Elle regimba légèrement en appelant au lien qui nous unissait et à l'immoralité de ce qu'il se passait. Tante Audrey rit, prit sa sœur par la main et la plaça sur le fauteuil, face au dossier en lui demandant de se cambrer. Maman s'exécuta, comme si elle prenait plaisir à se montrer dans cette position au reste de la famille.

Ma colère s'était légèrement dissipée dans la bonne raclée passée à mon père et à présent j'avais aussi un désir sensuel d'imposer la même leçon à ma mère. Je crois que son corps épais m'attirait. Je pris mon temps, je posai ma main sur son dos et appuyai pour accentuer sa cambrure. Elle avait quand même un sacré fessier bien large et tout rond. Je relevai doucement sa jupe fendue sur ses cuisses et m'arrêtai un instant juste à la lisière de ses bas. Derrière moi, le silence était profond, mais je sentais trois paires d'yeux suivre fixement mon ouvrage. J'eus un peu de mal à passer le vêtement au-dessus des hanches, mais maman se trémoussa pour m'aider. Quelle salope! Elle portait en guise de culotte un truc improbable en dentelle blanche qui lui laissait la raie des fesses à nu et s'écartait bien de chaque côté des miches pour souligner leur rondeur. Je me mis de côté pour que chacun pût en profiter.

-- Ta mère a toujours eu ce côté pute, commenta tante Audrey. Ça vous plaît mes cochons? ajouta-t-elle à l'adresse de son mari et de mon père.

Pendant l'effeuillage de maman, l'oncle Georges avait sorti sa queue de son short. Les deux hommes étaient comme deux chiens en arrêt devant un morceau de viande ; leurs bites dressées pointaient vers les fesses nues de leur femme et belle-sœur. Je ne pus m'empêcher de caresser la peau blanche de maman et j'imaginai déjà les marques rouges que j'allais laisser sur son épiderme. Aussi perverse que mes parents, je passai même l'index entre ses deux gros globes. Je n'appuyai pas, mais j'entendis ma mère gémir plus de plaisir que de gêne. Puis je commençai ma fessée. J'adorais ça. Le cul était vaste et un peu mou ; chacune de mes claques le faisait bouger et le marquait d'une belle empreinte. Maman geignait et couinait des petits cris de douleur de temps en temps. Mais je n'y croyais pas et frappais à pleine main sur le côté, de haut en bas, en aller-retour et même en plein milieu de son popotin qu'elle voulait tant faire admirer. Elle écarta subrepticement les fesses pour mieux se donner en spectacle et, en me penchant un peu, j'eus un aperçu ombreux de son anus et de sa touffe de poils entre ses cuisses.

Je m'amusais à essayer de marquer de ma main toute la surface de chacune des fesses offertes. Maman ne cria pas une seule fois comme si elle était habituée à ce traitement. Ce fut moi qui m'arrêtai le poignet fatigué. Dans le silence, sa petite voix me remercia avouant qu'elle l'avait bien cherché.

-- Tu ne m'as pas raté, ma chère fille, continua-t-elle. Demande à ton père et à ton oncle de venir me rafraîchir le cul.

Je n'eus pas le temps de dire un mot que les deux hommes, queue au vent, s'agenouillèrent derrière elle et se mirent chacun de son côté à lécher méticuleusement les grosses fesses rougies de maman.

Audrey s'était placée derrière moi et me pelotait consciencieusement les seins à travers mon tee-shirt. Elle ne tarda pas à le soulever et je la laissais me le passer par-dessus la tête. J'étais hypnotisée par le spectacle de ma mère que les deux hommes léchaient maintenant très précisément de l'anus au con. Elle semblait apprécier la caresse, écartait autant qu'elle le pouvait son entrecuisse et avait même la main occupée à se fourrager entre les grandes lèvres.

Une fois mes gros seins dénudés, tante Audrey me fit tourner autour du fauteuil pour me placer devant maman. Elle n'osait pas me regarder dans les yeux, mais, bien appuyée sur le dossier du siège, elle étendit les bras et posa ses deux mains sur mes seins.

-- Ils sont tellement gros tes nichons, ma fille, je ne peux même pas les prendre complètement.

Elle se mit à les malaxer sans douceur, à en éprouver l'élasticité, la rondeur, le poids. Quand enfin elle joua avec les bouts, je ne pus retenir mes gémissements de plaisir.

-- Tu es bien comme ta mère, tu adores qu'on te flatte les mamelles.

- Tu voudrais voir les siennes? me demanda tante Audrey.

J'acquiesçai d'un simple signe de tête et maman se redressa en me suggérant d'ouvrir son chemisier. Je crois que je rougis, mais je m'exécutai tandis que les deux hommes de l'autre côté du fauteuil s'agenouillèrent pour suivre le mouvement et continuer à lécher son cul en la branlant hardiment à quatre mains. Elle poussait de vrais cris de plaisir.

Alors, aidée par tante Audrey qui avait à l'évidence elle aussi envie d'y mettre les mains, je déboutonnai ma mère et lui enlevai son chemisier. Elle sentait un peu la femme excitée et en sueur et je remarquai qu'elle ne se rasait pas les aisselles. Je trouvai ça tout à coup terriblement érotique. Son soutien-gorge était aussi tordu que sa culotte. Il me sembla sage jusqu'à ce que tante Audrey me montrât comment fonctionnait une brassière d'allaitement. De petits volets de tissu blanc pouvaient se détacher et libérer les mamelons couronnés de deux gros bouts sombres et érigés qui faisaient penser à des pis de vache.

-- Tu reconnais tes nichons, j'espère, ma jeune nièce? Demanda Audrey tout en pinçant mes propres pointes de seins à m'arracher de petits couinements de douleur.

Maman sourit et je ne pus résister à la tentation de me pencher vers ses mamelles et de prendre en bouche son gros bout tout rond, comme j'aurais gobé un chamallow. Je posai instinctivement mes mains sur ce néné et le malaxai comme pour en faire venir le lait. Ses nichons étaient moelleux et lourds ; j'avais envie de m'y perdre. Tante Audrey se mit à palper et soupeser l'autre sein qu'elle semblait vouloir comparer avec les miens.

-- Tu as bien ramolli, ma chère sœur. Je me souviens quand tu étais aussi ferme que Béa. Tu as encore les pinces avec lesquelles on jouait gamines?

Maman répondit d'un simple mouvement de tête. Elle était pour le moment au bord de l'orgasme et se mit à crier qu'elle venait, que les deux cochons la faisaient jouir et qu'elle voulait une pine en bouche et une en con. L'oncle Georges fut le plus rapide à se déplacer et je dus bouger pour que maman puisse lui gober la queue. À l'arrière, papa fit ce qu'on attendait de lui et j'entendis les bruits d'éponge mouillée qui rythmait ses va-et-vient dans le vagin d'où j'étais sortie vingt ans plus tôt. Cette pensée ne me gêna pas. J'étais aussi excitée que les quatre adultes à mes côtés. Je tournais autour de maman pour voir les queues lui entrer dans le con et la bouche. Tante Audrey m'accompagnait. Elle me jetait les mains aux seins avec rudesse et ne tarda pas à me demander de me mettre complètement nue. J'obtempérai impatiente de me montrer et ôtai ma jupe sage et ma culotte de coton blanc. Sans même m'en rendre compte, je tournai sur moi-même pour faire admirer la chair de mon cul et ma touffe de poils sombres. Tante Audrey riait et, dans ses yeux, je voyais s'épanouir un vrai désir pour moi.

Alors, je me penchai sur le dos de ma mère toujours en pleine action et tournai mes fesses vers ma tante. Je l'entendis s'agenouiller et la sentis glisser son visage entre mes cuisses, nez collé à mon anus et bouche à mon con. Elle me dévorait comme si elle n'avait pas mangé depuis des semaines et l'énergie de sa langue et de ses lèvres me fit presque peur. Comme c'était bon d'entendre l'orgasme de maman tout en offrant mon jus à tante Audrey. Je n'eus pas le temps de venir que les deux hommes giclèrent en se targuant d'inonder leur femme et belle-sœur.

Une forte d'odeur de foutre emplit la pièce et je voulus jouir à mon tour, mais tante Audrey arrêta ses léchouilles, comme maman se relevait. Je dus quitter ma position et retrouvai assez de sang froid pour regarder autour de moi. Nos deux hommes mûrs et ventripotents avaient la queue en berne. À cet âge-là, ils ont besoin d'un peu de temps pour recharger les batteries, me prévint tante Audrey. Ma mère s'exposait en belle cochonne avec son soutien-gorge ouvert dont sortaient les gros bouts de ses seins mous et tombants. Elle avait des traces de sperme autour de la bouche et des gouttes lui dégoulinaient du con. J'aimais bien sa touffe épaisse sous son petit ventre rond. Seule tante Audrey avait gardé à peu près sa prestance, mais je lisais son envie de jouir dans ses yeux brillants, ses mains baladeuses et son impatience. Quant à moi, j'étais nue au milieu de ma famille, des gens qui avaient tous trente ans de plus que moi.

-- Va chercher tes pinces, ordonna Audrey à sa sœur, je vais te travailler les nichons.

Les hommes eurent pour mission de s'occuper du dessert. Pour ma part, après l'avoir demandé, j'eus le droit de déshabiller ma tante. Mais c'est bien parce que c'est toi, ajouta-t-elle, en me pinçant les tétons.

-- J'adore cette odeur de sexe, lui avouai-je en lui gobant un sein sans l'avoir demandé.

J'aperçus du coin de l'œil son petit œil égrillard et complice et me mis à téter. Maman revint avec un assortiment d'outils, de chaînes et de pinces qui me firent penser à un film moyenâgeux. Les deux hommes de retour de cuisine restaient au garde-à-vous, bites flétries, présentant sur deux plateaux des petites crèmes à la vanille. Je me régalais d'avance de ce qu'il s'annonçait.

C'est à ce moment précis qu'on entendit une clé tourner dans la serrure de la porte d'entrée et que parurent, magnifiques, mon frère, Hub, et sa chérie du moment Cynthia.

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